Soumise À Un Algérien 3

- Salut ma chérie tu es au travail ?

- Non, je suis sur la route pour y aller, il y a un problème?

- Je ne t’ai pas entendu partir ce matin, je t’appel car madame Benaissa vient de m’appeler.

- Que veut-elle ?

- Elle me propose une présentation et dédicace de mon livre dans une grande librairie d’Alger, c’est vraiment très sympa de sa part !!!

- Oui en effet. Je suis très content pour toi.

Elle est vraiment sympathique contrairement à ce que ma fait subir il y a deux semaines son obsédé de mari.

Arrivé au bureau je salut Hervé et je constate un mail de Benaissa sur mon PC.

- Qu’est ce qu’il me veut encore ce psychopathe?

- Ma femme a convié votre mari à une découverte de nouveaux romanciers à la librairie de l’un de ses amis, j’espère vous y rencontrer, cordialement, Abib. Lis-je dans son mail.

Je ne lui ai même pas répondu.

Cette rencontre est prévu dans deux semaines, je suis heureux pour Marc, mais je ne suis pas pressé de revoir Benaissa. Heureusement ce weekend nous allons avec Marc faire du quad dans le désert, j’ai hâte d’être seul avec lui entre le travail et les agissements de Benaissa je suis fatigué.

Hervé Toc à ma porte.

- Amy, dans le cadre des formations sécurités sur le site d’exploitation nous allons avoir une journée bivouac dans le désert.

- C’est prévu quand ?

- Je ne sais pas encore, se sera un jour de la semaine.

- Ok tenez-moi au courant.

Heureusement que j’ai Marc et Hervé pour me permettre de tenir le coup face à ce fou…
Nous avons passé un super weekend de détente avec Marc, le jour de sa présentation est arrivé nous nous dirigeons vers la librairie dans le centre ville. Marc porte un costume sans cravate, relaxe. Moi j’ai une jupe tailleur bleu marine avec un chemisier blanc laissant transparaitre mon soutien gorge à dentelle blanc, avec des talons.



Arrivé sur place nous sommes accueillis par madame Benaissa, elle nous salut avec un grand sourire et nous accompagne jusqu’à l’emplacement prévu pour la présentation du livre de Marc, il n’est pas le seul écrivain convié à cette événement.
Je me suis positionné en retrait de Marc pour le laisser tranquille avec les lecteurs passant à sa table, de plus en plus d’hommes arrivent à sa table, mais j’ai l’impression qu’ils me regardent avec prestance.

Tout à coup madame Benaissa m’interpelle :

- Amy !!

- Oui madame ?

- Je souhaiterais vous présenter mon ami propriétaire de cet librairie.

- Avec plaisir madame.

Nous nous sommes mis en direction du fond de la librairie.

- Vous avez attiré l’attention à la table de votre mari.

- Comment ça attiré l’attention ?

- Les femmes occidentales et d’autant plus blondes sont très convoitées dans notre pays, soyez vigilante.

- Merci pour votre conseil madame.

Pensais-je avec tous ce que m’a fait subir son mari.

Nous avons grimpé un escalier, arrivé à l’étage. Madame Benaissa a frappé à la porte en bois sculpté de ce qui semble un bureau.

- Entrez !!! Nous a indiqué une voie d’homme.

- Haaaaa !!! Ma chère Fadila.

Nous sommes dans un bureau avec principalement des bibliothèques, l’homme se lève de derrière son bureau à notre arrivée.

- Amy je vous présente Fadel Boussouf, Fadel je te présente Amy Leroux.

C’était un homme la cinquantaine, un bon ventre pas très grand avec des lunettes rondes, les cheveux gris dégarnis avec le collier de barbe gris et blanc, habillé d’un costume gris et d’une chemise blanche bien tendu il a des auréoles sous les bras, sa veste est posé sur le dossier de sa chaise.

- Enchanté Madame Leroux.

- Enchanté Monsieur Boussouf.

- Amy vous connaissez déjà mon mari.
Pointant du doigt à ma surprise un canapé sur la gauche de la pièce.

- Oui.

Je réponds en regardant Benaissa assit dans le canapé me reluquant avec toujours le même sourire.

- Le mari d’Amy présente un roman aujourd’hui dans ta librairie. Ajoute madame Benaissa.

- Ah !! Très bien, ravi de vous accueillir.

- Merci à vous Mr Boussouf.

- Asseyez-vous. M’indique Mr Boussouf, montrant du doigt le canapé ou est Benaissa.

Je me dirige vers le canapé et m’assoie en croisant les jambes sur le canapé cuir marron trois places, à l’opposé de Benaissa.

