The Girl Next Door 3

The girl next door 3

Je me demande si on ne va pas faire sauter cette séparation sur le balcon ! Une telle modification nous ferait gagner du temps à tous les deux, c'est sûr. Deux mois se sont écoulés depuis mon installation et je suis loin de la déprime que j'imaginais quand Claire m'a largué et viré manu militari. Ma rencontre avec Élodie, voisine aussi belle qu'imprévisible, m'a totalement remis en selle sans jeu de mot car elle m'a donné l'occasion de retrouver un plaisir enfoui depuis mon adolescence : la sensation sensuelle et agréable quand l'odeur du cuir vous saisit. A l'époque, je fréquentais en effet régulièrement la carrière d'un centre équestre et le fait d'y avoir fait mes premières armes avec une ou deux cavalières fort sympathiques n'y est certainement pas pour rien. En tous cas, dans ces moments très agréables où j'ai découvert avec délice les possibilités qu'offre l'anatomie féminine, j'allais droit au but pour batifoler de manière très basique. Les cravaches et autres badines étaient pourtant si prés. Si j'avais su ! Aujourd'hui, lorsque j'ouvre le coffre à malice, comme l'appelle la jolie blonde qui habite juste à coté, les effluves dégagées par les martinets, les deux petits fouets et les accessoires faits de cette matière noble m'entraînent résolument dans une autre dimension avant même que nous n'allions plus loin. Depuis quelques semaines, j'ai bien avancé en cheminant avec Élodie dans cet univers érotique que je pensais réservé à d'autres et qu'inconsciemment j'avais exclu de ma vie sexuelle antérieure. J'ai découvert avec elle que l'on peut éviter les clichés du genre. Loin d'être réductrice, la relation de soumission domination qui s'est mise en place entre nous est devenue un vrai catalyseur même quand nous faisons l'amour sans accessoire. Les mots et la pensée ont une telle puissance que ces moments plus classiques sont vraiment tout aussi magiques. Bref, on s'éclate et on vit à fond notre relation sans nous poser plus de questions.

Toujours indépendants mais de plus en plus liés l'un à l'autre.

Elle m'a prévenu vendredi que nous partirions durant le week-end pour une virée pas très loin de Bordeaux. Je n'arrive à rien lui faire avouer pendant notre trajet et je finis par accepter l'idée d'un peu de tourisme. Pourtant le petit sourire en coin que je devine en conduisant me laisse à penser que le programme pourrait être bien moins conventionnel. Et je ne m'étais pas trompé ! La nuit est déjà tombée quand on arrive à maison d'hôtes qu'elle a dénichée. Vu de l'extérieur, rien ne peut la différencier des classiques demeures de charme de ce petit village entouré par les vignes. Mais quand la maîtresse de maison nous ouvre la partie du bâtiment que nous allons occuper, je vais de surprise en surprise. Sur deux niveaux, je découvre avec Élodie des espaces dont le mobilier et la décoration n'ont absolument rien à voir avec les produits vendus par une célèbre enseigne suédoise . Autour d'une belle chambre traversée par une poutre monumentale, des salles vraiment très spéciales donnent le ton et laisse augurer d'un séjour vraiment très hot. Sur Internet, lors de mes recherches, j'ai trouvé certains décorums crasseux et glauques. J'ai vite compris que pour certains pratiquants cela faisait partie intégrante de leurs délires. La recherche d'endroits très atypiques les pousse même à franchir certaines limites dangereuses et illégales pour dénicher les perles rares. J'avoue ne pas avoir ce penchant et je suis sensible à une certaine qualité des lieux où nous donnons libre court à nos envie. Ici j'apprécie. Aucune sensation de malaise. Je m'y sens tout de suite bien et, dès que la personne qui nous a accueillis s'éclipse, je prends Élodie dans mes bras pour l'embrasser. Elle sent que je suis déjà prêt à entamer les travaux pratiques mais elle m'arrête dans mon élan. Son programme est bien établi et je me laisse guider une fois de plus.

