Accroc Dans Mon Couple

Je ne suis pas très fière de ce qui m’est arrivé,
mais à postériori, je ne regrette rien ; c’est une expérience que je n’oublierai
jamais.
Cela s’est passé un samedi de Février 1979; mon mari était en déplacement et nos
s chez leurs grands-parents. Avec une dizaine d’amis externes, nous décidâmes
d’aller au restaurant. Le repas chinois se déroula dans une ambiance joyeuse favorisée
par les verres de saké que les serveurs remplissaient dès que nous les vidions. Les
garçons, auxquels on avait donné des verres laissant apparaitre des femmes nues
lorsqu’ils étaient vides, firent des réflexions plus ou moins graveleuses, cherchant
des ressemblances entre ces femmes et leurs convives féminins de ce dîner. Henri et
Edouard me citèrent abondamment en regardant les fonds de verre des autres garçons. A
la fin du repas, Henri proposa de continuer la soirée en boite ; nous fûmes quatre à
accepter, un couple, Edouard et moi, les autres prétextant devoir se lever tôt le
lendemain à cause de leurs s. Moi, je pouvais faire la grasse matinée ! En me
levant, j’eus un peu de mal à garder mon équilibre et à marcher droit vers la sortie :
sans m’en rendre compte, j’avais du boire un peu trop de saké. Nous montâmes avec
Edouard dans la voiture d’Henri, alors le couple prenait sa propre voiture. Il nous
fallut moins d’un quart d’heure pour rejoindre la boite de nuit située sur la route de
Cholet. La fraicheur de l’air me dégrisa un peu, et, c’est d’une démarche assurée que
je pénétrai à l’intérieur. Pendant l’heure qui suivit, Henri et Edouard me firent
danser à tour de rôle ; je m’amusai follement, alternant rocks et slows, Henri et
Edouard. Le couple vint nous dire au revoir. Nous restâmes tous trois, au milieu de la
foule du samedi. Nous eûmes un petit coup de mou et allâmes nous installer sur une
banquette au fond de la salle afin de nous désaltérer avec des vodkas orange.

Je
remarquai bien que Henri et Edouard, qui s’étaient assis de chaque côté de moi, me
serraient d’un peu près, leurs mains frôlant mes cuisses à chacun de leurs mouvements,
mais je n’en fis pas cas. Un nouveau slow débuta et Edouard m’invita ; je me rendis
compte tout de suite que quelque chose avait changé : il me serrait de beaucoup plus
près, ses mains descendaient beaucoup plus bas sur mes reins et sa bouche venait
effleurer mon cou. Je fis comme si je ne me rendais compte de rien. Au slow suivant,
Henri prit le relais, et se comporta comme Edouard ; je dus me rendre à l’évidence que
leur intentions étaient peut être plus qu’amicales. Mais, quelque chose en moi, sans
doute favorisé par le saké et la vodka, fit que je me laissai faire, curieuse de
savoir jusqu’où ils allaient aller. Toute la série de slows, ils se relayèrent : leurs
mains se firent de plus en plus précises, n’hésitant pas à faire glisser la fermeture
éclair de ma jupe et à glisser une main dans la fente ainsi créée, leurs bouches
mordillèrent mon cou et cherchèrent ma bouche, leurs ventres se collèrent au mien, me
faisant sentir leur désir. Je me laissai faire. Lorsque la série de slows s’arrêta,
nous rejoignîmes sur la banquette Henri qui nous attendait. Sans avoir semblé se
concerter, ils devinrent plus entreprenants ; je tentai de résister à leurs mains qui
remontaient le long de mes cuisses, mais lorsqu’Henri, une main sur ma nuque pour me
bloquer la tête, colla sa bouche à la mienne, mes défenses tombèrent brutalement : ma
bouche s’ouvrit pour accueillir sa langue, mes mains ne luttèrent plus, mon corps se
détendit, mes cuisses s’écartèrent. Je répondis au baiser d’Henri, tandis que leurs
mains remontaient le long de mes cuisses et se glissaient sous mon slip et qu’Edouard,
ayant défait un à un les boutons de mon chemisier, plongeait son visage entre mes
seins.
