Leslie Ar18

Leslie AR18 - Les confessions de Lise

« Je m’appelle Lise, j’ai tout juste vingt ans, je suis avec un copain, un mec avec qui je sors et que j’ai rencontré lors de mon anniversaire de mes dix-huit ans.
Sa passion est le foot, qu’il pratique assidument avec ses potes de club, un peu macho, lors de notre rencontre il a su me séduire et je me souviens de mes premiers émois dans ses bras, par rapport à mes anciens copains, il m’a surprise…

Dès les premiers temps, je me suis sentie différente, car il faut le dire, Kevin, au lit, est une bête de sexe, attentionné, endurant et bien monté.
J’ai connu quelques mecs avant lui, avec eux c’était sympa mais rien de quoi s’extasier, avec lui c’est autre chose, pout tout dire il me fait grimper aux rideaux.
Enfin, il me faisait, car depuis la reprise de la saison de foot, trop accaparé par son sport, il me délaisse. Quand il rentre, il est crevé par les entrainements et nous ne faisons pratiquement plus l’amour, et je dois avouer que ça me manque.

Après un week-end de merde, passé chez la belle-famille et le match du dimanche après-midi, j’ai la rage, pas un baiser, pas une caresse, je me pose des questions sur la suite à donner à notre relation.
Mon portable sonne, c’est Laura, ma meilleure copine, l’occasion de me lâcher un peu et de lui parler de mes soucis, elle me propose de déjeuner ensemble ce midi entre filles.
- Tu m’expliqueras ! Me dit-elle.
- Super à tout à l’heure.

Midi, nous sommes ensemble dans un petit restaurant et commandons un apéritif.
- Alors, qu’est-ce qui se passe ma belle ? Me demande Laura.
- Week-ends de merde qui s’enchainent, la belle-famille me gonfle, le foot accapare mon mec, j’en peux plus !
- Mais, il te fait toujours de l’effet ?
La coquine, elle sait qu’en fait Kevin est un super coup et qu’elle voudrait bien être à ma place, mais je ne suis pas avec lui que pour ça.


- Tu sais ce week-end, je suis sortie vendredi soir et samedi soir en boite, résultat j’ai eu droit à une petite queue et un précoce, tu vois fait longtemps que je n’ai pas vibré.
- Moi aussi, figure-toi.
- Quoi ? Kevin te délaisse ?
- Nous n’avons plus eu de rapport depuis plus de trois semaines.
- Alors là, je n’en reviens pas !
- C’est ainsi, et je me demande si je ne vais pas le larguer.
- Préviens-moi, je le récupérerais aussitôt.
La vicieuse, elle a toujours fantasmée sur mon mec, et c’est une vraie nympho, elle saute sur tout ce qui bouge et à un sexe. Mais si je largue Kevin je ne pourrais pas les empêcher de se mettre ensemble et adieu mon bel étalon.
- D’ailleurs, c’est pour ça que je ne vois jamais Laura avec Kevin, trop peur qu’elle me le pique. Je suis dans mes pensées quand Laura me demande :
- Qu’est-ce que tu en penses ?

Quoi, plongée dans mes pensées je n’ai pas entendue Laura et je n’ai pas la moindre idée de la question, je lui demande :
- Oui, que disais-tu ?
- Je te proposais d’être une médiatrice et raviver les ardeurs de ton mec en ma présence.
- En fait, lui dis-je, tu me propose de te taper mon mec en ma présence et avec mon consentement.
- Mais, c’est juste pour t’aider et faire repartir ton couple, un peu de nouveauté parfois change beaucoup de choses.
- Ouais, et puis après tu te casses avec et moi je reste seule dans mon coin.
- Mais tu voulais le larguer, je t’offre une opportunité de le retrouver et de le garder.
- T’es une vraie nympho, toutes les occasions sont bonnes pour te faire tringler.
- Je l’avoue, et puis tu le sais, avec Kevin j’en ai toujours rêvé, mais tu es ma copine et je ne peux pas faire cela dans ton dos, c’est une belle occasion, non.
- Il est vrai, mais comment être sûr qu’il ne s’entichera pas de toi et ne me larguera pas après.
- On n’est jamais sûr de rien, et puis c’est l’occasion de se faire un petit trio, je suis certaine que cela va plaire à Kevin.

