Sido

Mercredi, depuis 15 heures j’ai envie de jouir. Je me masturberai bien si les s
étaient chez leurs copains. J’attends sagement, mon string très humide, la femme de
ménage ne viendra pas m’importuner je le sais. Enfin vers 17 heures je peux aller dans
la chambre, je me mets nue, je me regarde dans la glace. Mon corps de trentenaire
passé me plait toujours, comme il plait à mon mari, Marc. C’est vrai que ma taille est
fine, mes hanches pas trop larges, mes seins ne font qu’un 85B. Mon seul souci vient
de mes cuisses que je trouve un peu enveloppées.
J’aimerais bien que mon Marc soit près de moi maintenant : il me baiserait, me la
mettrai partout où j’ai envie. Rien que de penser à ce qu’il me ferait, je suis encore
plus humide.
Je pourrai me servir d’un de mes godes, pas aujourd’hui, seules mes mains devrait
suffire. Toujours devant le miroir, je me caresse les seins lentement, pour bien faire
pointer mes mamelons. J’aime quand ils bandent : ils deviennent fragiles et sensibles.
Si je continue avec eux seulement je sais que j’aurais un orgasme. Mon époux le sait
bien, il le fait exprès pour me faire jouir avant de faire l’amour, de me baiser sans
cesse jusqu’à son dernier propre orgasme dans ma bouche. Que j’aime son sperme.
Je me couche avec avoir ouvert le lit, j’ai les jambes ouvertes. Ma main gauche
caresse mes seins pendant que la main droite plonge vers mon entre jambes. Je sens
qu’aujourd’hui je vais bien me faire jouir. Je caresse d’abord mes grandes lèvres pour
m’exciter encore un peu, puis je cherche mon petit trou. Je mouille mon doigt avec ma
salive pour le faire glisser sur l’anus. J’aime cette sensation post sodomie. Je ne
résiste pas longtemps à l’appel de mon cul.
Je glisse lentement mon doigt qui entre dans mon intimité. Je le rentre doucement,
juste pour sentir la pénétration me donner du plaisir, plaisir encore très loin de la
jouissance.

