Chris Et Loic (Épisodes Iii Et Iv)

Episode 3

Je ne sors pas beaucoup en général. Ce n'est pas parce que ça ne m'intéresse pas mais
plutôt parce que je n'ai pas le temps avec le travail. Mais, depuis que j'ai fait la
connaissance de Loïc, l'autre jour, puis, de ses deux amis, je dois dire que ça arrive
plus souvent. Voilà une bande de jeunes délurés qui n'ont pas trop froid aux yeux. Ils
m'entrainent souvent dans leur jeu et je dois dire que ça me plait bien. Ils sont
beaux, gentils, gourmands, imaginatifs, souvent imprévisibles. Mais, mon préféré de la
bande reste Loïc car il est plus attentionné et plus câlin que les deux autres, ce qui
n'est pas pour me déplaire....bien au contraire. Je sors donc plus volontiers avec lui
qu'en bande, avec Yoan et Jérôme. Pour le moment, je ne sais pas trop où tout cela va
nous mener. On se laisse porter par l'improvisation. On ne se connait que depuis
quelques semaines que déjà un lien très fort s'est tissé entre nous. On se voit
plusieurs fois par semaine, tantôt pour un ciné, tantôt pour un resto ou tout
simplement aller se boire un p'ti verre en terrasse, se faire un plateau repas, comme
deux vieux devant la télé (les jours où il y a quelques choses de potable à
mater....ce qui n'arrive pas souvent).
Ainsi, en ce premier weekend de septembre, j'ai proposé à Loïc de venir diner à la
maison en tête-à-tête avant de rejoindre les deux autres comiques en boite, un peu
plus tard dans la soirée. J'ai donc passé mon après-midi dans l'excitation, à préparer
ce petit début de soirée. Je vois ça comme un tête-à-tête romantique, le premier
depuis que nous nous sommes rencontré dans ce "bar" et où nous avons fini emboité l'un
dans l'autre.
A 20h précise, Loïc sonne à l'interphone. J'abandonne momentanément mes fourneaux pour
aller lui ouvrir.

- Coucou, me fit-il en m'embrassant et en me tendant la bouteille de rouge qu'il avait
emmené avec lui.


- Coucou ma biche, comment vas-tu?
- Ben...ça va. et toi? passé une bonne journée?
- Oui...entre. restes pas là.... Tu es très fashion ce soir. J'aime beaucoup. Un p'ti
jeans très saillant qui te galbe bien les fesses et un p'ti tee-shirt bien moulant.
Très sexy. T'as du en faire bander plus d'un en venant ici.
- Ouai. Hof...j'ai mis ce que j'ai trouvé dans l'armoire.
- Ok. Fais comme chez toi. Je reviens.
- Ok.

Je pars dans la cuisine, voisine du salon pour surveiller la cuisson de mon plat.
Pendant quelques instants, le silence règne et je pense qu'il s'est bien sagement
assis dans le canapé en attendant que je revienne avec l'apéro....pas du tout. Je suis
encore en train de remuer le plat qui mijote tranquillement dans la cocotte lorsque je
sens sa main se poser sur mes hanches. C'est mon homme qui vient, tout simplement, me
faire un tendre câlin, en me prenant dans ces bras musculeux et en m'embrassant dans
le cou. Un frisson de bonheur, alors, parcourt tout mon corps et je me retourne pour
lui rendre son baiser et pour le prendre aussi dans mes bras avant de retourner à mes
préparations. Pour l'apéro, j'ai concocté quelques petites bouchées, passées quelques
minutes au four pour tiédir. Alors que je me penche pour attr la plaque dans le
four, il me prend par les hanches et me fait sentir son sexe bandé dans son pantalon
en mimant une levrette. Visiblement, le monsieur ne cherche pas que des câlins. Mais,
comme j'aime me faire désirer, il faudra qu'il mijote un peu, comme le plat....plus
c'est mijoté...meilleur c'est !!
Il retourne au salon. Je ne suis pas très long à le rejoindre avec mes petites
bouchées au chèvre et tomate/basilic, quelques cacahuètes...

- Tu prendras quoi à l'apéro?

Il fallait s'y attendre....

