Sororite

Le BAC S en poche, je rentre en première année de prépa BCPST-Véto à 18 ans tout juste, je suis assez bonne élève mais ce sont deux années dures afin de préparer le concours d’entrée aux ENV (Ecoles Nationales Vétérinaires). Sans vouloir me vanter, apparemment je suis assez mignonne vu les regards appuyés des garçons et hommes que je croise, voir lourds pour certains…et les compliments de mes ex-petits amis…Ma vie sentimentale va en prendre un coup, je suis en internat, et je vais avoir la tête plongée dans mes études …Dommage pour moi, je ne suis pas très farouche et j’aime faire ma coquine avec les garçons, cela risque de me manquer un peu mais il me faut faire un choix…
J’arrive donc dans cette école libre comme l’air, ayant fait comprendre à mon dernier petit copain qu’il lui faudra se trouver une nouvelle coquine, euh !! copine pardon……
Je m’installe dans ma nouvelle chambre, que je partage avec Jessica une deuxième année…la pièce est assez grande et communique avec une autre chambre par la salle d’eau, le lit est large sans être double, de l’espace chacune pour nos rangements, une mini cuisine avec micro-onde et réfrigérateur pour deux, ainsi que deux grands bureaux, la décoration est sobre mais de bon gout, des couleurs pastelles et reposantes, bref rien à dire…Ma co-locatrice est une jolie fille sympathique qui m’explique un peu où se trouve les différents lieux collectifs du bâtiment : la salle de télévision, la salle de jeux, la salle de repos pour se retrouver au calme entre étudiants sur des canapés mobiles et de petites tables, il y a deux bâtiments reliés par la cafeteria , un coté garçons, l’autre filles, la cafeteria étant fermée la nuit avec un vigile à l’entrée des filles, le tout dans un grand parc entouré d’arbres et de petits chemins en terre battues …bref cet internat est assez bien pensé pour envisager des études sereines et pour y passer du temps, car je ne rentrerais pas à la maison chaque week-end, trop loin et des horaires de train pas possible me laissant peu de temps avec ma famille, une fois par mois sera bien suffisant en fatigue.

Jessica sans trop en avoir l’air me parle d’un groupe de fraternité entre filles dont elle fait partie, sororité pour être plus exacte (fraternité étant pour les « frères », sororité pour les « sœurs »), j’y accorde peu d’importance sur le moment…
Les cours sont commencés depuis deux semaines, mais dans la bouche de tous les nouveaux étudiants flotte déjà un bruit de couloir de « bizutage » enfin plutôt de : « Week-end d’initiation » comme ils disent maintenant, et les rumeurs vont bon train…J’essaye d’en savoir plus auprès de ma co-locatrice mais autant lui demander son code de carte bleue…sans être inquiète, j’ai déjà vécu un petit bizutage gentil en première par les terminales mais là nous sommes adultes et cela risque d’être un peu diffèrent. Jessica revient à la charge avec son groupe de sororité, me vantant les avantages, l’esprit d’un groupe, l’entraide, les soirées entre filles, les actualités de l’école en direct par le groupe sur les réseaux sociaux, le fait d’être choisie par une élite intellectuelle de jolies filles etc etc…si bien qu’elle finit par m’accrocher au point d’avoir envie d’en savoir un peu plus, je fais donc connaissance un soir dans la salle de repos des autres membres de deuxième année de cette sororité, ainsi que des nouvelles futures recrues, curieusement choisies parmi les plus jolies filles de l’école. Jessica me présente mais je me rends compte qu’elles nous connaissent déjà…car la cheffe du groupe se présente à nous en félicitant nos recruteuses de ne pas s’être trompée sur nos peut-être futures intégrations mais surtout sur nos plastiques qui ne laisseront pas les garçons indifférents…
- les garçons ? …Mais ce n’est pas un groupe de filles ? dis-je
- Si, si, mais le week-end d’initiation est ouvert à tous…répond évasivement Vanessa la cheffe de groupe. Ce qui fit glousser légèrement toutes les deuxième année…
Le groupe semble très soudé et sympathique, d’autant qu’elles font partie en plus des meilleures élèves, et se vante de vouloir apporter une touche de féminité et de beauté à l’établissement grâce aux belles jeunes-filles le composant, du coup nous sommes toutes très emballées de pouvoir nous y intégrer et attendons avec impatience ce fameux : Week-end d’initiation dont on nous parle tant, indispensable aux fondations et à la soudure du groupe…
C’est l’effervescence dans l’école, les différents groupes se préparent à « l’initiation » qui pour certains ne sont qu’un prétexte à boire et à s’amuser, et faire des conneries.
