Ep3 Des Hommes, Du Foot, Une Esclave.

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

EPISODE 3- Des hommes, du foot, une esclave.

Trois jours plus tard, comme prévu, me voici présente à mon cours d'éducation sexuelle. Cette fois-ci pas de fessé, je ne portais pas de culotte, d'ailleurs je portais uniquement une petite robe d'été à fleurs, fraiche et légère. Qu'importent mes vêtements, je dus tout quitter dès le hall d'entrée. C'est donc nue, assis parterre, que je récite mes leçons sur la fellation. Cinq minutes après, je passe à la pratique, les séances d'entrainement avec le gode ont payé, je suis plus à l'aise, plus sure, mais encore une fois pas assez efficace. Je reçois tout de même des félicitations:
- "C'est très bien ma petite Amandine, tu progresses! Encore un peu et tu seras une suceuse digne de ce nom. Pour aujourd'hui je te laisse continuer, fais- moi jouir!
- Voulez-vous jouir sur mes seins?
- Si tu ne te sens pas encore capable d'en avoir sur le visage ou dans la bouche, pour cette fois je te laisse choisir."
Je reprends son gland à pleine bouche avec gourmandise, tout heureuse de ses compliments. En une seconde il agrippe mes cheveux et tire en arrière, pliant douloureusement ma nuque:
- "je te laisse le choix et qu'est-ce qu'on dit pour ça?
- Mer... Merci Monsieur"
Aussitôt il réenfourne sa queue dans ma bouche, touchant le fond, me faisant tousser. Je ne dis rien, je l'ai méritée, mon manque de politesse élémentaire ma toujours attirée des ennuis. Je m'applique à ma tache, essayant quelques petites choses, comme par exemple, faire des va-et-vient avec la langue sortie en dessous tel un tapis rose d'accueil vers ma bouche, mouillée et bavant ma salive qui coule le long de ce bâton de chaire jusqu'à ses boules. Les crispations de ses mains sur ma tête ainsi que ses râles m'indiquent qu'il est temps pour moi de faire mon choix, ..., non, ça me fait peur, je sors sa bite à la dernière seconde et plaque le gland sur mon sein gauche.

Je tourne la tête comme pour fuir le sperme qui inonde ma délicate poitrine. Il en ramasse avec son doigt, me le tend et me dit "Aller, essaye, goute.". Je garde mes lèvres serrées et fais non de la tête, il n'insiste pas mais s'essuie le doigt sur ma joue. Je... Je reste pétrifiée, lui rigole de ma réaction mais finit par me tendre un mouchoir.
- "Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Je suis en déplacement toute la semaine prochaine donc pas de cour, mais je compte sur toi pour réviser. Et sa te laisse le temps aussi pour te préparer pour le week-end prochain. Je te vois souvent avec une mignonne petite brunette.
- Oui, Claire, ma meilleure amie.
- Mets la dans la confidence sur ce que nous faisons, elle te servira d'alibi pour être ici dimanche soir ainsi que la nuit.
- Bien Monsieur.
- Très bien, viens donc à 19h dimanche de la semaine prochaine, j'organise une soirée foot avec des amis, tu seras notre serveuse"