Je fais aller et venir mon doigt. Mon sphincter se serre instinctivement :
je suis maintenant sur le point de partir au 7° ciel.
Je retire ma main du sein qu’elle caresse pour que deux doigts viennent sur mon petit
grain de riz qui bande lentement. Je commence à caresser ce petit bout de chair qui me
fait toujours jouir. Mes deux mains sont occupées à me donner du plaisir. Je ferme les
yeux pour profiter des plaisirs solitaires que je me donne. Je vais de plus en plus
vite, tellement que mes seins viennent se cogner contre mes bras : un plaisir de plus.
Je suis seule à ressentir ces plaisirs. Je regrette que mon mari/amant ne soit pas là
pour me donner sa bouche en entrant sa langue à la rencontre de la mienne.
Je dois rêver, j’ai une langue dans la bouche. J’ouvre les yeux : c’est la bonne, nue
qui m’embrasse : je ne me pose pas de question, je suis dans un instant magique, celui
des orgasmes. J’accepte le baiser qu’elle me donne. Je sens ses mains sur mes seins.
Elle sait bien me peloter. C’est très agréable. J’accélère mes mains pour jouir avec
elle.
Je suis obligé d’arrêter, maintenant la bonne remplace mes mains par les siennes. Elle
est couchée contre moi, la tête vers mes pieds. Comment ce fait-il que Sido soit si
douée. Je ne pensais jamais qu’elle me fasse une telle chose. Et qu’en plus j’accepte.
Portant je ne suis pas lesbienne. Commande-t-on au plaisir qui arrive ?
Une main, la droite je crois me caresse le clito, bien il faut le dire, presque mieux
que mon mari, moins bien que moi peut-être. La gauche a remplacé mon doigt dans
l’anus. Là elle me donne un plaisir supérieur. Je sens que je vais jouir grâce à mon
cul. Elle arrête en laissant son doigt sans bouger. Par contre je sens qu’elle
abandonne mon bouton, pourquoi ?
C’est sa langue qui vient me lécher toute ma fente. Je ne savais pas qu’une femme
donne tant de plaisir.
Elle a commencé tout en haut juste au dessus du haricot, a
passé ce cap pour venir se planter dans le puits. Elle sait comment trouver mon point
sensible : elle m’envoie au ciel plusieurs fois. Sans le faire exprès mon bras prend
sa cuisse la plus proche. Je la caresse lentement.
Pour elle s’est une invitation : elle m’enjambe pour me donner tout son sexe sur la
bouche. Je vois enfin un sexe pour de bon, tout près, trop ? Ses lèvres sont
régulières, plus que les miennes, je vois son bouton qui ressort de ses lèvres
mouillées. Elle est aussi excitée que moi avant de commencer.
Eros me poussant l’ose mettre ma langue là où il ne faudrait peut être pas. Mais quel
goût, qu’elle odeur se dégage de ce con. Avant il faut que je lui parle.
- Sido, vous me faites du bien, pardon tu me fais du bien, baises moi encore avec ta
langue.
Elle ne répond pas occupée qu’elle est par le plaisir qu’elle sent monter dans mon
corps.
- Je vais te sucer aussi.
Toujours pas de réponse, sa langue est trop, occupée. Par contre la mienne entre dans
la danse. Je vois son petit clitoris, ma langue va dessus très vite, je le lèche
maintenant, sans me poser de question. C’est pourtant la première fois que je lèche un
sexe de fille.
Elle appuie encore plus son bijou contre ma bouche. Je sens mon nez son vagin, je
pourrais presque y entrer. Je préfère me servir des doigts. J’en mets deux dans le
vagin que je fais aller et venir : son bas ventre suit les mêmes vagues. Je sens sa
jouissance quand ses spasmes agissent sur son vagin. Quand je sors d’elle c’est pour
aller plus bas, là bas où elle a un rectum. Mes doigts humides de sa cyprine entre
facilement. Je ne pensais jamais qu’elle aimerait autant cette pseudo sodomie.
Au moment de son grand frisson, elle m’oublie pour crier son plaisir. Nous nous
tournons, je me trouve sur elle maintenant.
Pour moi c’est plus commode d’avoir ma
tête dirigée vers le bas. Ses seins durs m’excitent quand je les sens sur mon ventre.
Maintenant c’est Sido qui s’exprime :
- Merci de me baiser, j’avais envie de toi depuis la première fois que je t’ai vue.
J’aime les femmes comme toi, belle et sexy. En plus si je suis ta première je peux
dire que tu es faite pour l’amour au féminin.
- J’aime mon mari et sa bite, j’aime me faire mettre partout.
Nous nous taisons pour continuer notre jeu. Quand je veux arrêter, elle me propose son
jeu : Elle est presque assise contre moi, ses cuisses emmêlées aux miennes. Je sens
contre mon clitoris une chose agréable : le sien. Je ne sais comment nous avons
fait : je jouis différemment. Je m’écroule pour finir.
Je ne connais pas nos futures relations, patronne et bonne, et mon mari au milieu, et
les s. J’espère que mon mari ne me verra pas avec Sido.
Et puis, après tous je me suis envoyée en l’air pour une fois avec une fille, il ne va
pas en faire un scandale. Je le lui expliquerais plus tard. Je ne sais comment il
prendra la chose : cocu à cause d’une lesbienne.
Je n’ai plus de question à poser quand il entre dans la chambre. Il sait que souvent
je suis là en fin d’après midi pour me donner du plaisir : il l’accepte toujours.
Il parait surpris de me voir nue avec la bonne à mes cotés. Il comprend vite ce qui
c’est passé. Je crains le pire qui arrive : il se met nu lui aussi. Il se penche sur
le lit, la bite bandée. Je la lui prends en main pendant qu’il m’embrasse.
- Chèri je viens de baiser avec Sido.
- Tu as bien fais, surtout si tu as eu ton plaisir.
- Je l’ai eu, j’en ai donné aussi à Sido.
- Tu te paye des filles maintenant, c’est nouveau.
Il faut que je lui explique comment j’en suis arrivée à baiser avec la bonne.
- Tu as baisé la bonne, à mon tour.
- Monsieur peut s’il veut me la mettre au cul.

Il n’attend pas plus. Pourtant j’y mets mes conditions. Je veux que Sido soit sur moi,
en 69 pour bien voir comment une bite entre dans un cul. Le temps qu’il soit en
position je mouille avec sa cyprine l’anus de Sido. Marc, mon mari vient lentement.
C’est je crois la première fois que je vois sa bite sous cet angle : quand je le suce,
je ne vois pas ses couilles. Maintenant j’aide à le positionner sur l’anus. Il prend
une foule de précautions, comme avec moi. Je vois son gland violacé entrer très
doucement dans le postérieur de cette femme que je suce. Je vois les chairs qui
s’écartent lentement. Je n’ai pas compté, je pense qu’il a du mettre deux bonnes
minute avant d’avoir tout son gland dans le vestibule anal. Ensuite il entre
rapidement, entrainant de légers cris de jouissance de Sido. Je regarde ses couilles
aller et venir tout près de mon visage. J’en suis excitée encore plus. C’est la
première fois qu’il baise une autre fille que moi, et devant moi. Sido jouit beaucoup,
comme moi aussi. Aucune des deux ne faisons un effort pour cacher nos pulsions.
Je vois la pine de Marc avoir des spasmes presque en même temps que Sido : c’est beau
une bite et un cul qui jouissent ensemble. Quand la bite sort du cul, Marc bande
encore. Je le vois à genoux, la bite dans une main : il se branle devant nous pour
finalement jeter son venin sur nous.
Cette scène se reproduit souvent, trop souvent peut-être. En semaine pendant que les
s sont au lycée, Sido vient me chercher où que je sois dans la maison pour tirer
un coup. Souvent nous ne faisons que nous branler, des fois nous faisons l’amour
véritable. Elle a pris goût à la baise normale avec Marc. En son absence, nous
utilisons maintenant couramment mes godes, soit dans le vagin soit dans le cul.
Souvent Marc est avec nous. Heureusement encore que souvent le soir nous baisons comme
doivent le faire un mari et sa femme, sinon, je n’y tiendrais pas, même si j’aime
baiser comme une lesbienne.

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