Essai Avec Un Homme (3Ème)

Mon initiation au sexe entre hommes, et en même temps au vrai plaisir sexuel avait laissé des marques. Pas des marques physiques mais dans mes sens. Ces 2 expériences avec le vieux pervers et puis à 3 avec son ami m’avaient laissé dans un sentiment de gène et de honte. Et même si pendant des semaines je n’ai pas voulu l’admettre, il était clair que j’avais plus que de simples tendances homosexuelles, mais que j’étais passif, et même que j’appréciais être soumis à la volonté de cet homme.

C’était très dur de l’admettre mais c’était tout aussi dur de le rappeler car j’avais peur de savoir quel serait la prochaine étape qu’il me ferait franchir. Il n’empêche que je me masturbais souvent en pensant à sa queue, la chaleur de son corps, son poids quand il s’écroule sur moi et que sa bite s’enfonce encore plus.

Cette sensation me manquait tellement qu’il m’arrivait de me balader dans son quartier en espérant qu’il tomberait sur moi et m’inviterait chez lui. C’était un stratagème ridicule qui me permettait de penser, à tort, que ce n’était pas moi qui venait ramper pour plus de ce plaisir coupable.
Un jour, j’étais en face de chez lui à attendre fébrilement qu’il sorte quand j’ai aperçu un jeune homme, un peu efféminé, se diriger vers l’immeuble d’un pas peu assuré. Mis à part l’aspect efféminé, je me revoyais quelques temps auparavant la 1ère fois que j’étais allé chez le vieux pervers. C’est là que ça m’a frappé : et si ce jeune homme était sa nouvelle proie sexuelle ? Cette idée me gênait et j’étais jaloux. Je le suivis discrètement, montai après lui jusqu’au dernière étage, à la porte du vieux pervers. Il était évident que la queue que j’adorais secrètement allait me tromper avec cette bouche et ce cul et cela s’est confirmé quand une voix que je connaissais bien lui intima l’ordre d’entrer.

Par chance, ce jeune puceau n’avait pas fermé la porte correctement et en écoutant par la fente, je pouvais écouter ce qu’il se passait.

Et je revivais le même rite que j’avais déjà vécu auparavant : débout, à quatre pates, débout, nu, palpation du pénis et des testicules, inspection tactile de l’anus et du rectum. A ce moment là, ma queue était raide – excitée par ce que j’imaginais et la jalousie.

Je les ai entendus bouger dans l’appartement et j’en profitais pour pénétrer l’appartement. De là où j’étais je ne pouvais pas les voir mais je les entendais. J’entendais les suppliques de douleur du jeune éphèbe, se transformant en cris incontrôlés de plaisir. J’entendais aussi les râles puissants du vieux pervers et les insultes qu’il proférait comme avec moi (sale pute, salope, dis moi que tu aimes te faire enculer).
J’avançais dans le l’appartement quand je vis une vision que me fit pleurer et bander, le vieux pervers étais à genoux, le jeune éphèbe à 4 pates en train de se faire sodomiser. Ils étaient face à moi les yeux fermés. Le vieux pervers avait les mains sur les hanches du jeune et poussait son bassin vers le sien. La sueur perlait sur tout son corps et je voulais lécher chaque centimètre carré de sa peau et m’imprégner de son odeur animale en enlaçant son corps. Le jeune lui avait les yeux fermés, la bouche ouverte et son visage se tendait à chaque poussée pour laisser exprimer de la douleur et du plaisir.

Cela dura quelques secondes quand le vieux pervers ouvrit les yeux et me vit. Il sembla étonné d’abord puis un sourire carnassier apparut sur son visage. Il devait réaliser avoir 2 salopes à disposition. En effet je m’étais mis à 4 pates sans le réaliser et je me masturbais en observant le scène.

Il agrippa les cheveux du jeune éphèbe et lui tint la tête vers moi. Alors il lui dit :

Regarde moi cette salope ! Il m’a offert son cul sans limite puis il est parti. Maintenant il est revenu pour en avoir plus. C’est comme ça avec moi ; toi aussi tu seras accroc à ma queue

Et s’adressant à moi
Dis moi ce que tu veux avant que je ne t’expulses de chez moi

J’étais pris au dépourvu.
Il tenait le jeune par la gorge tout en lui défonçant le cul et attendait que je m’explique. Alors je lui dit la vérité

Je suis venu car j’ai besoin de vous. J’ai cru que je pourrais me passer de votre queue mais je me suis trompé. Depuis la dernière fois, je ne pense qu’à revivre ce que vous m’avez fait vivre.

Je le suppliais de me reprendre. J’avais les larmes aux yeux. C’était honteux et libérateur que de lui avouer que j’avais besoin qu’il me soumette. Il nous dit alors, toujours figé dans le cul du jeune :

Je n’ai besoin que d’un esclave sexuel pour le moment. Je garderai celui qui sera le plus pitoyable des 2.

Craignant pour moi, je me suis mis à pleurer. Je me suis agenouillé devant lui. J’ai serré son bassin contre ma tête et je lui ai promis que je ferai tout ce qu’il voudra. Qu’il pourra tout me faire.

Au bout d’un moment, il me repoussa par terre, me fit mettre de force à 4 pates et me pénétra comme jamais il ne le fit. Sans préparation cela aurait dû être douloureux mais en fait c’était le bonheur d’être pris sans douceur. Ses coups de rein et ses rires semblaient vouloir dire qu’il avait gagné la bataille finale contre toute retenue chez moi et qu’il allait désormais faire de moi sa chose sexuelle.

Je ne veux pas que l’autre lopette soit venu pour rien. Alors tu vas le finir à la bouche.

Il appuya sur ma tête pour me faire sucer la bite de l’autre jeune. J’avalais sa queue. Elle n’était ni longue ni large mais je m’étouffais quand même car il me faisait l’avaler entièrement. Je déglutissais énormément et ce jusqu’à ce qu’il jute dans ma bouche. Puis il me fit me retourner et me pris en missionnaire. J’avais pour la 1ère fois la vision de mon maître en train de m’enculer et c’était très bon. Il me tenait la gorge d’une main et me serrait la bite de l’autre main très très fort. Il jouait avec mon pénis et mes boules en les tirant pendant qu’il me besognait le cul.

Il finit par jouir en moi ce qui me remplit de joie et de sperme et je jouis dans sa main.
Il me fit lécher sa main pleine de mon sperme ou plutôt il étalait mon sperme sur mon visage.

Il s’écroula sur moi et je le serrais contre moi avec mes cuisse, son poids écrasant ma bite. Je gigotais pour mettre côte à côte nos queues, gland contre gland, et je léchais la sueur de son cou. Je repensais à ce qu’il avait dit, « esclave sexuel », et ce que cela allait impliquer et m’apporter comme extase sexuelle.

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