Première Fois

Je m’appelle Antony, j’ai 18 ans ½ et j’aimerais raconter ma découverte du sexe. Cela
c’est passé il y a quelques mois. Je suis un garçon plutôt mignon qui plait aux filles
mais je suis très timide et pour dire vrai, pas vraiment attiré par elles. Je ne me
sens pas particulièrement attiré par les garçons et pourtant, depuis que j’ai
découvert les sites de film porno sur le net, il ne se passe pas une journée sans que
je me branle en regardant les sexes des hommes. Je ne matte pas spécialement des films
gay, je les trouve moins excitants que les films avec des filles. Elles ont souvent
des attitudes bien plus vicieuses, elles sont soumises et je m’identifie toujours à
elles. Et puis je ne peux m’empêcher de regarder avec envie et gourmandise ces belles
queues luisantes. Je rêve donc secrètement de sexe avec un homme, en tout cas au moins
de pouvoir faire un jour une pipe.

Près de chez moi, il y a un parc avec un parcours de santé où je vais régulièrement
courir. Il ne fait pas très beau, le ciel menace, mais je décide quand même d’aller
faire un petit footing. Samedi après-midi, mes parents commerçants sont au boulot, je
n’ai rien de particulier à faire.
Je termine mon premier tour lorsque j’aperçois mon voisin de palier qui trottine lui
aussi. Il me fait signe, vient me saluer et me propose de courir ensemble. C’est un
homme d’une cinquantaine d’années. Il a emménagé il y a quelques jours seulement et à
part des bonjours de circonstance, nous ne nous sommes jamais vraiment parlé. Son
short blanc de tennis à l’ancienne et son polo qui va avec lui donnent un look plutôt
ringard mais me le montre sous un autre angle. Il a des cuisses très poilues et je
devine aussi un peu d’embonpoint. Il me dépasse d’une bonne tête et s’avère contre
toute attente en bonne forme physique. Nous terminons notre troisième tour lorsqu’un
orage terrible nous ratt et c’est sous des trombes d’eau que nous regagnons au pas
de charge notre immeuble.


Nous sommes devant l’ascenseur, trempés jusqu’aux os lorsque je me rend compte d’une
chose.
- Et merde mes clefs.
- Tu les as perdu ?
- Non, mais je les planque toujours dans un buisson pour ne pas être gêné par le
trousseau quand je cours. Je dois aller les récupérer, il n’y a personne chez moi.
- Tu ne vas pas ressortir maintenant. Viens te sécher et attendre que ça se
calme.
Je n’ai pas le temps de réfléchir, l’ascenseur et là et Pierre (c’est son prénom)
m’invite sans autre commentaire à le suivre.
- Déchausses toi ici, la salle de bain est au bout du couloir. Une bonne douche
chaude va nous faire du bien.
Je suis surpris mais ne pipe mot.
- Déshabilles toi et donnes moi tes affaires que je les mette à sécher.
Je suis gêné et lui tourne le dos. Je sens son regard qui pèse sur moi mais je
m’exécute et lui tends mes habits avant de rentrer dans la baignoire.
Il ne s’est pas passé plus de deux minutes que je le vois réapparaître dans la salle
de bain, entièrement nu.
- Tu me laisses une petite place ?
Il me sourit et sans attendre ma réponse enjambe la baignoire et se rapproche de moi
pour profiter de l’eau. Je lui tends le jet et baisse pudiquement les yeux. Mauvaise
idée, mon regard se pose sur son sexe. Il est au repos mais la vision de son gland
décalotté me trouble immédiatement et je ne peux retenir un début d’érection. Pierre
c’est encore rapproché, il tient le jet d’eau au dessus de mon crâne tout en passant
délicatement sa main dans mes cheveux. Je n’ose plus faire un geste. Il pose le
pommeau, m’att le visage à deux mains et colle ses lèvres aux miennes. Sa langue
force le passage, fouille ma bouche, réclame ma salive. Je ferme les yeux et
m’abandonne enfin. Je tremble des pieds à la tête alors qu’il m’embrasse goulûment,
ses deux mains maintenant fermement posées sur mes fesses.