- Fadila ne t’attarde pas trop, tes invités vont se demander ou tu es rendu. Indiqua Benaissa à sa femme.

- En effet, je vous laisse à toute à l’heure.

Elle a quitté la pièce, j’étais seul avec les deux hommes. Mr Boussouf est venu se placer face à moi s’asseyant sur une chaise de son bureau, nous étions séparés d’une table basse.

- Puis-je vous offrir un thé madame.

- Oui, merci.

Nous avons discuté, Benaissa était courtois, Mr Boussouf déposait souvent les yeux sur ma jupe surtout quand je décroisai les jambes pour prendre mon thé, je gardais les cuisses bien serrées.
Il commençait à faire chaud dans la pièce, j’ai déboutonné ma veste pour l’ouvrir légèrement, Boussouf discutait avec Benaissa. Contrairement à eux je n’avais pas l’habitude de la chaleur. J’ai fait le geste d’ouvrir et fermé ma veste pour me ventiler et

Boussouf a tendu le bras en me disant avec un sourire amical:

- Donnez la moi, vous aurez moins chaud.

- Non, sa va aller merci.

- J’insiste, vous avez trop chaud. Me dit-il toujours le bras tendu.

- Ok.

Je décroise les jambes sous les yeux de Boussouf, Benaissa ne bouge pas, le coude sur le bord du canapé, je me remets droit pour pouvoir hotter ma veste, en passant mes mains dans mon dos Boussouf a une vue privilégiée sur mon chemisier tendu qui laisse apparaitre mon soutient gorge à dentelle.


Je lui tends ma veste qu’il pose sur le dossier d’une chaise.

A ma demande il m’a servi un verre d’eau, nous avons continué la discussion sur la journée de découverte d’écrivain.

Après une vingtaine de minutes, Benaissa a ajouté :

- Je vois que vous avez encore chaud, ouvrez votre chemisier.

- Non sa va aller.

- J’insiste Madame Leroux, c’est pour votre bien être, on en a déjà discuté.

Encore des menaces. J’ai monté mes mains pour déboutonner le premier bouton, Boussouf avait les yeux rivés sur mon chemisier. Je redescendais mes mains quand Benaissa a ajouté :

- Encore, encore et encore. A chaque fois que je déboutonnai mon chemisier.

J’avais le chemisier totalement ouvert devant les yeux ébahis de Boussouf. Il pouvait voir mes tétons à travers la dentelle de mon soutient gorge.

- Retirez votre chemisier maintenant vous serez plus à l’aise.

Je me suis exécuté et l’ai passé à Boussouf qu’il la posé avec ma veste.

- Fadel c’est vraiment très gentil d’avoir accueilli le mari de madame, j’espéré qu’elle va te récompenser comme il se doit.

J’ai regardé Benaissa avec un regard noir les lèvres pincées.

- Montré à mon ami vos gros seins. »

J’ai passé mes mains dans mon dos, j’ai dégrafé mon soutient gorge, le laissant glissé sur mes bras sous les yeux rond de Boussouf qui à découvert la bouche ouverte mes deux gros seins blanc avec leurs auréoles marron claire. Il a pris mon soutient gorge la regardé avec un grand sourire et la déposé avec mes affaires.
Boussouf est revenu vers moi attendant son cadeau, j’ai courbé le dos mettant ma poitrine en avant, Boussouf est venu poser ses mains sur mes seins la bave aux lèvres en s’esclaffant :

- Qu’elle paire de loche !!! C’est la première fois que je touche une blanche.

Il a commencé à me peloter, à me pincer les tétons en me passant de temps à autre la main dans les cheveux.
Après quelques minutes à me malaxer les seins il a à ma surprise ouvert sa braguette et sortit son pénis tout dur en s’approchant de ma tête.
Cela sentait l’urine et la sueur, dégoutant.

- Non je n’ai jamais fait cela. Dis-je en tournant la tête.

Benaissa a rétorqué :

- Il y a un début à tout.

Benaissa est venu à côté de moi m’a placé sa main dans le dos me poussant, je me suis retrouvé à genoux devant le sexe raide de Boussouf. Benaissa me tenait la tête droite, Boussouf a approché son pénis de ma bouche il la décalotté et immiscé entre mes lèvres.

- Ouvrez la bouche Amy et avalez sa queue.

J’ai légèrement ouvert la bouche Boussouf à , j’avais son gland posé sur ma langue. Benaissa a commencé à faire un geste de va et vient avec ma tête pendant quelques secondes et a ajouté :

- Voila !! Vous voyez ce n’est pas dure.

Boussouf ma demandé d’utiliser ma langue.

- Abib, ton amie elle suce bien.

- Elle a encore beaucoup de chose à apprendre.

