L'Emprise Des Sens

L'objet ressemble à un soufflet de fourche de cyclomoteur, avec des saillies arrondies, je ne saurais dire ce que c'était en réalité.
Sa taille de 25 cm x 4 cm, éveille en moi des idées saugrenues, je profite d'un moment seul, pour le nettoyer convenablement, et le cacher dans une mansarde abandonnée au dessus de notre appartement d'immeuble de style 19eme siècle.
J'avais un peu plus de 22 ans, vivait encore chez mes parents, et amoureux fou d'une fille trop ambitieuse, égoïste et arriviste pour moi.
La curiosité et le désir, me tenaillaient depuis longtemps, j'ai prétexté une sortie en ville, puis fait semblant de dévaler les escaliers.
Je remonte discrètement, pour m'enfermer dans le grenier, en bloquant la porte pour ne pas être surpris.
Je défait ma ceinture, que j'enlève entièrement, puis fait de même avec mon pantalon.
Je sors l'objet, et insère un manche de balai dans la partie creuse la plus saillante. de cette manière, l'autre extrémité est beaucoup plus arrondie.
Je sors une noix de beurre récupérée dans notre réfrigérateur, pour l'enduire correctement.
Une fois, le dispositif terminé, je bloque le manche dans le coin du mur, je me positionne à quatre pattes, en utilisant mon anus et en appuyant, pour empêcher que l'objet ne tombe au sol.
Le phallus de fortune est froid, mais ma pression le fait lentement me pénétrer, je sens l'extrémité la plus mince dans mon anus.
Je dois augmenter ma pression sur lui, reculer, puis recommencer cinq fois, pour me sentir écartelé par la première obtubérance du soufflet, la seconde, puis la troisième, ne tardent pas à m'envahir ensuite l'anus.
Je reste quelques secondes, pénétré ainsi, j'apprécie cette délicieuse possession, l'objet se réchauffe peu à peu, dans mon cul, qui se détends de mieux en mieux.
Le temps fait son affaire, mon anus est relâché, je ne sens plus la sensation de fraicheur, je commence à m'enfoncer plus encore et fait glisser mon cul sur ces formes si génératrices de plaisir.


Chaque protubérance me fait gémir de plaisir en me pénétrant, je n'ai jamais eu autant de plaisir en pratiquant ce jeu solitaire.
Plus je me pénètre, vite et fort, et plus ce plaisir augmente, je sens alors une sensation bizarre et nouvelle pour moi, je suis pris de spasmes venant de mon anus, montant tout le long de ma colonne vertébrale, pour terminer au cerveau.
Cette sensation, s'accompagne par une pénétration plus profonde grâce un élargissement soudain de mon anus.
Les anneaux du phallus de caoutchouc, glissent à un rythme effréné dans mon cul.
J'arrête mes mouvements, enfoncé profondément sur l'objet, je suis surpris de la force de cette nouvelle sensation.
J'ai déjà envie de retrouver ce moment, et reprend une défonce anale solitaire.
Je retrouverai ce plaisir à 5 reprises, avec une particularité pour la dernière, c'est une éjaculation de mon pénis sans que j'ai besoin de me masturber.
Je sais aujourd'hui que c'était dû au frottement des anneaux sur ma prostate.
Comme à chaque fois, une fois, l'éjaculation venue, je me mets à m'en vouloir de succomber à ces penchants pervers, je ne comprends pas, pourquoi j'ai besoin de ce plaisir, alors que je n'ai aucune attirance pour les hommes.
Au fil du temps, malgré une lutte intérieure, je recommencerai cette pratique une à deux fois par mois.
Environ un an plus tard, l'idée qu'un sexe d'homme remplace ces objets faisait son chemin, il faut aussi se remettre dans le contexte du début des années 80's, la plus simple manière d'avoir un godemichet était le sex-shop, donc, pas discret et hors de prix aussi.
J'avais remarqué des choses pas claires et intrigantes en allant au cinéma porno.