Dimanche 5 Juin 2011, tout était prêt, mon amie garante pour mes parents, facile à convaincre étant donné que son fait quelques années déjà que j'ai l'habitude d'aller passer des soirées pyjama chez Claire. 19H pile à l'heure, mon Maître ouvre et me fait rentrer, il m'explique que ses amis arriveront plus tard et qu'il va me servir à manger pour être opérationnel toute la soirée. Une fois avaler ses spaghettis carbonara, il m'emmène dans une chambre et me présente ma tenue de soirée, un soutif et un porte-jarretelle en dentelle noire avec des bas résille.
- "Tu as une demi-heure pour te préparer, tu porteras ça, tu te coiffes, te maquille et te rase totalement le minou.
- Il n'y a pas de culotte avec?
- Non et d'ailleurs tu ne chercheras pas à dissimuler quoique se soit, compris?
- Oui Monsieur.
- Une fois prête-tu attendras que je vienne te chercher.
- Oui Monsieur."
Je me prépare alors dans les moindres détails, d'abord rasage intégral, pas que j'en avais beaucoup mais je préfère ne pas le décevoir, je brosse bien mes cheveux, me maquille, un peu aguicheuse mais pas prostituée non plus, et enfin enfile ces fameux sous-vêtements.
Tournée vers le miroir, mon image m'excite et me donne chaud au ventre. J'entends la sonnerie, décharge d'adrénaline, je réalise alors que des inconnus vont me voir dans cette tenue! Une, deux sonneries, ils sont au moins deux, enfin des pas dans le couloir, Gérard ouvre la porte et me fait signe de venir et dit qu'il va me présenter. Arrivés au salon, surprise, ils sont quatre, l'un entre 40-42 ans je dirais, deux autres dans la cinquantaine, et le dernier plus vieux encore certainement vers les 65 ans.
- "Messieurs, voici Amandine, elle sera à notre service se soir. Va dans la cuisine et apporte nous le plateau sur la table.
- Oui Monsieur."
L'envie de cacher mes fesses et mon pubis est énorme mais je me force à rester naturelle. Quand je reviens et pose le plateau sur la table basse du salon, leurs mains profitent de ce que je sois à portée pour toucher mes jambes, mes hanches, mes fesses, l'un d'eux n'hésite pas à glisser un doigt entre mes lèvres et constate mon humidité. Les gestes cessent quand mon Maître les appelle:
- "bien, le match commence bientôt, il est temps de parier."
Sur le tableau blanc qui sert à mes cours sont inscrit les noms et les pronostiques, je n'ai pas bien suivi les prénoms de chacun tellement le débat fut animé sur ce match France-Ukraine, mais je pus voir que mon Maître parié 2-0 pour la France, les autres paris étaient tous diverses. Il me mit derrière le canapé à coté d'un gros fauteuil de bureau en cuir noir capitonné et me dit de me tenir debout ici, puis à ses invités:
- "pendant le match, si vous le désirez, vous pourrez-vous installer dans ce fauteuil et Amandine sera là pour vous sucer."
Surprise mais soumise j'acquiesce, mon Maître me frôle et la main sur mes reins me glisse à l'oreille "Ne me fait pas honte", je comprends pourquoi il me dit ça, ce soir je n'ai plus le choix. Le match débute, je ressers une tournée de boissons, une fois la partie bien lancée le plus "jeune" se lève, me contourne en me caressant la joue et viens s'assoir sur le fauteuil.
Il ne dit rien et continue à suivre le match, je me mets à genoux, ouvre son pantalon et extrait de son caleçon un sexe mou mais entièrement rasé. Je l'engouffre tel un petit gâteau, mais la rigidité vient vite et c'est un beau membre qui s'érige devant moi. Je le suce, le lèche, le branle, il arrive rapidement à terme mais là encore impossible de m'y résoudre et dirige sa décharge sur ma poitrine et mon cou. Je me relève et reste debout à ma place sans m'essuyer, mon Maître me fait des gros yeux en voyant le jus sur mes seins. La mi-temps arrive certains vont fumer dehors, d'autres vont aux wcs, l'un des hommes resté sur le canapé me fais signe de venir m'assoir sur ses genoux, une fois installée, ses mains ne tardent pas à fouiller mon entre jambes, allant même insérer un doigt dans ma chatte:
- "hum! Même bien mouillé tu es étroite, aussi étroite que l'esprit de ton père!
- Pardon?!!!
- Je te reconnais, tu es la fille de Gilles qui habite à côté, je suis un de ses collègues.
- Je vous en supplie de ne dire rien à mon père!
- Ne t'inquiète pas, Gérard nous à expliquer. Il n'a pas menti tu es vraiment bonne."
Sans attendre de réponse il me roule une pelle, que je lui rends bien évidemment. Je passe la mi-temps sur ses genoux bouche contre bouche en me faisant doigter copieusement par deux doigts très habiles, à la limite de la jouissance. Vint la reprise, tout le monde retrouve sa place, Franck, c'est son nom, me soulève de ses jambes par ma taille et m'entraine vers le fauteuil aux délices en me tirant par mon porte-jarretelle. Il m'assied dessus et me présente sa pine déjà bien raide, un petit regard coquin vers ses yeux peut je me mets au travail. Il att mes mains qu'il place sur ses hanches et revient prendre ma tête et se met à gérer le mouvement, je n'ai plus qu'à bien serrer mes lèvres sur sa chair et à jouer avec ma langue. Il me baise la bouche avec douceur et beaucoup de plaisir, puis je le sentis se raidir encore plus, je pousse sur mes mains pour me dégager quand une main, la main de mon Maître, posé à l'arrière de ma tête, m'en empèche.
Franck éjacule abondamment, tapissant mon palais jusqu'à ma gorge. Je ferme les yeux et n'ose plus bouger, je fais connaissance avec le gout, la chaleur, la texture, d'admettre que finalement je trouve pas ça mauvais. Mon Maître encore observateur, je finis en beauté et avale tout, je vais même nettoyer la queue suintante de ses dernières gouttes. Le geste approbateur du Maître m'indique sa fierté de m'avoir vue surpassé ma peur. Je repars juste après pour une nouvelle tournée de boissons. Le match se finit enfin, moi le foot..., au sifflet final, André, le plus vieux se lève les bras en l'air, il a gagné son pari en annonçant un match nul de 1-1. Mon Maître se lève aussi:
- "Félicitation André, c'est toi qui remportes donc la nuit avec Amandine!"
Je déglutis difficilement, alors c'était ça le but de leurs paris! De tous les hommes présents c'est vraiment celui qui m'attire le moins, avec son gros ventre, ses rides et ses cheveux blancs. Gérard me met à l'écart:
- "je compte sur toi pour être une belle récompense pour lui, c'est un homme très respecté dans notre groupe. Va dans la chambre où tu t'es changé, je vais lui parler un peu et il te rejoindra.
- Bien Monsieur."
J'arrive dans la chambre, mes jambes tremblent, je vois déjà une boîte de capote sur la table de chevet. Quelques minutes d'attente fébrile et le voila qui rentre, malgré mon réel manque d'envie pour lui, je m'approche avec un grand sourire. Il m'att le menton:
- "Ton Maître est trop gentil avec toi, mes soumises sont bien mieux éduquées. Premièrement, tu ne me regarde jamais, tu baisse les yeux. Deuxièmement, pas le droit de parler, je ne veux pas t'entendre sauf quand je le décide. Maintenant à genoux, suce-moi bien profondément!"
Je me mets en position, reçoit sa bite en bouche et commence une pipe la plus profonde que je peux, mais je ne peux pas beaucoup. Après quelques secondes il s'exclame "Merde, faut tout faire soi-même!", il entortille ses doigts dans mes cheveux, serre ma tête dans ses mains et me pénètre violemment la bouche, il entame des va-et-vient rapides, j'essaie de le repousser, je le sens rentrer douloureusement jusque dans ma gorge et il arriva l'inévitable, je vomis. Lui en rigole et accélère encore, je revomis encore dans un gémissement d'agonie. Il me traite de "petite dégueulasse" et me jette la tête en arrière, je tombe sur le dos parterre et roule sur le côté en me recroquevillant, je me mets à pleurer, je n'ai pas l'habitude d'autant de violence et de froideur, j'en pleure aussi en pensant à ses "soumises" et ce qu'elles doivent subir. Pendant ce temps il s’est déshabillé