À L'Université

Cet après-midi, je me trouve à l’université dans un bureau que je partage avec deux autres personnes. Nous travaillons tous pour le même professeur qui nous a embauchés pour l’assister dans ses recherches. Après quelques heures de travail, mes deux collègues sont repartis chez eux, me laissant à peu près seul au dernier étage du pavillon. Il faut dire que la plupart des étudiants sont en vacances depuis la semaine dernière et ont donc déserté l’établissement.
Je reçois alors un message texte de Monsieur qui me demande ce que je fais en ce moment. Sans hésiter, je lui dis que je travaille à l’université.
- Tu es seule ?
- Oui, Monsieur. Tout le monde est parti.
Il m’appelle et m’ordonne de le mettre sur haut-parleur. Aussitôt, sa voix chaude résonne dans la pièce.
- Et tu bandes, là ?
- Oui, Monsieur, depuis que vous avez écrit, je n’ai pas arrêté.
- C’est bien, ma belle. Tu as quelque chose que tu pourrais enfoncer dans ta chatte ?
- Euh, j’ai quelques surligneurs avec moi, Monsieur.
- Excellent. Maintenant, donne-moi le numéro de ton bureau.
J’hésite une seconde puis obéis et lui demande si je peux sortir ma queue qui me fait mal tellement est compressée dans mon string.
- Vas-y, mais interdiction de toucher à ta petite bite de caniche. Je vais cogner à ta porte dans quinze minutes et je veux que tu profites de ce temps-là pour te préparer la chatte. Je te veux bien ouverte quand j’arriverai.
- Bien, Monsieur. J’ai très hâte de vous voir, Monsieur.
- Ta gueule. C’est pas pour toi que je le fais. J’ai besoin de me vider, c’est tout.
Puis il raccroche.
Gravement excitée par les propos et la venue imminente de mon maître sur mon lieu de travail, je retire mes pantalons, écarte mon string pousse laisser sortir mon pénis bandé, et me couche sur mon bureau que j’ai débarrassé des feuilles et des livres qui le recouvraient. Je suce ensuite mon index et mon majeur avant de les plonger facilement dans mon cul qui n’a pas encore récupéré de ma saillie de la veille.

Car je vois désormais Monsieur de plus en plus souvent, presque chaque soir, et passe régulièrement la nuit chez lui. Je ne suis peut-être pour lui qu’un vide-couilles, mais, pour ma part, j’ai vraiment besoin de sa présence. J’ai besoin de sentir qu’il prend le contrôle de ma vie, même si cela me fait un peu peur, qu’il prend possession de moi autant physiquement que psychologiquement. Dans ses bras qui m’immobilisent ou avec son sexe au plus profond de mes entrailles, je me sens en sécurité, comme si rien ne pouvait m’atteindre.
Une fois mon conduit bien préparé et lubrifié de salive, je saisis un surligneur vert que je lèche avant de l’enfoncer dans mes entrailles. Bien vite, j’ajoute un rose puis un jaune, mais je n’ai pas l’impression que ça suffira pour mon maître. Il m’a dit qu’il me voulait « bien ouverte » et c’est ce que je compte faire. Je vais donc chercher un autre surligneur sur le bureau d’une de mes collègues et, après l’avoir consciencieusement humecté de salive, je l’ajoute aux trois. Ah, voilà ! Maintenant, je me sens bien remplie et je sais que Monsieur sera fier de moi à son arrivée !
D’ailleurs, j’entends des pas dans le couloir et je reconnais sa démarche lourde mais décidée. On cogne à la porte. Je me lève pour ouvrir. Vêtu uniquement d’un t-shirt et avec des surligneurs plein les fesses, il y a intérêt à ce que ce soit bien celui que j’espère ! J’ouvre la porte. Heureusement, c’est bien lui ! Folle de joie, je résiste difficilement à l’envie de me jeter sur lui pour libérer sa queue de ses pantalons. Mais Monsieur m’a bien dressée. Il m’a bien fait comprendre que c’était à lui de prendre l’initiative, ce qui est normal, car, après tout, ce sont ses désirs que je dois satisfaire et non lui les miens.
