Le Sac Perdu

Je trouve un sac de femme dans un magasin. Je l’ouvre pour savoir à qui le rendre : sans adresse je le porterais aux objets trouvés. Je fouille ce sac pour y trouver une foule de choses qui pour un homme sont totalement inutiles. Le principal y est : l’adresse.
Je décide d’attendre la fin d’après midi pour faire mon devoir. Je me présente à l’adresse, sonne : une jolie femme peu habillée, dans les 25 ans m’ouvre après un long moment. Quand elle voit son sac, sa figure s’illumine : elle a des fossettes plein les joues ça ajouté à son charme indéniable.
- Mais entrez donc.
- Avec plaisir.
- Vous méritez une récompense.
Elle ouvre son sac pour me donner sans doute quelques sous. Pas question, rien que sa vue me récompense plus que rêvé.
- Alors un verre ?
- Avec plaisir.
Elle me fait entrer dans son appartement où elle n’est pas seule : elle appelle :
- Chéri, vient voir, un monsieur me porte le sac. Viens boire avec nous.
Le chéri en question n’est lui vêtu que d’une sortie de bain. Drôle de gens, me recevoir sans être habillés à 18 heures. A moins qu’ils soient occupés à une distraction particulière.
Je m’assois sur le divan, les mains occupées par le verre d’apéritif, elle engage la conversation sur rien. Lui me demande de les excuser : ils étaient très occupés.
Je comprends en quoi consistait leur occupation. Gêné, je fais celui qui ne comprend pas. Malgré moi je regarde les cuisses dénudées de la femme. Elle sait ce que je regarde, elle ouvre les cuisses pour me montrer ses trésors. Bien évidemment elle ne porte pas de sous vêtement. Je vois toute sa chatte qui me semble-t-il est assez humide. Il faut que je parte sinon ils vont voir que je commence à bander.
Je me lève, malgré ou à cause de ça, mon érection est très visible. Par politesse ils se lèvent aussi. Si la jeune femme est correctement habillée, il n’en est pas de même pour l’homme. Au contraire, en se levant il montre sa queue bandée qui sort de l’espèce d’habit qu’il porte.

Il ne fait rien pour cacher la bite qui me semble bien grosse. Il me parle lentement :
- Restez avec nous. Vous savez si vous le lui demandez, elle acceptera facilement de baiser avec vous, ou nous deux.
- C’est vrai, j’aimerai baiser avec vous.
Comme quoi une simple action de politesse peut se transformer en partouze. Elle vient vers moi : je tends mes bras pour qu’elle y vienne. Nos bouches se rencontrent : devant son mari ou amant je ne sais pas, je l’embrasse comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Elle se débarrasse des guenilles qu’elle porte.
C’est un corps magnifique qui apparait. Elle damnerait un saint et ses compagnons. J’enlève ma veste comme je peux. Elle déboutonne ma chemise pour passer ses mains sur ma poitrine et le dos. Sa figure se pose sur mes seins.
Je sais quoi faire de mes mains : je caresse ses fesses dodues. Son amant est contre elle. Je vois qu’il bande toujours : sa pine se loge entre les fesses de la fille. Elle fait ce qu’il faut pour qu’il bande encore plus.
Elle sort ma queue dans sa main pour me branler comme une professionnelle. Sa bouche est encore sur la mienne. J’enlève le pantalon, le slip les chaussettes. Je me sens mieux nu malgré la présence d’un autre homme.
Je sais ce que veux la fille : que je la baise devant son type. J’ai envie d’elle, peu m’importe que ce soit devant lui ou seul. J’arrive à la faire s’assoir sur le divan. Elle reste les cuisses écartées comme une gargouille sur la façade de certains édifices religieux.
Elle caresse ses seins, sans honte, je suis à genoux devant elle, ma bite est près de son coquillage. Elle est tellement excitée que j’entre facilement dans son con. Elle gémit aussitôt.
Son mec, nous regarde, en se masturbant. Je regarde plus la main qui va et vient sur la colonne. Je suis sur le point de jouir quand je sens ses spasmes : elle jouit plus longtemps que moi. J’allais sortir de son piège à pine quand son amant éjacule sur ses seins.
Elle récupère la liqueur pour la déguster.
J’ai de la chance en sortant de son corps je bande encore : elle me donne son cul où j’entre plus que facilement : elle doit se faire sodomiser souvent. Je sens passer sur mon bas ventre la main de l’autre qui se dirige vers le clitoris. Mes vas et vient sont accélérés par la fille qui est totalement accro au sexe. Ses seins sont secoués par ses mouvements. Encore une fois je la sens jouir. Je continue à limer son anus, elle en est plus que satisfaite, surtout que son amant l’embrasse.
Je suis quand même surpris d’être tombé sur un couple aussi dévergondé. C’est elle qui dirige les opérations, qui demande qu’on la lui mette la où elle le désire : tous ses orifices sont bons pour jouir. Nous pauvres hommes sont réduits au silence de la baise. Elle sait ce qu’il faut faire pour que nous la baisions encore.
Je suis le nouveau, j’ai droit à toutes ses attentions : elle me fait toucher au cul par l’amant. Je suis à la merci d’une envie de me faire enculer par un autre. C’est bien ce qui arrive. Il me met à quatre pattes, le cul surélevé. Elle tapisse mon anus de cyprine. Je sens une bite entrer dans mon anus. Je n’aime pas ça de tout. Pourtant comme elle me branle, j’accepte la chose. Finalement c’est agréable d’avoir une bite au cul et sa main autour de ma queue.
Pourtant ni celui qui me sodomise, ni moi ne jouissons. Elle nous veut ensemble. Pour moi c’est la première fois que j’aurai ma queue dans son ventre avec un autre pas loin. Je pensais la lui mettre soit devant soit derrière. J’ai droit à son sexe. Mais pas seul, nous devons la baiser au même endroit ensemble. Elle aime avoir de trou bien plein. Je peux y entrer le premier sans problème. Par contre son amant a quelques difficultés à la pénétrer. Je sens sa queue contre la mienne. Il force pour la lui mettre totalement.
Nous pouvons la baiser ensemble, à mon grand étonnement. Je sens cette queue contre la mienne. Elle cri son plaisir longuement.
Nos pines sont dans le même mouvement. C’est finalement agréable de nous trouver à deux dans le même vagin élastique.
Pour moi, le sommet du plaisir est quand je jouis contre l’autre bite qui jouit un peu après moi. Nos spermes sont mélangés dans son puits qui écoule ensuite lentement le trop plein. C’est son amant qui lui lèche tous les liquides sortant de sa cramouille.
Je suis totalement hors jeux : lui continue à la baiser comme elle veut. Je participe comme je peux : elle le suce, j’ai droit à lui lécher l’anus.
Je pars plus tard dans la nuit. J’ai noté l’adresse pour revenir me payer seul cette nana.

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