Les Origines De La Saga Des Esclaves Au Château... (Épisode 127)

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

- Année 1784 : La "gueuse" et le "gueux", le même destin de la cage au cachot...

Les cages d'émeline la "gueuse" est montée à la hauteur de celle dans laquelle gît déjà philippe "le gueux"... Autour d'eux dans la salle privée du Château, tandis que s'achève le dîner, règne la plus grande confusion. Les esclaves femelles et mâles s'activent pour combler les moindres désirs des douze convives... qui sous la table, soulageant le membre viril d'Un Seigneur, qui renversé sur la même table, les orifices livrés aux intromissions les plus diverses : Fruits, légumes, manches de fouets, etc…

Prostrés dans leurs cages, les deux esclaves sont momentanément négligés. Ils gisent là, délaissés, mais tellement aux aguets de tout mouvement qui viendrait à solliciter l'usage de leurs corps... Mais une telle soirée ne saurait guère laisser de répit aux deux créatures... Passablement éméchée, Une Noble Dame soutenue par deux esclaves mâles à la peau d'ébène et fortement membrés, s'approche... Elle vient tout près de la cage où émeline la "gueuse", attend craintivement, ignorante encore des détails d'un destin dont elle n'est plus que le jouet. La Dame s'accroche aux barreaux et fixe la jeune esclave...

- "Approche, la chienne !" ordonne-t-elle sèchement.

Et émeline, docilement, vient tout près des barreaux, pour y recevoir un épais crachat qui dégouline sur son fin visage de porcelaine. La Noble Dame se saisit des cheveux de l'esclave et la force à se coller aux barreaux... Elle l'embrasse goulûment, passant sa langue alourdie par le vin sur les lèvres et le visage de la "gueuse" qui, docilement, répond à Ses sollicitations... La forçant à ouvrir grand la bouche, La Dame salive abondamment dans la bouche offerte de l'esclave.

- "Catin, susurre La Dame à l'oreille d'émeline, jolie petite catin, je vais te faire goûter à la saveur des bâtons de réglisse de ces deux mâles.

.. Penche toi la chienne..."

Emeline se penche à l'intérieur de la cage, plaçant ainsi sa bouche au niveau de la ceinture des deux esclaves noirs dont la totale nudité exhibe sans obstacle deux volumineux membres déjà dressés, aux veines violacées et saillantes, longs et épais... Sur un simple claquement de doigts de La dame, l'un des deux esclaves s'approche et présente son énorme queue face au visage d'émeline; puis il s'avance lentement et pénètre ainsi entre ses lèvres dociles... avant que de s'enfoncer profondément, jusqu'à provoquer un hoquet de la femelle esclave, étouffée par cette mâle intrusion... Et tandis que le nègre baise avec assurance la bouche de la femelle encagée, son compère debout, tout aussi bien monté que lui, soulève La Dame et commence également à la baiser en la maintenant assise sur son sexe tendu. C'est ainsi en rythme que les deux esclaves noirs vont et viennent, en rythme, l'un entre les cuisses d'Une Baronne lubrique et l'autre dans la bouche d'une esclave docile.

De sa cage voisine, philippe le "gueux" observe la scène qui le fascine. Son regard est tellement absorbé par ces ébats, qu'il n'a pas vu venir Un Homme dont ne subsiste de la vêture que le haut d'un précieux pourpoint ... L'Homme, encore perruqué, a abandonné Ses Chausses et chaussures à boucles, évoluant ainsi à travers la pièce où les scènes orgiaques se multiplient... Il arrive par derrière de la cage du "gueux" et y avance son bras, poussant brusquement ses doigts dans l'anus de l'esclave qui sursaute... L'Homme s'esclaffe et accentue la pression de ses doigts qui fouillent le fondement de l'esclave mâle sans ménagement... Le "gueux" s'accroche des barreaux de la cage et se cambre, afin d'offrir la meilleure position à la main exploratrice Du Seigneur... deux, puis trois doigts prennent possession du cul de celui qui, naguère, dénonçait les supposées dépenses excessives de La Reine... et ne songe aujourd'hui qu'à combler la moindre des exigences de Ceux qui en disposent.
L'Homme retire ses doigts, contourne la cage, et vient les faire lécher par le "gueux" qui docilement s'exécute. Puis Il revient se placer vers l'arrière de la cage et d'un claquement de doigts, intime à philippe le gueux de venir se positionner, le cul bien accessible... Alors, d'un coup de rein, il pénètre le cul de l'esclave et l'encule alors sans ménagement, brutalement... secoué par les coups de boutoir, philippe gémit doucement et son regard se pose sur sa voisine servile, la jeune femme qui est en train de pomper avec application l'énorme sexe de l'esclave de couleur... tandis que La Baronne hurle son plaisir, cuisses largement écartées, ses bras autour du cou de son étalon d’esclave noir, pendant que celui-ci la baise de son vit démesuré à grands coups de reins puissants.