Dès qu’il me reconnaît, Monsieur me tend une microjupe noire sans rien dire. Surprise par cette attention, mais toujours obéissante, je retire mon t-shirt et enfile lentement le vêtement en tournant le dos à mon maître pour qu’il puisse bien profiter de mes petites fesses bombées d’où émergent les surligneurs.
Une fois ma minimaliste transformation complétée, Monsieur se recule, s’appuie contre le mur derrière lui et empoigne son paquet à travers son pantalon. Mon souffle s’accélère alors et une bouffée de chaleur m’envahit. Monsieur s’en rend compte et me sourit en tapotant sa cuisse, comme pour appeler un chien :
- Viens chercher ce que je t’ai apporté, ma petite…
Gênée à l’idée de sortir de mon bureau à peu près nue pour aller sucer un homme à la vue de n’importe qui qui emprunterait ce corridor, j’hésite une seconde. Une seconde de trop. Monsieur hurle aussitôt :
- Qu’est-ce que tu attends, sale chienne, tu veux que je m’en aille, c’est ça ? Tu crois que je suis venu ici pour me faire dire non ? Viens ici et vite !
Paniquée à l’idée d’avoir déplu à mon maître et que son cri ait alerté quelqu’un, je m’empresse de me mettre à quatre pattes pour m’approcher de lui. Je ne peux m’empêcher, au moment de franchir la porte, de jeter un coup d’œil de chaque côté pour être certaine que personne ne passe par ici. Puis j’arrive au pied de Monsieur et, instinctivement, place mes mains dans mon dos comme si elles étaient attachées et colle ma tête contre son bas-ventre. Je peux voir et sentir son membre gonflé à travers le pantalon, ce qui me pousse à lécher le tissu et à essayer de gober le relief du gland. Satisfait de mes efforts et de mon enthousiasme, Monsieur me récompense en descendant sa braguette pour extraire difficilement sa queue presque complètement dure. Comme il ne m’a donné aucune instruction en ce sens, je me retiens d’emboucher sa queue et me contente de continuer à me frotter contre lui en ronronnant de plaisir.
- Allez, suce-moi bien. On est à l’école, alors montre-moi ce que tu sais faire !
Pour une rare fois, Monsieur me laisse m’occuper de sa bite à ma guise. Ses mains se contentent de me caresser la tête pendant que je lèche ses grosses noix et que je pompe sa belle queue bien dure qui, lorsque je la lâche, pointe fièrement vers le plafond.
Parfois, tout de même, s’il m’arrive de n’être pas assez active dans mes gestes ‒ il faut dire que je suis de temps à autre distraite dans mon travail par la simple contemplation de l’attirail puissant de mon maître ‒, Monsieur me rappelle à l’ordre en me donnant une petite gifle pour qu’aussitôt je reprenne son membre imposant dans ma bouche et dans ma gorge, jusqu’à m’ moi-même sur cette bite que j’aime tant.
- C’est bien, ma belle, ne t’arrête pas. Oui, c’est ça, vas-y, je sais que tu peux faire mieux encore.
Ces compliments sincères me font ronronner de plaisir et je m’acharne avec de plus en plus de vigueur quand, soudain, j’entends un bruit de pas à l’autre extrémité du couloir. Monsieur aussi semble l’avoir entendu puisque, sans que son sexe ne quitte ma bouche, il inverse nos places. Je me retrouve alors assise sur le carrelage, dos plaqué au mur, cachée par le corps de mon maître qui continue à faire aller et venir son sexe lentement entre mes lèvres en regardant autour de lui.
