Les Seins De Natacha

LES SEINS DE NATACHA

Cette histoire me concerne aussi même si j'ai beaucoup brodé pour en faire ce
récit. Voici les personnages : moi, Hélène; Julien, mon mari; Natacha une cousine de
son côté; les autres invités.

C'était à une époque où nous pouvions profiter de la maison d'une vieille
tante qui n'y vivant plus, nous la prêtait pour y faire des barbecue le dimanche
après-midi. Ce n'était pas très loin de chez nous. A peine une heure et c'était la
campagne. Il y avait aussi un bois derrière la maison.

Ce dimanche-là, nous étions une demi-douzaine : les trois principaux
protagonistes et trois amis qui venaient souvent avec nous. C'était aussi en été et
nos s étaient en colonie de vacances. Il était onze heures du matin et mon mari
était chargé d'allumer le feu pour le barbecue. Natacha a dit qu'elle étouffait et
qu'elle allait faire un tour dans la forêt en attendant qu'on déjeune et j'ai dit à
mon mari d'aller avec elle, ajoutant pour plaisanter que je n'avais pas envie que sa
cousine s'égare et aussi pour qu'elle n'y rencontre pas le loup.

Quelqu'un d'autre s'est proposé de préparer le feu et mon mari a rejoint sa
cousine. Je ne l'avais rencontrée qu'une fois, il y avait très longtemps et lors d'un
mariage et je l'avais oubliée et nous l'avions retrouvés quelques semaines plus tôt,
lors d'un enterrement et j'en avais profité pour l'inviter à passer ce dimanche avec
nous.

Elle avait beaucoup changé parce qu'elle était beaucoup moins grosse - je veux
dire beaucoup plus mince - la première fois et maintenant, elle était grosse même si
elle avait toujours le ventre plat et le reste... acceptable chez une femme un peu
trop forte. Mon mari a disparu dans le bois avec sa cousine et maintenant, c'est moi
qui imagine.

Ils ont marché côte à côte dans le chemin pendant un bon quart d'heure,
parlant de chose et d'autre, comme par exemple le départ du mari de Natacha et son
divorce qui s'en était suivi.

Ah, le prénom de Natacha, à cause d'une de ses grands-
mères venues de Russie après la Révolution de 1917.

Ils sont arrivés au ruisseau qu'elle a pris pour une source, alors qu'au
printemps, ce n'est qu'un gazouillis dans cette petite clairière au milieu du bois.
Natacha a voulu boire mais mon mari l'en a empêché et elle a mouillé le haut de sa
robe, le tour de son décolleté colmaté par une dentelle qui laisse à peine deviner la
naissance de ses énormes seins.

Mon mari lui a dit qu'elle allait mouiller sa robe, mais elle n'en a eu cure
et elle s'est abondamment mouillée et je pense qu'il a passé tout ce temps à mater son
cul, ses cuisses qui disparaissaient sous la robe puis quand elle s'est retournée, il
lui a demandé de lui montrer sa poitrine. Natacha a dit que c'était un coquin et elle
lui a rappelé qu'elle a cinq ans de plus que lui, qu'il avait déjà essayé de
l'embrasser sur la bouche quand ils étaient adolescents, mais mon mari a insisté.

Je sais très bien qu'il a insisté parce qu'à la plage, il passe son temps à
observer les femmes qui font bronzer leur poitrine et que parfois, j'ai beau lui
parler, il ne m'entend pas et ce n'est pas difficile de voir que ce qui l'attire c'est
une femme avec de gros seins.

Il insiste tellement, même si elle lui oppose qu'il est marié, que je suis là,
avec les autres, à la maison, qu'elle ne veut pas. Elle lui raconte même que son mari
est parti parce qu'elle a beaucoup grossi et qu'il préfère les femmes fluettes. Il lui
rétorque qu'elle était fluette, à l'époque des baisers mais il insiste et elle finiT
par céder. Les femmes finissent toutes par lui céder. Elle baisse le haut de sa robe
sur ses bras puis elle entreprend de dégager sa poitrine de sa robe. Maintenant, elle
est en soutien-gorge. Moi, j'aimerais bien savoir ce que ça fait comme taille, ses
bonnets.
G, GG, GGG ? Est-ce que ça existe du H ?

