Troublante Soirée

Tout d'abord, je vais me présenter. Je m'appelle Cyril et j'ai 29ans, Julie, ma femme,
aussi.
Nous somme en couple depuis 13 ans déjà (et oui...), et nous nous sommes mariés voilà
5 ans.
De mon côté, je suis artisan, chauffagiste pour être exact, et elle, elle travaille
dans une banque.
Nous nous sommes rencontrés très jeunes, et nous sommes, l'un pour l'autre, le premier
et le seul partenaire. C'est vrai que ça fait légèrement ringard, mais nous nous
sommes accomplis en adultes ensemble, et notre vie, que ça soit sociale, au travail ou
sexuelle, et très épanouie. Jamais d'infidélités de ma part, juste une petite entorse
au règlement de sa part, bien des années avant et largement pardonné depuis, et nous
nous aimons encore comme au premier jour, et je suis même tenté de dire, beaucoup plus
qu'au premier jour...
Cette histoire, elle est réelle. Seuls les prénoms des autres protagonistes ont été
changés. Elle prend place un soir d’été, l’an passé.
Julie et moi venons d'acheter une maison. Une très belle maison, d'architecte, mais
dont les précédents propriétaires ont dû se séparer pour cause de divorce.
Comme souvent dans ces cas-là, nous avons fait la fête lors de la crémaillère, mais
nous n'avons pas pu inviter tout le monde. C'est ainsi que ce soir-là, nous avions
invité pour la soirée Antoine et sa femme Linda pour le repas. Antoine est un collègue
de longue date de ma femme. Il travaillait déjà à la banque lorsqu'elle y fut
embauchée. Je le connais donc depuis de nombreuses années, au travers de repas du
personnel de la banque par exemple. Je ne connaissais en revanche pas sa femme, qui ne
pouvait jamais venir à ses repas étant donné les horaires de son emploi (aide-
soignante). Pendant toutes ses années, j'ai tissé de bons liens avec Antoine lors de
ces fameux repas, et je l'apprécie bien.

Ma femme aussi, il est le collègue avec elle
à le plus d'affinités.
20h, voilà la sonnerie du portail. Par l'interphone, j'aperçois la voiture d'Antoine,
et lui ouvre le portail, avant d'ouvrir la porte d'entrée et d'aller à leur rencontre
dans l'allée de la maison. Julie n'était pas là, elle était partie se changer car elle
était jusque-là en train de fignoler tout en cuisine. Je serre donc la main d'Antoine,
qui me présente sa femme. Plus âgée que nous (elle et son maris ont environ 40-45
ans), elle reste une très belle femme, aux long cheveux roux ondulés. Elle a de
sublimes yeux verts, qu'elle a mis bien en valeur avec le choix de son chemisier.
Après les formules de politesses d'usage, je les invites donc a entré dans notre
nouvelle demeure. Le temps de les débarrasser de leurs vestes, Julie descend de
l'étage, habillée comme souvent à ce genre d'occasion, d'une robe de soirée très
élégante, et assez sexy. Il faut dire qu'elle le porte bien : 1m65, 50 kg, chatain,
les cheveux courts (style Victoria Beckam) avec de belles formes, que ça soit aux
hanches ou à la poitrine. Son 85C est bien mis en valeur par le décolleté de sa robe,
qui est ouverte dans le sens de la hauteur entre les seins jusqu'au-dessus du nombril
et retenue par une petite chainette... Avec ses bas et ses talons, elle est vraiment
divine, et j'aime toujours plus la voir ainsi.
Son arrivée est saluée par son collègue et sa femme, et le temps de se dire bonjour,
nous voici tous les quatre au salon, confortablement installé sur notre canapé (tout
neuf tout beau !). Rapidement, nos discussions se tourne vers le travail, et ma femme
et Antoine se mettent à parler des nouveaux locaux de leur banque qui doivent être
réceptionnés d’ici un mois, et nous mettent, Linda et moi, un peu involontairement il
est vrai, a l’écart de leur discussion . Nous nous mettons donc à échanger sur son
travail à elle.