Je ne pus retenir un gémissement lorsqu’un doigt attint mon clitoris. Un reste
de lucidité me fit penser à la folie de la situation, mais fut bien vite étouffé par
la bouche d’Edouard qui prenait la suite d’Henri, alors que celui-ci, sortant un de
mes seins de mon soutien-gorge, se mettait à me téter. Les minutes suivantes virent
mon soutien-gorge être dégrafé et enlevé et mon slip être descendu le long de mes
cuisses et de mes jambes jusqu’à mes pieds. Je me retrouvai chemisier entièrement
ouvert et jupe relevée jusqu’à la taille. Il n’y avait plus d’obstacle à leurs yeux
leurs mains et leurs bouches. Ils me caressèrent, m’embrassèrent me pénétrèrent de
leurs doigts jusqu’à me faire jouir brutalement, mes gémissements étouffés par la
bouche d’Edouard collée à la mienne. Ce fut pour eux le signal : ils se levèrent et,
me prenant par les mains, m’entrainèrent à l’extérieur, abandonnant sur place mon slip
et mon soutien-gorge. Edouard monta à l’arrière de la voiture avec moi, tandis
qu’Henri prenait le volant. Il ouvrit son pantalon, baissa son slip, laissant
apparaitre son sexe bandé, puis, sans plus attendre, m’attrapant par les hanches, il
m’empala dos contre lui. J’en eus le souffle coupé : je ne m’attendais pas à ça. Son
sexe m’emplit sans difficulté, tant l’orgasme que j’avais eu quelques instants avant
avait préparé mon ventre. Il me retira mon chemisier et fit passer ma jupe par-dessus
ma tête. Ma situation me parut d’un érotisme phénoménal ! Je me retrouvai nue, appuyée
sur le dossier du siège avant, empalée sur le sexe d’Edouard. C’était la première fois
qu’un autre sexe que celui de mon mari me pénétrait. Je n’eus pas le temps de
culpabiliser car le plaisir monta dans mon ventre ; je me mis à me trémousser d’avant
en arrière et de droite à gauche. Edouard malaxait mes seins, Henri, de sa main
droite, tentait de toucher mes seins et mes cuisses.
Il s’arrêta bientôt sur un
parking et vint nous rejoindre à l’arrière. Je me livrai totalement à leurs désirs ;
Henri m’embrassa avec ardeur tandis que ses mains vagabondaient sur mes seins et mon
ventre alors que le sexe d’Edouard au fond de moi me faisait haleter de plaisir.
Edouard jouit en moi à longues giclées chaudes, Henri prit la suite ; m’arrachant du
sexe d’Edouard, il m’allongea la tête sur les cuisses d’Edouard et, se glissant
aisément dans mon vagin d’où s’écoulait abondamment du sperme, il me laboura violement
tandis qu’Edouard, saisissant ma tête à pleines mains, m’entrait son sexe luisant de
jouissance dans la bouche. Pas une parcelle de ma peau n’échappa à leurs explorations.
Le résultat de ce traitement fut dingue : je jouis sans interruption pendant plusieurs
minutes jusqu’à ce qu’Henri jouit à son tour : un violent orgasme me secoua et me
laissa inconsciente. Je me retrouvai allongée sur la banquette arrière; Henri avait
repris le volant et Edouard avait repris ses explorations, investissant sans vergogne
mon cul avec ses doigts. Moi qui pensais en avoir terminé, je dus me rendre à
l’évidence qu’Henri et Edouard n’étaient pas du même avis. Les doigts d’Edouard
glissaient sans difficulté, tant ils étaient lubrifiés de nos plaisirs. De mes reins
montait un désir nouveau ; moi non plus, je n’étais pas rassasiée. Nous nous
arrêtâmes bientôt : Edouard abandonna mon anus et me fit sortir. Les deux garçons
m’entrainèrent nue vers l’entrée d’un petit immeuble résidentiel, Edouard me tenant
par le cul, Henri me pelotant sans vergogne. Nous grimpâmes ainsi trois étages et
Edouard nous fit entrer dans ce qu’il me dit être son appartement. C’était fou! Je me
comportais comme une pute ! Heureusement qu’il était tard car n’importe qui aurait pu
me voir nue entre ces deux garçons.
A peine entrés, Henri se déshabilla et vint se coller contre moi, toujours fouillée
par les doigts d’Edouard.
Il m’entraina avec lui, faisant sortir Edouard de mon cul,
et nous nous écroulâmes sur le lit, moi sur lui. Il fit entrer son sexe dans mon
ventre, et, me tenant fermement par les hanches, me fit aller et venir sur lui. Mon
ventre s’enflamma et je me mis moi-même à remuer du bassin. C’est alors que je sentis
Edouard dans mon dos appuyer son sexe à l’entrée de mon anus ; Henri stoppa ses
mouvements, me bloquant fermement de ses mains, tandis que la verge d’Edouard forçait
doucement mon anus. Ces deux-là n’en étaient certainement pas à leur coup d’essai !
