La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1443)

Lope Olivier au Château – (suite de l'épisode précédent N°1442)-

- De plus, ta bosse sous ton pantalon trahit aussi tes pulsions de soumission trop longtemps enfouies en toi…

Olivier baissa de plus belle la tête après avoir entendu les derniers propos du Noble. Et cette tête baissée symbolisait qu’il reconnaissait cette vérité si évidente en lui-même… de plus il rougissait aussi, victime de son excitation trahissant sa servilité. Le Noble décida donc que le bon moment était venu de consolider Son début d’Emprise. L’obéissance sans faille de Sophie avait provoqué chez lui un début d'érection alors c'était le bon moment de tester comment Olivier allait se comporter:

- Mon jeune stagiaire, ou plutôt devrais-je dire ‘le chien’, vient terminer le travail de ta collègue. A quatre pattes à Mes pieds et passe sous mon bureau, montre-moi comment tu vas honorer Ma noble Verge, dit-il en claquant de nouveau des doigts mais cette fois à l’attention du nouveau soumis.

Olivier docilement compris ce qu'il fallait faire et c’est dans un aveu visuel de soumission, mais fort parlant, qu’il se mit alors à quatre pattes. Le Châtelain congédia Sophie afin qu’Olivier puisse prendre sa place sous le bureau. Le Noble avait aussi volontairement refermé sa braguette. Et avec délicatesse que le stagiaire s'empara de la fermeture éclair du pantalon de Monsieur le Marquis. Ce fut son premier contact avec le noble Sexe, et quand sa main s'empara du membre, il fut surpris par l'épaisseur du phallus. Le Noble était particulièrement bien membré alors Olivier sortit le membre du pantalon le gland turgescent et violacé luisait, le Dominant prit alors avec Ses deux mains la tête du soumis, lui ordonnant :

- Ouvre ta bouche, petite salope ! Hummm … Mais, je préfère t’appeler aussi Lope ! … Oui c’est ça, je vais te baptiser Lope Olivier ! … Ouvre-la bien, ta bouche de pute… Lope Olivier…

Et d'un geste, Il poussa la tête du soumis vers Son gland, Olivier bouche ouverte, s'empara du gland et c'est tout la hampe du Châtelain qui investit sa bouche.

Monsieur le Marquis savait que le premier contact devait être sans équivoque… Olivier compris que le Châtelain allait imposer le rythme de la fellation, les mouvements de va-et-vient qu'il appliquait grâce à Ses mains plaquée derrière la nuque de Lope Olivier avaient pour but de faire pénétrer Sa noble queue jusqu’au fond de la gorge du soumis. Oui Lope Olivier devenait Son soumis et le Noble allait montrer qui était le Dominant :

- Profite de Ma noble Verge, tu sens Sa force, tu sens Mon gland qui tape au fond de ta gorge, Ma noble Semence va bientôt crépir dans ta pute de bouche, espèce de petite salope, de Lope ....

Lope Olivier se prit au jeu, de se savoir traité comme une pute, un état qu'il avait fantasmé sans se l'avouer pendant des années, alors il se mit à sucer avec ardeur le noble Membre. Il prenait du plaisir à en donner au Seigneur de ces Lieux. Il devait s'appliquer à mieux le sucer, aspirer le gland, le téter, se comporter comme une petite pute soumise, une chienne bonne à être dresser, bref à ce qu’il était au plus profond de lui-même. Oui voilà son futur état de servilité, être une bonne lope, au service de quelqu'un qui aurait cette autorité naturelle permettant d'assouvir ses désirs, ses envies, ses besoins de soumission. Lope Olivier pompa le Vit de plus belle, et la queue du Châtelain ne fut pas insensible à ce traitement, l'excitation grossissait et la jouissance du Maître allait pouvoir se matérialiser bientôt. Et c’est dans un râle non dissimulé que le Noble éjacula, la Semence jaillit de la Verge et Olivier s'appliqua à tout garder en bouche, tout aspirer avec délicatesse, ce noble et précieux nectar se répandit dans sa bouche avide, et il avala avec humilité en une bonne petite pute dominée. Voilà ce qu'il était en train de devenir. Monsieur le Marquis sentait que on pouvait faire de grande chose avec ce chien servile et obéissant, une bonne petite lope venait d'être révélée au Château … Le Châtelain exigea à bien nettoyer sa queue des résidus de sperme :