et a enfilé une capote, il s'allonge sur le lit et me siffle pour m'appeler, je me relève, le visage baissé, il me fait signe de venir le chevaucher. Je monte au-dessus de lui, le regard détourné pour ne pas le voir, mes cuisses de chaque côté de son gros ventre, je descend m'empaler sur sa verge, lui me tire sur les bras justes sous les épaules pour bien que j'aille tout au fond. Instinctivement je bouge mes hanches, sa lui plaît. Il enlève mon soutif par le haut sans le dégrafer et me malaxe les seins avec force. Le coït dure un bon moment, en subissant ses claques sur mes fesses et mes seins, ses griffures, puis il me demande "Tu veux te faire baiser comme une sale chienne?", bien pour lui faire plaisir je réponds oui. Il me pousse sur le côté, m'installe en levrette, la tête contre le matelas et mes mains en arrière pour écarter mes chaires intimes. Il plante ses doigts sur mes fesses comme si c'était deux grosses brioches, me plante aussi son sexe tout au fond de ma chatte, mouillé il faut bien l'admettre, il me dit alors:
- "Gérard m'a dit que tu s encore vierge du cul, et comme il veut s'en occuper personnellement je n'y toucherais pas, mais j'ai droit de tâter le terrain pour lui."
Il commence à passer son doigt sur ma rondelle, je suis hyper serrée et très nerveuse à cet endroit, il s'en aperçoit en poussant son index dessus, il ne passe pas et je crie immédiatement de douleur. Un petit "wouah" d’étonnement de sa part et il rajoute "Je sens que ça va me plaire!". Il suce alors son majeur, et me le plaque sur mon trou inviolable, il pousse dessus en tournant jusqu'à enfin me perforer et continue sa percée au maximum de son doigt. Je hurle, griffent les oreillers, mon ventre se contracte à chaque respiration, c'est vraiment une sensation horrible pour moi. Il profite bien de ma souffrance, il aime ça le salaud! Enfin il se retire de mon rectum, et me reprend le minou, sa main droite glisse depuis mon cul le long ma colonne vertébrale légèrement apparente, il fait même la réflexion "pfff tu es trop maigre pour moi.", sa main arrive sur mon cou, il passe ses doigts sur ma gorge, il me remonte contre lui, sa main gauche sur mon ventre me plaque le dos contre son corps obèse, sa tête au-dessus de la mienne comme pour me dominer encore plus, sa main droite encercle ma gorge. Pendant qu'il me besogne ardemment avec sa bite, sa main me serre de plus en plus le cou, coupant mes gémissements, restreignant ma respiration. Mes mains agrippent la sienne et tente de défaire son emprise, mais je me sens déjà si faible, ma tête tourne et très vite mes bras tombent le long du corps. Je me sens sombrer mais il gère très bien l'étranglement et me relâche juste avant. Me baiser comme ça l'a encore plus excité, il sort de moi, retire la capote qu'il insère à moitié dans mon anus, je serre les dents à ce moment incapable d'émettre le moindre son encore. Il me retourne sur le dos, grimpe sur ma poitrine, me demande d'ouvrir la bouche, ce que je fais presque heureuse que ça se termine. Deux grosses giclées dans la bouche et une sur ma joue et mes cheveux, son sperme à un gout très fort, au moment d'avaler il me regarde et me fait "tu es bien qu'une petite bouffeuse de sperme". Il me pousse au bord du lit et m'en fait tomber, la chute est dure mais rien de casser, il se met dans les draps et me lance un "bonne nuit" avant d'éteindre la lumière.

7h du matin, Gérard me réveille après une mauvaise nuit à dormir parterre, il me retire même le préservatif encore resté dans mon cul et qui dépasse comme une petite queue blanche, André est déjà parti, je prends une douche, un petit déj, remet les habille de la veille, et part au lycée. Toute la journée je n'ai pas cessé de repenser à la veille, ce rapport, cette violence, cette humiliation ... et bizarrement j'ai envie de recommencer! Non ce qui me travaille le plus c'est: "Pourquoi?"

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