Au fil de la discussion, je propose a Linda de faire le tour du
propriétaire, pendant que nos tourtereaux respectifs débattent sur les couleurs de la
nouvelle salle d’accueil.
Rapidement, je lui montre donc le sous-sol, le cellier, la cuisine, la chambre d’amis
du rez-de-chaussée (avec sa salle de bain privative !), puis nous montons à l’étage,
ou deux chambres d’amis ou d’s (nous n’avons pas encore d’s) s’y trouvent,
ainsi qu’un bureau en mezzanine qui surplombe le salon-salle à manger, puis la suite
parentale, qui est un demi niveau de plus au-dessus. Je suis très fier de notre
nouvelle maison, et la chambre est la pièce que je préfère… La partie nuit plus haute
que l’entrée de la chambre, et en demi-niveau, une salle de bain magnifique avec
baignoire jacuzzi 2 places (2 vrais bonnes places), une douche à l’italienne énorme
avec des bornes de jets de massage pour le dos et un tabouret incrusté dans le mur,
deux vasques de toilettes magnifiquement éclairés, avec un miroir qui fait la longueur
de la pièce, vraiment, on est gâté !!! Et sur le côté donc, un demi-niveau plus bas
(suivez que diantre !!!!), un dressing d’environ 20 m², absolument immense, avec de
très grand miroir qui coulissent devant les étagères…
Linda est vraiment subjuguée par cette pièce, et nous fait beaucoup de compliments
dessus, argumentant qu’elle rêverait d’avoir une salle de bain comme celle-ci.
Notre petit tour de propriétaire est donc fini, et nous rebroussons chemin afin de
descendre rejoindre nos amoureux. Et là, à ce moment précis, en longeant le bureau
ouvert sur le séjour, j’ai une vision qui me foudroie le cerveau… Julie et Antoine
sont debout devant la colonne de DVD, et alors que ma femme est courbée pour récupérer
un DVD (sans doute pour lui prêter pensait-je plus tard), Antoine posa délicatement la
main sur la fesse droite de ma femme, sans que celle-ci ne fasse rien contre… On
dirait que c’est moi qui lui mets la main aux fesses… J’essaie de continuer sans
marquer de temps d’arrêt pour éviter que Linda ne remarque, elle aussi, le petit
manège de nos compagnons….

Une fois arrivé au rez-de-chaussée, nous trouvons Antoine et Linda, côte à côte en
train de commenter le résumé du dit DVD, sans aucuns signes qui pourrait amener le
moindre petit soupçon de rien du tout….
A ce moment précis, je pensais retomber des années avant, dans une spirale infernale
de l’infidélité, ou la confiance s’évanoui en même temps que les liens que l’on tisse
avec sa moitié… Mais avant de m’enflammer, je préfère avoir une bonne discussion avec
elle pour savoir de quoi il en retourne, même si au vu de cette main aux fesses, il y
a plus que de la camaraderie entre les deux collègues…
Nous retournons alors à notre apéritif le temps que le diner soit chaud (l’odeur du
rôti aux pruneaux est réellement enivrante), et nous discutons de nouveau comme si de
rien était.
Au bout d’un moment, alors que le repas n’allait pas tarder à être prêt, Antoine
demande a lui aussi avoir une visite des lieux. Sans que je n’ai le temps de me
proposer, ma femme c’est déjà levée et embarque notre invité par le bras pour lui
faire faire le tour de la villa. A ce moment, je me dis que vraiment, quelque chose
cloche, et qu’il y a vraiment un truc entre eux….. Mes tempes tapent forts, mes mains
et mon dos deviennent moites, mes pulsations augmentent, et je sens une colère que je
pensais enfouie en moi depuis longtemps regagner peu à peu la surface, en essayent
tant bien que mal de me calmer tout de même…
10 minutes se passent, durant lesquelles j’essaie de suivre la discussion avec Linda
qui se révèle une femme très amicale, très intéressante, avec beaucoup d’humour et de
repartie, je me suis quasiment apaisé, alors que le four sonne en signal de la cuisson
finie de notre rôti. Julie et Antoine n’étant pas revenus, je monte à l’étage pour
leur dire que c’est prêt et de passer à table (et un peu aussi pour voir ce qu’ils
trafiquent ces deux enc.