Finalement, comme un signe du destin, c'est dans un même mouvement qu'émeline et philippe reçoivent la délivrance de ceux qui les pénétraient. Un flot épais de semence jaillit abondamment dans la gorge de la femelle, tandis que le jus d'Un Nobliau s'écoule entre les fesses du mâle asservi ... Tous deux sont ensuite abandonnés, mais pas pour longtemps. Dans la pièce où les corps s'enchevêtrent, où l'on se livre aux saillies les plus lubriques, où le Marquis de Sade encule une chienne d’esclave femelle par derrière, tout en lui pinçant, vrillant et étirant sadiquement les tétons. Le Marquis d'Evans, du haut de son trône, contemple le succès total de Sa petite soirée en se faisant sucer par un esclave au corps imberbe et aux yeux bandés, agenouillé à Ses Pieds... où plus loin, Nobles Dames, Gentilshommes et esclaves des deux sexes sont mêlés en un imprescriptible moment de volupté, de débauche débridée ...

Une porte dérobée s'ouvre. Le majordome Du Marquis entre, accompagné de deux valets en livrée. Le trio s'approche des cages et joue sur les poulies afin de les faire descendre jusqu'au sol. Ils en ouvrent les petites portes et en font sortir émeline et philippe. Puis ils fixent à leurs cous un épais collier d'acier et les entraînent au bout d'une chaîne, hors de la pièce.
Entraînés de couloirs en escaliers, émeline et philippe "gueuse" et "gueux" ont été conduits jusque dans un même cachot des sous-sols Du Château. Là, ils ont été enchaînés, chacun à un mur, se faisant face. Mais ils ne peuvent se voir, une cagoule en épaisse étoffe sombre ayant immédiatement été passée sur leurs têtes. Ainsi, nus, enchaînés, leurs corps souillés de transpiration, de sperme et d'urine... ils attendent, ne sachant ni quelle heure il est, ni si la nuit est achevée, ni si le jour déjà a commencé... prostrés, chacun contre leur mur, ils attendent... ils savent que l'autre est là... ressentent leurs mutuelles présences, devinent un souffle, un mouvement... mais n'osent prononcer un mot... Chacun de leur côté, ils se demandent qui est l'autre ? Qui est cette pauvre créature qui partage ainsi ce cachot et cet abandon. L'une comme l'autre, ils ne comprennent pas cette situation. Pour émeline, le mystère est total, ignorant quelles sont les règles Du Château... pour le "gueux", il en va autrement. Certes, il commence à être rompu aux servitudes de son état et se trouver enchaîné ainsi ne lui est pas inhabituel. Mais il est habituellement seul, or le voici en compagnie d'une autre esclave et cette situation nouvelle perturbe ses fragiles certitudes. Que penser de cela ?que croire ? Qu'est-ce qui les attend ? Car, il en est persuadé, s'ils sont ainsi ensemble, c'est que quelque chose les attend qu'ils subiront en commun…

Le temps passant, les deux esclaves peu à peu s'allongent sur le sol et s'endorment... Soudain, un jet d'eau froide les tire de leur si léger sommeil... Brutalement réveillés, ils sont d'autant plus désorientés que cagoulés, ils ignorent précisément ce qu'il se passe... Mais une volée de coups de fouet les contraint à réagir et, instinctivement, tous deux s'agenouillent. On leur retire alors leurs cagoules et promptement, baissent la tête en signe de soumission, car devant eux se tient Leur Maître Le Marquis d'Evans qui les toise...


- "Esclaves, je vais vous accorder une grande faveur", dit-Il, je veux connaître tous les détails qui ont amené ma "gueuse" jusque dans ce cachot et je veux que ce soit toi, vil "gueux" d’écrivaillon qui rédige ce récit... Du Plaisir que j'y prendrai, moi votre Seigneur et Maître, dépendra la façon dont vous serez alors traités... Sachez qu'il ne me suffira pas d'un texte plat, je veux tout savoir, surtout les plus scabreux détails et j'y veux prendre plaisir... Et là n'est pas ma seule exigence, car lorsque le texte en sera rédigé, et j'en exigerai dix pages chaque jour, sous peine d'impitoyables sanctions, alors Vous en ferez la lecture pour Moi et Mes plus chers Amis et Vous en donnerez le spectacle... Et je le veux fort excitant, tenez vous le pour dit ! Alors au travail et vite, ma "gueuse" et mon "gueux", car aussitôt que je quitterai cette cellule, vous serez menés à votre devoir et devrez vous mettre à l'ouvrage !"…

(à suivre)

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