Telephone

TELEPHONE


Je n'avais encore montré à personne mon nouvel iPhone et je comptais le faire ce week-end lorsque nous serions rassemblés avec toute la famille, mais j'étais arrivée dans la nuit ce vendredi soir à cause de bouchons sur l'autoroute et j'ai dû attendre ce samedi.

Je l'avais dans la main quand je suis descendu déjeuner. Le petit-déjeuner avait été servi sur la terrasse et toute la table piaillait d'abondance. Je voyais bien que c'était foutu et que je ne pourrais pas faire sensation. Je l'ai glissé dans la poche de mon short. Quand je me suis assise, je me suis retrouvée face à ma soeur et j'ai vite compris qu'elle n'avait juste que son peignoir et qu'avec un peu de chance, elle n'avait pas mis de culotte. Ce n'est pas que je ne l'ai jamais vue nue. Au contraire, je l'avais souvent vue nue mais avec l'adolescence, les occasions s'étaient raréfiées. Elle s'enfermait dans la salle de bains. J'avais oublié.

Ma soeur discutait et elle faisait de grands gestes et quand son pied s'est écrasé sur le mien, j'ai sorti mon iPhone et discrètement, j'ai mis la caméra en marche et j'ai coincé mon téléphone entre mes cuisses. Maintenant, ne me restait plus qu'à attendre et à espérer que je ferais une bonne pêche et !a a fonctionné cinq minutes avant que ma soeur, voyait notre cousine Joy arriver, ne se lève pour lui laisser la place. Joy, aussi, n'avait enfilé qu'un peignoir et mon espérance fut alors de faire coup double. J'ai renclenché l'enregistrement et j'ai attendu.

Je surveillais ma cousine et je voyais bien que de temps en temps, elle plongeait la main entre ses cuisses parce que quelque chose la démangeait ou bien parce qu'elle se tripotait. J'ai encore filmé dix minutes. J'avais hâte de voir et de savoir ce que j'avais mis dans la boîte. J'ai mis mon téléphone dans ma poche et j'ai gardé la main dessus. C'était comme s'il me brûlait. Une fois dans ma chambre, j'ai regardé le début du film et comme c'était trop sombre, je l'ai transféré dans mon ordinateur portable.



Maintenant, je n'avais plus qu'à appliquer un filtre, éclaircir le film et le regarder. Bingo ! Je me suis dite que j'aurais dû acheter un ticket de loto. Bien sûr, on ne pouvait pas savoir que c'était les cuisses de ma soeur, mais c'était des cuisses et quand elle les a ouvertes, j'ai vu qu'elle était complètement épilée puis j'ai vu un truc qui brillait et un peu plus loin j'ai pu voir que c'était un anneau que ma soeur avait de planté dans sa petite lèvre gauche. Non, droite ! Et puis j'ai vu autre chose, planté au-dessus de son clitoris et verticalement, un jonc avec un diamant en haut et en bas !

Comme je l'avais supputé, tout en parlant et en faisant des gestes des mains pour se faire comprendre, ma soeur écartait aussi les cuisses puis ça s'est arrêté. Maintenant, c'était le tour de Joy qui avait carrément gardé les cuisses ouvertes, son peignoir avait disparu sur ses hanches puis elle a mis les doigts et elle a passé le bout des doigts dans sa fente. Ça correspondait à ce que j'avais pu voir. Elle discutait et discrètement, elle plongeait sa main et j'avais vu son bras bouger, ce qui correspondait aux gestes de sa main que je regardais maintenant. Elle se fouillait et elle écartait ses petites lèvres. Dommage qu'elle ait gardé ses poils, ai-je pensé, mais ses poils étaient courts et sans doute en train de repousser.

Je ne sais pas ce que ma cousine Joy cherchait puis j'ai compris que ça correspondait au moment où elle s'était arrêtée de parler, bouche ouverte. Elle avait joui ! Le film était fini. J'ai refermé le couvercle de mon ordinateur portable et j'ai laissé mon téléphone sur ma table de nuit. Il était temps que j'aille prendre ma douche et que je m'habille. Je suis sorti dans le couloir et je suis allé à la salle de bains mais je ne n'y suis pas entré. Il y avait de la lumière et la porte n'était pas entièrement refermée et j'ai entendu ma soeur et ma cousine Joy qui discutaient.

- Bon sang, a dit ma sœur à sa cousine, je ne sais pas si son frère est comme ça avec toi en ce moment, mais le mien veut absolument m'enculer !