- C’est bon, ne t’arrête pas, il est parti de l’autre côté. Tu sais, même si ça m’excite pas mal que quelqu’un puisse nous surprendre ici, j’aimerais mieux que la sécurité ne nous poursuive pas dans les couloirs… Il y a des caméras, ici ?
- Non Monsieur, hhmmff, pas à cet étage.
- Parfait, dit-il en sortant mon collier et ma laisse de sa poche de pantalon pour me les attacher autour du cou. Suis-moi, petite chienne, on va se trouver un coin plus tranquille.
Croyant que nous irions dans mon bureau où Monsieur pourrait profiter de moi à sa guise, m’imaginant déjà plaquée contre les grandes fenêtres du dernier étage tandis que la verge de mon Maître me labourerait les entrailles, je suis surprise lorsque devant moi Monsieur dépasse la porte de mon local et continue d’avancer dans le couloir. Résignée, je continue de progresser à quatre pattes derrière mon maître en espérant qu’il n’a pas l’intention de me faire descendre les escaliers, à la fois parce que ce sera difficile dans cette position et parce qu’il y a plus chance de croiser des gens à l’étage inférieur.
Heureusement, nous contournons les escaliers et je comprends où Monsieur veut en venir.
- Reste, m’ordonne-t-il avant de pousser la porte de la salle de bain. Je l’attends bien sagement à genou, mains à plat sur mes cuisses.
Quelques instants plus tard, il ressort, m’annonce qu’il n’y a personne et me fait avancer vers la cabine pour handicapés, plus spacieuse que les autres. Il me fait d’abord entrer puis me suis à l’intérieur.
- Sur la cuvette.
Une fois que je suis assise, Monsieur se débraguette nonchalamment, saisit mes cheveux à pleine main puis recommence son démolissage en règle de mes mâchoires et de ma gorge, insistant durement pour que j’avale l’entièreté de son énorme queue, quitte à m’ à plusieurs reprises. Après quelques minutes de ce traitement brutal qui fait me perdre des litres de salive, mon Maître se retire enfin et me prend par le bras pour mettre dos à lui, penchée vers la toilette. Je m’accroche aux tuyaux. Il relève ensuite ma minijupe et entreprend de me fesser de toutes ses forces du plat de la main.
- Compte, mais pas trop fort. Et serre fort pour ne pas échapper les surligneurs. Si tu en perds ne serait-ce qu’un, je t’abandonne ici sans te baiser.
- Oui, Monsieur, bien sûr, Monsieur. UN ! Merci, Monsieur. DEUX ! Merci, Monsieur.
Après une vingtaine de claques sur mes fesses douloureuses, je tremble de tout mon corps tellement la douleur est intense, mais j’ai réussi à conserver tous les surligneurs dans mon cul jusqu’à ce que Monsieur me les enlève lui-même. Il écarte ensuite mes globes ultrasensibles, crache sur mon anus, ou ma chatte, comme il dit, et y enfonce sans prévenir deux doigts qu’il fait aller et venir sans la moindre douceur.
- Alors, ma petite, je vois que ton clitoris est bien bandé. Tu es en chaleur, c’est ça ?
- Oh oui, Monsieur, j’ai tellement hâte de vous sentir en moi. J’ai pensé à vous toute la journée (ce qui était vrai, d’ailleurs, et j’avais bandé plusieurs fois en imaginant ce que me ferait mon Maître tout en dissimulant mon excitation à mes collègues).
- À sentir ta chatte qui palpite autour de mes doigts, je n’ai pas de difficulté à te croire ! Tu vas voir comment je vais m’occuper de toi, salope. C’est ça que tu es, une salope en manque qui va se faire défoncer dans les chiottes, hein ?
- Oh oui, Monsieur, je suis votre salope dévouée ! Vous savez que vous pouvez me prendre où vous voulez et quand vous voulez, Monsieur.