Je m'amuse intérieurement des regards envieux des convives déjà installés lorsque nous prenons place à notre table.
Élodie, par l'aura qu'elle dégage ce soir, ajoute une étoile à cet établissement bien connu des gourmets de la région. Elle rayonne littéralement. Lorsque je l'ai vue tout à l'heure ainsi vêtue sortir de la chambre pour me rejoindre en descendant l'escalier, je l'ai trouvée irrésistible. Un haut fait de transparences subtiles sur une jupe qui donne tout loisir de découvrir ses jambes fuselées. Sophistiquée avec un érotisme qui n'échappe à personne mais impossible de trouver la moindre touche de vulgarité dans sa tenue. Je me dis juste que certains points de vue lors qu'elle sera assise devraient faire monter la pression chez les plus observateurs. Les hauts en dentelle des fins bas noirs qu'elle porte m'ont fait frémir d'envie quand elle a descendu d'un air entendu les marches une à une en me fixant du regard. Elle me tient aussi fermement que les mâchoires d'un pitbull accrochées aux mollets de l'intrus qui a pénétré son territoire ! Pourtant, je sais qu'après nous être délectés de ce repas sublime, elle se laissera dominer et quand je repense aux potentiels de notre nid, je me dis que ce week-end risque d'être inoubliable. Elle a tout prévu mais, malgré mon insistance, elle refuse de dévoiler ce qu'elle m'a réservé.

Dîner terminé, je trouve qu'elle est bien pressée de revenir à notre logement. Elle ne me répond pas et se contente de me regarder d'un air convenu quand je la charrie un peu au sujet de ce retour précoce. Il est à peine 23 heures ! Je comprends aussitôt qu'il y a anguille sous roche ! D'autres véhicules sont stationnés près de la maison et je l'interroge des yeux. Elle coupe court en m'expliquant que logiquement nous n'aurions pas dû profiter du lieu avant demain car un événement y était organisé ce soir. En discutant avec le propriétaire, Élodie avait néanmoins réussi à lui proposer une solution qui arrangeait tout le monde : pas d'accès à l'étage ce soir pour les invités et, de notre côté, nous serions libres de partager la séance si on le souhaitait.
Fin au plus tard à 2 heures pour les participants. Elle avait aussitôt accepté en apprenant qu'il s'agissait d'une soirée privée en petit comité. Juste deux couples désireux de s'initier aux pratiques BDSM. Ils venaient assister à une démonstration de bondage et de jeux d'impacts organisée pour l'occasion. Rassuré de savoir que l'étage et surtout notre chambre ne seraient pas utilisés et surtout très excité par l'idée de jouer le voyeur avec ma belle voisine, je passe mon bras autour des épaules d’Élodie et je l'entraîne sans hésitation.

