Un Cocufiage Désiré

Il y a un peu plus d’un an, je sortais avec un mec assez mignon, gentil et
intelligent. Ses parents étaient souvent absents et nous passions le plus clair de nos
journées chez lui, tranquillement. J’étais heureuse, et je crois que je l’aimais en un
sens, pour autant que l’on puisse parler d’amour à dix-sept ans.
Cependant, un jour, alors que nous venions de finir de faire l’amour, je le vois
hésiter à se lancer, comme s’il voulait dire quelque chose sans l’oser. Au bout de
quelques instants, il se lance :

« Ecoute, Alex, je voulais te demander… »
« Oui ? »
« Non, c’est stupide… »
« Vas-y, lance toi bébé »
« Bon, voilà : cela fait plusieurs jours que je me branle en t’imaginant coucher avec
un autre mec. Je sais que cela peut paraitre fou ou bizarre, mais, bien que je t’aime,
cela m’excite beaucoup. Alors, je me disais que peut être on pourrait essayer, en
vrai… »

Mon esprit est titillé mais je me demande s’il s’agit d’un test, alors je lui dis :

« Est-ce que c’est vraiment important pour toi ? »
« En quelque sorte, oui, bien que je comprendrais que tu refuses… »
Je le prends dans mes bras.
« Tu sais que rien ne me fais plus plaisir que de te faire plaisir… je trouverai un
homme pour réaliser ce fantasme. »
« Merci… »

Dès cette phrase énoncée, j’avais ma petite idée en tête. J’avais en effet un ami
proche que j’ai toujours soupçonné d’avoir des vues sur moi. Je lui téléphonais donc.

« Allô, Bastien ? Dis moi, et répond sincèrement, comment tu me trouves physiquement ?
»
« Quoi ? Tu es très jolie, mais pourquoi cette questi… »
« Ca te dirait de, disons, jouer avec mon corps ? »
« Mais, Christian ? »
« Christian est d’accord. »

Je lui expliquai la situation.

« Ah, bien, samedi après midi, si sa maison est libre, je viens ! »
« On se tient au courant.

Et merci. »
« Tout le plaisir est pour moi ! »

Samedi. 13h. Je n’ai toujours pas dit à Christian qui était notre invité surprise.
Quand ça toque à la porte, c’est tout étonné qu’il ouvre à Bastien.

« Ah, c’est toi Bastien qui… ? »
« Qui va baiser avec ta copine ? Oui. »
« Ah d’accord… Euh… Tu veux un truc à boire ? »
« Non merci, je suis trop impatient de passer à l’acte avec Alexandra ! »

J’observe la scène d’un œil amusé. Bastien se tourne vers moi :

« Putain tu t’es faite belle ! »

Je porte un chemisier blanc quasi transparent laissant plus que deviner ma poitrine
mise en valeur par un soutien-gorge noir, ainsi qu’une mini jupe blanche elle aussi,
et très courte, avec un string assorti au soutien-gorge. On peut donc en effet dire
que je me suis faite belle.

« On monte ? » suggère t-il
« D’accord ! »

Une fois dans la chambre de Christian, je m’assoie sur le lit, suivie par Bastien,
tandis que Christian s’assoit sur une chaise, à l’écart.
Bastien commence à m’embrasser, passionnellement. Tandis que sa langue tourne dans ma
bouche et que nos salives se mélangent, sa main descend lentement vers mon entrejambe,
et ses doigts experts caressent mon intimité. Il s’arrête, me retire mon string, et
continue.

Pour ma part, je ne suis pas en reste car mes deux mains ont réussi à dégager sa queue
déjà dure de son pantalon. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je suis à
genoux, entre ses jambes, prête à savourer la bite d’un autre devant mon copain…
Pourtant je n’hésite pas une seconde. J’enfonce son long membre dans ma petite bouche
humide, aussi loin que je le peux. Mes va-et-vient sont rapides, et ma salive
abondante. Je commence à lui caresser les testicules, puis les aspire dans ma bouche.
Je vois que ça lui plaît car il râle et me maintient la tête afin que je continue le
travail.


Au bout de quelques délicieuses minutes, il me relève la tête et m’embrasse et passe
une main sous ma jupe afin de me caresser les fesses. Un doigt s’immisce. Soudain, il
me donne une claque sur le cul :

«Enlève moi donc ce qui te reste de vêtements et allonge toi, ma petite coquine
chérie ! »

Excitée, j’enlève le tout avec rapidité et m’allonge, jambes écartées, tête calée sur
l’oreiller. Lui a eu le temps d’enfiler sa protection de latex. Il s’allonge au dessus
de moi et d’un coup de reins me pénètre. Je ne peux retenir un cri. Mes jambes
enlacent les siennes, et mes mains agrippent son fessier musclé, comme une invitation
à ne jamais quitter mon trou.
Pour mon plus grand plaisir, ses allers-retours se font rapides et violents. Par
moments, il sort sa queue entièrement, pour mieux me la renfoncer plus puissamment
après. Je gémis, de ma petite voix aiguë ; lui mordille mes tétons tout durs, ce qui
me ravit au plus haut point. Pile au moment où je croyais que j’allais jouir, il me
demande :

« Tu aimes la sodomie ? »
« J’adore ! » dis-je en me retournant pour me mettre à quatre pattes, la croupe
offerte.

Il ne tarde pas à me défoncer l’anus. Ses coups de reins sont secs et saccadés. Je
crie. Il enfonce deux doigts dans ma chatte. Je crie de plus belle.
Puis, soudainement, il me retourne avec force, enlève son préservatif d’un seul geste,
et je sens son sperme chaud couler sur ma poitrine.

« Oh, ouais, c’était bon ! On remettra ça une prochaine fois ! »

Pendant ce temps, je regarde mon copain. Sa bite est dure, et il se branle. Je viens
l’aider de ma main.
Bastien m’embrasse avant de partir, et a ses quelques mots pour Christian :

« Un vrai plaisir ta meuf ! »

Peu après, je laisse mon chéri finir dans ma bouche. Il se penche, et murmure :

« Merci pour tout… »

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