Leslie Vn34

Leslie VN34 – Vacances naturistes, Pierre & Sophie se racontent, suite

Pierre continue le récit :
« Le lendemain nous sommes retournés à l’endroit tranquille, espérant retrouver
Jacques, car la nuit n’avait pas calmée Sophie qui espérait toujours vivre une double
pénétration. »

Sophie tient à compléter le récit de Pierre et dit :
« Me préparant à une double pénétration, avec Pierre nous avions juste pratiqué la
double pénétration avec un gode, acheté par Pierre pour un de mes anniversaires et me
faire connaitre les prémices de la double pénétration ensemble dans l’intimité de
notre couple.
A cette époque, je dois avouer que je n’appréciais pas trop que Pierre me soClairese,
bien sûr de temps à autre je me laissais faire pour lui faire plaisir, mais les
douleurs que je ressentais lors de la pénétration de son membre en moi me privaient de
mon propre plaisir, même si je dois avouer qu’il était prévenant et prenait le temps
nécessaire pour que tout se passe pour le mieux.
Ce soir-là, une fois au lit, il m’a bien préparé, il m’a caressé partout comme il sait
si bien le faire, puis il a sorti le gode, par trop gros d’ailleurs, et pendant qu’il
me léchait le clitoris, il a mouillé le bout du gode et l’a présenté à l’entrée de mon
sexe.
Il l’a ensuite enfoncé en moi et de plus en plus profondément, cette double caresse
m’a procurée beaucoup de plaisir.
Ensuite, il a remplacé le gode par son sexe, j’ai trouvé cette nouveauté sublime et
j’ai jouis aussitôt, mais Pierre n’en avait pas fini avec moi.
Il m’a soulevé les fesses et a passé un oreiller dessous afin de me relever les fesses
et que je m’offre un peu plus, j’étais maintenant toute excitée et mouillée de
partout, puis tout en me baisant, Pierre a approché le gode de mon anus et l’a enfoncé
petit à petit entre mes fesses.


J’ai arrêté de bouger tétanisée par la présence du gode dans mon anus, mais je ne
ressentais aucune douleur, j’ai inconsciemment contracté les muscles de mon vagin
autour de son sexe et celui de mon anus autour du gode.
J’ai jouis, par cette impression d’être remplie de part et d’autre et peut-être plus
par mon petit trou d’ailleurs.
Ce gode est devenu un compagnon de jeu, remplacé peu de temps après par un autre un
peu plus imposant, je m’habituais petit à petit à ces intrus qui remplissait mon trou
du cul.
Moi qui ne goûtais pas trop la soClairee, maintenant elle est devenue une pratique
régulière, au fil du temps j’ai accepté des godes de plus en plus volumineux et
maintenant, être enculée par Pierre me met dans tous mes états. »

Pierre reprend le cours de son récit :
« Jacques est déjà là, nu sur sa serviette.
Je jette un œil sur son bas-ventre et je m’aperçois qu’il bande, Sophie elle aussi à
remarquer, pétillante de malice, elle lui dit :
- Je vois que tu es en pleine forme aujourd’hui.
- Oui, réponds Jacques, rien que de penser à toi me met dans cet état,
d’ailleurs aujourd’hui j’ai tout prévu.
Il nous désigne une petite sacoche près de lui, nous faisant savoir qu’aujourd’hui il
s’est équipé.
A la vue du sexe de Jacques bandé, Sophie devient intenable, elle se sent toute drôle
et pense déjà à son fantasme, d’ailleurs elle nous dit :
Rien que de penser que j’ai deux hommes pour moi, je mouille déjà.

Sophie arrête son homme et son homme et lui dit :
- Je vais continuer, j’en mouille déjà !
Et elle reprend :
« J’ai dit à Jacques :
Tiens constate l’effet que tu me fais !
J’écarte les cuisses au-dessus de lui pour lui présenter ma chatte lisse et combien je
suis mouillée.
Jacques touche ma vulve du bout de ses doigts et s’aperçoit de mon émoi, il commence à
me caresser la vulve, tandis que Pierre dans mon dos me caresse les seins dont les
pointes se dressent.

