Soirée Troublante

On est posé devant Netflix tranquille après une journée interminable. Et, franchement, j’apprécie ce moment. Je suis lovée contre ta poitrine. Je porte une nuisette légère rose pâle et des jarretières noires au dessus des genoux. Sans rien d'autre. C'est ma tenue détente quand je suis détendue à la maison.
Ça sonne. Tu te lèves pour aller ouvrir. J’en profite pour m’allonger plus à l’aise sur le canapé. Je regarde , j’aime trop cette série. Je t'entend parler dans le couloir puis tu reviens dans le salon avec Olivier. Je suis surprise mais contente de le voir. Je me lève pour l'accueillir et lui faire la bise. Tout de suite je m'aperçois qu'il fixe avec insistance ma poitrine. Pourtant ce n’est pas son genre. C’est là que je remarque que mes tétons pointent indécemment à travers le satin de la nuisette. Nous sommes tous les deux embarrassés. On se connait depuis plus de six ans et il m’a toujours vu en tenue sobre, autant dire qu’il est extrêmement surpris de voir mes tétons aussi apparents et provocants.
Je m’esquive dans la chambre pour mettre une tenue moins aguichante. Sauf que dans le miroir je me rends compte, qu'avec la lumière des plafonniers orienté sur moi et le spot de cinéma braqué face à moi, c'est comme si j’étais toute nue. Ma nuisette rose est carrément transparente à contre-jour. Décidément, cette soirée prend une tournure « surprenante ». Ton ami reluque mon cul plantureux sans en perdre une miette. Je décide de faire la maligne pour cacher mon malaise et je roule des fesses jusqu’au couloir. De toute façon le mal est fait, ma silhouette n’a plus de secret pour lui alors autant que le spectacle lui plaise. En soit peu m’importe que des inconnus me voient en tenue d’Eve, je ne suis pas très pudique, mais lui je le croise souvent et cette situation me met très mal à l’aise. Certes Il nous arrivent d’être libertins avec mon mari mais nous cloisonnons parfaitement ces deux vies différentes et Olivier fait partie de notre vie de couple austère.


J’ai enfilé un kimono noir en soie qui tombe mi-jambes et cache avec pudeur mon corps. Olivier a apporté une bouteille de champagne. Il vient de signer un contrat mirobolant avec le département et voulait fêter ça avec nous. Alors disons que d’admirer mon derrière dénudé aura été son cadeau pour le féliciter de sa belle réussite. Nous trinquons à son succès puis je me cale dans le coin de la méridienne pour continuer de regarder pendant que vous discutez des perspectives que ce contrat offre. A chaque fois que je finis ma coupe, tu me ressers, j’adore le champagne, c’est tout naturellement qu’une douce euphorie m’a agréablement empli les veines.
Tu continues de parler avec Olivier assis face à nous à l’angle de la télé. Au bout de quelques minutes, mon attention s'arrête sur ton pote. Il observe, comme obnubilé, un truc sur le canapé là où je suis assise. Du moins, c’est l’impression que ça donne. En fait le champagne m’a tourné la tête et je suis plus que détendue. Sans m’en rendre compte, je me suis mise à l’aise comme d’habitude quand je regarde la télé juste avec toi. J’ai replié les jambes contre ma poitrine, les pieds relevés, en croisant mes mains sur les genoux. Seul petit soucis, les pans de mon kimono se sont décroisés et pendent de chaque côté. Et le mouvement de mes jambes, ment, a remonté ma nuisette au niveau de mon nombril. Punaise! Depuis tout à l’heure Olivier ne fixe quelque chose sur le canapé mais ma foufoune livrée à sa vue. Décidément c’est son jour de chance, c’est dingue ça. Je pique un fard de confusion. Il va finir par me prendre pour une dévergondée. Il se délecte tranquille de la vision de mon épilation intégrale et de ma vulve soyeuse et toute douce. Il s’aperçoit enfin que j’ai remarqué son petit manège mais reporte quand même son attention sur mon entre-jambes comme aimanté. Je réajuste tout doucement mon kimono sans le quitter des yeux par bravade. Mais la vérité c’est que je mouille comme une folle malgré la situation embarrassante.