Benaissa a passé sa main dans mon dos me caressant, il est descendu sur mes fesses et il a remonté ma jupe il a passé doucement sa main entre mes fesses passant entre mes cuisses, il avait le bout des doigts sur ma vulve, il a écarté ma culotte et introduit un doigt entre mes lèvres.

- Mais c’est humide, elle aime sucer les inconnus.

Entendant cela Boussouf a déboutonné son pantalon le laissant tomber au sol, il a fait de même avec son caleçon en sortant son pénis de ma bouche et il l’a relevé, il a approché ses testicules de ma bouche pour je les lèches. Je me suis approché les poils étaient collés par la sueur, quelle horreur !!! J’ai sortit ma langue et je lui ai léché les bourses.
Benaissa a joué avec mon clitoris il m’a ensuite introduit deux doigt dans le vagin et il a commencé a me masturbé, Boussouf a remit son pénis dans ma bouche pour que je le suce à nouveau.

Benaissa a retiré ses doigts trempés et il est venu me caressé les fesses, il a glissé le long de ma raie pour venir positionner son doigt sur mon bouton. J’ai pris peur :

- Mmmmm, mmm, mm !!!??? Je positionné ma main pour l’empêcher.

Il m’a de nouveau introduit un doigt dans le vagin qu’il a ressortit après quelques allers retours. Humidifié il la présenté devant mon anus, je lui tenais la main mais il n’en n’avait que faire, il fait le tour de mon bouton pour venir forcer sur l’entrée.

- Arrêmmmmmm, nommmm, noommm, nonnmm ???!!!

Je me suis contracté et Bénaissa a rentrant la première phalange.

- Voila, vous voyez rien de méchant. En me disant cela il rentré entièrement son doigt.

Après la douleur, est arrivée une sensation bizarre, j’avais honte de ressentir du plaisir.
Boussouf la vu que le doigt de Benaissa me faisait de l’effet et il a prit ma tête pour accélérer le rythme, il saisi un de mes seins le malaxant fort il a encore accélérer, encore, il s’est tout à coup figé, j’ai senti les spasmes dans sa verge me déversant son sperme chaud dans ma bouche. Il a prit son sexe à la main me déposant ses dernières gouttes de sperme autour de ma bouche.

- Pas de gaspillage Mme Leroux, il faut avaler. » M’intima Boussouf.
- Elle a déjà gouté. » Ajouta Benaissa.

Je me suis exécuté avec dégout, Benaissa a retiré son doigt et il est venu se positionné devant moi la main sur la braguette, je lui ai sommé :

- Non Mr Benaissa, la votre est trop grosse.

Cela lui a juste provoqué un sourire, il a sorti son sexe de son pantalon, même Boussouf était stupéfait par la longueur et le diamètre de sa verge.

- Allez Amy, venez me sucer.

J’ai ouvert la bouche sur se gland énorme pour le gober, j’ai commencé la fellation mais j’avais déjà mal à la mâchoire, j’avais un tiers de son sexe et ma bouche était pleine.
Boussouf est venu derrière moi il m’a saisi mes gros seins, il s’est amusé avec. Il a passé une main dans mon dos pour descendre jusqu’à mes fesses, il rapidement passé sur mes lèvres avant de m’insérer un doigt dans le vagin, puis deux. Il a tourné ses doigts à l’intérieur et il est venu en insérer un troisième.

La bouche pleine je ne pouvais gémir, Benaissa a poussé son sexe au fond de ma gorge, j’étais à deux doigts de vomir, il a sortit son sexe de ma bouche et la levé devant mon visage. »

- Léché maintenant!!

Je me suis approché de ses grosses testicules pleines de poils roux et je les ai léché de toute ma langue.
Boussouf avait trois doigts dans mon vagin qui me masturbait sans relâche. Il n’a put s’empêcher de dire à Benaissa :

- Abib, j’en suis sur qu’avec de l’entrainement je peux lui rentrer ma main dans la chatte.

- Non pas sa Monsieur!!!... ne…

Je n’ai pas eut le temps de finir ma phrase, Benaissa ma remit son pénis dans ma bouche.
Il a accéléré le rythme, j’avais mal à la mâchoire, il a tout à coup positionné son énorme gland sur mes lèvres vidant ses testicules sur ma langue, ma bouche était rempli de sperme. Il m’a fait signe de tout avaler, je me suis exécuté toujours avec le même dégout.

Ils se sont affalés dans le canapé avec un grand sourire pendant que je me rhabillais. J’ai prit la direction de la porte sans dire un mot.

- J’espère que vous repasserez me voir à la librairie Mme Leroux. M’invita Boussouf.