- Bon, dis-je, alors tu viens ce soir à la maison.
- Ok, à ce soir.
En sortant du restaurant, j’ai prévenu Kevin, que ce soir nous recevions Laura.

Dix-neuf heures, ça sonne. Merde, elle est carrément en avance ! Je suis en train de me maquiller, c’est Kevin qui va ouvrir.
Salut Kevin, comment ça va ? Dis Laura.
Pas de réponse, un grand silence, je sors de la salle de bain, pour voir ce qu’il se passe.
Incroyable, Laura est sur le pas de la porte, en pantalon de cuir moulant, des chaussures à talons aiguilles et un bustier qui met en valeur ses seins.
Kevin est bouche bée, hypnotisé par l’apparition de Laura.
- Kevin, tu ne fais pas entrer Laura ? Dis-je.
- Heu, si, bien sûr entre, dit-il en sortant de sa torpeur.
Il s’écarte balbutiant un :
- Salut Laura, comment ça va ?
Et il l’a fait entrer.
Pendant l’apéritif, je vois que Kevin ne va pas bien, il reste prostré au fond du canapé, évitant de regarder Laura, il sait que je serais vexée qu’il la mate sans vergogne, mais je capte certains de ses coups d’œil. En plus Laura ne fait rien pour arranger la situation.
Pour ma part, j’ai revêtu une longue robe asiatique de satin rouge, fendue sur le côté jusqu’au haut de mes cuisses. De quoi rendre Kevin fou.

Tiens, si je parlais de mon mec, Un jeune homme de deux ans mon ainé, très grand, un mètre soixante-dix-huit, bien foutu aux muscles bien formés, les cheveux bruns, courts et des yeux verts, en fait c’est un beau mec.
De plus son organe, de bonne taille, une bonne vingtaine de centimètres, mais très épais, de quoi en rendre plus d’une envieuse.
Moi, je suis blonde, pas très grande avec mon mètre soixante, les yeux bleus, la taille fine, les hanches étroites et les fesses cambrées, une poitrine d’un quatre-vingt-cinq B, mes seins sont sensibles et mes bouts légèrement proéminents, les mecs disent de moi que je suis un sacré petit lot.
Laura, est brune aux cheveux longs, grande avec son mètre soixante-seize, fine aussi et un cul de déesse monté sur des jambes interminables, les yeux verts, la bouche pulpeuse et des gros seins qui attirent les regards.


Laura, pendant l’apéritif, nous fait un compte rendu de ses dernières expériences sexuelles, je crois que Kevin est bandé comme un âne, son jean est tout gonflé.
- C’est comme l’autre soir en boîte, explique-t-elle, un bel italien m’invite et on a dansé collé serré, il était chaud comme la braise, et beau, comme vous ne pouvez pas imaginer. Il me propose de finir la nuit chez lui, vous me connaissez, j’ai accepté. Belle bagnole, bel appartement, le rêve de jeune fille. Champagne chez lui, nous nous regardons, je pose ma coupe et je m’approche, j’en peux plus d’attendre. Je l’embrasse, il m’enlace, nous nous allongeons sur le canapé, il me caresse et j’envoie mes mains vers son bas ventre pour voir comment il est monté. Et là, la déception, bandé à fond il a un petit sexe aux proportions un peu plus gros que mon majeur. En cinq minutes l’affaire était pliée, j’ai ramassé mes affaires et je suis rentrée, frustrée.
Kevin n’en a pas perdu une miette, il ne peut détourner son regard de Laure, Je suis certaine qu’il est à l’étroit dans son jean.
Je me lève pour aller chercher des glaçons pour la deuxième tournée d’apéro. »

A suivre…

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