- Voilà c'est bien, lèche moi bien le gland, tu dois tout nettoyer, petite lope, bien te régaler de Ma noble Semence, voilà c’est ça, lèche comme le bon chien que tu es, c'est bien, aspire le gland, récupère les dernières gouttes… Tu es une bonne petite pute, et je vais te dire qu'elle sera tes priorités absolues en tant que stagiaire, ce que j'attends de toi.
Tout d'abord une obéissance absolue, J'ordonne, tu obéis, point. Ensuite, Walter, mon Majordome et Marie, ma sadique et perverse cuisinière ont le droit aussi d'user et d’r de toi, autant qu’ils en auront envie, à leur convenance, ainsi que tous les Dominants à qui je pourrais te prêter. Dorénavant, tu te évolueras toujours entièrement nu au sein du Château, comme le sont aussi mes autres stagiaires devenus Mes soumis (ses). Tu devras te montrer respectueux avec tes congénères. Et surtout te rappeler que maintenant si tu es à Mon service, tu l'es entièrement car tu deviens Ma Propriété la plus absolue. Ton corps de lope est à Ma disposition pour moi, mais aussi si je te l'ordonne pour mes Invités. Maintenant tu peux te retirer, Walter va t'expliquer les règles inhérentes au Château...

Sur ce, le Majordome rentra et ordonna à Lope Olivier de le suivre. L'intégration d'un nouveau stagiaire suivait toujours un processus bien établi par Monsieur le Marquis. Walter commença à expliquer au soumis les obligations liées à la vie au Château. En premier, il allait se dévêtir complètement, la marque de reconnaissance des stagiaires étaient la nudité complète, ensuite sa pilosité devait être réduite au maximum, ce qui impliquait que sa nouille serait rasée ainsi que sa fente culière, ses attributs devaient être visibles de tous, marquant par la même sa disponibilité. L'accès à son cul devait être exempté de tous poils. Le Majordome indiqua aussi qui se trouvait au Château, d'abord Monsieur le Marquis, puis lui ainsi que Marie la vicieuse cuisinière. Il y avait aussi du personnel de maison sélectionné par Monsieur le Marquis pour leur qualité de discrétions et un nombre important de plusieurs dizaines d’esclaves et de soumis, mâles et femelles...

Le personnel de maison précisa Walter pouvait à tout moment corriger les stagiaires si ceux-ci se comportaient mal, un certain nombre de punitions étaient prévues. Le Majordome précisa que la cravache était généralement utilisée mais que pour certains soumis d'autres punitions étaient possibles, bref qu'il était nécessaire d'avoir un comportement servile afin de satisfaire Monsieur le Marquis.
Des soirées de Domination/soumission étaient prévues, les soumis devaient être présents toujours nus et surtout à la disposition de Monsieur le Marquis et des Invités. Walter me dit pour conclure :

- Je pense que tu feras un bon chien, bien obéissant, j'ai l'œil pour surveiller ça. Donc dans un premier temps tu vas te déshabiller et me donner tes vêtements, Marie les mettra en lieu sûr. Ta nudité à partir de maintenant devient une normalité.

Le jeune stagiaire se mit donc tout nu sous le regard autoritaire de Walter. Quand le caleçon glissa la nouille d'Olivier bandait et ne pouvait pas cacher l’excitation son état servile. Ainsi Monsieur le Marquis ne s'était pas trompé Lope Olivier était bien une petite pute soumise, un chien en chaleur qu'il allait falloir calmer et canaliser, Monsieur le Marquis était un expert pour cela. Le soumis, la queue toujours en rut, reçut sa première punition au Château car il ne baissait pas la tête en se déshabillant le haut. Le Majordome se devait de le corriger, un chien doit bien se tenir en gardant toujours la tête baissée devant un Dominant.

