Bijoutière

Voyez vous même, demande la bijoutière en réparant la fermeture du petit collier que j'ai offert à mon amie, ce n'est pas la peine de souder la fermeture, ce n'est que le maillon d'attache qui est tordu.
Je suis penché sur son épaule, le nez presque contre elle. Je sens son parfum et ses odeurs corporelles de fin de journée. En plus du collier je vois une paire de seins qui me donnent envie de toucher, juste sous la petite blouse courte sans manche. En se tournant brusquement elle se retrouve entre mes bras. Par réflexe je la serre un peu sans qu'elle se dégage.
J'avoue être un peu gêné, c'est trop rapide comme contact pour ne pas avoir été prémédité. La fille me regarde avec ses grands yeux verts, droits dans les miens que je ne baisse pas. Je comprends qu'elle me cherche. C'est vrai que nous sommes seuls dans l'atelier, à l'arrière de la bijouterie. La fille le sait bien ; elle en profite. En la regardant de plus près, je trouve un joli minois frais tacheté de légères grains de rousseur. Je ne peux retenir mon admiration. Je prends son menton dans ma main pour mieux embrasser ses lèvres pulpeuses qui appellent les miennes.
Notre premier baiser est long, nos langues sont de suite à leur tâche du plaisir naissant. Collée à moi comme elle est, elle ne peut ignorer que je commence à bander. Elle me prend par le cou. Je la laisse faire ce qu'elle veut. Elle se tourne pour simplement fermer le local à clé. En s'asseyant sur un siège tournant, sa blouse s'ouvre sans qu'elle la retienne. Des seins ressortent d'abord : un appel au viol. Une chaînette en or entoure sa taille. Puis le bas ventre ornée d'un reste de fourrure très court en forme de flèche dirigée vers le pubis. Je caresse la poitrine ainsi offerte pendant qu'elle s'affaire sur ma braguette. Elle est très habile pour ouvrir le premier bouton et la fermeture éclair. Sa main fouille à peine dans le slip pour sortir ma queue qui ne demande que ça.
Quand elle commence à caresser ma tige, je pose avec retard ma main sur la chatte qui est du genre humide.


Je commence à la caresser puis la branler rapidement comme il semble qu'elle préfère. Son con est doux, mouillé, agréable à masturber. Je ne m'aperçois qu'à ce moment là qu'elle règle sa masturbation sur ce que je lui fais. Elle me tient assez serré, va de haute en bas pour remonter recouvrir le prépuce.
Elle me fait asseoir à sa place pour se mettre à mes pieds, à genoux. C'est sa bouche qui me prend pour m'avaler en partie, le reste de la queue, elle le tient à deux mains. Je n'ai plus que sa tête comme point de repère. Ses cheveux à peine blonds servent de décors. Je me laisse faire par une magicienne de la fellation. Ses lèvres seules servent pur mon plaisir, je ne sens sa langue que de rares fois. Sa bouche suit en détails le gland. Une ou deux fois, elle arrête sa succion pour lécher toute la tige des couilles au gland. Je vais partir dans le monde du plaisir complet quand elle arrête tout.
Elle me fait lever, reste pratiquement nue, me prend la main pour me mener vers un escalier que je n'avais pas vu. Nous montons dans ce qui est une chambre rustique avec seulement un lit. Son lit de baise à sentir l'odeur entêtante de cyprine et de sperme vieilli.
Je connais vaguement la suite : ma queue dans son con et basta. Je lui enlève la blouse pour voir enfin tout son corps qui me fait bander encore plus. Je me retrouve nu, sans même m'en rendre compte. Un tâche de soleil me fait voir ma queue et mon corps contre le mur. Je me trouve pathétique avec mon morceau raide devant moi. Il faut croire que ça plaît bien à la demoiselle qui me couche près d'elle. Nous nous embrassons à nouveau. J'ai cette fois le goût de ma pine dans sa bouche.
Je quitte sa bouche pour sucer ses seins, l'un après l'autre en ayant soin d'agacer les tétons avec le pouce. Je fais descendre ma tête sur son nombril où j'entre un peu ma langue, manière de l'avertir de mes intentions. Je lèche au passage ses poils raccourcis avant de plonger vers son infini.