Je suis arrivé dans l’espace librairie, je me suis lavé la bouche avec mon mouchoir et ma bouteille d’eau que j’avais laissé prêt de la table de Marc, j’avais l’entre cuisse tout collant.
Marc c’est tourné me faisant un grand sourire, Il a du faire pas mal de rencontre.
Madame Benaissa c’est dirigé vers moi.

- Amy votre rencontre avec Fadel c’est bien passé ? Il est d’une telle gentillesse !!!

- Très bien madame, je vous remercie. Une douleur à l’anus m’est apparue en lui répondant.

- Je vais en discuter avec Abib pour que vous veniez avec Marc passer un weekend dans notre riad.

- Très bien madame.

Je ne suis vraiment pas pressé de passer un weekend avec eux.

La séance de dédicace terminé Boussouf est venu vers nous, il a discuté avec Marc qu’il l’a remercié pour son accueil, il nous a raccompagné jusqu’à la sortie de la librairie en posant sa main sur le haut de mes fesses.

- En espérant vous revoir bientôt Monsieur Dame.

Je n’ai pas répondu je suis monté dans la voiture, c’est Marc qui a parlé de sa journée pendant le retour. Une fois de retour au riad j’ai passé mon maillot de bain et j’ai filé à la piscine. Marc ma rejoint et ma serré dans c’est bras nous nous sommes embrassé, Je suis descendu le long de son corps baissant son caleçon de bain.
J’ai pris son sexe dur en main j’ai commencé une fellation, la main sur mes cheveux il a tout de suite émis un cri de plaisir, c’est la première fois que je le suçais. Il ne m’a pas demandé pourquoi il s’est laissé aller. Nous avons fini nos ébats dans la chambre.

Pendant les vacances nous sommes retournés en France dans la famille, ce retour aux sources nous a fait un bien fou.
Benaissa n’a pas oublié de me stipuler avant notre départ par message :

- N’oubliez pas de revenir Amy, il serait dommage que vos ébats se retrouve malencontreusement sur internet ou sur la messagerie de votre père Jean-Luc.

Marc bénéficie indirectement de c’est harcèlements sexuels car il me demande maintenant de lui faire des fellations, même en dehors de la maison. Je me suis surprise à me caressé entre les fesses, à stimulé mon anus.

Durant nos vacances en France, j’ai été faire des achats dans un supermarché, je voulais un nouveau maillot de bain, j’ai fais mon choix parmi plusieurs modèles. Je me suis rendu à la cabine d’essayage, commençant à me déshabiller j’ai pu voir dans le miroir que mon rideau était mal tiré, un homme d’environ 60 ans style agriculteur à la retraite me regardai par ce petit passage.
Je me suis bloqué voulant me retourner pour fermer le rideau mais j’ai ressenti une certaine excitation à m’exhiber de la sorte. J’ai continué à me déshabiller sachant ses yeux posé sur mon corps, faisant la joie de ce papy.
J’ai doucement retiré mon soutient gorge laissant tomber mes gros seins devant le miroir, le contraste avec le bronzage les rendais encore plus volumineux, j’ai entendu le souffle de l’homme quand ma culotte est tombé au sol, je voyais dans le miroir ses mains posé sur sa braguette, j’ai essayé deux ou trois maillots avec sensualité prenant du temps à mettre en place mes seins dans les bonnets, il trépignait sur place, je le soupçonne d’avoir éjaculé dans son pantalon, mon spectacle fini il a disparu.

J’ai pris beaucoup de plaisir à m’exhiber.

Après deux semaines en France nous sommes rentrés en Algérie, Je ne sais pas si il avait remarqué mon côté exhibitionniste mais Marc me lançait dans des rapports sexuel à l’extérieur de la chambre, sur le transat de la terrasse, au cinéma il me pelotait. Il tentait de m’amener vers de nouvelle chose, il était à cent lieues de connaitre tout ce que j’ai subi.

Après c’est vacances bien mérité j’ai repris le chemin du bureau, Dans le coin salon nous avons discuté avec Hervé de nos vacances respectives, j’étais avec une jupe grise et un chemisier blanc, décidément je ne sais pas si c’est moi mais Hervé avait les yeux baladeurs, pendant que je consultais mon portable enfoncé dans le canapé, Hervé avait les yeux fixés sur mon entre cuisse.
J’ai fait exprès d’écarter les jambes et de les refermés, il avait une vue sur ma culotte bleu claire, de temps en temps je relevai les yeux, voyant la sueur perler sur son front.

Ce petit jeu terminé je me suis repositionné et lui ai demandé :

- Hervé, avant les vacances vous m’avez parlé d’un bivouac il me semble ?