Jacques se trouve en face de moi et je vois son pénis qui durcit et se dresse.
Pierre me dit :
- Tu ne vas pas le laisser comme ça !
Je m’allonge de façon à pouvoir prendre le sexe de Jacques entre mes lèvres et qu’il
puisse me doigter la chatte, au contact de la main de jacques sur mon intimité, je ne
peux pas m’empêcher d’écarter les cuisses.
Mon excitation grandit, je vais vivre ma première double pénétration, courbée et
cambrée sur le sexe de Jacques que je suce avec avidité, j’offre mon cul à Pierre qui
en profite pour me lécher l’anus.
La caresse de Jacques, qui me titille le clitoris et la langue de Pierre qui vile mon
fondement, m’excite au plus haut point. Pierre décide de me pénétrer, certainement
pour avoir la priorité, mais je lui demande de s’allonger, comme hier, et je m’empale
sur son sexe bien érigé, mais présentant maintenant mon trou du cul aux velléités de
Jacques.

Juste le temps pour lui d’enfiler une capote en disant :
- Ouvres bien tes fesses !
Je prends mes fesses à deux mains et les écarte et je m’incline vers l’avant, lui
présentant indécemment mon anus qui frétille de désir.
Il se positionne derrière moi et je sens un de ses doigts pénétrer mon anus, cette
sensation m’excite et je lui dis :
- Encules-moi !
Il présente son sexe devant mon petit œillet qui s’ouvre sous sa poussée. Comme je
suis bien mouillée, la pénétration anale se passe sans problème.
Jacques débute par des allers et retours très doux, puis accélère petit à petit en
s’enfonçant de plus en plus en moi, quelle sensation fantastique, quelle jouissance de
se sentir remplie des deux côtés.
Je réalise enfin mon rêve et je jouis, sans même bouger, je sens mes deux amants bien
durs dans mes orifices, mais je constate qu’il n’est pas facile de bouger à trois en
même temps, alors je me laisse faire.

Jacques et Pierre bougent en moi alternativement et m’empalent bien à fond chacun à
leur tour, puis ils s’enfoncent entièrement en moi ensemble et je sens leur jouissance
exploser au fond de mes deux orifices.
Quel bonheur d’être une femme prisent en même temps pas deux hommes, je jouis et un
orgasme fabuleux s’empare de moi. »

En racontant, les yeux de Sophie se sont mis à briller, le souvenir de cet instant
doit l’a faire mouiller, elle est sans voix et c’est Pierre qui continu.
« Jacques nous propose de venir prendre l’apéritif, le soir dans son mobil-home, nous
acceptons avec enthousiasme et nous rentrons tous les trois nous doucher.
Le soir, vers dix-neuf heures, nous nous présentons au mobil-home de Jacques et
Claire, sa femme.
Jacques prépare la table pour l’apéritif et quand il nous voit, il va chercher sa
compagne. Elle sort avec un plateau chargé d’amuse-gueule.
Elle est brune, pas très grande, avec un air très doux. Jacques fait les présentations
et nous invite à nous asseoir. Nous buvons et mangeons tout en discutant de nos vies,
envies et passions, pour apprendre à nous connaître.
A un moment, Sophie demande, à Jacques et Claire, ce qui les amené à faire du
naturisme :
- J’en faisais déjà avec mes parents quand j’étais jeune, alors j’ai continué
quand j’ai connu Jacques, dit Claire.
- Et moi, c’est avec Claire que j’ai commencé, comme je suis un peu voyeur j’ai
aussitôt apprécié, en plus Claire me laisse vivre cet état et sais que je fais des
photos de femmes.
- Claire, cela ne te gêne pas ? Demande Sophie.
- Non, car je suis aussi un peu comme mon homme, je regarde et photographie
aussi des hommes, quand je pense qu’ils lui plairont.
- Qu’ils lui plairont, je ne comprends pas, demande Sophie.
- En fait, nous sommes libertins, dit Claire, nous fréquentons des clubs privés,
nous pratiquons aussi l’échangisme, j’aime bien, cela casse la monotonie d’un couple
et laisse de bons souvenirs.