Son odeur intime de petite fille mal lavée m'excite au plus haut point.
Je sens d'abord une légère odeur d'urine puis de cyprine fraîche. Enfin ma langue soulève la protection du clitoris. J'écarte avec deux doigts les lèvres intimes pour bien faire ressortir le bouton tout mignon, tout sensible. J'ai différents plaisirs qui arrivent à la fois : son odeur particulière, la douceur de ses chairs, la longueur de l'organe. Je peux ainsi l'aspirer dans la bouche pour le lécher à l'intérieur. Je vois ses jambes écartées réunies seulement par les talons : une autre chaînette en or entoure une cheville. Je peux caresser l'intérieur des cuisses pour aller me perdre entre ses fesses. Ma main droite s'occupe de son anus. Ma gauche se consacre à son vagin. Sur l'anus, je ne caresse que le bord en la faisant frémir avant. Quand elle force un peu pour ouvrir son cul mon doigt se presse pour entrer un peu d'abord puis en entier ensuite. Je le fais aller et venir jusqu'au moment où je l'entend gémir de plaisir.
J'allais entrer dans son ventre avec deux doigts quand elle se penche pour me reprendre encore dans sa bouche. Elle aime, comme moi les 69, le véritable don à l'autre de son corps. Nous nous suçons longuement, moi avec l'intention de la faire jouir, elle simplement pour me donner du plaisir sans que je jouisse. Mais que ses lèvres sont douces pour le gland.
Je la veux à moi maintenant : je me remet à sa hauteur, je m'insinue entre ses jambes qu'elles referme sur les miennes. Je ne suis pas totalement couché sur elle, je tien le haut de mon corps par mes avant bras. Elle aussi regarde ce que je vais faire : ses yeux son fixés sur son bas ventre. Je vais tacher de ne pas la décevoir, même si je l'ai faite jouir déjà plusieurs fois. Lentement j'entre dans sa cachette : elle l'ouvre en grand et la referme quand l'entre au fond. Ce n'est pas une première communiante, loin de là, elle sait ce que baiser veut dire. Je sens mon mat entrer au fond, jusqu'au fond. J'y reste juste un petit moment, tant qu'elle veut puisque c'est elle qui commence la danse de l'amour, une danse lente au début que j'accélère doucement, suivi par elle.
Puis, dès sa première jouissance, elle me demande de me mettre sur la dos. Elle vient sur moi pour baiser encore. Elle fiche dans son con ma bite bandée. Ce ne sont plus les même mouvements, elle est presque couchée et elle glisse sur moi pour reculer. Je sens bien qu'au passage son clitoris en profite aussi. Son orgasme est plus fort, comme le mien qui arrive presque en même temps que le sien. Mon jet est puissant dans son sexe, il pourrait traverser son ventre sans problème. Je ne sais pas comment elle fait pour me garder ans son vagin. La seule chose que je sais est que j'y suis bien sans débander, chose rare chez moi. Quand elle est sure que je reste dur, elle se relève pour poser ma queue sur son cul où elle me fait entrer facilement. Son anus est aussi accueillant que son con, sinon mieux. Elle ne gémit plus, elle pousse des cris de bûcherons au travail. Assise sur moi, elle caresse ses seins en me regardant avec ses yeux verts.
Pour moi elle est la déesse de l'amour de pays inconnus. Mais une déesse au dessus de celle de la Grèce ou de Rome. Elle est le vice personnifié. Maintenant elle laisse ses seins pour prendre son clitoris pour le caresser lentement, puissamment, démoniaquement. Je ne lui sert que de godemiché évolué. Elle ne regarde que son propre plaisir sans trop s'occuper de moi.
Puis arrive le moment du final. Elle bouge comme un pantin, ses gestes sont incontrôlables. Ma pine en elle sert une dernier orgasme qu'heureusement nous partageons. Je lui donne mes dernières provisions de sperme. Je débande en elle lentement, suffisamment lentement pour qu'elle en profite encore un instant.
Nous nous rhabillons lentement, toujours sans dire un mot. Un simple baiser suffit pour les remerciements. Quand je passe vers son magasin je faire un détour toujours avec succès, elle aime bien baiser avec moi comme j'aime la lui mettre là où elle veut.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!