Mon désir anal me tiraillait depuis une dizaine de jours, je luttais comme toujours, mais comme à chaque fois, le désir a été plus fort que ma raison.
Ma copine étant absente pour un mois, et habitant un appartement depuis un mois, je prends mon courage à deux mains, pour me diriger dans un des cinés pornos de la ville.

Je scrute les alentours pendant une bonne trentaine de mètres avant l'entrée, je ne veux pas être vu, je prépare déjà la somme d'argent pour ne pas rester trop longtemps au guichet.
Le principe est connu, j'ai droit à deux films pour le prix d'un. En payant, j'ai le ventre noué, la vielle dame me donne mon ticket, cela me semble interminable.
Enfin je peux me cacher à l'intérieur, la salle est très sombre, des bruits de baise inonde la pièce, c'est une fille qui se fait défoncer par un homme sur l'écran.
Je dois forcer des yeux et tâtonner des mains pour deviner le début d'une rangée de sièges.
Puis petit à petit, ma vue s'habitue, je peux voir que la salle est occupée par d'autres hommes, dont un, au fond de ma rangée.
Parmi, les bruits du film, j'entends des bruissements de vêtements, derrière moi, puis des gémissements, je me retourne et quelques secondes après, je vois un visage émerger de plusieurs rangées, l'homme venait de sucer son voisin.
Le fameux voisin, se lèvera peu de temps ensuite pour se rendre aux toilettes et quitter le cinéma.
Celui qui l'a sucé, vient se mettre à mes cotés, puis très vite pose sa main sur mon sexe.
Ce n'est pas pour cela que je suis venu, mais comme c'est nouveau, je le laisse faire, il se baisse alors pour sortir ma queue et me sucer.
Je n'aime pas le contact rugueux de sa bouche, je dois lutter contre ma timidité pour avoir le courage de l'arrêter.
Je lui dit que c'est pas mon "truc". Il se lève et me laisse, un peu vexé.
Une bonne dizaine de minutes après, je vais me rendre aux toilettes pour uriner. Pendant que j'urine, la porte du WC, s'ouvre, 2 hommes en sortent rapidement, pour disparaitre.
Je retourne dans la salle mais décide de changer de place. Je choisis une rangée, attiré par la présence d'un homme grand, d'une quarantaine d'années, qui me dévisage.
Je m'assied à un siège de lui, il a sa main entre les jambes, il la déplace et je vois qu'il a son sexe bandé à l'extrême, il me fait un signe de la tête.

je comprends qu'il veut que je me rapproche de lui, nous sommes maintenant collés, il passe sa main derrière mes épaules.
Je sens un appui, je suis pris d'une hésitation, que faire, moi qui ne me sens pas homo, je vais me retrouver avec une queue dans la bouche.
Je suis entre la peur et le désir, je dois me résoudre à accepter que la situation m'excite malgré mes réticences.
Mon visage s'approche du membre épais et long, il est beaucoup plus membré que moi, j'en suis un peu jaloux.
Des questions me submergent, vais être dégouté par son contact, saurais-je comment faire, quel goût aura t-il?.
Mes doigts saisissent sa queue à la base, puis mes lèvres touchent son gland, je les écartent pour me pénétrer la bouche, lentement jusqu'au fond de la gorge.
J'entends l'homme gémir, cela produit chez moi, une sensation nouvelle et excitante, ma bouche coulisse langoureusement sur son membre.
Il murmure:
"Ahhhhhhh! Tu suces bien! Continue comme ça!".
S'il savait qu'il est le premier! J'essaie de reproduire sur sa grosse queue, les caresses que j'aime recevoir de la part de ma copine.
Apparemment, cela fonctionne parfaitement, plus je suce son membre, plus j'y prends du plaisir, j'aime sentir la forme de son sexe dans ma bouche..
Le contact de sa queue dans ma gorge, l'interaction entre mes caresses buccales et ses gémissements me remplissent d'excitation.
