A Votre Service Monsieur !!!

Dans le cadre de ma profession, je suis envoyé par mon patron en stage chez l’un de nos fournisseurs pour découvrir la nouvelle gamme et apprendre les techniques de pose. L’entreprise est sur Bordeaux. Je pars dois partir pour une semaine. Je recherche sur le net un coin tranquille et pittoresque. Je n’aime pas trop ces hôtels que l’on trouve partout, en général en bord de route ou en centre-ville. Je préfère une pension ou un gîte rural beaucoup plus calme et en général dans un cadre original. Je réserve dans une petite pension en périphérie de Bordeaux. Arrivé le matin même, je n’ai pas eu le temps de déposer mes affaires et c’est un employé de l’usine qui me dépose le soir à mon hôtel.
C’est une grande bâtisse style ancien relais de poste. Je récupère mes clefs auprès de la patronne. Un fois dans ma chambre, je m’installe avant de prendre une douche. Il est vrai que je n’ai pas choisi un endroit qui regorge de distractions pour les longues soirées qui m’attendent cette semaine et sans voiture mon rayon d’action est vite limité. Une petite visite du village avant de rentrer pour le dîner. Le personnel est composé de Martine la patronne, à l’accueil, Jean-Claude le patron, aux fourneaux, Frédéric l’apprenti cuistot, et Stéphane le serveur. Après le repas du soir, je n’ai pas tardé à me coucher avec le voyage du matin, la journée de travail, j’étais claqué.
Mon histoire a commencé le mercredi soir au dîner. Le serveur en amenant mon entrée, dépose en même temps que mon assiette un petit papier plié en quatre. Discrètement je le déplie et je peux y lire
« Je fini à 23h !!! ». Trois points d’exclamations.
Tout de suite surpris, je le relis une deuxième fois et je regarde qui me fixe du regard avec l’angoisse de ma réaction. Mon esprit se brouille un peu, j’essaie d’analyser et de prendre du recul pour mieux comprendre. Je le regarde de nouveau, vu le rouge aux joues qu’il arbore, les gestes nerveux dû certainement à l’excitation et l’angoisse qui le trahissent, je pense qu’il a l’air sincère et je sors mon stylo pour lui répondre.


« Chambre 3 ! »
Il débarrasse mon assiette et reprend le petit papier prestement. Discrètement il déplie le papier et le remet rapidement dans sa poche. Tout le long du repas, on croise nos regards, il me frôle souvent en me servant ou desservant les plats. Je prends le temps de le détailler. Il est assez grand pas très épais, pas même athlétique, c’est le moins qu’on puisse dire. Brun, les cheveux courts, le teint halé naturellement, mais un petit cul bien pommé et bien ferme. Pour une fois je prolonge mon repas par une assiette de fromage, un deuxième dessert, un café puis un deuxième. Ce jeu de regards et de séduction est très excitant. Durant le repas, je me suis posé la question.
« Pourquoi moi et comment sait-il que je suis bi ? »
Surtout que je n’ai laissé aucun indice à ce sujet-là.
Avant de remonter je lui demande un papier et je lui laisse ce petit mot.
« Ma porte sera ouverte, rentre directement. »
L’avantage de ces hôtels, c’est que les portes ferment à clef et non avec des cartes magnétiques. Pas besoin de se lever pour ouvrir, il suffit juste de ne pas fermer à clef.
Je remonte dans ma chambre un peu troublé tout de même. Une douche, des capotes sur la table de nuit (on ne sait jamais) et je m’allonge nu sur mon lit faisant le décompte des minutes en fantasmant, ou me caressant lentement. 23h vient de passer, 23h15, 23h30. Je me dis c’est une connerie et franchement un peu déçu.
Il n’est pas loin de minuit, je me suis glissé dans mes draps complètement frustré quand j’entends la porte de ma chambre s’ouvrir doucement. Mon petit serveur rentre discrètement, enfin le voilà ! Il m’explique que deux clients ont tardé et le temps de préparer la salle pour le petit déjeuner du lendemain a retardé notre rendez-vous.
Il s’approche du lit et je lui fais une place près de moi. Il se déshabille pour venir me rejoindre. Il est fluet, complètement imberbe au niveau du torse mais une toison bien fourni d’où jaillit son sexe, les jambes tout comme les fesses quasiment exemptes de tout poil.