Lorsqu’il juge que je suis à la fois assez ouverte pour l’accueillir et encore assez serrée pour bien comprimer sa queue, Monsieur s’empresse de plonger profondément son membre viril dans mon trou d’amour. Comme à l’habitude, j’ai l’impression qu’un éléphant écarte mes chairs. Les couilles de mon Maître viennent enfin s’écraser contre mes fesses, signe que j’ai encore une fois réussi à accueillir son énorme sexe en moi. Comme forme de félicitation, Monsieur se met à me prendre avec vigueur en me rappelant à chaque coup de boutoir quelle bonne pute je suis. Quant à moi, je ne peux qu’agripper la plomberie humide et subir les assauts de mon mâle qui me fait gémir de plaisir. Rapidement, mes gémissements augmentent en intensité et sont sur le point de devenir des cris de jouissance.
- Ta gueule, grogne mon Maître en enfonçant ses doigts dans ma bouche. Tu vas ameuter tout l’immeuble.
Loin de me calmer, cela décuple mon excitation et je ne peux m’empêcher de roucouler puis de crier, inconsciente du danger d’être entendue. Monsieur pousse alors sur mon dos pour me placer en levrette et, avant même que je puisse réagir, appuie sur le derrière de ma tête pour plonger celle-ci à l’intérieur de la cuvette. Mon visage ainsi maintenu dans l’eau peu amène, Monsieur continue de me prendre sans s’inquiéter de moi. Ma tête heurte les parois de la cuvette à chacun des violents coups de boutoir que je reçois et ma gorge est comprimée contre le rebord. De temps à autre, tout de même, Monsieur relève un peu ma tête pour que je puisse reprendre un peu d’air et finit, après plusieurs minutes, par se retirer et me laisser reprendre mon souffle hors de la cuvette. Mes cheveux mouillés plaqués contre mon visage, je dois faire peine à voir et je me sens K-O, mais, quand je pose mon regard sur la bite de mon Maître qui se tient debout près de moi, je sens à nouveau une onde de désir m’envahir.
- Tu as eu ta leçon ? Tu vas fermer ta gueule ?
- Oui, Monsieur, pardonnez-moi. Mais vous me faites tellement…
- Oui, oui, je sais. Ta gueule et viens t’asseoir sur moi. Je suis un peu fatigué alors tu vas t’empaler toute seule, m’ordonne-t-il en s’asseyant sur la toilette, son dard pointé vers le ciel comme une offrande.
J’enfourche aussitôt mon Maître, passe mes bras autour de son cou, m’embroche sur son pieu de jouissance et commence à monter et descendre, face à Monsieur qui s’amuse à mordiller mes tétons tout durs, à caresser mes hanches et mon cul en me complimentant sur la douceur de ma peau, écartant régulièrement mes fesses pour faciliter la pénétration.
Soudain, j’entends le bruit d’une porte qui s’ouvre et des pas sur le carrelage. Monsieur aussi a entendu et me fait cesser tout mouvement, ce qui a pour effet d’enfoncer sa queue au plus profond de moi, appuyant sur ma prostate et me faisant trembler de plaisir. Bien vite, toutefois, je réalise que la porte de notre cabine est demeurée ouverte et que l’inconnu pourrait nous découvrir. En plus, la cabine pour handicapés est la plus proche de la porte. À ce moment, toute excitation me quitte. Je ne me répète qu’une chose : Pourvu que je ne connaisse pas celui qui vient d’entrer ! Étonnamment, l’inconnu ne se dirige pas vers les urinoirs ni vers les cabines, il semble demeurer près de la porte. Le bruit de roulettes et de frottage que j’entends ensuite m’indique qu’il s’agit probablement d’un employé d’entretien ménager qui vient nettoyer le plancher et les toilettes. Monsieur approche ses lèvres de mon oreille et murmure :
- Tu l’aimes, ma bite ?
- Bien sûr, Monsieur, je l’adore.
- Eh bien, si tu veux continuer à y avoir droit, tu vas devoir me faire confiance.