Natacha reste sans rien dire devant mon mari. Ses seins cèdent sous leur poids
et ils s'aplatissent aux attaches. Ses aréoles sont ovales. Un ovale très allongé au
milieu desquelles ses mamelons apparaissent très peu. Je m'en doutais un peu. Mon mari
lui demande de pouvoir toucher sa poitrine. Elle refuse. Elle résiste mais sa cousine
finit par accepter car après tout, qui lui caresse les seins ? Elle ? Oui, elle aime
bien se caresser les seins quand elle se masturbe. Je suis sûre qu'elle a plusieurs
godes elle aussi. Et un plug anal qu'elle s'enfonce dans le cul quand elle se promène.
Elle devait l'avoir le jour de l'enterrement parce qu'elle avait une démarche trop
fière, celle de gens dont on dit qu'ils ont un balai dans le cul !

Je le vois mon mari. Il soupèse les seins et il tourne autour de sa cousine
pour les soupeser par derrière parce qu'il aime bien soupeser les miens comme ça quand
il me prend debout quand il m'encule. Je marche devant lui sur la pointe des pieds
parce que je suis petite. Je marche devant lui et comme ça c'est plus facile pour me
sauter ! Je marche et il marche derrière moi et je reste empalés. Il me traite de
putain. Il me dit ce que je serais quand je me retrouverai dans un bordel. Que j'y
serais les seins nus à provoquer les clients jusqu'à ce que l'un d'eux demande à
monter dans une chambre. Je marche devant le client qui m'a choisi et la main en
arrière, je déboutonne son pantalon et je sors sa bite que je commence à branler.
Celui-ci, je ne l'ai jamais aimé parce qu'il ne me parle que pour me traiter de pute.
Tu es une pute, fait ceci ! Tu es une pute, fais cela ! Pute, suce-moi ! Je n'ai plus
qu'à m'agenouiller sur le tapis et j'avale la bite et je la suce. Pute, continue à me
sucer et masturbe-toi en même temps ! J'obéis toujours parce qu'il va dire à la
maîtresse que je me rebelle et elle va me fouetter les seins et la chatte en martelant
que je n'ai rien à moi et que je ne suis qu'aux clients.


Pute, allonge-toi sur le lit sur le dos et continue à te masturber ! Je
m'allonge et je me masturbe pendant qu'il se déshabille. Pute, mets-toi à quatre
pattes sur le lit et fait pendre tes seins ! J'obéis. Ce n'est pas la première fois
qu'il me fait faire ça. Il sort une aiguille de sa veste et il l'enfonce dans mes
seins. Il l'enfonce jusqu'à ce qu'elle ressorte de l'autre côté. Il ne le fait jamais
qu'une fois, au hasard, dans le sein gauche ou le sein droit. Après, il m'encule parce
qu'il ne m'a jamais qu'enculée et quand il a fini, il récupère son aiguille et il s'en
va sans me dire un seul mot. Je mets de l'alcool si j'en ai ou de l'eau de Cologne. Je
ne dois pas me plaindre, d'autant plus que les autres filles subissent parfois des
sévices plus douloureux.

Quand la maîtresse nous punit, c'est toujours après la fermeture du bordel,
quand nous avons envie de dormir, enfin. La fille qui doit être punie monte sur un
banc et toutes les autres sont autour pour profiter de la leçon et la maîtresse donne
le premier coup de fouet. Sur la chatte et sur les seins puis elle passe le fouet et
les filles, l'une après l'autre, continueny la punition. ment, après une douzaine
de coups, les seins sont douloureux et la chatte encore plus et la fille n'aura plus
que quelques heures pour récupérer parce qu'elle devra être prête quand le bordel
rouvrira. Sa chatte courroucée devra être prête pour les bites et les doigts et ses
seins pour les baisers.