- Toi !! me lance t-il avec un merveilleux sourire.

- C'est une solution intéressante....il faudrait y songer !! Alors? Porto, vin,
champagne, whisky, vodka....
- Un whisky ira très bien.

Je sers aussitôt. Nous trinquons et commençons à papoter de notre semaine, de notre
travail....que des sujets passionnants. J'ai très vite envie d'un nouveau câlin. Je
prend un grand plaisir à sentir sa langue pénétrer dans ma bouche, nos langues se
réunir avec frénésie et à la sucer. En plus, je vois bien à son regard qu'il adore ça
et moi, ça m'excite d'autant plus.
Mais, il faut faire retomber la pression pour ne pas passé tout de suite à la
casserole avec la sauce du plat...Je m'éloigne donc quelques instants tandis qu'il
regarde vaguement la télé, plus obnubilé qu'il est par mes vas-et-viens. J'allume les
bougies et l'invite à se mettre à table.
La discussion se poursuit donc autour d'un rôti de veau et d'un bon vin. Loïc me
raconte les exploits sexuels de Jérôme, la semaine précédente. En effet, celui-ci est
sortit avec un de ses amis le vendredi précédent et s'est fait niquer dans les
toilettes, en boite....devant tout le monde. Evidement, Loïc et Yoan, qui étaient une
fois de plus avec lui ce soir-là, n'en n'ont pas perdu une miette. Ce qui me vaut ce
savoureux récit, calé entre le plat et le désert. Pendant qu'il me raconte avec
délices les détails croustillants de l'histoire, Loïc, qui a apparemment réussi à
enlever une de ses chaussures sans que je m'en aperçoive, me caresse le paquet, avec
la plante des pieds. Je dois dire que le massage de la bite par son pied donne à son
récit beaucoup plus de piquant. Je meurs littéralement d'envie de lui sauter dessus
pour lui faire l'amour. Il faut que je me calme un peu....
Je commence à débarrasser la table et à faire des allers-retours entre la salle et la
cuisine avec la queue bien raide dans mon jeans.
Ce qui n'a pas du échapper à Loïc.
Tandis que je range la vaisselle sale dans le lave-vaisselle il me rejoint et viens me
serrer dans ces bras, puis passe sa main sous mon tee-shirt et me caresse doucement le
torse, me pince les tétons, puis descend vers mon entre-jambe. Il palpe vigoureusement
mon paquet et me fait sentir sa queue bien raide entre mes fesses. Il m'enlève le tee-
shirt et me caresse, me pétri les pectoraux, suce puis, me pince encore les tétons.
Ensuite, il me lèche dans le cou, ce qui me fait frissonner, tandis que j'essaye de
lui toucher le sexe et de lui caresser le torse...ce torse imberbe et musculeux que
j'aime tant. Pour m'en empêcher, il me coince entre le plan de travail de la cuisine
et lui (toujours dos à lui). Avec frénésie, il me délace la ceinture, la braguette, me
fout sa main dans le boxer et me prend la queue vigoureusement pour la décalotter et
découvrir la goutte de mouille que luis sur son sommet. Mon pantalon et mon boxer ne
sont pas très long à tomber à mes chevilles. Moi même, en passant les mains dans le
dos, je parviens à atteindre sa ceinture. Il se laisse désapé sans rien dire. Une fois
pantalon et slip enlevé, il se recolle à moi pour me lécher le cou. Puis, je sens sa
langue qui descend le long de mon dos. Arrivé dans le creux des reins, il prend
fermement un des lobes fessiers avec une main et le lèche, puis le mordille. Puis,
fait de même avec son voisin. Il me pétri bien les fesses, les écarte, puis les serre
l'une contre l'autre. Soudain, je sens ses lèvres se coller sur le haut de la raie des
fesses. J'ai alors une telle envie qu'il me bouffe le cul que je les écarte moi-même
pour laisser y pénétrer sa langue.

- Vas-y chéri, bouffes-moi le cul !! Ouuuai...C'est carrément trop bon de sentir ta
langue contre mon trou.
- Tu mouilles bien du cul...putain !! trop bon ton cul.
Humm.