- Mais, Monsieur, je…
- Quoi ? me demande-t-il d’un ton agressif en donnant un petit coup de bassin qui me fait gémir de plaisir et de honte d’être aussi dépendante au sexe.
- D’accord, Monsieur, lui réponds-je, les larmes aux yeux, ma tête blottie dans son cou massif.
Au moment où je prononce ces mots, j’entends un cri de surprise dans mon dos, mais je me retiens de me retourner.
- Excusez-moi, dit une voix avec un fort accent étranger, je ne savais pas que…
- Hey, reviens, rétorque mon Maître d’une voix douce, reviens ici. Comment tu t’appelles ?
- Euh, Habib. Je repasserai plus tard, ce n’est pas grave.
- Tu viens d’où Habib ?
- Du Sénégal.
Cet homme était probablement un des nombreux étudiants étrangers que l’université accueillait et qui étaient souvent employés par le service d’entretien. La plupart d’entre eux étaient originaires d’Afrique et étudiaient dans les facultés de sciences et d’administration. Même si cela m’effraie de n’avoir aucun contrôle sur la situation, le désir que je lis dans les yeux de mon Maître et celui que je sens palpiter en moi ont tôt fait de me rassurer. Je me plaque un peu plus sur son torse chaud et musclé, puis vais chatouiller délicatement ses couilles d’une main.
- Tu dois trouver ça dur d’être si loin de chez toi. Il y a longtemps que tu n’as pas eu de femme, hein ? lui demande Monsieur en recommençant lentement à aller et venir en moi, comme si mes chatouillis l’avaient réveillé.
- Euh… Oui, c’est vrai… ça fait trois mois que je suis ici et… voilà…
Sa voix était maintenant étranglée mais j’ignore si, de l’endroit où il se trouvait, il pouvait savoir si j’étais un homme ou une femme. Mon corps quasi imberbe, mes cheveux longs et ma petite jupe sur ma taille fine pouvaient sans doute, de dos et sous le coup de l’émotion, me faire passer pour une jeune femme.
- Tu aurais envie d’une bonne pipe, Habib ? J’ai une petite salope ici qui n’attend que ça, c’est pas vrai ? Montre-lui que tu la veux sa queue, ajoute-t-il en prenant mon menton entre son pouce et son index pour tourner mon visage vers le sien, puis vers Habib qui, vêtu d’un vêtement de travail informe d’une seule pièce, une vadrouille à la main, semblait toujours sous le choc, malgré qu’une généreuse bosse trahissait son excitation. Gênée mais à nouveau excitée par la tournure des événements, j’acquiesçai à la proposition en passant ma langue sur mes lèvres et en me tortillant sur le pal de Monsieur.
- Mais c’est un mec, ça ! Je suis pas PD, moi !
- Voyons, lui répond mon Maître en saisissant fermement ma mâchoire ça, un gars ? Elle a une chatte serrée pour aspirer ta queue, des petits seins à lécher, des belles lèvres pour te pomper, ajoute-t-il en écartant mes fesses encore rouges, en léchant mes tétons et en enfonçant deux de ses doigts dans ma bouche pour que je les suce en plantant mon regard vicieux le plus vicieux possible dans les yeux de Habib.
