Mon Entrée Dans La Vie Active -3e Partie

Deuxième jour de travail, il est 12h30 et je n’ai encore eu aucun contact avec
Clothilde ou Catherine. Elles sont dans les locaux depuis ce matin (je peux le voir
grâce au logiciel de communication interne) mais elles ne se sont pas manifestées.
Trente minutes plus tard, avant de partir m’acheter un sandwich, je décide d’aller
voir Catherine dans son bureau et de mettre mes propres limites à son petit jeu de
perverse.

Je frappe à la porte et entends du bruit mais personne ne me répond. Je frappe de
nouveau. Une voix me dit :
- Qui est-ce ?
- C’est Alexandre, j’aimerais vous parler.
- C’est bon, entrez.
- J’entre et me retrouve face à Clothilde dont le chemisier est en partie déboutonné.
Elle tient dans sa main droite une laisse au bout de laquelle est attachée Estelle, la
jeune asiatique avec qui j’ai déjeuné la veille.
Je n’en crois pas mes yeux. Estelle est aux pieds de Clothilde et ne porte qu’un
soutien-gorge balconnet qui souligne bien sa poitrine généreuse. Elle est cul nu et à
la couleur de ses joues, il semble qu’elle est pris quelques claques de la part de
Clothilde.
- C’est bien que tu sois là soumis Alexandre, tu vas pouvoir voir ce que maîtresse
Catherine
attend d’un soumis. Estelle est l’exemple parfait de la petite raclure que tu dois
devenir.

S’il y a une raclure dans cette pièce ce n’est pas moi mais cette salope de Clothilde.
J’étais venu voir Catherine pour la remettre en place. Qu’à cela ne tienne, je vais
commencer par son assistante nympho.
- Ecoutez Clothilde, je ne suis pas là pour me faire insulter. Contrairement à
Estelle, vous ne me tenez pas au bout d’une laisse donc fermez-là où je vous montre
qui de nous deux à des couilles !
- Comment oses-tu salope ? Tu me dois le respect. Maîtresse Catherine va s’occuper de
toi si tu continues à être insolent.


Clothilde me dévisage puis m’observe de haut en bas. Je la fixe d’un air de défi, prêt
à déchirer son chemisier qui laisse largement entrevoir ses petits soins en pointus.
Clothilde reprend :
-Ah, j’ai compris, tu es de cette espèce…
Qu’est-ce que cette salope veut dire ? Elle continue :
- Tu aimes te faire humilier mais des pointes d’autoritarisme te font bander. Tu aimes
aussi prendre le contrôle quand tu le peux.
Il est vrai qu’hier j’ai bien dominé Christina. Je l’ai labourée comme la dernière des
salopes et ai joui comme rarement, mais là n’est pas la question. Je vais faire taire
cette petite pute de Clothilde.
- Regarde comme tu bandes. Je devrais enfermer ta bite dans une cage pour te calmer.
C’est alors que je prends conscience que mon sexe est dressé et n’attend qu’à être
délivré des vêtements qui le retiennent encore. Ce dialogue entre soumission et
domination, avec Estelle en objet sexuel comme spectatrice a le don de m’exciter au
plus haut point.
- Je te propose de ramoner ma pétasse, me dit Clothilde, mais en échange du devras
faire quelque chose pour moi.
J’ai peur de ce qu’elle va me demander mais rien ne m’oblige à accepter quoi que ce
soit.
- J’organise une petite soirée avec des amies samedi. Tu viendras faire le service. Je
veux que tout soit parfait et que je ne veux pas passer pas mon temps à faire des
aller-retour en cuisine.
- Le service ? C’est uniquement ce que vous me demandez.
- Oui, tu as du mal à comprendre ? Mettre en place les amuse-gueule, servir les
boissons et nettoyer après la soirée.
- Hum, et vous seriez prête à me laisser m’amuser avec elle ?
Je désigne Estelle du doigt.
- Oui, tu la prends comme bon te semble du moment que tu viens faire le larbin chez
moi samedi de 19h à minuit. C’est à prendre ou à laisser.
Mon sexe déjà bien dur m’empêche de peser le pour et le contre comme il le faudrait et
j’accepte la proposition de cette salope.
Elle me sourit, me tend la laisse que je
prends et elle me dit.
- Défonce-la sur le bureau. Ce sera du plus bel effet.
- Je tire sur la laisse et m’avance vers le bureau presque vide, ordonne à Estelle de
s’y allonger sur le dos et libère enfin ma bite qui ne pense qu’à se décharger depuis
plusieurs minutes. J’écarte les cuisses d’Estelle et enfonce mes doigts dans sa chatte
déjà mouillée. Cette pute a été traînée comme une chienne et elle mouille… je vais lui
donner une bonne raison d’être dans cet état.
J’enfonce mes doigts de plus en plus profondément et dit :
- T’aime ça hein salope. Tu aimes te faire baiser comme une chienasse.
- Oui, j’aime ça.
Je continue de la fourrer avec mes doigts quand Clothilde m’interrompt et me dit :
- Tu la remplis avec ta bite ou la petite pause est terminée.
Je la regarde d’un air de mépris mais son ordre ne va pas à l’encontre de mes envies,
loin de là. Ni une ni deux, toute ma pine se retrouve dans la chatte de ma petite
pétasse asiatique. Je suis maintenant sur elle et la plaque de tout mon poids contre
le bureau. Je lui presse les seins et la pénètre de plus en plus fort.
- Tu peux jouir salope lance Clothilde à Estelle.
Cette dernière s’approche de moi et me dit, couvre les cris de cette pute en mettant
ta langue dans sa bouche.
Je l’embrasse avec fougue et la sens tressaillir, C’est une véritable explosion,
Estelle a un orgasme que je peux difficilement masquer tant son plaisir est bruyant.
Je continue de lui rouler des patins et de la culbuter quand vient le moment où je ne
peux plus me retenir je sors ma bite de sa chatte en feu et att Clothilde par le
chemisier. Je fais pression pour qu’elle se mette à genoux et à peine dans la position
voulue, je lui explose à la gueule.
- Aaaahhh, c’est trop bon. Tu ne t’attendais pas à celle là !
Le visage de Clothilde est couvert de sperme.
Elle a à peine eu le temps de fermer la
bouche et de tourner la tête. Je ne l’ai vraiment pas ratée. Je lui caresse les
cheveux et m’essuie le sexe dans sa chevelure blonde. Je la domine enfin ! Elle qui
croyait me contrôler n’est plus que le réceptacle de mon foutre. Je lui dit :
- Notre accord ne disait rien quant à l’endroit où j’éjaculerai. Maintenant va te
nettoyer si tu ne veux pas avoir de problème avec Catherine.
Je me rhabille prestement, et viens embrasser langoureusement Estelle qui est restée
sur le bureau, la chatte plus trempée que jamais. Nos regards se croisent et une lueur
me confirme que cette petite baise avec Estelle n’est que la première d’une longue
série.

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