Au Lit Avec Aline

Je reviens au studio bien plus tôt que prévu. Je devais arriver demain après midi. Il
n’est maintenant pas loin de 23 heures : j’en avais assez des recommandations
familiales. A 21 ans, bientôt je suis assez grande pour savoir ce que j’ai à faire.
Mes parents voudraient me marier à un « parti » intéressant. Je suis encore en fac,
j’en ai bien pour 5 ou 6 ans encore et on veut me couper de mes études.
Donc j’arrive au studio, j’entre et j’entends des bruits bizarres comme des
gémissements. Pourtant en partant la veille, ma colocataire Aline se portait bien.
Nous ne sommes pas ensemble depuis longtemps je ne sais pas grand-chose sur elle sinon
qu’elle préfère les filles. Elle ne m’a jamais fait de propositions indues : donc je
n’ai pas de problèmes : je sais qu’une nuit elle était avec une fille que je connais
vaguement. Elles ont du faire l’amour : je n’en ai rien entendu.
Par contre aujourd’hui, comme une sotte, je vais dans sa chambre à son secours. Et là,
surprise, Aline est nue sur le lit, un gode dans son anus et une main sur sa chatte
qui la masturbe. Je reste surprise. Elle ne se doute de rien, je n’ai pas fait de
bruit, je la regarde se donner du plaisir. Sentant ma culotte mouiller, je reste un
moment à la regarder. C’est excitant de voir une autre personne se masturber. Je ne
peux me retenir, je passe une main sur ma chatte par-dessus le jean.
J’allais même ouvrir le pantalon pour passer ma main sur mon clitoris, quand elle
ouvre les yeux. Elle ne peut faire autrement que me voir. Je rougis d’abord, prête à
quitter les lieux.
- Viens près de moi, n’ai pas peur.
- J’ai peur de te déranger.
- Tu ne vois pas que tu m’excite à mort.
- Je m’en vais, fini seule.
- Pas question tu as vu le début pas la fin. Reste voir.
Voir quoi, un orgasme auquel je suis étranger ? Curieuse, je reste pour la voir jouir.