.lés)… ET LA… Si j’avais été cardiaque, je serais tombé raide
d’un coup… Du couloir, je voie assez distinctement le demi-niveau de notre chambre, ou
trône le lit, et j’aperçois ma femme, la chainette de la robe enlevée et ses deux
seins hors du décolleté… Autant vous dire que le bourrin d’antan est revenue à la
vitesse de l’éclair dans mon esprit, et je me voyais déjà rentrer dans cette chambre
et tout démolir… En m’approchant, j’entends leur discussion, qui en substance, donnait
a peut prêt ceci :
Julie : « allez, admet que tu avais tort !!! »
Antoine : « peut-être, mais je suis toujours pas convaincu »
J : « qu’est ce qu’il te faudrait de plus non de non ??? »
A : « faudrait que je puisse tâter un peu pour voir ça, me faire mon propre avis »
Là, je me dis, tu touches, t’es un macchabé garçon, car même si l’écart d’âge existe,
je suis plutôt solide, et tout à fait capable de lui peter toutes les dents du devant
a ce connard !!!!
J : « là tu peux rêver mon vieux, je pensais que ça te suffirait, qu’une fois que tu
les verraient tu comprendrais, mais si tu ne me croit toujours pas, tant pis »
A : « beh j’hésite beaucoup là… C’est pas facile à déterminer »
Je commence à me demander de quoi ils parlent tous les deux, lorsque ma femme me
délivre le cœur, et la chape de plomb qu’i l y avait dessus :
J : « Ecoute, je te dis que la photo n’est pas retouchée, et que c’est mes vrais
seins, pas du silicone, si tu me croit pas, tant pis pour toi, maintenant, on va
manger ! « Et sur ces paroles, elle rentre la marchandise et recrochette la chainette
qui tient les deux bandes de tissus sur ses seins…
A ce moment précis, je comprends l’histoire… En fait, de mon côté du lit, il y a une
photo suspendue au mur, que nous avions fait prendre durant notre voyage de noce aux
Caraibes. Pendant ce voyage, nous avions voulu immortaliser la beauté de ma femme, et
nous avions engagé un photographe professionnel pour une série de photos, allant du
charme a l’érotique, sans jamais être vulgaire ou porno. De toutes les photos, une
m’avait réellement subjuguée, ou l’on voit ma femme en string et paré haut, assise sur
le flanc, sur une plage de sable fin, la mer se retirant sous ses jambes croisées, et
le soleil se couchant à l’horizon sur la mer, offrant des reflets orangée a la photo.
Je suis littéralement foudroyé par cette photo, et décide de l’installer dans notre
chambre, surtout qu’hormis les seins nus, la photo est très correcte, c’est vraiment
de l’art…
Donc voilà ce qu’ils débattaient, Antoine a vu la photo, a dû dire à Julie que ses
seins avait été trafiqués numériquement ou au bistouri, et elle les lui a montrés pour
qu’il voit qu’il se trompe.
J’ai oublié de dire que nous avons quelque fois pratiqué le naturisme, et que nous ne
sommes pas le moins du mode pudique. Mais les paroles de ma femme m’ont rassuré, car
cela voulait dire qu’il n’avait jamais vu ses seins… Il n’y avait donc pas d’histoire
de sexe entre eux…. OUFFFFFFFFFFFFFF
Ainsi rassuré, je fis semblant d’arriver à ce moment-là, en essayant d’être assez
bruyant de loin, pour dire : A TABLE tout le monde…
Une fois redescendu, notre diner se passa de façon extraordinaire, nous avons beaucoup
ri, beaucoup parlé et débattu, pour finir la soirée enchanté de ce moment passé
ensemble. Il est maintenant l’heure pour nos amis de rentrer. Nous les raccompagnons,
et alors que leur voiture s’éloigne sur le chemin, je commence à parler a Julie…
Moi : « alors, tu t’es bien amusée ? »
Julie : « Ah oui, super soirée… Linda et très sympa… Et Antoine, je l’adore ! »
M : « oui, j’ai cru voir ça, c’est rare que tu laisses un homme te mettre la main au
cul sans le gifler… »
Julie devient à ce moment précis aussi blanche qu’un linge…
Julie : « de quoi tu parles, n’importe quoi »
M : « Je t’ai vu quand je faisais visiter l’étage a Linda, tu cherchais un DVD et
Antoine te peloter le cul sans se soucier de moi ni de sa femme !!! »
J : « Non mais c’est rien, tu as du mal voir avec la distance… »
M : « a lui par contre, tes seins il a du bien les voir à 1m de distance !!! »
Là, j’ai l’impression qu’elle défaille… L’alcool, la fatigue, la honte et mon regard
noir la font vaciller… J’ai l’avantage de la situation, et je compte bien en profiter
!