- Oui en effet, merci de me rappeler, il s’agit d’une formation de survie dans le désert. Elle se déroulera dans 2 semaines.

- Vous allez y participer ?

- Oui, je ne l’ai jamais faite.

Quand je suis rentré au Riad Marc ma annoncé que l’on était invité chez les Benaissa pendant un weekend en fin de mois, on ne peut pas refuser, Marc se poserait des questions sur le pourquoi ainsi que madame Benaissa qui est une personne que j’apprécie.

- Tu pourras donner une réponse positive à Madame Benaissa.

- Ok ma chérie, tu vas faire quoi ?

- Je vais mettre mon maillot de bain et faire bronzette sur le transat.

- Ok

Après quelques minutes en plein soleil, j’ai senti des mains se poser sur mes épaules, mon chéri a commencer à descendre les bretelles de mon maillot une pièce, j’avais maintenant les seins à l’air, il a sorti son sexe de son short et la rapproché de mes lèvres, il y a encore 2 mois j’hésitais à me faire toucher dans la piscine et maintenant je fais une fellation à mon chéri les seins à l’air sur la terrasse.

Aujourd’hui nous prenons la route avec Hervé, en effet c’est le jour de la formation, nous nous rendons à proximité du site d’exploitation, tout les deux nous avons la tenue adéquate pour un cour séjour dans le désert, pantalon et chemise marron clair, un chapeau avec un voile protégeant le coup et des chaussures de randonné montante ainsi que des sous vêtements en coton blanc pour ma part.

Après une heure de route nous sommes arrivés sur le lieu de la formation, en effet c’était en plein désert. Benaissa et le docteur Saadi était déjà présents. Nous nous sommes salués et Benaissa a prit la parole :

- Bonjour tout le monde, je suis content de vous revoir, j’espère que vos vacances ont été reposante. Dans le cadre des formations sécurité, vous allez passer 2 nuits en bivouac avec le docteur Saadi qui est également notre formateur. Je vais maintenant lui laisser la parole.

- Merci Abib, vous allez être formé à la vie en bivouac pendant 2 jours cela pourra vous être utile si il vous arrive un problème de locomotion entre le site d’extraction et la ville ou si vous devez quitter le site en urgence. Vous allez apprendre à monter une tente, faire un feu, apprendre les dangers du désert et plein d’autre choses… Voila pour le programme.

Une fois le briefing terminé nous avons aidé à décharger le matériel de la camionnette avec Hervé, Je pouvais voir Benaissa discuter avec le docteur, il lui a remis une sorte de boite à chaussure qu’elle a mis avec ses affaires personnels.

Benaissa a de nouveau pris la parole :

- Je vous laisse avec le docteur Saadi et vous souhaites une bonne formation.

Cela confirmait ce que j’avais cru comprendre et c’est une bonne nouvelle il ne va pas être présent à cette formation, j’ai regardé Hervé avec un grand sourire qu’il ma rendu.
Benaissa parti nous avons commencé directement la formation sous les consignes du docteur Saadi, en montant la tente.

Une petite heure plus tard notre petite maison de toile était montée avec deux chambres séparées d’une moustiquaire et un hall avec un appentis, le docteur et moi nous avons monté notre lit de camps dans une chambre et Hervé dans l’autre.

Le soir arrivé nous avons fait un feu, tout en mangeant le docteur Saadi nous as présenté les animaux présent dans le désert avec leurs dangerosités respectives ainsi que des consignes de survis.
Hervé fatigué nous a quitté pour rejoindre la tente, trente minute plus tard j’ai fait de même

Une fois installé sur mon lit, dans le noir, je souhaitais faire un brin de toilette. J’ai ouvert ma chemise et je l’ai retiré, par souci d’économie d’eau il n’y avait pas de douche, logique. J’ai donc pris un gant de toilette.
Après quelques minutes mes yeux étaient habitués à l’obscurité, je voyais Hervé sur son lit grâce à cette mince moustiquaire qui nous servait de cloison, je suppose qu’il me voit aussi, je ne peux tout de même pas voir ses yeux.
Le gant de toilette légèrement imbibé d’eau j’ai commencé à le passé sur mon corps, j’ai entendu bouger quand j’ai passé le gant sur mes seins, j’ai compris qu’il me regardait, j’ai fais l’innocente et j’ai sorti doucement ma main du bonnet j’ai remit de l’eau sur le gant pour le passé sur mon ventre, j’ai ouvert les boutons de mon pantalon, j’ai glissé le gant de toilette dans ma culotte et j’ai commencé à me lavé, j’ai entendu respirer fort et plus rien. Je rigolais intérieurement à la situation.

- Tu es un cochon Hervé. Pensais-je avec sourire.