Nous rejoignons le groupe assis dans les fauteuils du petits salon, coupes de champagne à la main. La maîtresse de cérémonie se lève pour se présenter et nous accueillir. Catherine est une femme d'âge mur dont la tenue ne laisse aucun doute sur le rôle qu'elle jouera ce soir. Sourire engageant mais une incroyable dureté dans un regard noir qui transperce littéralement. Grande et athlétique, la combinaison en latex qui moule son corps témoigne d'un physique entretenu et elle met en valeur dans un superbe décolleté des seins toujours magnifiques. Les deux couples qu'elle nous présente sont visiblement moins décontractés. La quarantaine pour le premier. Elle est un peu ronde, mal fagotée dans une robe trop serrée et ne parvient pas à soutenir le moindre regard. Lui a un physique ingrat. Franchement, ils devraient trouver d'urgence un coach en matière vestimentaire ! Le second donne plus envie de les connaître. Regards francs et discussions intéressantes. Probablement plus proches de la cinquantaine, ils ont une classe certaine. Brune, fine et élancée, elle semble bien fluette quand j'imagine cette femme dans les bras de l'homme visiblement sportif au gabarit de deuxième ligne de rugby qui l'accompagne. Les coupes que nous buvons ensemble ne parviennent pas à faire complètement fondre la glace et je devine en guettant les réactions de ma compagne que, comme moi, elle n'est pas loin de penser à laisser tout ce petit monde poursuivre sans nous.
C'était sans compter sur le savoir faire de Catherine qui a bien senti qu'il fallait passer à la vitesse supérieure. Elle nous invite à la suivre dans l'escalier que je découvre derrière une porte jusque là cachée par un rideau de velours rouge. Nous n'y avions pas prêté attention en faisant le tour des lieux. C'est quoi l'idée ? Un « wine testing » ? D'accord le terroir local s'y prête mais je me dis que notre domina du soir a certainement une toute autre ligne directrice pour animer cette soirée. Avant de découvrir moi-même ce que nous réserve Catherine, je vois de l'étonnement dans les yeux d’Élodie qui se retourne en découvrant avant moi le spectacle. L'escalier mène à une belle cave voûtée qui ferait pâlir d'envie les collectionneurs de bons crus mais c'est surtout ce qui se trouve sur la gauche dans un renfoncement qui attire notre attention et je comprends aussitôt sa réaction. Deux personnes sont enchaînées dans ce qu'il convient bien d'appeler un cachot. Une lourde grille métallique équipée d'une porte ferme un espace qui ressemble à s'y méprendre à une cellule de prison moyenâgeuse. Tous les deux sont nus, à même le sol, pieds et poings entravés par des menottes fixés à des anneaux scellés dans les mur et le sol. Malgré notre arrivée, ils restent silencieux, yeux baissés vers le sol. Ils sont jeunes tous les deux. Lui est sans doute un peu plus âgé mais pour ce qui concerne la superbe jeune femme qui est allongée sur la dalle, je ne pense pas qu'elle ait beaucoup plus de 20 ans.
- Ils vous plaisent ?
La voix forte de Catherine vient de résonner, sans équivoque. La mise en scène est lancée ! Je sens la main d’Élodie me serrer fort et je vois ses yeux pétiller quand nos regards se croisent de nouveau. Plus question de remonter dans nos appartements, c'est évident. La maîtresse de cérémonie n'attend évidemment pas de réponse et elle sourit en nous invitant sans tarder à remonter pour l'attendre dans la première salle que nous avons découvert en arrivant. C'est une pièce spacieuse aux murs noirs joliment décorée. Une croix de Saint-André d'un côté et une toile d'araignée faite de chaînes de l'autre. A côté, d'une sorte de cylindre qui me semble fait pour permettre d'attacher la personne qui l'aura enfourché. Je vois déjà le sort qui pourrait lui être réservé ! Nous échangeons quelques mots en prenant place dans les canapés qui complètent le décor. L'excitation est palpable, sauf peut-être pour ce couple introverti qui me semble toujours autant coincé. Des armoires et des coffres sont ouverts dans tous les espaces libres. La quantité de cordes, liens et autres accessoires BDSM est fabuleuse.