- Espèce de chien, petite pute qui te permets ne pas baisser la tête ? Ici on se tient correctement, je ne vais pas te cravacher pour le premier jour, on va mettre cela sur le compte de ton inexpérience mais je vais te montrer comment ici on calme les petits chiens mal élevés, d'abord on va rejoindre Marie, aux cuisines, elle saura t’apprendre à bien te tenir, petite lope… Je te préviens, elle est particulièrement sévère et très perverses voire sadique… Ah une dernière chose, ici, on Me suit à quatre pattes, alors met toi en quadrupédie et suis-moi…

Lope Olivier penaud se mit de suite à quatre pattes mais la queue toujours dressée pour suivre maintenant Walter dans les longs couloirs feutrés. On s'approchait des impressionnantes et immenses cuisines et l'odeur de préparation des plats y était agréable et mettait en appétit. Marie était une sévère femme au service du Maître des lieux depuis déjà de très nombreuses années.
Et en dehors du salaire fort généreux qu'elle recevait, elle aimait vivre dans cet univers où elle pouvait assouvir ses penchants pervers, autoritaires, vicieux et sadiques. Ainsi elle savait très bien se faire respecter des soumis, hommes comme femmes, elle savait les Dominer avec force… Marie appréciait aussi se faire lécher la chatte et le cul longuement, elle aimait sentir les langues la fouiller et si celles ou ceux qui y avaient droit ne s'appliquaient pas correctement à la satisfaire, Marie savait comment obtenir ce qu'elle exigeait avec un sadisme sévère impressionnant. Les cuisines étaient un endroit où tout objet pouvait contribuer à la débauche. Marie demanda à Walter ce qui se passait. Le Majordome répondit :

- Un nouveau stagiaire ou plutôt un nouveau chien. Monsieur le Marquis l'a marqué tout à l'heure de Sa Semence, cette pute a su y faire en récoltant le précieux Nectar du Maître, il a tout avalé sans broncher et a bien nettoyé la Verge de Monsieur le Marquis… Regarde dans quel état il est, il bande comme un taureau ! De plus il a fauté en ne baissant pas la tête pour se mettre à poil, le chien !.

Marie rigola, mais c’était un rire sadique… Elle savait exactement ce qu'il fallait faire.

- De la glace, dit-elle, il nous faut de la glace. Ce chien peut bander, c’est une des seules choses qui lui est autorisée ici, mais ne pas baisser la tête, ça, il va le payer ! Je vais lui calmer son excitation, ça lui apprendra à ce bâtard. Debout le chien !

Sitôt dit sitôt fait, elle alla chercher dans un des nombreux congélateurs, un sac de petit pois et avec un air sadique et impassible, les yeux grands ouvert de sévérité. Marie l'appliqua sans ménagement sur la nouille tendue d'Olivier, celui-ci cria d’une douleur glaçante à cause du choc thermique.

- Ne fais pas ta mijaurée petite pute, ne bouge pas, regarde ta nouille, elle commence à reprendre la place qui est la sienne, juste un petit vermisseau entre tes jambes. D’ailleurs ici au Château, ta nouille te servira uniquement pour pisser sauf si le Maître décide de te faire vidanger les couilles de temps en temps, le chien…

Lope Olivier en effet remarqua que sa queue devenait, avec la morsure du froid, toute petite, toute flétrie. La cuisinière pris cette petite nouille de clébard en main et la regarda sévèrement, sadiquement, revenir à sa taille normale, voire même à une taille insignifiante digne d'un petit puceau qu'était ce stagiaire, en réalité.

- Dorénavant, on va contrôler tes érections de bâtard, ta nouille est toute petite et il s’agit maintenant de la contenir ainsi… Mais j’ai ce qu’il te faut le chien … dit-elle en giflant le soumis d’un volée de deux puissantes baffes, juste par plaisir sadique de gifler tout en lui crachant sur le visage…

Sévère, Marie alla chercher un objet dans un de ses grands placards de cuisine, revient et s’approcha avec cet objet qui était une cage de chasteté. Et Olivier comprit de suite que cette cage était pour lui. La cuisinière se saisit alors du sexe mou et des testicules et en un tour de main, la nouille de Lope Olivier fut appareillée, emprisonnée. La clé, quant à elle, fut rangée dans le même grand placard :

- Voilà maintenant tu ne pourras plus bander, le chien. Tu vas apprendre la modestie, l’humilité à baisser la tête. Ici, les stagiaires doivent avoir un comportement exemplaire de soumission quand ils deviennent des dominés…

(A suivre …)

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