Je me suis couché, j’ai eut froid pendant la nuit et les nuits en bivouac ne sont pas d’un grand confort. Je me suis réveillé fatigué, nous avons continué la formation de façon ludique, on s’est promené dans le désert avec les informations intéressantes du docteur Saadi.
La soirée arrivée j’ai mangé rapidement et j’étais la première à me coucher, trop crevé.
Le docteur Saadi nous a conseillé d’enlever nos vêtements pour dormir pour augmenter la chaleur dans le sac de couchage, j’ai tout de même gardé un tee-shirt. Très tôt le matin, le jour se levais j’ai été réveillé par une sensation bizarre.
J’ai passé ma main dans mon sac de couchage et stupeur !!! Il grouillait de bestioles, je suis devenu blanche.

- Docteur, docteur, au secours. Docteur ! Docteur !! Au secours !!!!!

Mon appel a réveillé le docteur Saadi.

- Mais que se passe-t-il Amy ???

- Mon duvet est rempli de bêtes !!!! Au secours docteur.

Le docteur s’est habillé rapidement et est venu à côté de moi, le remue ménage a réveillé Hervé.

- Que se passe-t-il mesdames ???

- Amy a une bête dans son couchage, venez m’aider !!!

Ils étaient de part et d’autre de mon lit de camp, je sentais bougé sur tout mon corps. Le docteur Saadi a saisi la fermeture éclair et a ouvert doucement mon sac de couchage, elle a ouvert et Hervé la basculé vers lui.

Avec stupeur j’ai put voir que mon corps était couvert de petits cloportes d’environ deux centimètres, j’ai mit la main sur ma bouche, les yeux ébahis, il me montait maintenant sur le visage et dans les cheveux, la main toujours sur la bouche je me retenais de crier.
Hervé était de marbre stupéfait.

- Ce sont des porcellio, une sorte de cloporte, on va vous les enlever ne bougez pas, Hervé aidez moi à les chasser.

- Oui très bien docteur.

Ils se sont mis à balayer mon corps avec leurs mains et c’est la que je me suis calmé et rendu compte que j’étais en sous vêtements avec un tee-shirt avec Hervé qui me touche le corps. Il prenait son temps a bien me nettoyer de c’est bestioles.

- Hervé aidez moi nous allons retirer son tee-shirt, il faut les chasser se sont des parasites.

En effet mon tee-shirt en était rempli ils me l’ont retiré et ils ont continué à me nettoyer soigneusement, j’étais maintenant en sous vêtement devant eux et j’essayais de ne pas le montrer mais j’aimais sentir c’est mains se balader sur ma peau.
Le docteur a soulevé un des bonnets de mon soutient gorge et des bestioles en son sortis.

- Désolé Amy mais je vais devoir le retiré.

- Vous êtes obligés ?

- Oui car si ils vous piquent, sa peut être grave.

- Ok alors...

Elle a passé sa main dans mon dos et dégrafé mon soutient gorge, Hervé avait les yeux tout ronds et les lèvres humides. Elle a saisi les bretelles et retiré mon soutient gorge, Hervé avait les yeux rivés sur mes deux gros seins blancs, il a retiré des cloportes posé sur mon téton tout en le frottant du bout de l’ongle se qui ma donné un frisson dans le dos.

Il a prit mon sein à pleine main, la soulevé et retiré des parasites, il la discrètement malaxé, la main tremblante et la reposé en ne les lâchant pas des yeux. Pendant que le docteur s’occupait de mes jambes, il a prit mon autre sein en main pour vérifier qu’il n’y avait pas d’autre cloportes tout en faisant le tour de mon auréole avec le bout de son doigt, j’ai brièvement fermé les yeux et il l’a vu.
Hervé essayait de dissimuler son érection en posant ses mains sur son pantalon mais en vain.

- Hervé venez m’aider, nous allons vérifier son entre jambes, je vais retirer sa culotte.

- Non s’il vous plait docteur.

- Je suis désolé Amy, nous sommes dans le désert, je dois intervenir tout de suite. Si les cloportes rentrent à l’intérieur ils peuvent pondre et cela serait catastrophique.

J’ai soulevé mon bassin et le docteur Saadi à saisi les deux cotés de ma culotte, la tirant vers elle, laissant apparaitre ma toison puis ma vulve.

- Hervé tenez lui les cuisses écartées, je vais lui retiré les porcellio pris dans ses poils.

Hervé à genoux à mes côtés me voyait totalement nu, il était sur excité par cette vu, il se masturbait à travers le tissu de son pantalon. Le docteur Saadi saisissait un à un les cloportes sur mon sexe.