Le silence s'est de nouveau installé. Catherine vient d'entrer. Les deux soumis se laissent guider, tenus en laisse. Elle les a débarrassés de leurs lourdes chaînes mais ils portent maintenant chacun un collier de cuir fermé par un cadenas. Les petits seins de la fille pointent et je vois distinctement les deux anneaux posés sur les lèvres de son sexe lisse. Le garçon est mince et assez beau mais la vue de son sexe emprisonné dans une sorte de cage me fait frémir. Élodie n'en perd pas une miette et comme elle n'a pas lâché ma main, je sens à la pression qui augmente encore qu'elle aussi est sous le charme de la situation. La séance débute aussitôt. Le jeune soumis est attaché sans ménagement sur la croix. Le bâillon que lui a posé la dominatrice ressemble à s'y méprendre au mors dont je me servais pour équiper ma jument favorite. Catherine revient ensuite vers la fille qui est restée agenouillée au milieu de la pièce. Tête baissée, bras dans le dos, elle n'a pas bougé et, du fait de l'éclairage, on peut voir la fine pellicule de sueur qui recouvre son corps délicat. Complètement scotchés, nous assistons à un spectacle superbe. Les cordes de chanvre virevoltent dans les mains expertes et elles habillent maintenant ce corps nu en le sublimant. La poitrine menue darde encore davantage sous l'effet des croisements et des nœuds. Un corset magnifique se dessine peu à peu en exposant,comme à dessein, encore davantage certaines parties du corps de cette belle soumise. Une dernière corde descendant du plafond est fixée dans son dos et la traction qu'exerce progressivement Catherine la fait gémir. Pieds touchant légèrement le sol, bras attachés dans le dos, elle dévoile un cul extraordinaire. Élodie est aux anges et je constate qu'elle s'est détendue tout comme ce couple sympa qui semble aussi en phase avec ce qui se déroule devant nous. Catherine fait tourner la fille pour nous faire découvrir la subtilité du bondage qu'elle a effectué. Deux des cordes qui passent par l'entrejambe écartent les lèvres du sexe et les deux fesses magnifiques s'offrent à nos regards... avant peut-être de subir un tout autre traitement. En tout cas, c'est immédiatement l'envie qui me taraude en poussant encore un peu plus loin mon excitation. Catherine s'éloigne d'elle et actionne un interrupteur. Le dos du soumis en croix est subitement éclairé et nous la voyant s'emparer d'un magnifique fouet de cuir dont les motifs font penser à la peau d'un crotale. Le claquement qu'elle vient de produire en le manipulant donne le ton. La morsure de l'instrument doit être aussi venimeuse que celle du reptile ! Je sens mes poils se dresser sur mes bras. Placée à bonne distance, elle commence la flagellation par des mouvements latéraux. Le bruit de l'extrémité fine de la lanière qui vient cingler la peau est perceptible mais aucun son ne sort de la bouche du supplicié. Pourtant des lignes rouges parallèles apparaissent sur l'arrière des cuisses et sur les fesses du jeune homme. Le regard sadique de Catherine qui profite d'une pause pour nous regarder à tour de rôle en laissant sa main explorer les effets de son traitement est difficile à soutenir. J'ai la vague impression qu'elle adorerait me mettre à la place de ce soumis... et punir aussi sans doute ma belle Élodie avec une grande motivation. Elle s'est déjà recentrée sur sa performance et j'ai compris que la deuxième partie sera beaucoup plus hot. Le claquement brutal du fouet nous surprend. La lanière vient de s'abattre sur le dos offert déclenchant un cri étouffé mais puissant qui ne laisse aucun doute. La marque rouge vif qui balafre maintenant les épaules saute au yeux... Si elle ne fait qu'accen notre désir de voir jusqu'où ira la démonstration, de toute évidence c'est le coup de grâce pour nos spécialistes du « fashion  faux pas ». La femme se lève subitement suivie comme un toutou par son compagnon qui nous jette un regard fuyant et, sans un mot, ils récupèrent quelques affaires dans le salon avant de sortir précipitamment. Catherine, impassible, continue à faire claquer le fouet sur le corps nu. 10 coups ! Peut-être plus ! Je suis interloqué par la puissance des frappes qui zèbrent littéralement toute la surface du dos du jeune homme dont les cris