Tandis qu'il me donne du plaisir en me bouffant le fion, il se masturbe
tranquillement. Mon excitation est à son comble lorsque je sens sa langue pénétrer à
travers mon anus, puis à faire des sortes de vas-et-viens vraiment trop kiffant. je ne
me sens tellement plus que je tortille du cul pour que sa langue glisse encore plus
loin en moi et je lui prend la tête par les cheveux pour la coincer contre mon trou du
cul pendant quelques secondes. Soudain, je sens son index qui glisse dans mon rectum,
puis un deuxième doigts. Les petits mouvements en rond qu'il fait à présent avec sa
main sur ma rondelle, me rappelle avec délice le gros plug qu'il a glissé entre les
fesses de Jérôme l'autre fois que nous nous sommes vu. Je sens progressivement mon
anus se dilater sous les pressions de sa main et s'ouvrir tout entier à lui. A un
moment, il a enlevé ses doigts de ma fente. Je me dis alors qu'il va m'offrir son
objet des délices. Rien que d'y penser, je suis de plus en plus excité et mon cœur se
met à battre la chamade. Mais, en fait pas du tout. Il caresse mon anus avec le bout
des doigts enduits d'une bonne dose de lubrifiant. Alors, je comprend ce qu'il va me
faire.
Après avoir masser, à nouveau mon trou pendant quelques secondes, il y glisse à
nouveau deux doigts et commence un mouvement de vas-et-viens très excitant. Puis, y
introduit, un troisième, un quatrième et le bout du cinquième en faisant des rotations
sur mon anus...je crois devenir fou. Soudain, une légère pression sur mon sphincter
avec son poignet, puis une seconde, plus forte, ont raison de moi. Son poing viens de
me pénétrer. Loïc reprend alors ces mouvements de rotation du bras dans mon cul pour
bien masser ma prostate. Il s'enfonce de plus en plus en me procurant des plaisirs
jusque là jamais atteint.

- Putain !! Défonces-moi ! Je vais jouir.

A ce mot, il a retiré son bras aussitôt de mon cul pour y glisser, cette fois, son
gros zob. Celui-ci me pénètre sans difficulté sur toute sa longueur. Loïc me plaque la
tête contre le plan de travail de la cuisine, me prend pas les hanches. Mon réflexe
est alors, de me cambrer pour le recevoir comme un roi dans mon cul. Il me baise comme
un fou surexcité, me claque les fesses, me tire par les cheveux, ce qui redouble son
ardeur. J'ai le cul en feu. Mais, c'est réellement trop bon.
Sentant venir le moment libérateur, il se retire, me retourne, me coince entre lui et
le plan de travail et me prend par les jambes tandis que je me tiens, accoudé au plan
de travail de sorte que mon cul reste en équilibre au dessus de sa queue qui me baise.
Je ne maîtrise plus rien. Les coups de boutoirs reprennent de plus belle dans cette
position. Pas la peine de me branler car je sens l'orgasme approché au galop comme la
marrée au Mont St Michel. D'un bras, j'enlace mon chevaucheur. J'approche mon visage
du sien pour sentir son souffle de plus en plus altéré. Je cris littéralement comme
une chienne. Rien à foutre des voisins dans ces moments-là.
Soudain, comme il m'envoie ses coups de reins avec une rage renouvelée, l'orgasme me
fauche comme les blés. En me voyant éjaculer sans m'être branlé, Loïc me fait un petit
sourire salace et m'envoie trois nouveaux coups de reins, entrecoupés des spasmes
éjaculatoires de mon anus défoncé et je sens enfin sa semence se répandre au fond de
mon trou. Quel délicieux moment que celui où tu sens le sperme chaud d'un mec couler
par jets successifs au plus profond de ton intimité. Je lui serre la queue pour ne pas
perdre une goutte de ce précieux nectar. Il m'enlace et je l'embrasse avec douceur
pour le remercier de m'avoir encore fait jouir si magnifiquement. Puis, il se retire
et je peux enfin reposer sur mes deux pieds.
Inutile de dire que nous avons mis quelques minutes à reprendre nos esprits. Après
quelques baisers et quelques câlins, nous avons été nous rafraîchir sous une bonne
douche, puis, nous nous sommes rhabillés pour sortir.
Il est alors 23h30 passé et un message à Loïc de la part de Yoan, nous donne rendez-
vous dans un p'ti bar sympa des environs. La nuit promet d'être torride.