- Bof, a fait Joy.
.. Je ne voulais pas, au début, mais j'ai fini par lui céder ! J'aurais dû en choisir un qui a une bite plus petite parce que son gros dard dans le trou du cul, ça fait mal !

Elles ont éclaté de rire puis ma sœur lui a demandé si elles avaient bien fait de choisir des jumeaux pour fiancés. Elle a même ajouté qu'elle ne savait jamais si c'était avec Rémy qu'elle baisait ou avec Sébastien et Joy lui a répondu que c'était la même chose pour elle.

- Et si c'était vrai, a ajouté ma soeur, qu'ils se remplacent tous les deux pour nous baiser tour à tour ? Tu ne t'es jamais demandé pourquoi ils s'habillaient toujours pareil ?

- Tu sais ce que je vais faire, lui a répondu Joy ? Je vais le marquer au fer rouge et comme ça il sera bien obligé de rester avec moi !

- Ne fait pas ça, lui a répondu ma soeur ! Rien que l'idée qu'on ne sait pas avec qui on fait l'amour... c'est excitant !

- Tu ne veux quand même pas qu'on s'amuse tous les quatre ensemble, a protesté sa cousine ?

- Moi, je voudrais bien, lui a répondu ma soeur ! Dimanche soir, venez à la maison ! Je dirais à Rémy de venir et comme ça, s'il veut toujours m'enculer, vous m'aiderez !

Sa cousine lui a répondu qu'elle était folle. Je suis retournée dans ma chambre et j'étais à peine rentrée que mon téléphone à sonné. C'était ma tante Agnès, la mère de Joy qui venait aux nouvelles et qui s'était résignée à me téléphoner parce que le téléphone de mon père sonnait dans le vide et qu'elle m'aimait bien. Elle m'a demandé aussi si j'avais des photos à lui montrer et comme j'avais pris l'habitude de lui en envoyer, j'en ai envoyé, prises quinze jours avant et j'ai posé mon téléphone le temps que ça parte et je me demandais pourquoi c'était si long quand j'ai compris que je m'étais trompée et que j'avais envoyé la vidéo prise ce matin.

Catastrophe ! Impossible d'annuler. Quelques minutes après, j'ai reçu un SMS de ma tante qui me disait qu'elle n'arrivait pas à lire les photos que je lui avais envoyées.
J'ai répondu qu'elle devait les jeter et que je les lui renvoyais et j'ai bien vérifié cette fois que c'était les photos de l'avant-drnier week-end que je lui envoyais. Ma tante m'a envoyé un SMS pour confirmer. J'étais sauvée, mais le surlendemain, alors que j'étais au bureau, elle m'a envoyé un nouveau SMS pour me demander si c'était moi sur la vidéo. Elle en avait envoyé un autre sans attendre ma réponse pour me demander si ça faisait mal d'avoir ces choses-là plantées dans les chairs.

Je lui ai répondu que ce n'était pas moi mais un film qu'on m'avait envoyé puis je lui ai rappelé que je lui avais demandé de l'effacer. Ma tante ne m'a pas répondu par un SMS mais elle m'a téléphone carrément alors qu'elle sait bien que mon patron n'aime pas que je reçoive des coups de fil pendant le travail. J'ai décroché. Il a levé les yeux de son dossier puis il m'a demandé si c'était quelque chose de grave et j'étais bien incapable de lui répondre parce que ma tante me racontait qu'elle voulait de faire percer les mamelons et elle me demandait de l'accompagner parce qu'elle ne pouvait pas demander ça à ma cousine Joy.

- C'est quoi, m'a fait mon patron visiblement énervé ?

Pour toute réponse j'ai enclenché la fonction haut parleur de mon téléphone et il a pu entendre ma tante me demander si je connaissais quelqu'un qui lui ferait un piercing aux deux mamelons. Mon patron m'a fait signe de continuer à parler puis il s'est mis à griffonner sur un papier et j'ai pu lire que je devais donner rendez-vous à ma tante au bureau et j'ai répondu que je connaissais quelqu'un et que je lui donnais rendez-vous pour demain soir. Après-demain soir ? Jeudi soir ? Ma tante a accepté. J'ai raccroché et j'ai demandé à mon patron ce qu'il avait en tête. C'était bien la première fois que je le voyais sourire et encore plus parler d'autre chose que du boulot. Il m'a dit qu'il connaissait cette voix, enfin qu'il l'avait connu et quand je lui ai dit que c'était ma tante Agnès, il m'a demandé si ce n'était pas Agnès V.
.. qui avait habité rue M...