Ils étaient trop synchro ! Une fois le gland passé, Edouard n’eut plus aucun mal pour
enfoncer le reste de son sexe dans mon cul. C’était donc ça, un sandwich ! Je n’eus
pas le temps d’y réfléchir plus longtemps, car les deux garçons, se mirent à me
pilonner en rythme ; le plaisir explosa dans mon ventre et dans mon cul. Je ne pus me
retenir d’exprimer bruyamment mon désir : tout l’immeuble dut être au courant de nos
ébats. Bien calées en moi, les deux bites allaient et venaient, se frottant l’une
contre l’autre, entrainant orgasme sur orgasme. Ce fut divin ! Lorsqu’Henri jouit dans
mon ventre suivi de peu par Edouard bien au fond dans mon cul, le plaisir fut tel que
je perdis conscience.
Ils n’en avaient pas fini avec moi. Je fus sortie des vapes par le sexe d’Henri qui
forçait ma bouche ; les deux cochons m’utilisèrent encore plus d’une heure, prenant
plusieurs pellicules de leurs exploits, me faisant jouir comme jamais et me laissant
enfin épuisée à même le tapis.
En m’éveillant, je mis plusieurs secondes à comprendre où je me trouvais. Je me levai
pleine de courbatures et, laissant les deux garçons dormir sur le lit, je trouvai la
salle de bain : je me glissai dans la douche et laissai l’eau couler sur mon corps.
Lorsque je sortis de la salle de bain couverte d’une serviette, Edouard et Henri
étaient réveillés ; je lus dans leurs yeux que je n’en avais pas encore fini; ils ne
me laissèrent pas le temps de dire non. La serviette fut arrachée et je me retrouvai
écrasée entre leurs deux corps. Je sentis leurs sexes durcir sur mon ventre et contre
mes fesses. Edouard, qui était face à moi, me souleva et, me tenant par les cuisses me
fit descendre lentement, son sexe pénétrant le mien jusqu’au fond. Dans mon dos, Henri
prépara mon cul avec un puis deux puis trois doigts avant que je sentisse sa bite
s’introduire dans mon anus. Ils me baisèrent debout pendant de longues minutes ; je
jouis encore sous leurs assauts. Edouard se lâcha le premier, mais Henri me pilonna
encore trois quatre minutes avant d’éjaculer. Ils ne me laissèrent pas le temps de
repasser par la salle de bain ; Henri, me prenant par la main, m’entraina entièrement
nue, du sperme coulant à l’intérieur de mes cuisses. Nous sortîmes de l’appartement
d’Edouard, descendîmes les trois étages sans heureusement rencontrer quelqu’un,
sortîmes dehors et rejoignîmes sa voiture sous le regard incrédule mais ravi d’un
brave quinquagénaire promenant son chien.
Dans la voiture, je pus récupérer ma jupe et mon chemisier que j’enfilai tant bien que
mal. Henri me déposa à deux cents mètres de chez moi, me disant avant de partir qu’il
me ferait signe lorsqu’ils auraient fait développer les photos pour que je puisse les
voir. Je pensai à la personne qui allait les développer ; elle allait se rincer les
yeux. Je rejoignis notre immeuble, prenant garde de marcher à petits pas de peur que
mon ventre ne laisse encore s’écouler plus de sperme.
Nous ne reparlâmes de ce qui s’était passé que dix jours plus tard à l’hôpital. Henri
me demanda de le rejoindre dans la chambre de garde du service. Edouard s’y trouvait
avec une pochette contenant une cinquantaine de clichés de nos exploits. J’y
apparaissais en toute impudeur, pénétrée par l’un ou par l’autre. Tandis que je
regardai les photos, Edouard et Henri sortirent leurs sexes et me demandèrent de leur
faire une fellation : j’accédai à leur demande, les suçant alternativement. Je les fis
jouir au fond de ma bouche, avalant leur sperme afin de ne pas risquer d’en recevoir
sur mes vêtements.
Il n’y eut pas de suite à cette aventure, Henri et Edouard s’étant mis en chasse
d’autres proies.
Trente-deux ans après, j’en garde un souvenir trouble et double : honte de m’être
ainsi offerte à ces deux garçons, mais plaisir d’avoir connu une fois dans ma vie de
tels orgasmes lorsqu’ils me prenaient en sandwich. Mon mari n’en a jamais rien su et
n’en saura jamais rien.

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