- Voila, Hervé maintenez lui bien les cuisses écartées je vais maintenant regarder dans son vagin.

- Mais ! Je ne ressens rien à l’intérieur, docteur.

- Désolé Amy, je ne dois rien laisser au hasard ! Je n’ai pas le matériel adéquat, je devoir procède à la main.

Hervé c’est légèrement relevé pour bien voir ma vulve, le docteur Saadi a immiscé son majeur entre mes lèvres faisant des allers retours, j’ai immédiatement senti l’excitation monter en moi.
Le doigt du docteur c’est humidifié, elle l’a présenté a l’entré et la rentré doucement à l’intérieur de mon vagin, j’ai agrippé les bords du lit tellement l’excitation était forte. Ne pouvant atteindre le fond elle m’a introduit un deuxième doigt puis un troisième, les doigts trempés elle a effectué des rotations à l’intérieur.

J’ai basculé la tête en arrière, le souffle court, la poitrine gonflée.
Hervé a descendu sa main sous le lit pour ouvrir son pantalon et sortir son sexe.

- Je n’arrive pas à aller totalement au fond, j’espère que je ne vais pas vous faire mal Amy, courage.

Devant les yeux ébahis de Hervé elle a ressorti ses doigts de trois quart et elle est de nouveau rentré mais avec son petit doigt et son pouce tout en refermant sa main en cône, elle a effectué plusieurs rotation tout en poussant, mon vagin était une vrai fontaine et d’un coup sec sa main est entièrement rentrée dans mon vagin, je n’ai pas pu me retenir, l’orgasme ma saisi :

- HAAAaaa !!! Je me suis cambré.

- Soutenez la Hervé.

Hervé a positionné sa main sur mes côtes et il me caressait le sein avec le pouce, remontant de temps autre sa main pour le peloter, tourné vers moi je voyais son petit sexe poilu et raide.
Le Docteur avait la main et le poignet entièrement dans mon vagin, on entendait les bruits de clapotis, après m’avoir entièrement visité le vagin elle a retiré sa main trempée et gluante.

- Sa me semble ok je vais chercher de quoi vous laver, Hervé surveillez la bien.

- Oui, n’ayez crainte.

Elle s’est relevé et est sortit de la tente, Hervé n’a pas pu se retenir, la main sur ma cuisse il est descendu vers ma toison, j’avais encore le souffle court.
Sa main s’est posé sur ma toison brune et a glissé sur ma vulve. Il a glissé un de ses doigts entre mes lèvres dégoulinantes pour me l’introduire immédiatement. Dès qu’il a commencé à me masturbé j’ai émis des petits cris d’excitation, de l’autre main il m’a saisi un sein pour le malaxé fortement.

- Votre corps est superbe, désolé je n’ai pas pu me retenir. M’a-t-il dit en m’enfonçant un deuxième doigt.

- Ha, ha, ha.

Il a accélère et j’ai eut un nouvel orgasme.

Hervé c’est redressé frottant sur gland sur ma main, j’ai saisi sa queue et commencé à le masturber, au bout de deux minutes il était en sueur, J’ai senti son membre se raidir brusquement et des spasmes le traverser, il a éjaculé sur mon avant bras. J’ai continué à la masturber doucement pour finalement passer mon pouce sur son gland pour retirer la dernière goute de sperme.

On a entendu le docteur approché, il a revêtu son pantalon.

- Voila de quoi vous laver Amy, Hervé on va laisser Amy se remettre de ses émotions.

Une fois lavé et habillé je me suis présenté à eux, le docteur Saadi nous a fait un débriefing comme si rien d’exceptionnel ne c’était passé pendant la formation. Après avoir tout rangé Hervé et moi nous avons reprit la route.
Pour éviter le mal être pendant l’heure de trajet j’ai fermé les yeux et je me suis endormi rapidement, arrivé au bureau Hervé ma délicatement réveillé.

Nous avons monté les marches jusqu’au bureau en silence. Une fois rentré j’ai demandé à Hervé :

- Pouvez vous me servir un café Hervé, je vais me changer je reviens.

Une fois dans mon bureau je me suis entièrement déshabillé et de nouveau lavé avec des lingettes. Je n’ai pas de sous vêtements de rechange j’étais donc nu sous la robe blanche que je venais d’enfiler.

J’ai rejoins Hervé et je me suis assise à côté de lui dans le canapé, face au café qu’il venait de me servir.

- Toutes mes excuses pour ce qu’il s’est passé ce matin, si vous voulez porter plainte contre moi je le comprendrai.

- Non Hervé, je ne ferais rien de la sorte et cet événement était prémédité !

Il ma regardé surpris et je lui expliqué ce que je subissais depuis mon rencontre avec Benaissa.