Sa queue qui visiblement entame une belle érection est d’un brun profond avec un long prépuce et des bourses bien rondes. Il se relève et se dirige vers la salle de bain pour une petite toilette intime. Il revient le dard bien droit cette fois-ci d’où pointe tout juste son gland. Il s’agenouille sur le lit et sans plus attendre je suce cette belle tige. Je tire sur le prépuce pour libérer son gland d’une bonne taille, légèrement pointu, d’un rose foncé presque orangé. Il est comme je les aime, je le tète avec passion. Lui de son côté a tiré les draps pour me branler avec douceur. On finit automatiquement en 69, se pompant, se bouffant les couilles, sans oublier le cul. Sa langue fouille avec dextérité mon petit trou. Comme à l’habitude un traitement comme celui-ci me met en bonne disposition. J’att une capote que je déroule sur sa bite et je me mets en levrette lui offrant mon cul. Il ouvre mes globes et vient poser son gland juste à l’entrée. Doucement, dans un mouvement de recul, je viens m’empaler sur sa tige. Je commence mes va et vient lentement pour mieux apprécier cette pine qui me remplit de plaisir. Stéphane prend le relais dans une douceur câline, me caressant les fesses ou les pétrissant selon son excitation. J’étouffe mes longs soupires de bonheur dans l’oreiller pour ne pas ameuter l’hôtel. Ma queue bât le tempo au rythme de ses mouvements de bassin. Je l’arrête un moment pour changer de position. Sur le dos les jambes remontées très haut je lui offre à nouveaux ma « chatte ». Dans cette posture je peux mieux voir ce pieu me pilonner avec délectation. Stéphane n’oublie pas non plus ma queue, soit il me branle, soit il se penche pour me téter le gland. Je sens son souffle s’accélérer ainsi que ses coups de boutoirs. Je me branle avec frénésie pour l’accompagner dans l’explosion toute proche. Je pars le premier retenant mon foutre pour ne pas souiller les draps, étouffant mes râles les lèvres pincées. Il ne tarde pas à me suivre. Son corps est pris de spasmes.
Les mains crispées sur mes cuisses il se libère et pour couronner le tout il m’embrasse à pleine bouche. Il se retire, épuisé, roule sur le côté le souffle court.
Le temps qu’il reprenne son souffle je file me laver la main, le ventre et le sexe. Il vient me rejoindre pour en faire de même. On croise nos regards dans la glace sans un mot. De retour sur le lit je ne peux m’empêcher de lui demander pourquoi moi et comment a-t-il su ?
« Je n’en savais rien. » Me dit-il.
« J’ai juste remarqué le jour où tu es arrivé que tu portais un string quand tu t’es baisé pour prendre ta réservation dans ton attaché-case. »
« Et le lendemain Au petit déjeuner tu t’es penché de nouveau et j’ai vu que tu en portais encore un plus sexy que le premier, c’est ce qui m’a un peu décidé. »
« Et alors il n’y a que les gays qui portent des strings? »
« Non, mais un mec qui porte des strings en plus sexy c’est un signe. Il est souvent gay ou bi ! Tu m’as plu et j’ai tenté, c’est tout. »
Finalement il a bien fait car je n’aurais jamais osé l’aborder ou le draguer car j’étais loin d’imaginer qu’il soit homo. Allongé sur le ventre, je le sens me caresser les fesses, j’ondule mon cul pour mieux apprécier encore. De mon côté je branle cette queue divine, la câlinant comme pour la remercier du plaisir qu’elle m’avait donné. Je me retourne, Stéphane s’allonge sur moi. Nos queues se mêlent, se frottent l’une à l’autre. Il att nos deux chibres et les branle simultanément. J’aime cette caresse très intime. Le temps malheureusement ne s’est pas arrêté pour autant. Il se fait tard et nous avons une longue journée le lendemain. Il se rhabille, un long baisé et mon amant du jour me laisse avec dans la tête une envie folle de le revoir.
Le lendemain matin, on se croise comme si de rien été, mais je fais tout mon possible pour lui montrer que cette fois-ci je ne portais rien dessous. Lassant mes chaussures devant lui en me penchant au maximum. Je me suis même rendu au toilette et j’ai attendu qu’il passe devant pour sortir comme si il me surprenait en train de reboutonner mon pantalon, qu’il n’est aucun doute sur l’absence de dessous.
Sous ma tasse je lui laisse un mot :
« Ce soir c’est la revanche, c’est ton tour. »
Toute la journée j’ai repensé à tout ça. De retour à l’hôtel je ne le vois pas. J’espère qu’il est de service ce soir. Je ne tarde pas trop à descendre pour le dîner. Ouf ! Il est là. A table toujours le même rituel, la carte, la commande et le service. J’attends avec impatience une réponse ou un signe qui me confirme sa venue.
Un petit sourire complice et en déposant mon assiette, il me caresse rapidement l’entre-jambe. C’est bon il sera là ce soir. Seul à ma table, je défais discrètement ma braguette pour faire sortir mon gland. Je le cache sous ma serviette que je retire à chaque changement de plat. Je lui demande à chaque fois la composition du plat, qu’il puisse profiter du spectacle plus longtemps. Je suis placé au fond de la salle à manger, dos au mur, ça me permet de lui caresser les fesses sans que personne ne nous voit. Je le sens pris entre l’excitation et la peur d’être surpris ou qu’on puisse deviner son érection, qu’il essais de dissimuler tant bien que mal en passant la main dans la poche en tout discrétion. Ce petit jeu est excitant en présence des autres clients et de la patronne qui est aussi de service ce soir.
