Luc Story...I

J’ai connu Luc sur un site de rencontre gay. Nous avons correspondu durant deux
mois, nous nous sommes échangés quelques photos, des plus soft aux plus hots. Il est
coiffeur de métier, a 49 ans, il est blond, les yeux verts, une silhouette assez
menue, 1m74 pour 62 kilos. Quelques photos de son joli popotin bien bronzé avec la
marque du string et surtout une belle queue de 18 centimètres, pas très épaisse mais
pourvu d’un joli gland légèrement plus large que la hampe. Je lui envoie quelques-unes
de mes photos, soft et moins soft. Des photos de mon membre complètement développé et
d’autres où je suis en action avec quelques partenaires passés. Il a beaucoup
apprécier de voir que mes rapport sont toujours protégés, c’est là que nous avons
décidé de faire nos tests hiv pour se libérer de ce carcan de latex. Visiblement nous
nous plaisons et décidons de nous rencontrer. Nous sommes de la même ville, donc
rendez-vous fut pris pour un vendredi après-midi chez lui.
Comme à mon habitude je me rase la queue, choisis un string sexy et en à peine dix
minutes de route je suis devant chez lui. Je sonne, à l’interphone il me dit « 3ème
étage la porte en face des escaliers ». Je pousse la lourde porte de son immeuble et
je monte me l’imaginant m’attendant nu sur son divan… A peine arrivé au bout des
escaliers il ouvre la porte et m’invite à rentrer.
Un petit bécot en guise de salut, je découvre Luc dans un petit jean moulant
taille basse, un tee-shirt moulant lui aussi et il a des petites lunettes
rectangulaires qui lui donne un petit aire d’intello coquin. Je le suis jusqu’au
salon, il m’invite à m’assoir et sur la table je vois qu’il avait déjà sorti son test,
je sors le mien le lui tends. Ce petit détail très important fait, il me propose à
boire, pour moi ce sera un café et lui se prend une coupe de champagne.

Nous discutons
un bon moment et nous sentons bien qu’il serait temps de passer à des choses plus
ludiques, mais personne n’ose faire le premier pas. C’est Luc qui se décide le
premier, il s’agenouille devant, m’écarte les cuisses et me caresse la bosse déjà très
proéminant. Je l’aide à défaire les boutons de braguette. De ses doigts agiles il
extirpe mon membre et l’enveloppe de ses lèvres. Je le regarde téter ma pine. « Tu
veux qu’on reste ici ou veux-tu qu’on aille dans ma chambre ? » Me dit-il. Mon choix
se porte vers la chambre.
Il se lève me tend la main et m’emporte jusqu’à son nid. Il referme la porte
derrière nous et on s’embrasse fougueusement. Nous nous caressons là debout, Il
déboutonne ma chemise, mon jean et me pousse sur le lit. Il tombe sur moi et
m’embrasse avec frénésie et passion, je lui rends ses baisés et ses caresses. Il
descend sur mon torse, me lèche les tétons, me libère du string. Il gobbe ma queue, la
mordille. Sans plus attendre il happe ma bite, je lâche un râle d’approbation et de
satisfaction. Je me laisse aller à ce plaisir divin. Il relâche son étau de ma queue
et nous finissons de nous déshabiller à toute hâte. On se glisse dans les draps et là
se fut magique. Caresses, baisés, câlins doux et tendres, le moment est d’une passion
presque sentimentale. Je m’allonge sur lui et j’empoigne nos deux sexes pour les
branler avec excitation, je l’embrasse encore et encore puis je descends vers sa bite.
Je ne suis pas déçu de ce qui m’attend. Elle bien conforme à mes attentes, la surprise
vient du fait qu’enfin je retrouve une odeur, une saveur de pine, ce n’est pas un
morceau de savonnette que je suce mais une bonne queue qui sent le musc, qui a le goût
de musc, ses poils qui me chatouillent le nez embaument eux aussi, enfin cette odeur
et se goût si particulier que les vrais amateurs de bite connaissent. Ces effluves me
qui caressent le nez, ce parfum en bouche m’enivrent et m’excitent encore plus. Je me
déchaine sur ce sucre d’orge, il fait monter le plaisir en moi mais aussi celui de Luc
qui me caresse la tête et se contorsionne à chacune de mes lapées. D’un coup il me
stoppe dans mon élan, me retourne, on écarte le drap et la couette pour se donner plus
d’espace. Il relève mes jambes, passe le bout de sa langue sur mon gland, descend le
long de ma tige, gobbe mes couilles et enfin lèche l’entrée de ma grotte intime. Je
ramène encore plus les jambes vers moi pour lui donner libre accès à mon petit bijou,
Je vais à l’encontre de sa langue qui me fouille avec méthode et passion. C’est un
véritable pro du pétale de rose. Il continue son investigation du doigt et me bouffe
les couilles. Ce mec est divin, il me met dans un état second, je suis ivre de
bonheur. Il se relève et vient frotter sa pine sur mon œillet bien dilaté. A genou les
cuisses bien écartées, il me tient par les chevilles et enfin enfonce son vit, le
plaisir est intense, non seulement il sait préparer un p’tit cul, mais aussi le
pénétrer avec douceur et délicatesse. Au début il ne fait rentrer que le bout du
gland, puis petit à petit prend la mesure de ma grotte. Ses va et vient sont d’une
douceur intense, mon bonheur est à son comble. C’est sûr ce mec deviendra mon amant.
Il accélère un peu et je sens qu’il va m’offrir sa crème. Je l’encourage de la voix «
Vas-y, donne-moi tout ! » Il se crispe au fond de mon cul libérant sa sève dans un
gémissement qui en dit long sur son plaisir. Il se retire et je sens déjà un filet de
foutre suinter. Il me libère les chevilles et je passe les jambes autour de sa taille,
délicatement il empoigne mon chibre, fait coulisser ses doigts le long de ma colonne
de chair et commence une douce et longue branlette qui m’amène à l’éjaculation
libératrice. Je suis couvert de foutre et je sens le sien qui suinte encore de mon cul
toujours ouvert.
Il me nettoie le ventre avec délicatesse et se rallonge à mes côtés. Nous restons
là un bon moment côte à côte, récupérant de cette joute féérique. Il me propose une
douche le temps qu’il prépare un autre café. Je me lève ivre de sensations fortes et
je me dirige vers la salle de bain. J’ai l’impression de sentir encore son mât planté
en moi et je sens du foutre couler le long des cuisses, la sensation est divine et
fait de moi une vraie salope.
Le jet de la douche me fait un bien fou, Luc rentre dans la salle de bains avec un
petit gode percé de petit trou et un pas-de-vis au bout. « Tiens, tu remplaces la
douchette par ce gode, ça va te permettre de te rincer l’intérieur » Me dit-il ! En
effet c’est génial pour une toilette intime. Lavé et séché je le rejoins au salon et
nous discutons, moi nu et lui en peignoir. Il est temps pour moi de prendre congé, je
me rhabille un long et doux baisé avant de laisser mon amant qui je sais le deviendra,
c’est sûr !!!


Suite au prochain épisode…