Il Suffit D'Être Patient - La Suite

- Dans quel sauna irons-nous Yanick ?
J’ai tellement été stupéfié par sa question que je suis resté les bras ballants ne sachant que répondre !
- Ben je...… Euuuuhhh….
- Tu n’étais pas sérieux quand tu me l’as proposé ?
- …………SI ! si bien sûr nous irons au ‘ caprice des eaux ‘ !
- C’est ou ?
- A la ville voisine nous ne rencontrerons personne que l’on connait
- Ah bon comme ça, ça va !
Il était temps que je me ressaisisse ! Il faut battre le fer tant qu’il est chaud, le samedi suivant nous sommes partis pour le sauna, même dans les vestiaires pour couple de hommes vont et viennent pour assister a l’effeuillage de ma femme qui n’est nullement gênée de faire un striptease devant eux , une fois revêtus du peignoir ridicule de rigueur nous visitons l’établissement suivis évidement par une nuée d’hommes, en tout et pour tout nous sommes deux couples pour quinze mecs et sans prétentions c’est ma femme la plus belle
- Ils ne sont pas gros et moches comme tu disais chéri
- Boff c’était pour parler ….tu veux qu’ont ailles dans le jacuzzi tout de suite ?
- Si tu veux ….mais tu reste prés de moi hein ?
- Bien sûr mon amour
J’ai l’impression qu’elle veut vivre moments par moments ce qu’elle me confiait sur l’oreiller ….Je vais tester ses fantasmes … et les miens ! En direct !
Sitôt assis dans la pénombre des hommes prennent place à notre droite et a notre gauche, même au beau milieu du bassin, Léna me cramponne par le bras
- Je sens déjà des pieds sur les miens …
- Tu veux qu’ont sorte ?
- Non c’est sans doute par hasard …
Du coin de l’œil je surveille le mec qui progresse imperceptiblement vers Léna soudain ses doigts se crispes sur mon bras
- Quelqu’un touche ma cuisse
- A toi de voir jusqu’ou tu veux aller
- Mais toi ? qu’en penses-tu ? tu ne va pas être jaloux ?
- Laisse-le te toucher chérie
- Aaaahhh sa main vient entre mes cuisses,
- Ecarte-toi, laisse-lui le passage
- Mmuuummm ça y est il me touche la moule
- Cherche sa queue pour voir comment elle est …
- Elle est bien dure ! … celui de devant me touche aussi chéri
Tout va très vite, je vais laisser ma place à un mec impatient de la toucher, c’est a peine si elle s’est aperçue que je me levais
- N’ai pas peur je reste devant toi
- J’ai la trouille ne t’éloigne pas…
Son autre main a disparu sous l’eau a la recherche de la deuxième queue, elle est bientôt submergée par les mains baladeuses des verges essaient même d’atteindre sa bouche il faut réagir avant d’être dépassé par les événements, je tends la main a Léna qui essaie de se relever mais les doigts fureteurs restent ancrés dans sa chatte pour la maintenir assise
- Laissez là partir s’il vous plait
- Excusez nous monsieur, nous pensions que vous étiez habitués des lieux, dommage elle a l’air bonne !
Nous partons vers les alcôves suivis par la nuée de mecs, je choisis délibérément un qui ne ferme pas, ils nous laissent le temps de nous retrouver, j’enlace ma femme, sa moule est déjà bien ouverte et suintante
- Je vais te bouffer la chatte chérie
- Tu crois qu’ils vont entrer ?
- Uniquement quand tu le décideras, ferme les yeux abandonne toi a mes caresses, il n’y a que toi et moi ici
Tout en gardant un œil rivé sur la porte je lèche sa cramouille pleine de sève avec délectation, je perfore son anus avec l’index sans rencontre de résistance ma femme est déjà prête a la sodomie, le fera elle avec un inconnu ?
Un homme se tient dans l’embrasure de la porte il a un manthule digne de ce nom qui se tient a la verticale sur son ventre, il dépasse le nombril je lui fais signe de nous rejoindre, d’autres veulent en profiter pour s’avancer mais d’un signe impératif je leurs demande de rester sur place
Notre invité se penche sur les seins de Léna qui surprise fait un bond mais devinant mon accord s’abandonne aux caresses, tétée en haut léchée en bas elle ronronne comme une chatte en chaleur, l’homme lui prend le poignet pour diriger sa main vers son membre raide, elle pousse un cri de surprise en découvrant la queue imposante qu’elle s’empresse de décalotter, l’homme avance son bassin vers le visage de ma femme qui embouche tout ce qui veux entrer de chair, je fais signe a un deuxième qui de la langue me fais comprendre qu’il veut bien lécher la vulve, je devient spectateur comme dans notre ‘ conversation ‘ intime de la semaine dernière
Léna grogne, feule, gigote sous la langue experte, je vais voir deux autres gars pour leur demander ce qu’ils aimeraient faire a ma femme
- J’aimerais bien la baiser après l’avoir doigtée
- Moi aussi je la prendrais en double s’il faut
- Alors faites vous une place je suis d’accord pour tout tant qu’il n’y a pas de violence, soyez quand même virils, ceci dit vous pouvez la traiter de pute et de tous les noms d’oiseaux que vous connaissez !
- Chéri ou es tu ? ils viennent tous a la fois
- Je suis là, laisse toi baiser grosse cochonne
Un amas humain indescriptible s’est formé autour de Léna qui pousse des cris, des rires des soupirs, elle glousse de plaisir cette salope, je partirais qu’elle ne s’en apercevrait même pas !
- Violez moi bandes de puceaux, je veux que tous mes trous goûtent au sperme videz vous les couilles
- Elle en veut celle-ci ! quel sac a foutre
- Tu crois que c’est une pute ?
- Non une pute ne s’abandonne pas autant
- Profitons en ce n’est pas tous les jours qu’ont baise une aussi belle femme
- elle glisse entre nos mains comme une savonnette tellement elle est enduite de foutre!
Tous les mecs se déchaine elle se retrouve empalée sur un homme un deuxième cherche son autre trous deux autres se battent pour se faire sucer les autres se contentent de se branler et de décharger sur elle, dans les cheveux sur les seins, les reins, une odeur animale monte dans ce réduit
- YANYCK !!!! ou es tu ? ça déborde de partout j’en ai mare vient vite me sortir de là
- Vide leur les couilles quand ils seront épuisés ils partiront tout seuls !
- Salaud !
Petit a petit la pièce se vide, seul reste un solide gaillard qui la baise encore en levrette, elle a l’air d’apprécier ce bon mâle, je m’approche pour m’inviter
- Léna ? tu veux qu’ont te prenne la chatte tous les deux ?
- Oui mon amour vient mélanger ton foutre à celui de mes amants, au fait combien étaient-ils ?
- Je n’ai pas compté, dix ? quinze ? y’en as surement qui t’ont baisée plusieurs fois !
- Nous reviendrons ????????????????????

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