Cette première fellation est une révélation, j'ai aussi la chance d'en profiter pendant presque dix minutes, avant que l'homme annonce à voix basse:
"Je vais jouir, c'est bon, ça vient! continue!".
La soudaineté de cette annonce me fait réaliser que je n'ai pas pensé, à son éjaculation, comment la gérer? Vais-je enlever ma bouche, pour qu'il jute sur son ventre et se tâcher le pantalon.
Vais-je rester et faire comme ma copine pour tout avaler, puisque j'aime jouir dans sa bouche?
Mais ça implique que je vais moi-même avaler du sperme! quelle réaction, aurais-je en découvrant son goût, je n'ai jamais gouté mon propre jus!
Mes interrogations sont résolues quand à mon choix, il appuie de ses mains sur ma tête, j'appréhende son éjaculation, et n'en veux qu'à moi.

Après tout, c'est moi qui est le responsable de sa jouissance, et au fond de moi, je suis fier de le faire jouir, mais il faut maintenant assumer.
Son sexe est pris d'à-coups, cognant au fond de ma gorge, une sensation de chaleur remplit ma bouche, un goût âpre, légèrement salé vient ensuite.
Je trouve ces sensations, très agréables, son jus chaud, me remplissant la bouche, ajoutée à ses gémissements de plaisir, sont très excitantes.
Plus, son sexe se libère de son foutre brulant dans ma gorge, plus je sens mon sexe en érection, je suis surpris par la dose de sperme qu'il éjacule, beaucoup plus que moi, c'est sûr!
Puis enfin, je comprends qu'il est à la fin de son plaisir, j'avale doucement sa semence, en bougeant lentement encore, de bas en haut de son gros sexe, j'ai du mal à m'arrêter, c'est lui qui me stoppe avec sa main.
Je le regarde, ranger son sexe, il me sourit, me fait un clin d'œil et se lève, pour quitter le cinéma, me laissant avec le choc de cette découverte et la queue en érection.
J'essaie de regarder le film porno qui passe, mais je n'arrive pas à chasser les images ni les sensations ressenties par cette fellation.
Je regarde au tour de moi, j'ai l'impression que tout les hommes savent ce que j'ai fait à mon voisin.
Je suis gêné, mais aussi excité, je me rassure en me disant qu'ils sont un peu complices du fait d'être dans cet endroit.
Mon érection me gênant, je vais au toilettes pour essayer d'uriner, peut-être que ça me fera débander.
je pousse la porte, pour me placer devant la rangée d'urinoirs.
Un autre homme est collé devant celui qu'il a choisit, il est trapu, un peu plus grand que moi.
Je sors mon sexe et très vite, urine droit contre la paroi d'émail devant moi, ma queue ne débande pas, mais est moins excitée.
Mon voisin, regarde mon sexe, puis se tourne vers moi, il bande lui aussi, sa main caresse son sexe épais.
Sa queue est à son image, trapue, large avec une forme ovale dans sa circonférence, de taille moyenne, mais plus longue que moi.
Il masturbe sa bite en la dirigeant vers moi, puis il enlève sa main, c'est clairement, une invitation pour que je prenne la suite.
Je m'approche, et saisit son gros membre, je le branle doucement, puis il recule pour aller se cacher dans le WC, tenant la porte, pour que je le rejoigne.
Il tourne le loquet, puis baisse son pantalon jusqu'à ses genoux et se colle à la cloison, le sexe tendu vers moi.
Je lui caresse de nouveau son magnifique pieu, il pose la main sur mon épaule.
Je ne résiste pas à son invitation, j'en ai clairement envie, je descend lentement vers sa queue, excité de retrouver cette délicieuse sensation de plaisir soumission.
Le sexe me remplit la gorge en écartelant mes lèvres, mes pensées se bousculent, pourquoi j'y prends autant de plaisir? comment un amoureux du corps des femmes, peut aimer sucer un homme.
