Le Maître De Maison - 3
Jai relativement vite déchanté en me rendant compte que ca faisait vraiment mal de marcher avec deux énormes godes dans mes trous. Javais des crampes comme quand on fait du sport intensif sans sétirer par la suite.
Par contre, avec un peu de honte là, je me suis rendue compte que jétais trempée de mouille, et que celle-ci coulait le long de mes jambes, mais, comme me le fit remarquer Juju qui avait apparemment du également passer par là, je navais pas le droit de me nettoyer.
Dégoulinante, je suis donc allée rejoindre mon maître à heure dite.
Celui-ci, lorsque je suis entrée dans le bureau, madressa un sourire carnassier qui me fit flipper et encore plus mouiller si cela est possible.
Il me fit mettre à quatre pattes et menfila un collier autour du cou. Cest juste en tirant sur ce dernier quil me conduisit jusquà ce qui devait à la base être une cave mais qui avait été transformée en un donjon avec toute une série de machines sur lesquelles je lançais des yeux ébahis.
Il me conduisit tout dabord devant un petit bureau avant de me lâcher. Il alla alors chercher quelque chose dans un des tiroirs.
-Bon, ma pute, je texplique le topo. Le temps que tu resteras ici, tu seras pour moi un garage à bites. Or, pour linstant le garage peine à accueillir un vélo alors que je voudrais y faire entrer un 4X4. On va donc y remédier.
Tout dabord il me banda les yeux. Etonnement, on aurait pu penser que ca me rassurerait de ne pas voir tout ce quil faisait, mais en fait cétait pire car je ne savais pas à quoi mattendre et que mes appréhensions me démangeait.
Il me conduisit jusquà ce quil sarrête pour mattacher les mollets et les poignets au sol. De même, il attacha une chaine à mon collier quil attacha au sol. Je ne pouvais plus beaucoup bouger, et je me sentais étrangement chienne.
Je le sentais se mettre derrière moi comme un chien en rut qui veut copuler avec sa femelle.
Il se remit alors en position et, à ma grande honte, se mit effectivement à me limer comme une chienne en chaleur, à moitié avachie sur mon dos.
Je pleurais, et franchement je ne savais pas pourquoi, de honte ou de plaisir. Je haletais.
-Ha...ha-ha
ha
ha-ha-ha.
Je savais que je ne devais pas émettre de bruit mais il ne me dit rien donc jai continué car je ne pouvais pas men empêcher.
Il samusait avec ma mouille qui avait coulée à titiller mon trou du cul et à mettre deux doigts dedans. Vu le plaisir que je ressentais et le traitement de mon cul auparavant qui mempêchait davoir mal, je ne men souciais presque pas.
Tout à coup, alors que jétais au bord de la jouissance, il sarrêta et je me suis préparée à recevoir son foutre dans ma chatte. Mais il se retira dun coup et senfonça dun coup dans mon cul pour y jouir.
Je voulu me dégager mais jétais vraiment bien attachée, je ne pouvais pas me soustraire, alors que la douleur était énorme. Je nétais plus du tout (ou presque) excitée, mais javais mon cul complètement déchiré.
Il se retira avec un grognement de plaisir.
-Voilà pour le lubrifiant. On passe à la suite.
Jeus vraiment peur. Il ma littéralement niqué le cul pour le lubrifier ? Pour lui permettre de supporter beaucoup plus gros ?
Il me fit alors monter sur ce que je vais appeler la machine infernale.
Je navais plus envie de continuer mais cest dune main ferme quil me détacha et me conduisit plus loin. Cette fois, il me fit me relever et mattacha les mains de manière lâche au niveau de la poitrine. Seuls mes poignets étaient attachés et mes bras-coudes pendaient à côté de mes seins.
Il me fit alors écarter les jambes et immobilisa mes pieds dans une espèce détau.
En fait la seule chose que je pouvais encore faire était de plier-replier mes genoux, et de fait baisser-abaisser mon corps.
Il mobligea à tenir mes jambes les moins pliées que possible et, quand je me suis accomplie, actionna une machine juste entre mes jambes.
Au bout de quelques secondes, il mécarta le cul et la machine, qui se trouvait être un espèce de gode géant, senfonça dans mon trou du cul. Je criais de douleur car cétait encore plus gros que la bite de mon maître.
Il me retira le bandeau et je pu me voir dans le miroir qui me faisait face.
La partie enfoncer dans mon cul était la partie ayant le plus petit diamètre. Mes jambes étant tendues au maximum de mes capacités, il métait impossible de me dégager.
Et ce que je compris au bout de quelques instants, cétait très douloureux de rester dans cette position, donc on plie les genoux pour se soulager, enfonçant le gode plus profondément, et dilatant très fort le cul.
Cétait vraiment une machine infernale. En effet, le sperme de mon maître servait de lubrifiant. Par ailleurs, il encourageait le glissement de mon cul plus bas encore soulageant par la même occasion mes jambes faiblardes.
Par le miroir, je me voyais glisser de plus en plus, les muscles de mon cul se détendant au fur et à mesure que ceux de mes jambes lâchaient.
Je ne sais honnêtement pas combien de temps je suis restée sur cette machine, mais quand mon maître revient, javais mal partout.
Il me regarda tout dabord dun air satisfait, surtout vu la longueur de lenculage. Quand il actionna la machine pour labaisser, je me suis baissée en même temps. Quand se ne fut plus possible, le gode se retira de mon cul avec un bruit de succion.
Son sperme coula, et avec ses mains il le récupéra dans un bol, ainsi que le reste qui ne coulait pas.
Jai donc léché jusquà la dernière goutte ce sperme froid qui venait de me servir de lubrifiant et qui avait été conservé dans mon cul.
Je ne sais pas comment je suis retournée dans ma chambre, mais je me suis endormie directement.
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