Episode 4 (suite de l'épisode 3)

Ce soir-là, après avoir enfin repris nos esprits par une bonne douche, Loïc et moi
sortons, comme prévu, pour rejoindre Yoan et Jérôme dans un bar du quartier.
Après quelques minutes de marche, nous entrons dans le bar où nous avions rendez-vous.
Nos deux compères nous attendent, visiblement avec une certaine impatience, bien assis
sur les banquettes au fond du bar, dans un endroit un peu en retrait.

- Salut les mecs !! ça va? me lance Yoan en m'embrassant.
- Mais, oui. Pourquoi ça n'irait pas? lui répond Loïc avec un sourire salace qui
voulait tout dire.
- Ben... je sais pas, moi, fit-il en souriant.

On s'assoit au côté de nos amis. On est un peu serré les uns sur les autres par manque
d'espace autour de la table. Personnellement, cela ne me gêne pas. C'est même super
excitant de sentir la chaleur des corps qui t'entourent et particulièrement des
cuisses qui se frottent les unes aux autres. Je me retrouve ainsi coincer entre Loïc
et Yoann, avec Jérôme en face, qui, comme l'autre fois, passe son temps à me fixer du
regard.
Ainsi installé, la discussion reprend, ponctuée, comme d'habitude, de blagues bien
grasses, passant d'un sujet à l'autre sans transition. Un moment, machinalement, Yoan
pose sa main sur ma cuisse, et là je me dis qu'il vont me refaire le coup du plan à 4
chez Loïc. Jérôme se sentant sans doute un peu à l'écart sur son coin de table, se
rapproche sensiblement de Loïc.
Le temps passe très vite. Et, c'est bientôt l'heure de la fermeture des bars. Se pose
alors, la question de la suite à donner à la soirée. Jérôme propose d'aller chez Loïc
finir la soirée (on se demande pourquoi) tandis que les deux autres préfèreraient
sortir en boite de nuit.

- Et toi? tu dis quoi? me demande Yoan.
- Oh moi, j'irai bien en boite aussi.

Puis, Yoan s'adresse à Jérôme.

- On a bien compris que tu voulais te faire défoncer le cul comme l'autre fois. Mais,
t'inquiètes....on va s'occuper de lui comme il faut.

Cette proposition semble réjouir Jérôme, qui esquisse un large sourire.
Nous quittons le bar et déambulons, un peu au hasard, je dois dire, dans les rues
étroites du Marais. Je ne peux m'empêcher de me demander où ils vont bien pouvoir
m'emmener cette fois-ci.

- Ca vous dirait d'aller au M? Y a une soirée ce soir en plus, je crois, demande Yoan.
- Heu....je ne sais pas si ça va plaire à tout le monde, lui rétorque aussitôt Loïc en
me désignant du doigt.
- Il va adorer...j'en suis sûr, répond Jérôme, à qui on n'avait rien demandé.
- Heu....c'est quoi exactement ?
- Et ben....c'est une boite de nuit...un peu spéciale. Y a pas mal de beaux mecs qui y
vont pour danser, pour boire et s'amuser ou pour....niquer dans les coins
éventuellement, me répond Yoan en rigolant.
- Ok. Je vois le genre. On y va?

Tranquillement, nous nous dirigeons donc vers le M. Pendant ces quelques minutes qui
nous séparent de la discothèque, Jérôme en profite pour se rapprocher de moi tandis
que les deux autres continue leur route quelques pas devant.

- t'as l'air bien chaud toi, aujourd'hui.
- Ouai. Comme d'hab. Je suis un peu une chaudasse en ce moment, me fit-il en riant.
- T'arrêtes pas de me mater. Y a un problème?
- Non. Au contraire. Tu me plais beaucoup, me dit-il en me mettant la main sur les
fesses.
- Je croyais que t'étais plutôt actif comme mec mais, à chaque fois que je te vois,
c'est plutôt le contraire.
- Ben. J'aime bien la bite aussi. C'est tout. En plus, t'es plutôt bien monté, je
trouve.
- Et Yoan?
- C'est juste un pote. Il me baise quand il veut et où il veut. Il sait s'y prendre
avec moi pour me faire bien jouir comme il faut.
- Arrêtes de parler comme ça. C'est malin....je bande, maintenant.
- Fais-moi voir, fit-il en me murmurant à l'oreille et en me mettant son autre main au
paquet. Ah oui...t'es bien dur là. huummm.

