Stephane (4)

Boucle d'or ...

Connaissez vous l'histoire de boucle d'or et des trois ours? Elle raconte l'histoire
d'une fillette qui perdue en chemin va s'abriter dans une maison habitées par des gens
qu'elle ne connaissait pas et elle allait faire comme chez elle … je ne suis pas la
pour vous raconter cette histoire, mais plutôt une histoire similaire qui m'est
arrivé. Je suis Stéphane, âgé de 22 ans et gay. A vous de voir si cette histoire
ressemble à celle que vous connaissiez étant .
Chaque matin je laisse mon appart à 7h45 afin d'arrivé à 8h à la fac, et là je passe
tout le reste de la journée pour rentrer bien tard dans l'après midi. Pour une raison
qui ne dépendait pas de moi, les deux dernier cours que j'avais en fin de journée se
retrouvèrent annulées pour mon plus grand bonheur. Ces cours allaient durer 6h de
temps. Je me retrouvai donc libre de rentrer chez moi dès 10h. Je rentrai donc
directement chez moi content à l'idée de me prélasser dans mon lit durant ces six
heures. L'ascenseur en panne, je du prendre les escaliers qui me parurent
interminables. Mais une fois devant la porte de mon doux chez moi cela n'avait plus
d'importance.
J'ai le flaire pour savoir quand quelque chose de pas particulier se produit. Et c'est
un sentiment d'insécurité qui me prit lorsque je m'aperçu que la porte de mon appart
n'était pas verrouillée. Moi qui ai toujours la manie de m'enfermer, comment ai-je pu
ne pas verrouillé la porte?
J'entre sans faire de bruit et cette fois-ci je prends le soin de verrouiller la
porte. J'allais lâché un soupir de satisfaction quand je senti l'odeur d'un parfum
assez étrange. Quelqu'un d'autre est entré dans mon appart, j'en suis sur. Mon regard
se jette sur mon frigo dont la porte grande ouverte laisse voir que quelqu'un s'y est
servi. Et cette personne y est allé fort.

Il s'agit surement de deux personnes.
M'étais-je fait cambrioler?
La porte de la toilette est entre ouverte et je peux voir des habits sur le sol. Drôle
de cambrioleur qui s'arrête pour prendre un bain.
J'allais pousser un cri quand je m'aperçu que devant le fauteuil, en face de la télé,
reposait une paire de chaussure extrêmement salle et extrêmement usée. Je suis sur
d'une autre chose. Et cet autre chose me fait peur. Le cambrioleur est toujours dans
mon appart.
Vite je saisis un poêle et sans faire de bruit j'allais passer l'appart au peigne fin
pour voir où il se cachait. Et comme j'avais un minuscule appart (trois pièce si vous
vous rappeler de mon récit avec le danseur de ballet) ce la ne dura qu'un battement de
cil. Il ne me restait qu'une seule pièce… ma chambre…
Quand j'ouvris la porte de ma chambre le spectacle qui s'offrit à ma vu me fit
sursauter. Je dus mettre la main devant ma bouche pour ne pas faire de bruit. Sur mon
lit, il y avait un homme qui dormait. Et là j'ai tout compris. Je n'avais pas affaire
à cambrioleur mais plutôt à un squatter.
Couché sur le dos, je voyais clairement son visage. C'était un jeune homme a peu près
de mon âge avec les cheveux bouclés blonds et une barbe de quelque jours, mais plus
encore, il était tout nu… Je voyais et je détaillais son membre posé tout mou entre
ses cuisses. Au repos elle était de dimension normale et je me demandais bien qu'elle
proportion elle pouvait prendre quand elle devenait dure. Je restai là à l'observer ne
sachant pas que faire. J'étais partagé entre l'envi de le chasser à coup de poêle de
mon appart et l'envi de me jeter sur son sexe encore mou pour la sentir durcir en ma
bouche. Je ne sais pas comment mais mon regard se trouva attirer sur des magazines
pornos gay gisant devant le lit. Mes magazines, je les range toujours dans mon tiroir.