Je me délecte avec étonnement de la forme d'un gland gonflé et chaud dans ma bouche, j'adore entendre ses gémissements au fur et à mesure de mes caresses buccales, j'aime l'entendre dire:
"Tu suces bien! C'est bon! Ahhh, ouais, comme ça!".
Cela me rend fier de moi, tout en me demandant pourquoi j'aime ça! même le fait d'être à ses pieds pour le sucer, m'excite.
Je bouge ma bouche, sur sa grosse queue, en mouvement de pompe très ample, jusqu'à toucher le bas de son ventre, avec mon nez, son gland touche le fond de ma gorge.
Plus je me pénètre la bouche, plus il gémit, ses murmures de plaisir, décuple mon envie de le satisfaire.
Il a posé ses mains de chaque coté de mon visage, et accompagne mes aller-retours, de légers coups de queue.
Ses gémissements font place à des grognements, il recule en se calant contre le mur, derrière lui, seul son gland est encore dans ma bouche.
Je sens de nouveau cette chaleur couler sur ma langue, son sperme a un meilleur gout que le précédent, plus liquide, mais plus sucré.
Je le laisse éjaculer dans ma gorge ouverte, plusieurs jets de son foutre chaud, puis excité, je m'enfonce la gorge sur son pieu, afin de finir de recevoir sa semence et tout avaler ensuite.
Ses mains glissent le long de mes épaules, puis sur mes bras. Il reprend ses esprits, on se regarde, il me sourit et me dit:
"Merci, jeune! c'était super!".
Je lui souris, je n'ose pas lui adresser la parole. Il ajoute:
"Tu viens souvent ?".
Je lui réponds:
"Pas trop!".
"Ok, à bientôt, peut-être, alors!".
Il sort du WC, je le suis, et remarque deux hommes devant les urinoirs, je me sens pris en flagrant délit et m'éclipse pour aller me cacher dans la salle du cinéma.
Je choisis, cette fois d'aller vers la dernière rangée. Sur l'écran, un homme et une femme se caressent, puis l'homme la tourne pour la baiser en levrette, au bout de quelques minutes, il lui demande de le sucer.
Pour la première fois, j'ai conscience que l'effet de la vision d'une fellation a changé sur moi, dorénavant, je sais ce que la fille ressent et je m'imagine à sa place.
Je me masturbe doucement, un inconnu se place à mes cotés, je cesse ma masturbation.
Très vite, il sort son sexe pour se branler lui aussi, il se tourne vers moi et susurre:
"Tu suces?".
Je scrute son sexe, de taille moyenne, avec un gland bien dessiné.
Je ne sais pas si je vais accepter, j'ai encore le gout de l'autre queue dans ma bouche malgré le quart d'heure passé depuis devant l'écran.
Il prend ma main pour la poser sur son membre:
"Allez! viens!".
C'est plus fort que moi, je plonge sur sa bite en m'enfonçant la gorge jusqu'à ses couilles.
Pendant que je lui pompe la queue, je l'entends prendre du plaisir. Il a l'air plus sensible que les précédents. Je le sens très excité par ma bouche.
Il se sert de ses mains pour attr mon visage et le bloquer au dessus de son ventre, puis commence un mouvement frénétique avec sa bite dans ma gorge, tout en murmurant de plaisir.
Son sperme me remplit la bouche, je ne m'y attendais pas, mais n'ai pas le temps de réagir, qu'il m'enfonce son pieu en m'écrasant le visage contre ses poils pubiens, et termine d'éjaculer tout son foutre contre ma glotte.
La fellation n'a pas duré longtemps, j'avale le jus chaud, qui a presque le même goût que le premier.
L'homme se lève, sans un mot, et va s'assoir quelques rangées plus bas.
La salle s'est vidée, je regarde l'heure, cela fait presque 3 heures 30 que je suis là, sur l'écran recommence le premier film.
Je reste en attendant 20 h, la salle se videra encore, puis vers 20h, les entrées recommencent.