- C’est la première fois ?
J’acquiesce d’un timide signe de tête.
- En tout cas ça a l’air de te plaire. Je suis content de te faire autant
d’effets.
Je ne m’en suis pas rendu compte mais alors qu’il pose une main sur mon sexe, je
réalise que je bande comme un fou. Et ce ne sont pas ses baisers et le lent va-et-
vient de sa main sur ma queue qui risque de changer ça, au contraire. D’autant qu’il
m’invite à enserrer à mon tour sa tige pour lui rendre la pareille.
Nous continuons ainsi quelques minutes puis il se dégage de moi et s’assied sur le
rebord de la baignoire. Sans savoir vraiment comment, comme hypnotisé, je me retrouve
à genoux entre ses cuisses, son sexe tendu au maximum à quelques centimètres de mon
visage. Toujours très docile, j’accepte sans broncher l’introduction de son gland dans
ma bouche. Son goût me plaît immédiatement, un petit goût de sperme que je connais
bien pour avoir souvent léché ma main après m’être branlé. Ma langue profite quelques
instants de la douceur de son gland avant que je me décide enfin à plonger plus en
avant. Je m’applique à bien l’avaler, concentré au maximum sur ma tache. Sa queue
coulisse avec un mouvement de métronome entre mes lèvres et Pierre me laisse faire
avant de prendre les choses en main.
- Doucement, profite de la belle sucette que je t’offre. Elle ne va pas
s’envoler.
Sans m’en rendre compte, j’ai accéléré le tempo tout en me contentant d’aller et venir
mécaniquement, comme presser d’en finir.
Je me mets donc à l’écoute, m’occupant de ses couilles comme il me le réclame et
alternant les profondes séquences de suce avec de tendres moments de lèche. Je me
consacre maintenant à lui exactement comme dans les pornos qui me font fantasmer. Et
plus je le suce ainsi, plus je me sens chienne et cochonne, comme je l’ai tant de fois
imaginé. Et puis, naturellement, l’envie de le faire jouir prend le dessus.
Les images
de ces bouches avides de semence, de ces langues léchant avec bonheur des glands
turgescents pour finalement avaler avec gourmandise le sperme chaud et gluant
m’envahissent maintenant totalement l’esprit.
J’enserre avec ma main la base de son sexe et commence à le branler de plus en plus
vite. Ma bouche ne s’occupe que de sucer le haut de son sexe, elle aussi de plus en
plus violemment et sans jamais laisser s’échapper le gland. Pierre a compris. Ses
mains se posent sur mon crâne, son bassin jusque là quasiment immobile commence à
onduler, son souffle se fait de plus en plus court. Je l’entends entre deux
gémissements me dire de faire attention, qu’il ne va pas t’arder à venir. J’accélère
encore et ne lâche rien, jusqu’au bout, jusqu'au moment où il m’inonde enfin la
bouche.
Je me fige, surpris malgré tout par la violence de son orgasme et l’abondance de
sperme qui se déverse par à-coup. Je le laisse se soulager complètement puis,
profitant d’un léger relâchement de son emprise, me retire. J’ouvre les yeux pour
découvrir le visage d’un homme visiblement aux anges. J’ai la bouche pleine et suis un
peu perdu. J’hésite puis me décide à déglutir. Il me décoche un grand sourire,
m’attire à nouveau vers sa queue que je gobe docilement. Je le suce encore un moment,
tendrement cette fois, jusqu’à ce qu’il ait complètement débandé.
Nous nous relevons, Pierre me dépose un smack et glisse une main entre mes fesses. Un
doigt s’insinue dans mon petit trou pendant que son autre main s’empare de ma queue et
la branle doucement. Puis il me souffle à l’oreille :
- Sucer, ce n’est pas trop mon truc, mais je peux te faire jouir autrement si tu
veux.
Je ne sais pas trop que répondre. Son doigt qui se faufile dans mon cul commence à me
faire de l’effet et je comprends soudain où il veut en venir.
- Heu…Je ne sais pas…Comme tu veux…
- Tu aimes que je titille ton anus pendant que je te branle.