La direction ferme les yeux sur la quantité phénoménale d’alcool qui rentre dans l’établissement…Jessica m’a fait une liste de vêtements à prendre chez moi le W.E dernier : robe ou jupe courte, dessous sexy, chemisier, bas, talons, maquillage…bref tout ce qui est interdit par le règlement !!!! Mon étage prend l’allure d’une prépa de défilé de mode, on y croise des filles à moitié nues ou des stars à paillettes flottant dans un nuage de parfum dans des cris et des gloussements rappelant ceux d’une basse-cour. Toutes les portes des chambres sont ouvertes on peut y voir un bazar indescriptible de petites culottes, de soutien-gorge, de bas qui trainent par terre. Jessica me guide pour ma tenue, une jupe à mi-cuisse, un chemisier très échancré, un ensemble de lingerie blanc en dentelle, des Dim-up satinés très légèrement foncés et des talons hauts, puis séance maquillage par Mareva, la fofolle du groupe mais artiste en blush, mascara et fard à joues…le thème de la soirée de notre groupe étant : FILLES DE JOIE…..je m’attends au pire…et effectivement le pire est la devant moi lorsque je me regarde dans le miroir, non pas que le maquillage soit mal fait, mais j’ai vraiment l’impression d’être une poule de luxe d’aspect rétro, avec les joues un peu blanches, du rose sur les pommettes et une bouche rouge vif en forme de cœur ainsi que des cils et paupières ressemblant presque à deux papillons bleus….une garçonne des années 1930 !!!
La soirée commence, petits fours, rigolade et bière, des litres de bière avec de petits challenges pour les « nouvelles » afin de conforter le lien avec notre « coach » d’étude, la mienne étant : Jessica !!
-Danser un jerk endiablé
-épreuve de course de couloir en talons hauts sur parquet (bonjour les chevilles !!)
Puis l’alcool aidant, nos challenges deviennent un peu plus coquins…
-Embrasser notre « coach » sur la bouche
-avec la langue
-Boire 5 shoots le plus vite possible en lui caressant le minou debout derrière elle la main entre ses cuisses
Dans l’euphorie générale et les cris, mais surtout de savoir qu’un refus entraine systématiquement l’exclusion du groupe…
Puis les épreuves s’enchainent et s’accélèrent, nous jouons le jeu, et nos têtes tournent un peu, d’autant plus que quelques produits illicites commencent à circuler.

-Aller chercher chacune un beau garçon « deuxième année » dans le bâtiment d’à côté et revenir avec (habillées et maquillées comme nous le sommes nous faisons une intrusion très discrète dans leur bâtiment !!!!)
-retirer la petite culotte du « coach » avec les dents
Tout cela avec de la bière ou des shoots de tequila et les bédos, si bien qu’à un moment la soirée nous à échappée à toutes les « nouvelles » et la suite fut dans le brouillard pour nous toutes, mais ou tout fut consentie…
Nous sommes dans la salle de repos, les deuxièmes années filtrent avec efficacité les garçons et filles voulant profiter de la suite des challenges. Ma tête bourdonne, les cris, les claquements de main me surexcite, la tête et la langue enfouie dans la « foufoune » de Jessica, dernier challenge à exécuter pour l’instant, grande première pour moi, absolument pure hétéro, mais les effets de l’alcool et du cannabis rendent sa petite chatte particulièrement appétissante. Je me délecte je plonge ma langue au fond, découvrant avec délices le plaisir du saphisme et l’adorable fente toute rose de Jessica. Je lape son jus, roule son petit bouton sur mes dents et le frotte avec ma langue…si bien que ses reins se soulèvent du sol, et que les filles du groupe entendant ses petits cris viennent m’encourager comme une sportive effectuant une épreuve. Je mets mes mains sous ses fesses, et entreprends de lui donner le plus de plaisir possible. Ma langue plantée au fond de son vagin, m’étonnant de ma propre lubricité.