Je n'en revenais pas qu'il ait pu la connaître. Mon patron m'a raconté qu'il avait été amoureux d'elle mais qu'elle l'avait éconduit en lui disant qu'elle préférait les femmes ! Il a ajouté que ça lui avait brisé le cœur et qu'il ne s'était marié que pour l'oublier.

- Elle est mariée ou elle est lesbienne, m'a demandé mon patron ?

La vérité était que ma tante avait été mariée et qu'elle avait eu Joy ma cousine et que quelques années après mon oncle s'était tué dans un accident de voiture. Je regardais mon patron. Il était soudain pâle.

- Je ne sais pas pour une femme, mais si j'avais eu une épouse qui aime aussi les femmes, je l'aurais laisée faire, a ajouté mon patron !

Je ne lui avais jamais vu d'alliance et je ne lui connaissais pas d'. J'ai posé une question à propos de sa femme mais il ne m'a pas répondu mais il a ajouté qu'il aimerait bien revoir ma tante Agnès et je lui ai répondu qu'elle avait peut-êre changé d'avis... pour lui ! Il a ajouté qu'il pensait que c'était foutu mais que ça ne l'empêchait pas de toujours penser à ma tante et il a même ajouté qu'il lui offrirait ses piercings. C'était étrange comme situation.

- Est-ce que vous accepteriez de m'épouser, m'a proposé mon patron quelques heures après ?

- Moi ou ma tante, lui ai-je répondu sans réfléchir ?

Il m'a demandé de l'excuser. Le jeudi soir suivant, quand le planton l'a prévenu de la venue de ma tante, mon patron m'a demandé d'aller la chercher puis quand je l'ai faite entrer dans le bureau, il m'a demandé de rester. Ma tante ne semblait pas le reconnaître mais lui l'a reconnu tout de suite.

- Tu ne me reconnais pas, a-t-il demandé à ma tante ?

Tout à coup, elle l'a reconnu mais elle n'a rien pu répondre. Elle semblait choquée, elle qui était venue pour que je l'accompagne au piercing et elle était maintenant devant un ancien amoureux éconduit. J'ai dit à ma tante que mon patron connaissait quelqu'un avec qui un piercing ne présentait aucun risque puis j'ai pris mes affaires et mon patron nous a précédées jusqu'au sous-sol où il gare sa Jaguar et nous sommes allées faire percer les mamelons de ma tante. C'était dans un immeuble. Nous sommes montés au second étage et il a frappé. Sur la sonnette était marqué que c'était une infirmière. C'en était une.

- Dit à ton amie de se déshabiller complètement, nous a fait la femme !

Ma tante s'est déshabillée et puis elle s'est allongée sur la table d'opération. Je n'avais jamais vu ma tante nue et je l'ai trouvée magnifique et ses seins lourds se sont étalés sur son torse. L'infirmière est arrivée avec ses instruments. Ma tante a bien essayé de d'objecter qu'elle n'avait pas choisi les bijoux mais la femme ne lui a pas laissé le temps de se plaindre. L'aiguille était déjà passée au travers du mamelon du sein gauche qu'elle avait tiré pour se faciliter le travail puis l'infirmière a enfilé une autre aiguille dans le mamelon droit. Quand j'ai demandé à ma tante si ça faisait mal, elle m'a répondu que ça piquait un peu et l'infirmière a ajouté que ça piquerait pendant quelques jours puis elle a mis en place le premier anneau dont je jonc devait bien faire cinq millimètres de diamètre puis elle en a mis un autre à l'autre mamelon et elle a saisi un miroir pour que ma tante puisse en voir le résultat. Après ça, elle a désinfecté et mis un pansement et elle a donné des conseils à ma tante. Elle était restée allongée sur la table de travail et je suis resté avec elle quand nous avons entendu les deux autres :

- C'est bien toi de m'amener tes maîtresses, disait l'infirmière à mon patron !

- Mais ce n'est que ma secrétaire et sa tante, protestait mon patron ! Tu sais bien que depuis que tu m'as quittée je n'ai eu personne !

- Ah, bon, protestait l'infirmière à son tour ? Tu n'as trouvé personne pour assumer tes fantasmes !

- Pas trouvé et pas chercher lui a répondu mon patron !

- De toute façon, je me demande quelle femme accepterait de se faire prendre dans l'anus, a ajouté l'infirmière ! Tu n'avais que ce mot-là à la bouche : m'enculer !

- T'aimais bien ça, lui a répondu mon patron !

- Me baiser, m'enculer ! Ça n'arrêtait pas lui a répondu l'infirmière ! Qu'est-ce que tu fais si tu n'as personne ? Tu te masturbes ?