- Je suis persuadé que le docteur Saadi est complice de ce fou et que c’est elle qui a mit les cloportes dans mon sac de couchage.

Je suis partie à pleurer en expliquant les différentes humiliations qui Benaissa ma fait subir. Je me suis blottie dans les bras Hervé en pleure.

Il a mit ses mains dans mon dos et la frotté en guise compassion et il a constaté que je ne portais pas de soutient gorge, il a descendu sa main sur ma hanche constatant l’absence de culotte.

Serré contre Hervé j’ai senti son érection à cet instant j’ai pris une décision radicale, je savais pertinemment que Benaissa n’attendait qu’une chose, c’est d’avoir une relation sexuelle avec moi et me faire un .
J’ai donc pris mon courage à deux mains et je suis descendu le long du ventre à Hervé j’ai passé ma main sur sa cuisse et je suis venu saisir son pénis à travers son pantalon commençant à le frotter.

Il a relâché son étreinte et c’est mit dans le fond du canapé, j’ai défait sa ceinture et ouvert son pantalon je lui ai retiré le laissant tombé sur ses chevilles, il me regardait la bouche ouverte. J’ai saisi son slip orange taché par deux jours de bivouac et lui ai descendu sur son pantalon.

Sa petite queue tendue devant moi ses petits testicules perdus dans ce buisson de poils brillants de sueur.

Je me suis relevé et j’ai retiré ma robe m’asseyant nu à côté de lui, il s’est penché il a saisi mon sein et ma léché le mamelon en faisant le tour avec sa langue, sa main est descendu sur mon ventre rentrant dans ma toison brune, j’ai écarté les cuisses, il s’est immiscé entre mes lèvres jouant avec mon clitoris, c’est gestes étaient tendres et doux.

J’ai déboutonné sa chemise et l’ai lui enlevé laissant apparaitre son gros ventre poilu. J’ai posé ma main sur son torse, m’entre lassant les doigts dans les poils je suis descendu sur son bas ventre pour terminer ma course sur son pénis que j’ai saisi, je me suis penché pour embrassé son ventre ensuite son nombril.

Hervé a compris que j’allais le sucer, les yeux fermés avec un grand sourire il s’est mit à l’aise dans le canapé.
J’ai décalotté sa queue, l’odeur de deux jours de bivouac était tenace entre urine et sueur, après un haut le cœur j’ai posé la bout de ma langue sur son gland j’ai senti l’éclair passé dans son corps, j’ai pris son sexe en bouche commençant la fellation, il faut que j’y aille doucement, il ne faut pas qu’il éjacule maintenant j’ai besoin de sa semence.

Sa main est descendu dans mon dos, je l’entendais respirer fort, il est passé entre mes fesses, il a joué avec ma vulve, son doigt s’humidifiant il l’a inséré dans mon vagin doucement.

Après cinq minutes j’ai cessé la fellation pour éviter l’éruption intempestive, je me suis relevé me positionnant dos à lui au dessus de son pénis, je l’ai saisi et je l’ai présenté à l’entré de mon vagin, m’asseyant dessus il s’est introduit sans difficulté.
Hervé ma saisi mes deux seins les malaxant avec entrain, je remontais et descendais sur son pénis sentant sont souffle soutenu sur mon dos. Après quelques minutes je me suis allongé sur le canapé, Hervé est venu poser son ventre sur le mien me pénétrant dans la foulée.
J’ai émis des cris de plaisir pour l’exciter et pour qu’il accélère le rythme, sentant sa petite queue se noyer dans mon vagin j’ai accentué ma cadence de plaisir, j’ai positionné mes mains sur ses fesses pour bien le garder en moi, le sentant venir j’ai saisi un de mes gros sein que j’ai caressé.

Cela faisait à peine deux heures qu’il avait éjaculé mais son niveau d’excitation était telle qu’il pouvait faire l’effort, je l’ai senti partir, j’ai repositionné ma main sur sa fesse, il s’est tendu, ses fesses se sont contracté et dans un orgasme finale et un cri de plaisir j’ai senti sont sperme chaud se déverser dans mon vagin.
J’ai maintenu sont pénis enfoncé en moi lui faisant un bisou sur la joue. Après quelques seconde il c’est retiré il m’a caressé les seins, pour ensuite sa rhabiller.

- Amy, j’ai compris pourquoi vous vous êtes offerte à moi, vous êtes si belle, pourquoi moi?

- Vous êtes un ami digne de confiance et d’une grande gentillesse et je ne vous cache pas qu’il est dur de trouver un occidentale dans le coin. Il a rigolé.

La semaine suivante il m’a prise sur mon bureau me déversant son sperme en grande quantité.

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