Je ne sais si c’est le manège de Monsieur, la vue de mes lèvres humides ou simplement les mois d’abstinence de Habib qui ont raison de sa résistance, mais il finit par dézipper la longue fermeture Éclair de son vêtement de travail et par laisser retomber le haut de celui-ci de chaque côté de ses hanches. Son torse est légèrement musclé, mais c’est surtout son boxer distendu qui attire mon attention. Bien vite, il descend l’élastique de son sous-vêtement sous son scrotum pendouillant et prend son sexe à pleine main. C’est la première fois que je vois une queue noire en vrai et j’avoue que même si elle est de taille plutôt normale, quoique très large à la base, le simple fait qu’elle soit foncée m’excite au plus haut point. Habib doit remarquer cette excitation et, beaucoup plus à l’aise que tout à l’heure, il approche sa bite de ma bouche. Avant de me la donner, il se tourne tout de même vers Monsieur, quêtant son approbation. J’imagine qu’il a compris que je ne décidais pas de grand-chose ici… Monsieur lui ayant évidemment donné son accord, Habib dépose son gland sur mes lèvres et ne bouge plus. Surprise, puisque mon Maître me laisse rarement l’initiative de la pipe, il me faut quelques secondes avant d’engloutir cette belle queue à l'odeur de sueur très prononcée. Décidée à mettre en pratique l’expertise que j’ai développée avec mon Maître, je me mets à sucer Habib passionnément, faisant tout mon possible pour ne pas le quitter des yeux, ce qui n’est pas toujours aisé à cause de l’organe de Monsieur qui va et vient rapidement dans mon cul. Lorsque, après quelques contorsions de ma bouche et de ma gorge, je referme mes lèvres sur la base de ce joli sexe noir, le nez perdu dans ses poils pubiens bouclés, Habib ferme ses yeux et soupire d’aise, la tête inclinée vers l'arrière. Il dépose ensuite sa main fermement sur mon crâne, me forçant à garder sa bite en bouche et donnant de petits coups de bassin pour être bien certain que sa bite est entièrement en moi.
- Whoaaaah! Quand je pense que j'ai failli rater ça ! ajoute-t-il en retirant lentement sa queue luisante de ma salive tandis que je déglutis profondément après cet effort. Tu suces comme une vraie pute, toi, ajoute-t-il en s'amusant à balancer son sexe devant le sourire que j'exhibe et qui provient autant du plaisir que me procure mon Maître sous moi que de l'envie de gober à nouveau le bel engin de Habib.
Constatant que Habib s'est dégêné, Monsieur saisit mes deux bras et me les fait croiser dans le dos en me faisant comprendre de les laisser ainsi. Je suis désormais plus offerte que jamais et mes deux mâles ne se gênent pas pour profiter de mes orifices, Habib prenant de plus en plus de plaisir – comme en témoignent ses profonds soupirs – à voir mes joues déformées quand son sexe se fraie un chemin en moi.
Après quelques minutes, Monsieur se lève de la cuvette et, sans se donner la peine de me parler, sortant à peine un instant de mon cul, il me reprend par derrière en saisissant mes hanches. Je me trouve maintenant debout face à Habib, les mains sur ses épaules et mon visage tout près du sien. Croyant peut-être que je m'apprêtais à l'embrasser, Habib me fait aussitôt pencher vers son bas-ventre pour que je reprenne sa bite entre mes lèvres, les mains posées sur ses cuisses pour me soutenir. Il se fait maintenant plus actif et c’est davantage sa belle queue d’ébène qui baise ma bouche que moi qui la suce, ce qui n'est pas pour me déplaire puisque je peux ainsi m'abandonner complètement aux assauts de mon Maître qui ajuste son rythme pour me pistonner en alternance avec Habib. Toutefois, un peu trop rapidement à mon goût, Habib ralentit ses mouvements et questionne mon Maître :
- Elle avale, vot' pute ?
- Si c'est ce que tu veux, oui. Sinon, tu peux aussi arroser sa face et lui faire un beau masque de colle.
Habib continue à baiser ma bouche de plus en plus rapidement et je sens sa queue qui durcit de plus en plus jusqu'à ce qu'il s’arrête, son gland tout juste entre mes lèvres, et se vide copieusement en tressaillant de plaisir, éclaboussant mon palais de sa semence chaude que j'avale avec plaisir. Il effectue ensuite quelques derniers va-et-vient pendant que j’en profite pour nettoyer son sexe ramolli. Lorsque je sens sa bite commencer à durcir à nouveau, Habib me l’arrache et la range prestement dans son vêtement.
- Merci, M’sieur, c’est vraiment une sacrée lope que vous avez !