Vers 21 h, je remarque des allées venues au toilettes. j'attends encore quelques minutes, puis me lève pour m'y rendre à mon tour.
A l'intérieur, un inconnu est devant la rangée d'urinoirs, je me place proche de lui, je sens son regard sur moi, il s'approche très vite pour me prendre la main et l'emmener sur son pieu bandé, je le masturbe lentement.
2 minutes plus tard, la porte s'ouvre, et l'homme qui entre, découvre la scène qui n'a pas l'air de le choquer.
Il s'approche lui aussi, et se dégrafe la braguette pour sortir sa queue déjà presque dure. Je la saisis de mon autre main.
Le premier, me regarde en posant son doigt sur mes lèvres, il fait une légère pression vers le bas.
Il veut ma bouche, je réfléchis à la situation, on risque de nous surprendre, mais si on nous voit, ce sera obligatoirement un homme qui partage les mêmes envies, et puis je réalise que je vais devoir sucer deux queues en même temps.
Je prend le premier homme dans ma bouche, le pompant quelques secondes, puis change de queue, l'une est large et moyenne, l'autre longue et plus fine, ils arrivent à me glisser leurs membres tous les deux à la fois dans la bouche, de temps en temps.
Les deux hommes se taisent, seuls des gémissements emplissent les toilettes.
Notre jeu dure une bonne dizaine de minutes, quand celui qui à la longue queue dit qu'il va éjaculer.
Je me focalise sur sa bite et reçoit son jus au fond de la gorge, pendant que j'avale son foutre, l'autre dit:
"Hummmmm, tu avales! Moi aussi, je veux jouir dans ta bouche!".
Je n'ai pas le temps de terminer de lécher la queue de celui qui vient d'éjaculer, qu'il me pénètre à nouveau la gorge.
L'autre se retire, range sa bite qui commence déjà a ramollir, et s'en va sans dire un mot.
Celui qui reste, ne tarde pas à grogner son plaisir, et inonde à son tour ma gorge humide, en accompagnant ses jets de sperme par des petites secousses de sa queue.
Il s'appuie contre un mur et apprécie mes dernières caresses buccales. Il range sa bite et sort des toilettes.
je retourne m'assoir dans la salle, décidé a bientôt rentrer chez moi.
Une demi-heure plus tard, je vois un homme assez imposant entrer à son tour aux toilettes, il a du arriver plus tôt pendant que je suçais les deux autres, je ne l'avais pas remarqué.
Je me décide de le rejoindre, pensant que si cela ne donnait rien, je rentrerai chez moi.
Je me place à 2 urinoirs de lui, je me sens petit à ses cotés, il est vraiment imposant et très grand.
Je n'ose pas le regarder, puis j'entends des bruits de frottement sur du tissu.
Je me retourne, et vois qu'il masturbe lentement un sexe long et assez large, il me lance un regard, puis ses yeux vont de mon visage à son sexe.
Timidement, je me rapproche de lui, il se positionne face à moi, en tenant son sexe dressé, il attend ma bouche, lui aussi.
je commence à penser, que je devrai revenir pour aller plus loin.
Je m'empale sur son membre, et lui prodigue une fellation langoureuse.
Il m'arrête, en disant:
"Tu connais pas un endroit ou on serait plus tranquilles?".
"J'ai un studio, pas loin, si tu veux!".
"Super, tu sors devant, et je te suis discrètement!".
Je me dirige vers la sortie, n'osant imaginer nos futurs jeux sexuels.
Arrivé près du guichet, je suis pris d'une peur d'être vu sortant du cinéma porno, j'espère que l'heure avancée aura rendu la rue moins fréquentée.
Je me motive en pensant à l'homme qui doit me suivre, je suis excité de continuer nos ébats.
Je sors, par chance, peu de gens remarquent ma sortie, je marche jusqu'au coin de la rue, puis vérifie que l'homme repère ou je suis.
Il me remarque, et viens vers moi, je continue de lui indiquer le chemin vers mon appartement en marchant devant lui.