deviennent de plus en plus prégnants. Avec le second couple, quasiment en apnée, nous assistons fascinés à cette punition hors norme. Les claquements ont cessé. Le jeune homme est marqué jusqu'au sang des épaules jusqu'aux fesses. S'il n'était pas retenu par les poignets en haut de la croix, je suis certain qu'il s'écroulerait immédiatement. Pour autant Catherine ne le libère pas et revient vers la suppliciée suspendue au milieu de la pièce. Je bande comme un malade rien qu'à l'idée qu'elle lui fasse subir le même sort même si je redoute ce que pourrait produire ce fouet sur les fesses et le bas de son dos si bien exposés dans cette position. Les deux cinquantenaires semblent aussi surexcités par le spectacle et je repère la main de l'homme qui s'est glissée entre les cuisses de sa compagne sans aucune discrétion. Élodie n'est pas en reste et sa main s'est déplacée sur ma cuisse pour se poser sur mon sexe. A travers l'étoffe du pantalon, je sens les mouvements de ses doigts qui ne font qu'accen le désir intense que j'ai de libérer mon érection. Catherine attire de nouveau mon attention. Elle vient de poser le fouet et je ne peux empêcher la déception de grandir en moi. Son choix vient de se porter maintenant sur une belle canne anglaise placée dans un grand vase remplie de différents modèles de cet instrument. J'ai lu que la douleur provoquée irradiait dans tout le corps et, à pleine puissance, elle pouvait être terrible. Le sifflement que vient de produire celle que tient notre dominatrice du jour confirme ce pronostic. La jeune femme attachée attend, stoïque. La suspension a produit son effet et des marques rouges sont visibles aux endroits où les cordes ont un peu bougé. Je suis surpris que Catherine laisse sa bouche libre en pensant à la douleur que la jeune femme va devoir supporter. Elle saisit la corde qui la suspend au plafond et après l'avoir fait pivoter légèrement pour que nous ne perdions rien du spectacle, elle entame le nouveau supplice par de petits coups secs, rapides et de plus en plus intenses sur la partie la plus charnue de l'anatomie de la fille. Pas un gémissement ne sort de sa bouche. Pourtant, de fines lignes rouges parallèles apparaissent sur la peau blanche. Cinq coups claquent ensuite beaucoup plus forts déclenchant chez elle des gémissements rauques mais étonnamment maîtrisés. Cette fille doit avoir une certaine habitude, c'est évident. Catherine laissent le temps aux nouvelles marques de se révéler avant de réitérer le traitement. Cette fois, le sang perle sur les nouvelles stries qui barrent les deux fesses. Le bouquet final sans doute ! D'autant plus que, d'un geste, elle nous demande de la rejoindre en nous invitant à passer nos mains sur les boursouflures impressionnantes que la canne a générées. On s'approche tous les quatre et c'est Élodie la première qui ose. Je la reconnais bien là ! Elle caresse doucement la peau si durement marquée et, avec le couple, je promène à mon tour mes mains avec volupté sur ce corps si joliment zébré. Catherine prend d'autorité ma main droite et je n'ai pas le temps d'être surpris que mes doigts se retrouvent sur le sexe de la punie qu'elle m'invite à fouiller plus profondément. Élodie et le couple comprennent immédiatement ce qu'a voulu nous faire sentir Catherine en voyant ma main couverte de cyprine. Je reste tout de même un peu interdit lorsqu'elle place la canne anglaise dans ma main en expliquant qu'elle aimerait que chacun d'entre nous lui donne un dernier coup pour conclure la séance, sans craindre d'y mettre toute notre force pour lui donner encore plus de plaisir. On échange un regard avec Élodie et j'y lis plus qu'une approbation. Pas vraiment aguerri à l'usage de l'instrument, mon coup est un peu hésitant. Ce n'est pas le cas de ma belle blonde qui cingle avec force le fessier offert déclenchant un cri puissant chez la jeune femme. La suite nous en apprend davantage sur le couple. La femme laisse en effet son compagnon fouetter deux fois la fille et il le fait de belle manière. De toute évidence, ce n'est pas la première fois et Madame penche résolument sur le versant de la soumission. Elle a dû y goûter bien avant ce soir. Peut-être pas si débutants qu'ils le disent nos partenaires d'un soir.