- Oui…Beaucoup…
- Viens sortons.
Il me laisse quelques secondes dans le salon avant de revenir avec une sacoche. Je
suis un peu intrigué mais ne dis rien et me positionne sur le canapé comme il me le
demande : à genoux, les bras en appui sur le dossier, les jambes écartées, cambré et
le cul offert. A ce moment, je commence à prendre peur. Là ça y est j’y suis. Je
revois ces images de visages grimaçant de douleur au moment de la pénétration anale.
Je ne suis plus tout à fait sûr de rien. Heureusement, le premier contact avec mon
petit trou se fait en douceur. Les deux mains sur mes fesses, il me fouille l’anus
avec sa langue et je finis par me détendre complètement sous le plaisir merveilleux
que cela me procure. Puis son doigt prend la relève. Il a pris soin de l’enduire de
gel et à ma grande surprise il l’introduit sans problème et sans douleur. Son pouce un
peu plus large remplace son index. Son autre main me caresse les couilles avant de
prendre ma queue et de me branler doucement. Je me mets à gémir de plaisir tellement
c’est bon. Je ne suis plus très loin de jouir lorsqu’il retire son pouce pour
m’introduire un ustensile que je ne vois pas mais que je devine rapidement beaucoup
plus gros. Il débute les va-et-vient, enfonçant l’objet toujours un peu plus
profondément, toujours à la limite de la douleur, pour finalement m’arracher un petit
cri de souffrance. Une claque sur la fesse et il me fait m’asseoir, l’engin fiché dans
le cul.
- Gardes le un moment, il va permettre de détendre ton anus. Tu verras, après ce
ne sera que du bonheur.
Le plug ainsi placé, nous avons continué à discuter, comme si de rien était tout en
buvant une bière. Et puis l’envie a repris le dessus. Pierre m’embrasse à nouveau, nos
mains recommencent le petit jeu de la branlette. Je sens son sexe se tendre entre mes
doigts, son excitation augmente et il se met à me lécher carrément tout le visage.
J’adore, je suis mouillé de sa salive et j’aime. Il me bave dessus avant de laper à
grand coup de langue, deux de ses doigts se sont emparés d’un de mes tétons et le
pince fortement, la température est nettement montée d’un cran. Je commence à perdre
la tête, Pierre se redresse et m’offre à nouveau sa queue que j’engloutis
fiévreusement. Je plaque mes deux mains sur ses fesses et l’invite ainsi à me baiser
profondément la bouche. Il me maltraite le gosier, je dégouline et m’abandonne à cette
possession. Puis il se retire, me retourne, ôte le plug sans ménagement et présente sa
queue. Une giclée de gel et sans prévenir, son gland force l’entrée. Je ne peux
retenir un cri mais il ne s’en préoccupe pas, continuant sa progression. Il m’embroche
d’un coup, sans étape et son ventre est maintenant collé à mes fesses. Quelques
secondes sans bouger pour me laisser respirer. J’ai mal mais je ne dis rien. Je le
laisse faire, j’accepte sans broncher sa queue qui me possède et qui entame maintenant
des va-et-vient de plus en plus rapides et de plus en plus violents. Le rythme qu’il
impose ne l’épargne pas non plus et sans chercher à se retenir, il décharge rapidement
et copieusement au plus profond de mon cul.
- Je t’ai fait mal ?
- Oui.
- Désolé. Je voulais le faire en douceur mais je n’ai pas pu. C’est comme ça que
j’aime prendre les mecs. Et puis tu t’es bien laissé faire, non ?
- Oui, je sais…Mais moi aussi, c’est comme ça que j’ai toujours rêvé d’être
enculé. Par contre, je ne pensais pas que cela faisait aussi mal.
- C’est la première fois, c’est normal. Tu verras, à force tu t’habias.
Je ne réponds rien. Pas sûr à ce moment précis que je sois prêt à retenter
l’expérience.

Pourtant, je n’ai pas résisté à l’envie de retourner le voir. Il m’a offert le plug en
me conseillant de m’endormir avec chaque soir. J’ai à nouveau serré les dents lors des
premières sodomies et puis, effectivement, je me suis habitué. J’ai appris à maîtriser
la douleur et j’en retire même un vrai plaisir. A tel point que je fantasme
aujourd’hui sur des choses plus hard. Je regarde de plus en plus des vidéos de
fessées. Le caning ou le fouet ne m’intéresse pas et me font peur : sûrement à cause
et des marques profondes dans la chair. Par contre, j’aimerais beaucoup être
corrigé à la main, au martinet ou simplement avec une ceinture. Mais je n’ose pas en
parler à Pierre. Et puis dans l’idée, c’est de lui que cela doit venir. Il sait
pourtant que je prends beaucoup de plaisir à être soumis. J’aime les mots crus qu’il
lui arrive d’utiliser lors de nos ébats et sa façon de me traiter comme une fille.
Bien que peu poilu, j’ai accepté à sa demande d’aller me faire épiler intégralement et
aujourd’hui je ne peux plus m’en passer. J’aime mon corps lisse comme j’aime porter
les petites culottes de fille qu’il m’offre. Dernièrement, il m’a initié à l’uro. Je
l’ai laissé me pisser dessus puis dans la bouche. Aujourd’hui, je bois jusqu'à la
dernière goutte le verre de pisse qu’il lui arrive de me tendre. Je sais que ça
l’excite énormément et d’ailleurs cela se finit souvent par une bonne pipe au jus.

Dans deux mois, tout va s’arrêter. Je rentre en première année à la fac et je vais
donc devoir m’exiler. Mes parents sont à la recherche d’une chambre pour moi. De mon
coté, j’ai passé une petite annonce sur un site gay : « Jeune homme de 18 ans, passif,
mignon et plutôt soumis, cherche chambre pour l’année universitaire. Préférence donnée
à monsieur mûr qui accepte de se payer en nature ». Non seulement j’y gagne côté sexe
mais en plus je mets dans ma poche le loyer que mes parents penseront que je lui
verse. Tout bénef…Reste à trier les réponses avant de me déplacer pour la visite. Mais
ça, c’est une autre histoire.

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