Mon squatter a du faire la lecture. Et à juger le nombre de magazine parterre il a du
aimer sa lecture. Mais, attendez… c'est le bout de mon vibro-masseur qui dépasse son
cul !! Plus la peine de réfléchir, je savais ce que j'allais faire.
Sur la pointe des pieds je me dirigeai vers mon placard. Une boite tout en haut avait
quatre pairs de menottes avec lesquelles je m'amusais avec Augustin. Je les saisi et
là j'entrepris la plus périlleuse des mission. J'entrepris de lui attaché au lit. A
mon grand étonnement cela me parut facile car notre Boucle d'Or avait le sommeil
profond, très profond. Assis en face du lit, je pris la télécommande du vibro.
J'allais réveillé Boucle d'Or.
Comme prévu il se réveilla en sentant cette agitation dans sa cavité rectale. Il
sursauta quand il se vit attaché au lit.
" Alors Boucle d'Or on a bien dormi?
De gêne ou de honte il ne répond pas et essaie de voir comment il peut se défaire des
menottes. Je rajoute comme pour le calmer.
- Sois tu me dis qui tu es et ce que tu fais ici, sois j'appelle la police.
- Non, n'appelez pas la police.
Ce fut ses premiers mots. Et là il se mit à me parler. Il s'appelle Henry. Il a été
placé dans un foyer quand ses parents sont morts. Il a du s'enfuir de ce foyer a 16
ans car c'était l'enfer pour lui. Cela fait 6 ans qu'il vit dans la rue et squatte de
temps en temps des immeubles comme ceux dans lequel j'habite.
- Sinon Henry, lui dis-je. Qu'est-ce que tu fous dans mes affaires?
Je vis le rouge de la honte peindre ses joues. Il était là en face d'un inconnu avec
un vibromasseur dans le cul.
- D'habitude je vole quelques objets pour les revendre afin de me faire un peu
d'économie. Et quand je suis tomber sur … tes trucs, ça m'a intrigué. C'est la
première fois que je squatte chez un gay.
- Cela semble t'avoir plu.
Henry baissa les yeux et je l'entendis murmurer
- A vrai dire je ne suis pas homo mais je voulais essayer pour voir quel plaisir est-
ce qu'on éprouve.

- Ah bon! Veux-tu que je te le fasse découvrir Henry?
Il me regarda. Il ne savait pas que répondre.
- D'accord si vous n'appelez pas les flics.
- O.K et ne joue pas les rusé avec moi.
- D'accord.
Je me mis nu et sous ses yeux je commençai à me caresser. Je décrivis des cercles sur
mes tétons. Je caressai lentement le ventre. Je saisi le bidon d'huile qui se trouvait
sous ma main et je l'enduit le torse et la queue. Sa queue était toute raide. Pour une
première fois il aime déjà. Je lui masturbe la trique. Il fait du mouvement avec son
bassin, il y va avec tellement d'ardeur qu'on aurait cru que c'est lui qui me baise la
main. J'abandonne alors sa queue pour me rendre entre ses fesses. Je le sens frémir
sous mes doigts.
J'insinue lentement mon index qui se fraye un passage. Beaucoup plus réceptif que je
ne le pensais, je le vois se tordre sous mes yeux pour mieux m'offrir sou cul
d'hétéro. Avec une rage qui m'étais jusqu'a ce jour inconnue, je me mets à le doigter
avec rudesse et lui ne semble pas rechigner- surement a cause du gode qu'il s'était
introduit. Je lui mets un doigt puis deux. Je vais au plus fond chaque fois. Je
l'entends échapper quelques cris plaintifs.
Son torse se perle de sueurs. Je sens la chaleur monter en lui comme en moi. Il se
cambre de plaisir, de jouissance me tendant son cul afin que j'y introduise mes doigts
plus profondément. Je ne le fais pas attendre plus. J'introduis un troisième doigt
dans son trou et je fais des cercles pour bien le dilater le cul. Il se met alors a
couiner telle une vieille pute sous l'assaut des queues.
- Tu aimes ça Henry?
- Oh oui… J'adore… Prends moi s'il te plait.
- Pardon. J'ai pas entendu ce que tu as dit. Répète le moi plus fort.
- PRENDS MOI.
- Comme tu voudras.
Je descends mon pantalon pour dévoiler ma queue de 19cm bien dure.
Je monte sur lui et
m'assoie en califourchon sur son torse présentant ainsi ma pine à sa bouche. Henry
comprend mon désir. Il ouvre la bouche et commence à lécher mon gland. Cette douce
fraicheur me fait frissonner. j'introduis toute ma queue dans sa bouche pour qu'il le
suce. Henry n'est pas un expert et je sens ses dents sur mon gland a chaque fois que
j'entre dans sa bouche.
Je me retire afin de ne pas perdre le feeling. Je vais plus bas, là où mes doigts ont
déjà œuvré. Je cherche la boite à préservatif. J'enfile un. Je présente mon gland
devant son trou. Lentement, très lentement, je m'introduis en lui. Il lâcha un râle
quand toute mon pieux fut entièrement en lui. Et une fois habitué à ma présence en lui
j'entamai le va-et-vient porteur de jouissance.
Mains et pieds attachés, les mouvements de Henry était limités ainsi que notre
position. Je le tiens alors par les hanches afin de le garder près de moi et je me
défoulai en lui. Comme un homme qui revient d'un jeun de sexe. Je le lime à fond, avec
ardeur, force et passion jusqu'a ce que je jouisse de longue saccade dans la capote.
Affaibli je tombe sur lui. Je le sens qui suce la lobe de mon oreille.
Quand je défis ses menottes il se branla avec telle frénésie qu'il éjacula des jets de
spermes à même le draps.
Henry est resté toute la journée avec moi. On a fait l'amour plusieurs fois en
explorant de nouvelles positions. Pour une initiation, il a eu pour son compte. Puis
il est parti au milieu de la nuit. Comme je m'en doutais il m'a pris de l'argent mais
aussi mon gode. Et c'est mon gode que je regrette.

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