La maîtresse de cérémonie vient de libérer les deux esclaves du jour et ils se sont éclipsés aussitôt sans effusion. J'ai un peu le sentiment qu'ils sont un peu trop professionnels ! Catherine nous explique sans plus de détail qu'elle fait souvent appel à eux lorsqu'elle a des démos semblables. Je sens que tout discutant, elle attend le départ du couple. Ces gens sont vraiment adorables et, après un échange de numéro de portables que nous acceptons volontiers, ils quittent la maison d'hôtes. Il est presque 2 heures du matin ! Sacrée soirée ! J'imaginais un week-end sympa mais là ça a démarré vraiment très fort.

Mais je ne suis pas au bout de mes surprises ! Élodie s'est approchée de Catherine et je la vois échanger avec elle tout en l'aidant à ranger cordes et accessoires. Elles chuchotent. Je n'arrive pas à comprendre ce qu'elles se disent mais ça semble plaire de plus en plus à Catherine qui sourit en jetant un œil vers moi. Élodie s'est rapprochée.
-Marc, je viens de demander à Catherine quelque chose de spécial mais je veux savoir si tu es d'accord avant. Pour elle c'est ok.
-Tu penses à quoi ?
-Écoute voilà, le fouet sur le mec m'a fait vibrer si fort tout à l'heure et depuis longtemps j'ai ce fantasme : être attachée et punie comme on le faisait au moyen-âge aux femmes infidèles avec une longue lanière de cuir qui claque et marque fort. Lola n'a jamais voulu. Elle a peur d'être maladroite et de me blesser et je sais que toi non plus tu n'as pas l'habitude de manier cet instrument. S'il te plaît, laisse Catherine faire.
Tellement inattendue comme requête ! Je mets un peu de temps à répondre en imaginant le corps nu de ma belle voisine offert à la morsure du cuir. Partagé entre la crainte que Catherine se montre trop sévère et l'envie énorme de la voir supplicier de cette manière devant moi, j'hésite mais je ne résiste pas longtemps.
-Si c'est vraiment ce que tu veux..
-Oui, oui, j'en ai très envie...
-Alors ok...promets-moi juste de stopper si c'est trop dur.
Restée silencieuse jusque là, Catherine intervient aussitôt pour me rassurer.
-Je vais être raisonnable pour une première fois et Élodie a choisi un safe word pour tout stopper.

Pour me détendre un peu, je sirote un fond de champagne un peu chaud en assistant aux préparatifs. Élodie s'est mise entièrement nue et Catherine lui a posé aux poignets deux bracelets de cuir munis de mousquetons. Elle relie ces attaches à la corde qui descend du plafond et Élodie se retrouve sur la pointe des pieds, bras au dessus de la tête, totalement exposée. Je vois dans son regard un mélange d'envie et d'appréhension mais elle est résolue, je le sens. Catherine prend un second fouet en tout point identique au premier. Son expérience est manifeste. Pas question de réutiliser un instrument sans l'avoir désinfecté et nettoyé au préalable. Ses premiers mouvements sont mesurés et presque doux. La lanière s'enroule autour de la taille, des cuisses et des fesses sans provoquer autre chose que des petits sursauts. Mais l'augmentation rapide de l'amplitude et de la puissance des coups suivants semblent beaucoup plus douloureux si j'en juge à ses réactions. Pourtant, entre des gémissements plus sonores, je la vois serrer les dents en attendant l'impact suivant. La lanière s'enroule maintenant plus haut et les traces rouges qui marquent déjà son joli corps m'impressionnent et m'excitent prodigieusement. Elle suffoque presque lorsque le fouet touche ses seins sans défense. Catherine modère la puissance sur cette zone très sensible puis s'approche pour lui parler à l'oreille. Je n'entend pas mais j'imagine qu'elle veut s'assurer qu’Élodie accepte de continuer. Le regard dur de la dominatrice croise le mien avant qu'elle ne reprenne la flagellation et je comprends qu'elle va maintenant punir plus durement cette soumise offerte. Quatre coups puissants et précis claquent dans l'espace en faisant hurler Elodie de douleur. Quand bien même elle aurait voulu stopper avant le terme, le rythme qu'a donné Catherine à cette conclusion ne lui laisse pas le temps d'y échapper, même partiellement. La précision des coups est incroyable. Quatre balafres rouges viennent d'apparaître sur son dos formant deux croix parfaitement centrées. Je reste en admiration devant ces lignes incroyables avant de réagir pour prendre dans mes bras ma belle que Catherine vient de libérer de ses liens. Elle ne tient plus sur ces jambes et plane visiblement dans un autre monde.

La domina nous a laissés. Élodie est dans mes bras. Elle reprend peu ses esprits mais n'a toujours rien dit sur ce qu'elle vient de subir. Elle me laisse la câliner doucement. J'ai compris qu'au-delà de la douleur terrible ressentie, elle a pris son pied. C'est elle qui prend l'initiative de me caresser et lorsqu'elle m'offre son cul en se plaçant à quatre pattes sur le lit, mon sexe dur entre sans difficulté dans un sexe trempé. Elle jouit presque aussitôt sous mes coups de boutoir et j'explose à mon tour hypnotisé par les magnifiques marques qui tracent sur son dos un motif aussi sexy qu'incroyable.

Putain de week-end !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!