J : « je….. Je ne vois pas du tout ce que tu veux dire…. »
M : « je t’es vue lui montrer tes seins dans la chambre, juste avant que je vous
appelle pour manger »
Elle blanchie de minutes en minutes, et là, elle commence à m’expliquer :
J : « non, non, écoute, je vais t’expliquer, les seins je les lui montrais car après
avoir vu la photo sur le mur de la chambre il me soutenait que je les avais fait
refaire, que ce n’était pas mes vrais seins, mais je te jure qu’il ne les a pas
touchés ni rien. Il n’y a absolument rien entre nous je te le jure… »
M : « Alors explique moi pourquoi il te pelotait les fesses le temps que je fasse
visiter a Linda la maison ? »
J : « je te l’ai dit, il n’y a rien entre nous, ça c’est juste un petit jeu comme ça
mais ça n’ira pas plus loin. Il m’a déjà fait des avances, un nombre incalculable de
fois, mais je l’ai toujours envoyé sur les roses. Il est très gentil, mais il ne
cherche que ça, que du sexe. Sa femme n’est au courant de rien, mais c’est un
queutard, et il me raconte sans arrêt toutes ses frasques dans l’espoir que je lui
succombe, mais ça n’arrivera jamais, car il ne m’attire pas du tout. C’est juste un
ami. Je te demande de me croire… Je lui ai souvent dit d’arrêter de me peloter les
fesses, mais maintenant je m’en amuse car ça le fait marner… Promis mon amour il n’y a
rien de plus. De toute façon, si jamais il m’intéressait, je te l’aurai dit, tu le
sais bien que je suis honnête et droite !!! Tu le sais que tu peux avoir confiance en
moi ? Non ? Réponds-moi mon chéri…. »
Elle est paniquée que je ne la croie pas, elle est proche des larmes, et tremble de
tout son corps !
Moi : « ah bon, tu me le jure ? Il ne s’est jamais rien passé ? Bon, je te crois, mais
pour les mains sur le cul, excuses moi, mais tu aurais pu m’en parler… Si tu ne l’a
pas fait, c’est parce que ça t’émoustille bien un peu et que tu veux le garder pour
toi petite salope… Ca ne te suffit pas que je sois un mari compréhensif envers tes
envies, tu dois faire des choses dans mon dos ! »
J : « Mon chérie, je te jure que c’était juste un petit jeu pour le faire tourner en
bourrique, rien de plus, je sais bien que je peux tout te dire, mais pour moi, cette
histoire est insignifiante, je te le jure !!! »
M : « va te falloir être très persuasive….. »
J : « Comment ? »
M : « commence par rentré, vu que tu joues les petites putes au travail, je vais te
montrer ce que c’est d’être une salope ! »
Sans aucune protestation, Julie rentre, je la suis. Une fois à l’intérieur, je
m’assois sur le grand fauteuil du salon, et je lui dis :
M : « Vient, met toi a genou devant moi et suce moi salope !!! »
Julie se positionne tel que je lui ai ordonné, dégrafe mon pantalon, baisse mon boxer
et sort mon sexe déjà dressé par l’excitation de la situation. Car il faut savoir une
chose, c’est la première fois pour moi que je parle comme ça a ma femme… ….
M : « allez, suces moi bien à fond, jusque dans ta gorge de chienne en chaleur…. »
Elle met tout ce qu’elle a dans cette magistrale pipe, me suçant jusqu’aux couilles.