Nous marchons pendant 10 minutes, puis arrivé devant mon immeuble, je regarde s'il voit ou je vais entrer.
J'ouvre la porte puis l'attends, dés qu'il entre, je pousse la porte derrière lui et monte à mon étage, il me suit toujours en laissant un peu de distance.
Je tourne la clé de mon studio, et attends son arrivée.
Il entre, traverse la cuisine et se dirige dans mon salon chambre, je ferme les volets pour éviter un éventuel vis a vis.
Il me saisit par les épaules et me dirige vers son sexe, je sors son long membre épais et me pénètre la bouche amoureusement.
Il en profite pour se défaire les boutons de son pantalon, qui tombe à ses pieds. Puis, c'est au tour du reste de ses vêtements.
Une fois nu, il me demande de me déshabiller, moi aussi.
Pendant que je m'exécute, il s'assoit sur le lit et se masturbe en me regardant.
A mon tour, je suis nu, c'est une première pour moi, devant un autre homme, il me tends son sexe dressé.
Je m'agenouille devant lui, entre ses jambes, pour lui procurer du plaisir avec ma bouche, il gémit, me disant qu'il aime ma bouche et que je suce le divinement bien.
Il saisit mon visage et m'embrasse fougueusement, je me laisse faire en lui rendant son baiser, mais réalise que la langue d'un homme n'est pas douce, et c'est pas ce que je préfère.
Puis il me dirige encore vers sa queue, mais continue sa pression pour arrêter ma bouche sur ses testicules, en disant:
"Lèches moi les couilles!".
Je m'exécute, ne sachant pas comment faire, est-ce qu'il va aimer mes caresses à cet endroit?
"Oui, comme ça! c'est bon, encore! Maintenant reprends ma queue!".
Je réitère ces jeux pendant un petit moment, quand il me stoppe, et me dit de m'allonger sur le ventre.
Je sens ses mains, se poser sur mes fesses, puis son visage se coller contre mon anus, et enfin sa langue me lécher longuement.
cette caresse buccale n'est pas désagréable, mais ne me procure pas vraiment de plaisir.
Il se dresse et je sens son corps monter pour deviner qu'il approche sa queue, qu'il lubrifie de sa salive.
Il s'appuie sur ses avant bras en regardant son gland se coller contre mon anus.
Les pensées fusent dans ma tête, ça y est, tu ne peux plus reculer, tu vas passer de l'autre coté, un homme va entrer dans l'endroit le plus interdit de ton corps, ça te fait peur, mais tu le désires plus que tout aussi.
Le gland entre peu à peu en conquête, de mon anus.
Il force contre mon œillet sans discontinuer, j'aime déjà son contact chaud et dur.
Je contracte mon muscle anal puis me relâche à quelques reprises, ce qui a pour effet d'élargir peu à peu mon anus.
Le long membre épais, me pénètre alors d'une traite jusqu'à la moitié, il bouge en moi plusieurs fois, s'enfonçant enfin jusqu'aux couilles.
J'ai cette longue et large queue entièrement dans mes entrailles, je sens son corps appuyé contre mon cul, il me possède doucement, mais puissamment et profondément.
Je m'en veux de trouver ce moment délicieux, j'aime appartenir à un homme, sentir son membre chaud et dur dans mon cul.
Il me pénètre de plus en plus fort, je suis obligé de mordre la couverture sous moi pour encaisser ses coups de queue.
je découvre ce que l'on nomme une défonce anale, mais à la place de l'enculé.
Il s'arrête, puis me lève les fesses, il me plante de nouveau son pieu pour m'enculer en levrette, je pense à ma copine dans cette position quand je l'encule moi aussi.
j'ai l'impression d'être sa femelle. et j'aime ça.
J'adore être possédé par son gros membre, il frappe fort contre mon coccyx avec son gland.
Il me retourne sur le dos et me saisit les jambes en l'air pour m'enculer encore profondément, seules mes épaules touchent le lit, j'ai mon cul inlassablement défoncé par le gros membre de l'inconnu.