Il lui a répondu qu'il se masturbait quand il n'en pouvait plus mais qu'il arrivait à gérer. J'ai croisé le regard de ma tante. Elle a pincé les lèvres mais ça ne l'empêchait pas de sourire. Elle m'a murmuré qu'elle n'arrivait pas à croire que je travaillais avec un type comme ça. J'ai même ajouté qu'il m'avait demandé en mariage deux jours avant mais...

- Tu préfères les gouines, a alors hurlé mon patron !

- Et alors, lui a répondu l'infirmière ! Je m'en fous si ça te déplaît et en plus c'est bien plus agréable !

Il a alors fait irruption dans la pièce o on était et il a intimé à ma tante de se rhabiller et il a ajouté qu'on s'en allait. Ma tante a renfilé sa robe et elle a oublié son soutien-gorge que j'ai mis dans mon sac à main puis nous sommes sortis. Agnès a dit qu'elle devait payer mais mon patron lui a répondu que c'était déjà fait puis il a ajouté que c'était son ex-femme et qu'ils étaient encore mariés. Nous sommes remontés dans sa voiture et il a démarré mais au carrefour suivant, il nous a proposé d'aller au restaurant et il a tout de suite ajouté qu'il nous invitait. En sortant du restaurant, il a dit qu'il ne savait pas de qui de nous deux il avait le plus envie et nous nous sommes senties obligées de lui répondre qu'on ne pouvait pas répondre pour lui. Je voyais déjà ce qui allait advenir. Je ne serais pas la première secrétaire que son patron allait farcir de semence et ma tante, ce serait admettre qu'elle s'était trompée.

Est-ce qu'ils se rendaient compte que je mouillais ? J'avais mouillé ma petite culotte. Nous sommes remontés en voiture et avant de démarrer mon patron a ajouté que ce n'était pas de sa faute s'il avait envie de faire l'amour. J'étais assis à côté de lui et ma tante Agnès s'était installée sur la banquette arrière. Mon premier fiancé m'avait proposé de lui sucer la bite le preier sois et je n'avais pas refusé. J'avais même avalé son sperme. J'ai demandé à mon patron s'il voulait que je le suce mais avant qu'il ne réponde ma tante a dit que je ne pouvais pas accepter ça et tout de suite après elle a dit qu'elle préférait se sacrifier mais mon patron lui a dit qu'elle avait assez souffer pour ce soir. Il fallait se décider. J'ai proposé d'aller chez moi mais ma tante a dit que chez elle c'était plus près et notre chauffeur nous a emmenées.

Mon patron l'avait déjà vue nue chez l'infirmière et ma tante n'a pas hésité à retirer sa robe et moi aussi je me suis déshabillée et quand il nous a rapprochées l'une de l'autre, nous nous sommes retrouvées les seins contre les seins et le ventre contre le ventre et quand il nous a demandé de nous embrasser nous avons obéi. Je n'avais jamais embrassé une femme sur la bouche, mais ma tante semblait savoir y faire. Elle m'a serrée dans ses bras et elle a ajouté que je sentais bon. Elle y mettait sa langue et je n'avais jamais ressenti ça. C'était étrange et exaltant à la fois. Ainsi donc, c'était ce dont avaient besoin les lesbiennes ! J'ai alors senti un pénis bien raide qui se glissait entre mes cuisses. Mon patron m'a décollée de ma tante et il l'a allongée sur le lit, jambes écartées et pendantes et il m'a dit de m'agenouiller entre ses cuisses et de la lécher et quand j'ai commencé à lécher, il m'a possédée.

Je léchais la chatte de ma tante pendant que mon patron me baisait et j'aimais ça. J'aime d'ailleurs toujours ça même s'il s'est mis avec ma tante Agnès et que je ne les vois que de temps en temps. Quand j'ai joui, il s'est retiré et il a joui sur mon dos puis nous sommes restés tous les trois à nous faire des caresses jusqu'à ce qu'il soit en état de combler ma tante. Il n'a pas arrêté de la traiter de salope et de putain pendant qu'ils étaient accouplés et moi, à genoux juste à côté d'eux, je me suis masturbée puis je les ai aidés.

Je continue à travailler avec mon patron mais jamais nous ne parlons de ma tante et encore moins de moi. Tout ce que je sais, c'est par elle qui continue à me téléphoner pour me dire ce qu'ils ont fait ou ce qu'ils font. Tous les deux. Quant à ma soeur et à ma cousine Joy, elles sont bien loin de tout ça.

FIN

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