La suite fut un dérapage incontrôlé ou presque. Déjà une fille fut exclue, refusant absolument de lécher le sexe de sa « coach » …On joua à : « devines qui tu suces ! » rien que le titre vous donne une petite idée de la teneur du challenge en question…toutes les « nouvelles » les yeux bandés, nous devons deviner à quel garçon appartient le sexe que nous allons avoir dans la bouche, sachant qu’ils n’étaient pas nos petits amis sauf si quelques-unes avaient pris de l’avance mais nous n’aurions pu les connaitre que depuis deux mois à peine.
Nous en perdons une de plus, argumentant qu’elle avait juré fidélité à son copain. J’essaye de la convaincre la bouche un peu pâteuse en faisant tournoyer ma petite culotte sur un doigt que : « sucer n’est pas tromper » mais apparemment mon argumentation ne fut pas assez convaincante… Je suis dans un état second et euphorique…
Alignées, bouches ouvertes et yeux bandés les mains dans le dos, les genoux bien posés sur des coussins, si nous ne devinons pas qui nous suçons, nous appartiendrons aux gagnants pour la soirée….et ils ont le droit de changer de bouche…
Le premier qui se glisse dans la mienne, je ne cherche pas à lui donner du plaisir, en fait avec ma langue et mon palais j’essaye de scanner la taille de son sexe afin de deviner à quelle type de morphologie il peut appartenir, malgré ma petite expérience même si quelques attributs masculins firent beaucoup d’aller et retour entre mes lèvres, je sais que la taille du kiki n’est pas proportionnelle à celle de celui à qui il appartient, il y a parfois des surprises et pas ment celles qu’on pensait espérer… Je me prends au jeu, après tout rien de grave, le côté soumission reste assez coquin et tout se fait dans le rire, la gaïté, de toute façon j’ai perdu le contrôle, je suis totalement désinhibée, saoule et stone. Je fais ma coquine, le suce avec gourmandise une fois le scan fait, espérant lui arracher un petit cri et reconnaitre le timbre de sa voix. L’excitation de l’assemblée est à son comble, de voir ces belles jeunes filles s’occuper de si beaux garçons dans ce jeu de soumission et d’intronisation est un spectacle érotique rare…Après quelques minutes il se retire, faisant place à un autre, c’est amusant, il n’y a que de cette façon qu’on peut réellement se rendre compte instantanément des différences de taille, celui-ci est plus fin, plus long et son gland plus en ogive.
Peu importe la suite, je m’amuse à sucer ces queues l’une après l’autre, et là je le fais par plaisir, si bien que le dernier garçon se trouvant dans ma bouche ne veux plus la quitter, et je fais ma goulue, autant joindre le plaisir à la compétition. Il a un sexe bien proportionné, un gland bien rond et un méat grand ouvert dans lequel je glisse le bout de ma langue. Pas le droit d’utiliser autre chose que la bouche, alors je pompe, fais rouler mes petites dents sur son gland, passe ma langue sous la peau du prépuce. Son sexe gonfle dans ma bouche, j’adore cette sensation, cela donne du cœur à l’ouvrage. J’entends quelques petits gémissements mais rien de concret, d’autant plus que mes voisines ont l’air de faire sortir les mêmes sons à leur partenaire…au point que l’un d’eux ne pouvant tenir plus longtemps balance son sperme dans la bouche d’une des « nouvelles » qui manque de vomir dans un tonnerre d’applaudissements. Je donne un prénom au hasard : Jérémy !! Enfin pas tant que cela puisque c’est celui du garçon que je suis allé chercher, un beau brun l’air ténébreux que j’avais déjà repéré depuis le début …silence totale ….j’entends juste :
- Ce n’est pas possible, elle a trichée ?