Il me dit qu'il aime m'enculer, mon cul est génial et chaud, et veux m'enculer longtemps.
Il se calme un peu, puis se place contre mon dos sur le coté, il m'enfonce sa queue dans l'anus encore et me baise plus lentement, s'agrippant à mes fesses.
il change encore de position, pour me placer sur lui toujours avec le dos contre lui, il me soulève par le cul pour m'enculer par dessous plus violamment, puis me demande de me tourner face à lui pour que je le chevauche fougueusement en m'enculant a fond.
il me demande d'arrêter un peu, pendant quelques minutes, puis me pousse le visage vers sa bite pour que je le suce longuement.
Il me plaque encore sur le ventre et me pénètre d'une traite, profondément dans le cul.
Il m'encule sans vergogne, j'entends ses gémissements venir de plus en plus forts, je mords mon lit, il s'enfonce pour s'écraser au fond de mes entrailles, et je sens une sensation très agréable de liquide chaud remplir mon anus, il jouit longuement, m'honorant encore de longs coups de queue.
Je trouve ce moment magique et excitant. Il s'affale sur moi, puis se tourne sur le coté en me tenant empalé sur sa queue.
Nous plongeons tous les deux dans un semi sommeil, épuisés de sexe. Il est le premier à sortir de cet état, je l'entends et me réveille moi aussi.
Son sexe n'est plus en moi, il me demande comment je vais, si j'ai aimé, j'acquiesce, nous parlons un peu.
Je ne peux m'empêcher de regarder sa bite à demi molle, mais toujours de belle taille, je la prend entre mes doigts, et irrésistiblement, me dirige vers elle, je lui prodigue une fellation tendre et passionnée.
Il se remet à bander fermement, il m'enculera encore en levrette, mais plus longtemps, puis viendra éjaculer dans ma bouche.
Il partira peu de temps après, je ne l'ai jamais revu, à mon grand regret, il ne saura jamais qu'il a été le premier.
Après son départ, je me suis masturbé énergiquement en pensant à cette première journée, si riche en sexe homo.
A toutes ces queues que j'ai sucé, ce sperme que je découvre adorer, avaler et recevoir dans mon cul.
Et cette longue queue qui m'a possédé, cette agréable sensation de soumission au désir d'un homme viril.
Mais comme après mes jeux solitaires, une fois l'éjaculation venue, ma raison reprends le dessus et j'ai fondu en larmes, me maudissant d'être passé à l'acte, j'étais devenu un pédé..
J'ai passé quatre ans, après cette journée, à repousser mes pulsions, mais y cédant toutes les 3 à 5 semaines environ.
Au début, même si je trouvais la sodomie agréable, je n'arrivais pas à l'orgasme avec des hommes.
Il a fallut attendre 4 longues années pour enfin jouir analement, depuis j'assume mieux ce plaisir, encore faut-il rencontrer un homme endurant comme mon premier amant.
Malheureusement, je n'étais pas prêt, pour en profiter pleinement.
Ma double vie, ressemblera au film "Les Nuits Fauves", hétéro 9 x sur 10, et homo passif insatiable pour le reste.
J'ai déjà raconté quelques rencontres entre hommes, sur quelques sites dont celui-ci, quelques unes de ces rencontres, sous d'autres pseudos que j'ai oublié.
Je me souviens de quelques titres: "l'inconnu du sex-shop", "partouze anale au sex-shop", "un jardin secret", "une soirée dans les dunes", "Jean, mon premier « amant » régulier du Rex", "Le jardin de la ville", "Sexe en bord de mer", "mon premier salaud", "le contre emploi", "Le Sex-shop XXL", "Une nuit entre hommes", "Le serveur de la brasserie", "Mauvais souvenir ".
Les dernières sont sur un site trop axé à mon avis sur l'e, j'ai de la perversité en moi, mais pas celle là..

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