Je suis tellement excité que je lui att la tête et commence à lui baiser la bouche
a toute vitesse, tapant de toute es force ma bite au fond de sa gorge. Cette dernière
émet des bruits, des grognements, et peine à retrouver son souffle…. C’est dans ce
mouvement que je lui gicle tout mon sperme dans la gorge en lui tenant appuyé la tête
de façon à ce que ses lèvres épousent mes couilles, ma bite plantée profondément dans
sa bouche… Au bout de quelques secondes, des soubresauts de ma petite pute m’indique
qu’elle manque d’air, et je lui retire la bouche de sur ma queue…
Elle est rouge, d’effort peut être, de honte sans doute, mais aussi d’excitation, et
je le vois bien dans ses yeux. La violence de notre rapport lui a plu, et c’est une
facette de sa personnalité que je ne connaissais pas trop.
Moi : « Très bien, je vois que tu sais sucer comme une pute, maintenant, tu vas voir
que je n’en ai pas fini avec toi !!! Demain, tu seras pas la petite chatte la plus
désolé, mais tu seras à coup sur la plus défoncée !!!! »
Sur ce, je lui enlève la robe, lui arrache le string en lui laissant ses bas et ses
talons, je la retourne et l’oblige à se mettre à 4 pattes sur la moquette. Ma bite a
repris toute sa vigueur, et d’un mouvement, je m’introduis en elle. Qu’elle est
mouillée !!! C’est la première fois que je la vois dans cet état !
Moi : « mais tu mouilles comme une truie salope ! Ça te fait de l’effet de te faire
baiser comme une vraie pute ! »
Julie : « oui, vas-y, baises moi ! BAISES MOI !!! Défonces moi la chatte !!! »
Je ne reconnais pas ma femme, elle si gentille, timide, calme, elle est devenue, là,
devant moi, une vraie salope, une goulue du cul !!!
Je la laboure, en la tenant par les hanches et en envoyant de grand coup de reins pour
propulser loin dans sa chatte ma bite redevenue en béton !!! J’en profite, au passage,
pour lui administrer une grande fessée, chose qu’elle déteste d’habitude, mais qui, on
dirait, ne lui déplait plus autant :
Moi : « tient, salope, pour te punir de fantasmer sur l’autre gland ! »
Julie : « Oui chérie, punie moi…. Argh…. Vas-y punie moi, claque moi plus fort mon cul
de salope !!! »
J’hallucine de plus en plus, mais comment est ma femme ???? Je suis en train de la
redécouvrir, comme si c’était la première fois que je la baisais…
Julie : « oui vas-y, baises moi, baises moi, vas-y, j’aime ça être ta chienne, oui,
claque moi les fesses, je ne mérite que ça, je suis une salope !!!!!!! »
Elle crie ces obscénités comme si sa vie en dépendait, je suis complètement abasourdi,
mais extrêmement excité par la situation. Je l’att par les cheveux, lui tire
violement la tête vers moi, et après lui avoir roulé une pelle de films pornos,
langues dehors et bien baveuse, je lui insère deux doigts dans la bouche :
M : « Suces moi bien les doigts salope, car pour te punir d’avoir été une garce, je
vais te dépuceler le cul ce soir, ça t’apprendra à faire la salope au boulot, la pute
a 2 balles… »
Et là, je m’attendais quand même a un refus car elle a toujours été réticente a la
sodomie, et n’a jamais acceptée autre chose qu’un doigt dans l’anus… Et bien voici sa
réponse :
Julie : (en suçant comme une acharnée mes doigts, et alors que je la tient toujours
par les cheveux en arrière et que je lui défonce la chatte) : « Oui vas-y , casses moi
mon petit cul de chienne, je mérites que ça je suis une vraie salope… Vas-y, casses le
moi bien !!!!!!!! »
Lâchant sa crinière, je lui insère alors délicatement un doigt bien humecté dans le
cul, puis un deuxième, toujours délicatement, car mon but n’est pas non plus de lui
faire mal. Grand mal m’en a pris :
Julie : « vas-y, arrête avec tes doigts, mets y moi ta bite d’un grand coup, je suis
une salope, traites moi comme je le mérites ! TA FEMME EST UNE GROSSE CHIENNE EN
CHALEUR ! Baises moi le cul ! Petes le moi à coup de bite ! »
J’ai la tête qui en tourne… Je croyais maitriser une relation de domination, mais en
fait, c’est elle qui maitrise le jeu !