On vérifie mon bandeau…non ! Triche impossible, je suis la seule gagnante du groupe de cinq « nouvelles » qui restent…
Dernière épreuve ultime : le « Quitte ou Double »…alignées sur une table, cinq énormes dongs doubles en latex rose, nous devons faire jouir notre « coach » avec en face à face…ma voisine fait la grimace et quitte le groupe…
- Je suis encore vierge, et ce n’est pas d’un sexe en caoutchouc dont j’ai envie pour ma première fois, c’était drôle jusque-là, désolé je me retire..
Nous ne sommes plus que quatre en liste, les trois plus « cochonnes » seront retenues, comme quoi même à 18 ans beaucoup n’ont déjà plus leur pucelage depuis longtemps, et on passerait pour des anges… Nous avons toutes envies de faire partie de cette Sororité, pourtant la charte du groupe est : « sois studieuse mais coquine !! » Et : « un garçon c’est bien ! Deux ou trois c’est mieux ! » Les « cheerleaders » à la Française, sans les pompons, les jupettes et les chaussettes blanches, quoique cette année-là nous avons créé un véritable groupe de « pompom-girls » en faveur de notre équipe masculine de basket et l’équipement vestimentaire qui allait avec. De vraies fofolles coquines…n’hésitant pas à se donner corps et âmes pour le bien-être de nos athlètes, surtout corps d’ailleurs….
L’épreuve commence, nous sommes toutes littéralement impressionnées par la taille des engins posés sur la table. Je suis presque ivre morte, Jessica en face de moi à l’air plus nette, c’est elle qui prend l’objet en main et me l’enfonce dans le vagin, ma vulve s’écarte et fait place à ce monstre, malgré le lubrifiant j’ai l’impression d’être pénétrée par une trompe d’éléphant, j’en ferme les yeux, je sens ma chair se dilater pourtant j’écarte les cuisses au maximum…je sers les dents non pas que cela soit très douloureux mais la simple vue de cet engin me laisse penser qu’il va me déchirer.
Jessica frotte le gland en caoutchouc sur son sexe et se pénètre doucement avec, nous sommes face à face, corps à moitiés nus, jambes entremêlées, séparées simplement par cette colonne de latex rose. J’ai l’impression que ma vulve va se fendre et pourtant je m’habitue à la présence de l’objet. Mon ventre est chaud, ma tête va exploser, les cris, les battements de mains au milieu de la fumée me font perdre toutes notions. Et nous voilà partis dans une séance de va et viens, encouragés par la meute en délire, les filles encore plus folles que les garçons…Nous nous prenons par les mains, accélérons le rythme, si bien que des petites vibrations commencent à me chatouiller le ventre, je dois faire jouir Jessica et non l’inverse, que se passe-t-il si je suis la première ? Je la regarde, elle a fermé les yeux et apparemment vu la couleur de ses joues elle est dans le même état que moi, le rythme nous est donné par les applaudissements. Mon ventre est bouillant et me chatouille tout comme mon sexe. Ses ongles s’enfoncent sur le dessus de ma main. Après quelques minutes à cette cadence, je n’y tiens plus et sors un cri d’extase en même temps que Jessica, nos corps secoués de spasmes en réclament encore et encore, je ne compte plus nos jouissances, épuisées nous nous arrêtons, pour nous serrer dans les bras et nous ’embrasser à pleine bouche comme deux amantes. Si on m’avait dit cela il y a juste quelques heures, je leurs aurai ri au nez.
Je suis intronisée, ainsi que les trois autres filles pour prestations exceptionnelles. La soirée se termina en une orgie indescriptible, chauffée à blanc par ce délire saphique, l’alcool et le cannabis réunis, je n’ai gardé que de vagues souvenirs, juste d’avoir flirté avec de nombreux garçons, fait l’amour avec un ou peut-être deux pour terminer avec Jérémy dans mon lit. Je me suis réveillée entièrement nue dans ses bras au milieu de l’après-midi du dimanche, mais surtout avec Jessica à côté de moi, nue elle aussi me serrant contre elle, mais là le trou noir de ce que nous avions pu faire tous les trois…je songe soudainement avec sourire que cette première année de prépa ne sera peut-être pas aussi longue et dure que je le craint après tout !!!



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