En attendant ma main s’est bien placée sur ma chatte. Je peux regarder ce corps
allongé plein de vie, j’examine la position du gode bien enfoncé dans son cul,
bizarre, elle ne le touche pas. Sa main va bien plus vite sur son clitoris, je la vois
crispée quand elle pousse un profond soupir : elle jouit.
Son orgasme aurait pu entrainer le mien. J’ai pu arrêter à temps : il me reste un
creux dans le bas ventre. Cette fois j’allais partir pour finir dans ma chambre, en
solitaire comme toujours. Aline me rappelle :
- Viens avec moi essayer le gode.
- Je préfère le réel au plastique.
- Moi je préfère les filles aux garçons et tu vois je me sers d’un gode pour mon cul
et souvent mon con.
- Je ne connais pas la sodomie.
- Viens je t’apprendrais.
Je ne résiste plus, je m’approche de son lit. Elle me demande de m’assoir près d’elle.
Elle vient tout près de moi, se relève à peine pour être à ma hauteur et m’embrasser
sur la bouche. Je suis surprise par la soudaineté de ce baiser et par la douceur de
ses lèvres. Quand sa langue entre dans ma bouche je ne la repousse pas. Enfin elle me
demande de me mettre nue moi aussi. Comme elle m’a déjà aperçue dans la tenue d’Eve,
en sortant de la douche, je me laisse tenter.
- Tu as de beaux seins, et une belle taille fine.
C’est vrai que je suis fier et de mes seins et de ma taille fine, de guêpe dit-on.
C’est justement par là qu’elle m’att. Je trouve ses deux mains m’entourant. Ses
mains sont douces : elle en profite pour caresser mes seins en insistant sur les
tétons qui n’attendaient que ça pour durcir et pointer. Je sens que la fille sait ce
qu’il convient de faire à ses semblables. Je sens une cuisse contre la mienne. J’en
frémis. Pourtant je n’ai jamais touché une fille de ma vie, sauf un jour, il y a très
longtemps pour nous amuser avec une copine, et encore notre seul contact était le bout
des lèvres.
J’apprécie sa proximité, je voudrais même qu’elle aille plus loin. C’est
que je ne sais pas comment agir avec une autre. Elle passe sa main sur mes cuisses,
les écarter un peu pour caresser l’intérieur là où la chair est tendre. Elle monte
insensiblement vers ma chatte qui est tendue vers elle.
Enfin je sens des doigts dans ma fente. ? Je ne sais combien elle en a mit. Je sais
qu’elle fouille toute la moule. Je ne connaissais pas sa méthode, je ne la subis pas,
je l’approuve au contraire : c’est plaisant. Ce ne sont que des hors d’œuvre car quand
elle touche mon bouton, je sens le véritable plaisir envahir tout mon corps. Elle me
masturbe bien mieux que je me le fais. J’ai posé ma tête sur son épaule pour mieux
déguster ce qu’elle me fait.
Aline cesse ses préliminaires pour passer à la phase supérieure : elle me doigte
simultanément d’abord avec un doigt, puis deux et enfin trois. Elle me baise comme
avec une bite. Du coup j’en oublie les bien fait d’une véritable. Enfin elle me couche
à ses cotés. Nos bouchent se dévorent comme des cannibales. Je peux lui rendre ses
caresses sur ses seins. Je suis certainement maladroite pourtant je sens ses seins
durcir et ses pointes bander. Si je suis occupée à sa poitrine, elle est revenue sur
la chatte. Cette fois elle me masturbe comme il convient le clito. Elle me fait jouir
donc pour la troisième fois. Aucun de mes amants ne m’a jamais donné tant d’orgasme à
la suite.
Je sens sa main redescendre : elle va me doigter encore certainement. Non elle descend
plus bas, sur le périnée où elle ne fait qu’un court séjour : son but, l’anus. Je le
ferme le plus possible pour qu’elle n’y entre surtout pas.
- Calmes toi, tu verras c’est très bon.
- Tu me le jure ?
Aline ne répond que par un baiser plus appuyé. Je me détends comme elle le demande, je
sens son doigts sur le rectum : elle ne fait que le caresser surtout autour.
C’est
bon, même très bon. Elle se décide à poser sa pulpe de doigt à l’entrée du cul. Je le
sens à peine entrer. Quand elle l’a mi en entier dans mon ventre elle me le dit. Elle
commence des va et vient bien venus. C’est tellement bon que je me laisse aller à un
autre orgasme.
Elle se tourne complètement pour mettre sa tête entre mes jambes, elle me donne son
abricot sur ma bouche. Je ne suis pas sotte, je sais que les filles entre elle font de
nombreux 69. J’ai quand même un choc quand je sens sa langue sur mon petit bout de
chair : elle me fait jouir bien trop vite. Je le lui rends comme je peu, en cherchant
bien avant avec le bout de ma langue quand je me rends compte de son odeur intime,
bien plus forte que la mienne.
Je la fais jouir pour la première fois avec ma langue. Elle reprend le gode en main
pour me l’appliquer dans la chatte. Je jouis très vite au contraire de ce que je
pensais. Je m’essaie à une caresse que je n’ai jamais faite : je pose ma langue sur
son anus. Je resserre ma langue pour la faire entrer. Miracle, elle rentre
facilement : c’est vrai qu’elle pratique seule la sodomie. J’ai encore le privilège de
la faire partir vers le 7° ciel.
Quand nous finissons je pense quand nous arrêtons. Il n’en est pas question : elle
veut que je la fiste. Je connais la chose : un de mes copains m’a appris ce que
c’était, j’en avais pas mal joui. Aussi c’est sans appréhension que je le lui fais :
elle est sur le dos, les jambes au compas bien ouvert, ce qui me permet d’admirer sa
chatte. Je pose d’abord un doigt sur l’entrée du vagin, puis j’entre un deuxième, tous
sauf le pouce entrent facilement. Je force juste pour mettre le pouce. Après c’est la
bataille de pénétration : la plus dure et pour moi et pour elle. Si elle gémit à
moitié de douleur et de plaisir, ma main force un peu pour entrer jusqu’au poignet.

Elle gémit comme je ne l’ai jamais entendu. Je sens ses spasmes de jouissance autour
de ma main qui ne cesse de tourner en allant et venant dans son ventre. Quand je sors
d’elle elle est totalement épuisée. Nous nous endormons enlacées.
Le lendemain matin très tôt elle me réveille : je sens qu’elle entre ses doigts dans
mon ventre. Tant mieux si elle me fiste : un prêté pour un rendu.

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