Tiens, me dis-je, aurait-il donné des détails sur nos rencontres pour qu’elle nous
parle ainsi si ouvertement.
- Nous aimons bien nous exhiber devant un autre couple en faisant l’amour et en
le regardant faire de même, cela pimente la relation et permet de connaitre les goûts
du couple, en prévision d’un futur échange.
Cette confession nous entraîne sur une discussion plus intime et comme il commence à
faire un peu frais, Jacques nous invite à rentrer dans le mobil-home.
Il nous laisse passer les premiers et quand Claire passe devant lui il en profite pour
lui caresser les fesses discrètement.
Il y a deux canapés dans le salon, Claire nous en désigne un et ils s’assoient sur
l’autre.
Claire me regardant droit dans les yeux dit :
- Vous nous plaisez et il est inutile de se voiler la face et de perdre un temps
précieux, alors si vous êtes disposés nous pourrions nous faire du bien !
Elle est direct et claire, et pour nous prouver qu’ils sont prêts, Jacques commence
par caresser Claire, ils s’embrassent, Jacques descend une main vers les hanches de
Claire, puis il caresse ses cuisses, qu’elle doucement.
Dans notre position, avec Sophie, nous avons une vue sur son bas-ventre, sa toison est
soigneusement taillée très rase en triangle, les lèvres épilées.
- Nous serions heureux que vous fassiez comme nous, dit Claire, enfin si cela ne
vous gêne pas.
Jacques se met à genoux devant Claire et lui lèche le sexe, elle écarte les jambes au
maximum pour lui faciliter la tâche.
De mon côté, j’embrasse Sophie tout en lui caressant les seins, puis elle s’allonge
sur le canapé en tournant la tête vers nos hôtes pour les regarder, je descends ma
main vers son pubis qui est tout mouillé, elle pose sa jambe gauche par terre et
m’attire sur elle. Je la pénètre sans difficulté et tourne aussi la tête vers Jacques
et Claire.
Ils ont changé de place, Claire est à genoux et Jacques la prend en levrette, avec des
mouvements amples et rapides et il l’amène à la jouissance.
Claire se lève et dit à Jacques de s’asseoir, puis elle se tourne face à nous et
s’empale sur le sexe de son amant.
Sophie veut que je la prenne à quatre pattes, elle adore cette position, je m’exécute
avec plaisir en caressant son petit trou, la sentant réceptive, je lui mets un doigt.
Claire nous regarde faire, elle me voit doigter l’anus de Sophie, elle se relève et
présente le sexe de Jacques à son anus, puis redescend lentement pour le faire rentrer
dans son fondement. Dans cette position nous voyons clairement son anus dilaté et ses
lèvres nues, elle se caresse le clito, tout en continuant à monter et descendre.
A sa figure, je vois qu’elle jouit sans discontinuer, puis j’explose dans le corps de
ma bien-aimée qui a déjà joui plusieurs fois. Jacques jouit à son tour et Claire
arrête ses mouvements tout en restant bien empalé sur Jacques.

Après une boisson, Claire nous a dit :
- Nous partons demain matin, et ce serait bien de nous revoir, ainsi nous
pourrions continuer de nous connaître et pourquoi pas…
- Pourquoi pas, rétorque Sophie.
Nous sommes rentrés nous coucher en nous disant à bientôt.
Le lendemain, ils sont partis laissant un petit vide, mais nous allions les revoir
très certainement…

A suivre…

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