- Ça m’a fait plaisir, crois-moi. En passant, le numéro de son bureau est le 5***. Si jamais tu passes dans le coin et que tu as envie de te vider un peu, tu n'hésites pas. Elle est là pour ça, ajoute-t-il en me claquant les fesses.
- Comptez sur moi, M'sieur !
Une fois Habib parti et la porte des toilettes refermée, Monsieur recommence à me baiser férocement, signe qu'il a probablement l'intention d'en finir bientôt, ce qui n'est, pour une rare fois, pas pour me déplaire, mon cul commençant à être douloureux par manque de lubrifiant. Entre deux halètements d'effort, Monsieur réussit tout de même à me parler :
- Alors, tu l'as trouvée comment sa queue ? Hmff, et son jus ?
- Très bonne, Monsieur, mais pas autant que la vôtre. Et son sperme était moins crémeux et moins abondant, Monsieur…
- Bref, tu as encore soif, c'est ça ? Me demande-t-il en augmentant encore l'amplitude et la vitesse de son pilonnage, rapprochant mes jambes l'une de l'autre et empoignant fermement mes cheveux de ses deux mains pour me cambrer davantage, comme il aime. La position est incroyablement obscène, la pénétration incroyablement profonde et je sens la jouissance qui monde dans ma verge, dans mon cul, dans tout mon corps. Honnêtement, je ne sais même pas si je jouis en homme, en giclant, ou bien en femme, sans sperme. Mais je sais ce que je veux plus que tout...
- Ooohhh oui, Monsieur, s'il vous plaît ! Je veux tout avaler ! Ahhhh!
- Ta gueule, tu ne veux rien. Je vais tellement arroser ta face de salope que tu ne pourras même plus ouvrir les yeux. De toute façon, ton cul est tellement ouvert que je ne sens plus rien. On dirait un hangar à bateaux.
Quelques secondes après que mon Maître adoré ait prononcé ces mots tout à fait plausibles étant donné la grosseur de sa queue et la vigueur avec laquelle il me baise, le gourdin qui me défonce royalement depuis une bonne trentaine de minutes quitte mon cul d'un seul coup et Monsieur, enserrant toujours mes cheveux d’une main, me force à me mettre à genoux devant lui. Automatiquement, comme la chienne bien entraînée que je suis, je tire la langue, fixe des yeux ce magnifique membre gonflé, au bord de l'explosion, à quelques millimètres de mon nez, et le masturbe frénétiquement de mes deux mains. En quelques instants, Monsieur pousse son traditionnel grognement, sa verge se tend une dernière fois entre mes doigts et expulse un énorme jet de semence en plein dans un de mes yeux. Sous le coup de la surprise, je pousse un petit cri de plaisir, mais je dois avoir cessé ma masturbation sans le savoir, car Monsieur se saisit de sa bite pour finir de se vider sur mon visage. Enfin, il force mes lèvres et dépose les dernières coulées de sa sève épaisse sur ma langue. Incapable d'ouvrir les yeux à cause du foutre accumulé sur mes paupières, je m'applique quand même à succionner le phallus de mon Maître qui me donne quelques instructions en caressants ma tête :
- S'il revient te voir dans ton bureau, je veux que tu lui obéisses au doigt et à l'œil, mais s'il veut te fourrer, il met une capote. Je vais t'en donner. Je veux que tu restes bien propre pour ma queue.
- Ar'ait, On'ieur...
- Tu sais, j'ai adoré te partager comme ça. Tu as été une adorable petite chienne. On va remettre ça, tu peux me croire.
- Bien, Monsieur, lui dis-je en cajolant doucement son sexe flasque mais encore imposant avec mes deux mains, avant de reprendre son gland dans ma bouche bien chaude. Moi aussi, j'ai adoré, Monsieur, merci..., ajouté-je avec un sourire sincère, les lèvres engluées dans le sperme.

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