Je lui insère donc (avec douceur tout de même) mon sexe dans l’anus, et je vois que
tout le long de l’introduction, malgré qu’elle fronce les yeux et serre fort les
poings, elle me crie : « vas-y bébé, pète moi le cul comme à la dernière des trainées
!!! »
Il n’y a pas à dire, elle se donne à fond !!! Une fois que je sens son anus se libérer
un peu, je commence des vas et vient lents et doux, et qui, chemin faisant, devienne
rapides et forts. Je vois mon épouse qui, de la douleur, commence à passer
sérieusement au plaisir. Elle se tortille, et tape ses fesses violement contre moi
pour rendre la sodomie plus violente. Et elle continue de hurler : « vas-y, je suis ta
chienne, baises moi fort le cul, tu me défonces bien là, oui !!!! »
D’une main, je la vois se branler le clito comme jamais elle ne l’avait fait, elle a
les yeux fermés et la langue légèrement sortie, elle est complétement partie et
n’arrête pas d’avoir des orgasmes.
Malgré la pipe à laquelle j’ai eu droit, je commence à ressentir la jouissance
arriver. Elle aussi a senti mon sexe tressauté, car d’un coup elle se retire, se met à
genou et me cri (me hurle même) :
J : « joui moi sur mon visage de salope, je mérite que ça, traite moi comme une pute
mon chérie ! »
Au lieu de me calmer, ses paroles décuple ma jouissance, et, en me levant pour être
debout devant elle, j’att mon sexe, le branle énergiquement et joui une quantité
phénoménale de sperme sur son visage… Plusieurs jets épais et chauds se déversent sur
sa bouche, son front, son menton, et coule sur son cou et ses seins… Elle m’att
alors le sexe et me le nettoie à grand coup de langue. Une fois celui-ci bien propre,
et toujours en me fixant dans les yeux, elle ramène tout le sperme qu’elle a sur le
visage dans sa bouche, et avales à chaque coup son butin… Je n’en crois pas mes yeux.
Mon cœur bat si fort que j’ai l’impression qu’il va sortir de mon torse, mes tempes
tapent aussi extrêmement fort, et j’ai la tête qui tourne, si bien que je me laisse
tomber dans le fauteuil pour éviter de me casser la gueule par terre…
Je suis éreinté, comme jamais après une relation sexuelle, même si j’ai des fois
enchainé plus de fois que là, mais jamais ça n’a été aussi intense !!!
Mon épouse vient alors contre moi dans le fauteuil et je la prend dans mes bras, en
lui déposant un doux baiser sur le front… Des larmes coulent de ses yeux, et alors que
je m’inquiète de la raison, en craignant que ce rapport un peu violent ne l’ai
vraiment choquée, elle me dit que non, que c’était la première fois de sa vie qu’elle
avait ressenti ça, et qu’elle était vraiment heureuse de m’avoir pour mari… Je peux
vous dire que j’étais pas peu fier à ce moment-là, de ce compliment. Nous nous somme
endormis comme des biens heureux là, sur le fauteuil.
Malgré toutes nos aventures sexuelle, je dois dire que ce soir-là restera à jamais
comme le moment le plus intense de ma vie, et que même si depuis, nous avons continué
à quelques reprise ce genre de rapports dominant/dominé, jamais ça n’a eu la même
saveur que ce soir-là, même si c’est à chaque fois merveilleux.
Voilà, mon histoire, certes longue, et finie. J’ai quelques autres anecdotes à vous
raconter, peut-être plus tard, sur notre voyage de noce, l’infidélité de ma femme. Je
verrai si cette histoire vous a plu, et alors, le cas échéant, je vous ferai partager
ces autres moments forts de notre vie !

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