Je pose doucement ma tête sur tes cuisses en m’allongeant, le visage tourné vers toi comme si la série ne m’intéressait plus. Mais mine de rien, en faisant semblant de chercher une position confortable, je m’arrange pour remonter mon kimono et ma nuisette au dessus de mes fesses sans même que tu le remarques. Maintenant Olivier a une vue sublime sur mon large cul offert, ses yeux doivent se régaler de ma petite fente dégoulinante et de mon trou du cul ouvert à tout. Je ne pense plus qu’à me faire prendre comme une femelle en chaleur. Toutes ces circonstances imprévues m’ont trop excitée. Je veux seulement sentir une bonne queue me pénétrer et combler cette sensation de vide en moi. Je me caresse doucement le clitoris avec mon majeur puis je commence à me doigter en sachant que Olivier est aux premières loges. De l’autre main, je défais ta braguette. Tu te brusques d’un coup et me demandes si j’ai craqué ou quoi. Puis tu te rends compte que j’ai le cul à l’air en connaissance de cause.
Finalement tu cèdes à mon caprice en sachant de toute façon qu’il est trop tard pour faire machine arrière. Je prend en bouche avec délectation ta bite bien raide. Toi aussi la situation t’émoustille. J'entends ton ami baisser son pantalon et commencer à se branler. Je glisse du canapé pour me placer entre tes jambes à quatre pattes mes fesses cambrées bien tendues vers lui. Maintenant je t’aspire le gland comme une gourmande. Tu relèves mon kimono et ma nuisette pour bien agripper mon gros cul et écarter aux maximum ma croupe. Olivier savoure la vue de ma fente ouverte en grand et dégoulinante d’excitation. Je continue de te pomper le dard. Je tortille du fion pour bien lui faire comprendre que je veux qu’il me prenne sans attendre. Je ralentis ma pipe car j’ai senti un petit goût salé dans ma bouche et je veux pas que tu craches tout de suite. Olivier se plante derrière moi, il m’écarte les jambes pour me mettre à sa hauteur, il frotte son gland contre mon sexe détrempé, un râle de surprise m’échappe.
Il vient de m’empaler d'un coup brusque. Putain il est membré comme un étalon. J'ai l'impression de me faire ouvrir le vagin en deux par un manche de pioche. Chacun de ses coups de queue tape trop au fond de ma chatte et me remonte l'estomac. J'essaie de le retenir en posant une main contre son abdomen mais ça ne change rien, il continue de me culbuter comme si de rien n’était, il m’arrache des cris rauques à chaque butée contre mon col de l’utérus. Je gémis sans retenue, entre douleur et plaisir intense. Mais mes beuglements excitent encore plus ton ami qui prend ça pour des encouragements et redouble la puissance de ses coups de butoir. Mon gros cul ondule à chaque pétée qu’il encaisse. Le bruit des claquées qu’il prend fait un bruit d’enfer tellement c’est vigoureux. C’est divin. J’en peux plus et hurle à réveiller tout le quartier.
De ton coté, tu as pris ma tête entre tes mains en m’agrippant les cheveux au niveau des tempes et tu me baises littéralement la bouche tant la situation te rend dingue. Tu es plusieurs fois à deux doigts de me faire régurgiter en t’enfonçant trop profondément. Je bave partout, je suis devenue votre petite poupée soumise, c’en est obscène tellement ça m’enflamme.
J’imagine ce que pourrait voir une personne extérieure nous épiant, moi à quatre pattes une queue au fond de la gorge et en train de me pilonner la chatte sans vergogne, je visionne si bien la scène que je suis au comble de l’excitation et là, sans le sentir venir, ça déclenche en moi un orgasme frénétique qui m’électrise tout le bas du ventre puis envahit tout mon corps en une multitude de soubresauts convulsifs. Mes jambes tremblent malgré moi, je suis tétanisée par la puissance de l’extase. Je crie encore et encore de délectation quand d’un coup ton foutre gicle par saccade au fond de ma gorge, je n’arrive pas à tout avaler et j’en recrache une partie qui coule sur mon menton avant de finir dans le décolleté de ma nuisette, de son côté Olivier a calé son énorme queue bien au fond de mon vagin et décharge à gros jets épais en moi en lâchant un râle de satisfaction.

Quand il se retire, je sens son jus dégouliner le longs de mes cuisses mais je n’ose pas encore bouger pour aller m'essuyer, mes jambes sont trop flageolantes, je reste là, perclus, essayant de reprendre mon souffle en vain. Ça faisait longtemps que je m’étais pas fait déboîter à ce point. je m’essuie un peu le menton avec l’avant-bras. Toi tu me caresses tendrement les cheveux satisfait de la tournure des événements et fière de moi je me dis. Olivier se relève en me mettant une petite claque sur le cul en guise de remerciements sans doute et s’adresse à toi comme si j’étais invisible: « J’ai toujours trouvé Marina magnifique, d’ailleurs tout le monde le dit. Ça fait quoi? Six ans que je vous connais? Et dire que j’étais certain que ta femme était un peu coincée et que tu devais t’emmerder au lit avec elle. Toujours habillée de façon sérieuse, jamais une allusion grivoise mais putain, en fait c’est une vraie garce. Ça faisait longtemps que j’avais pas pris autant de plaisir. Et puis on voit vraiment qu’elle aime se faire baiser cette salope. Pardon, je suis grossier mais elle m’excite trop ta femme. Rien que de repenser à ses cris quand elle a joui, j’en rebande, je te jure. Elle est trop addictive».
Non mais il est sérieux là? Il sort tout ça juste derrière moi comme si je n’existais pas alors que je suis toujours devant lui à quatre pattes, la chatte crépie de son sperme et saisie d’une furieuse pulsion de me faire prendre par le cul.
Je finis par craquer et murmure: « Encule-moi au lieu de parler».
Pas besoin de le répéter deux fois. Malgré son énorme queue, il s’est enfoncé sans problème dans mon trou du cul tellement il était déjà dilaté par le désir. Dix minutes plus tard j’avais l’anus distendu et large comme jamais et le rectum rempli de foutre. Et d’Olivier, et de mon mari, histoire d’être bien sûr que j’avais eu mon compte.

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