Natacha se laisse faire. Ça lui plaît de se faire tripoter la poitrine. Elle
espère peut-être que mon mari va lui proposer de s'accoupler avec elle. Elle n'a
jamais eu d's et j'aimerais bien qu'elle perde son ventre plat qui me provoque.
Elle lui dit qu'il faut qu'ils rentrent, qu'il est midi passé, qu'on va les attendre.
Elle a renfilé son soutif mais elle a du mal à remettre ses gros seins dans les
bonnets ! Je connais ça, moi aussi ! Le plaisir, ça fait gonfler la chatte, mais ça
fait aussi gonfler les nichons.
Elle glisse ses doigts pour espérer y arriver. Elle
coince son mamelon entre deux doigts. Elle le met au bout du bonnet et elle fait la
même chose pour l'autre sein puis elle rajuste sa robe.

Elle ne s'attendait pas la salope, a ce que mon mari passe la main sous sa
robe et qu'il pose ses doigts sur ses cuisses, qu'il les enfonce jusqu'à toucher sa
chatte. Il écarte le tissu de la petite culotte. Il faut pas, lui dit-elle,
l'hypocrite ! Elle n'attendait que ça depuis tout à l'heure ! Elle n'attendait que ça
depuis qu'elle a retrouvé son cousin. Je l'ai vue dans le cimetière ! Elle l'aurait
bien fait sur la pierre tombale ! Elle proteste encore mais c'est pour protester. Elle
se penche en avant. Mon mari l'attrappe par les hanches et il enfonce son dard. Le
bourdon dans l'abeille !

Elle aime la queue et j'ai toujours su que c'était une vicieuse. Elle aime la
bite. Surtout quand c'est celle de mon mari ! Salope ! Jamais il n'a autant bandé pour
moi ! Ses bourses s'écrasent sur sa chatte mais je me doutais que ça serait très
rapide. J'ai tant reproché à mon mari de ne pas savoir se contrôler. Voilà ! En deux
minutes, en à peine deux coups, le sperme a rempli le vagin de Natacha.

Ce cochon voudrait bien rester. C'est bon et c'est chaud là dedans mais elle
se démène. Le sperme s'écoule sur ses cuisses. Elle prend des feuilles pour s'essuyer
mais elle n'a pas vu qu'il y avait aussi des feuilles d'ortie. Ça la brûle. Elle hurle
et elle se frotte encore plus parce qu'elle ne comprend pas et Natacha finit par avoir
un orgasme. Maintenant, c'est mon mari qui l'encourage à rentrer. Elle marche mais ça
continue à la brûler. Elle se touche. Elle se frotte au travers de sa robe mais ça ne
change rien.

Je les vois arriver. Les premières saucisses sont en train de griller. Ils
s'assoient le plus loin possible l'un de l'autre. S'ils croient que je ne sais pas !
Elles sont petites, tes saucisses, dit quelqu'un ! On aurait préféré des Morbier, lui
répond une voix féminine ! Je finis par comprendre. Je m'assois à côté de Natacha et
je lui dis que moi aussi, je préfère les grosses saucisses et elle me répond qu'elle a
toujours rêvé de se faire défoncer par Rocco Siffredi. Je rougis. Elle me raconte
qu'elle a fait pipi dans l'herbe et qu'elle n'a pas vu qu'il y avait un pied d'orties
et que ça la gratte. Elle ajoute que mon mari est chiant parce qu'il est toujours
devant. Je lui demande où ils sont allés. Oh, jusqu'à la cabane et nous sommes
rentrés.