Je traine un peu plus longtemps à table pour ne pas attendre trop longtemps dans ma chambre. Le dernier client parti, je monte me préparer et l’attendre le temps qu’il dresse les tables du petit déjeuner. Une bonne douche où je me caresse longuement. J’ai tout juste le temps de m’allonger sur le lit qu’il arrive comme hier sans frapper. Il se dirige directement vers la salle de bain.
« Putain ! J’aurais pas cru que tu sois aussi salope. J’ai flippé, je bandais grave ! ». Me lance-t-il.
J’en rigole et je le rejoins dans la salle de bain. Il est déjà sous la douche. J’entreprends alors de lui faire sa toilette intime.
J’att la savonnette et je commence une douce branlette pour bien faire mousser le savon. Je passe mes mains partout. Ses couilles, son cul, ses fesses. J’insiste bien sur sa queue tirant sur le prépuce pour bien savonner le gland. Je rince partout. Pour m’assurer que c’est parfaitement clean, je le suce un peu. Je me relève pour l’essuyer, il att mon visage entre ses mains et m’embrasse d’une façon si douce et sensuelle. Je lui rends son baisé sans arrêter mes va et viens sur sa queue. Tous les deux hyper excités, on revient dans la chambre. Il s’assoie sur le bord du lit et la tête plongée entre ses cuisses je le pompe à fond. Je relève ses jambes, dans cette position je lui gobe les couilles, je fouille sa pâquerette du bout de la langue. J’inonde son cul et ses couilles de salive. Quand je disais qu’il avait les fesses glabres, ce n’est pas tout à fait vrai. Il a une ligne de poils qui partent de son scrotum jusqu’en haut de ses fesses. Tout en fourrant ma langue le plus loin possible je le branle sans relâche. Ne tenant pas à ameuter tout l’hôtel et surtout à ce que Stéphane ne se fasse renvoyer, je lui tends un oreiller pour qu’il étouffe ses râles et autres gémissements. J’alterne entre ma langue et mes doigts. Sa queue luisante de salive coulisse entre mes doigts.
Tout ceci m’a mis en appétit. Je me relève chercher une capote et je dépose deux oreillers au sol pour être à sa hauteur. A genou sur les oreillers, la queue gainé de latex, je l’attire vers moi. Je frotte un bon moment ma queue sur sa rosette avant de pousser, d’un coup de rein, ma pine s’engouffre. Je prends possession de cet étui chaud et accueillant. Je le prends, le pénètre, le bourre, l’encule un long moment. Sentant mon éjaculation toute proche. Je le remonte un peu plus haut sur le lit et dans la position du missionnaire les jambes bien relevées, mes derniers coups de reins libèrent on foutre en saccades longues et interminables. Allongé sur lui je le remercie d’un long baisé. Je me retourne. Il vient à califourchon au-dessus de mes jambes et se branle avec douceur et langueur. Son geste s’accélère, les yeux mi-clos il apprécie ce moment, il va jouir. Avant qu’il n’explose, je retire ma capote pour sentir son foutre m’éclabousser la queue et le ventre. Comme la veille il est pris de tremblements incontrôlés à chaque éruption libératrice Nos deux jus se mêlent. J’empoigne nos bites couvertes de se mélange doux et chaud. Je les caresse avec douceur. Mes doigts empoissés de foutre, je les goutte et je partage avec lui cette crème onctueuse au parfum de sexe et fornication. Repu et essoufflé, on ne s’attarde pas trop, petit douche rapide, un long baisé au pas de la porte avant qu’il ne disparaisse.
Le lendemain matin au moment de régler ma note, c’est lui qui est à la caisse. Petit sourire de connivence et je ne manque pas de faire des éloges de l’établissement et du service à Martine sa patronne :
« Merci pour ce séjour fort agréable, dans votre maison. Je ne manquerai pas d’y revenir quand je serais de nouveau dans votre jolie région. »
Stéphane a eu ces mots qui pour moi veulent dire beaucoup :
« A votre service Monsieur !!!».
Je me suis bien penché sur mon attaché-case pour lui montrer une dernière fois mon string. Je monte dans le taxi un signe discret de la main pour tout au revoir.
Pour préserver la quiétude de ce serveur qui ne s’appelle pas Stéphane, ce n’est pas non plus dans la région bordelaise, mais une autre région tout aussi ensoleillée. Tout le reste par contre est réel…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!