Je sais quel temps il faut pour aller à cette cabane et le temps qu'il faut
pour rentrer et je calcule que ça fait juste le temps qu'ils ont été absents et qu'ils
n'ont pas pu s'arrêter un instant. Natacha me demande si je n'ai pas une crème qui
pourrait calmer son prurit. Il y a bien ces produits anti-moustiques qu'on a laissés
dans ce qui sert de salle de bains. Je l'accompagne. J'aligne devant elle les
produits. Elle retire sa petite culotte et elle soulève sa robe. Elle me demande même
si ça ne me gêne pas de rester avec elle. Elle se met de la crème sur le bout d'un
doigt et elle s'en met là où elle souffre. Natacha lève son regard vers moi et elle me
dit qu'elle a l'impression de se masturber et si ça me fait mal, je me mets à rire et
elle rit elle aussi.

Tu sais, ajoute-t-elle, je n'ai pas de bonhomme et j'aime bien ça ! Il n'y a
pas de raison de ne pas se faire du bien, non ? Je suis bien d'accord mais je suis
aussi désarçonnée et je le suis encore plus quand elle me confie que les seules fois
où elle fait l'amour c'est avec une femme qu'elle fréquente. Je lui demande si elle
est lesbienne. Natacha me sourit encore puis elle me dit qu'elle n'est pas amoureuse
mais que ça lui fait du bien d'être avec elle. Elle me demande si je l'ai déjà fait
avec une femme moi aussi et moi je lui avoue tout bonnement la vérité, que les
premières fois c'était en secret mais qu'un jour son cousin m'a demandé si je voulais
faire l'amour avec une femme, et que c'était pendant des vacances et qu'il m'en a
choisi une et que j'ai eu en charge de la draguer puis quand ça s'est fait, je l'ai
fait sous les yeux de son cousin.

Ça t'a plu, au moins, m'a demandé Natacha ? Elle a tout de suite ajouté
qu'elle n'avait jamais pensé que ce put être aussi agréable, du moins plus agréable
qu'avec son ancien mari puis elle a ajouté qu'elle aimait bien la bite et que ça lui
manquait mais que son amie avait vu un peu grand mais qu'elle aimait bien qu'elle la
défonce avec un gode bien trop... grand qu'elle lui enfonce même dans l'anus !

Je lui ai demandé si elle voulait que je l'aide. Elle s'appuyait d'une main au
lavabos et de l'autre, elle se massait la vulve. Natacha m'a demandé si ça me plairait
de l'aider et comme je n'ai pas répondu, elle m'a pris la main et elle l'a guidée
entre ses cuisses et elle a ajouté qu'avec des mains comme ça je devais être très
douée puis elle a ri quand elle m'a dit qu'elle était sûre que j'aimais ça moi aussi.
Elle m'a ensuite intimé de la faire jouir. J'ai posé l'autre main sur ses fesses et je
l'ai masturbée. Chérie ! Chérie ! Chérie, m'a-t-elle dit plusieurs fois ! Je t'aime,
chérie ! Continue ! Continue ! Ça vient !

Natacha m'a jouit dans les doigts puis elle s'est essuyée. Quand elle a remis
sa robe en état, elle m'a dit qu'il faudrait qu'on se revoit. Elle a ajouté que je lui
plaisais et qu'elle voulait me lécher la chatte à charge pour moi de lui lécher la
sienne en faisant un soixante-neuf. Elle m'a aussi embrassée sur la bouche en haut de
l'escalier puis nous sommes descendues. Je marchais derrière elle. Attends, lui ai-je
demandé alors qu'elle était sur la dernière marche en bas de l'escalier ! Je l'ai
rejointe et j'ai passé mes bras sous ses bras et j'ai attrapé ses seins. Elle m'a dit
que j'aimais bien les seins et je les ai palpés mais elle s'est vite dégagée. Elle a
tourné la tête vers moi et elle m'a dit que c'était cent pour cent naturel. Natacha a
ajouté qu'elle aimait les miens.

Elle m'a ensuite dit qu'elle avait toujours rêvée d'être une putain pour les
femmes, ce qui l'a fait rire puis nous sommes retournés dans le jardin. Mon mari
discutait avec nos amis. Quand nous sommes rentrés, il m'a demandé qui oserait draguer
sa cousine, qui aurait envie d'elle mais je n'ai pas répondu.

FIN


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