J'ai bien cru qu'il allait me sauter dessus. Mais, heureusement, on arrive à l'entrée
de la boite de nuit. Du coup, le tripotage...fini.....pour l'instant.
Après quelques instants d'attente à l'extérieur, le videur nous a fait signe d'entrer.
Nous nous dirigeons immédiatement vers la caisse et le vestiaire où nous laissons la
petite veste et en route pour le dancefloor....ou plutôt vers le bar, pour le moment.
La déco design du bar me plait beaucoup. Le barman, qui exhibe son torse nu derrière
le bar, n'est pas trop mal non plus. C'est le moins que l'on puisse dire. Il est même
carrément bandant. Nous commandons chacun une boisson et nous mettons en quête d'une
table libre. Une fois repérée la table, il faut se faufiler à travers la foule en
mouvement sur la piste....le tout au son de musique électro. Inutile de dire que les
mecs profitent un peu de la promiscuité pour vous passer, en douce, la main au cul ou
au paquet, pour les plus téméraires. En me voyant passer, un mec, sur la piste,
m'agrippe par les hanches, se serre contre moi et me galoche royalement.

- t'as un bon p'ti cul, mec...me dit-il.

Je lui souris pour le remercier du compliment et m'éloigne pour rejoindre les autres
qui me cherchaient des yeux un peu plus loin.

- Ben alors...me lance Yoan en rigolant, tu t'es perdu?
- Pas du tout. Je prend le temps de déguster les langues qui se présente à moi.
- C'est clair qu'ici les mecs n'ont pas peur de galocher.

Enfin assis à table, la discussion reprend. Cette fois, c'est Loïc qui se retrouve en
face de moi tandis que Jérôme se colle bien contre moi à gauche et que Yoan vient
s'installer à côté de Jérôme. Après mûre réflexion, ce dernier me propose d'aller se
trémousser sur la piste. J'accepte sans hésiter bien que la danse, ce soit pas trop
mon truc.
Sur la piste, Jérôme a l'air vraiment dans son élément. Il entame alors une sorte de
mélange entre la danse du ventre et la techtonik en me faisant les yeux doux,
m'enlace, puis, me galoche avec fougue devant tout le monde. Ce qui fait aussitôt
dresser mon sexe dans mon pantalon. Jérôme ne reste pas très longtemps en tee-shirt.
Il se laisse littéralement effeuiller par les mecs qui l'entourent.
Un mec, super viril, s'approche de moi par derrière et se déhanche en rythme avec moi
en me faisant bien sentir son sexe bandé au passage. Je sens la chaleur de son corps
me brûler la peau. Ca m'excite terriblement. D'autant plus que lorsque je me retourne
vers le mec, celui-ci n'hésite pas à prendre mes lèvres entre les siennes et à sucer
ma langue tandis que ses mains me palpent délicieusement le paquet avant de
s'intéresser plus particulièrement à mon cul. Pendant qu'il m'embrasse, en plein
milieu de la piste et sous le regard approbateur des mecs autour de nous, je sens une
main baladeuse qui se faufile dans mon pantalon et descendre le long de ma raie du
cul. Machinalement, je tourne le regard vers Jérôme....mais, plus de Jérôme. Envolé.
Je me dis alors qu'il est retourné s'assoir gentiment avec les autres.
De loin, j'aperçois alors un mec qui suce une bite sur une banquette avec par mal de
monde autour. Ca devient très chaud. D'un seul coup, les choses vont se précipiter.
Un autre mec s'approche par derrière et colle son corps brûlant contre le mien. Tandis
que le mec devant moi me galoche en me tenant la tête avec les deux mains, l'autre
mec, derrière, s'empare de moi en me délaçant la ceinture et en déboutonnant ma
braguette d'un coup avant de venir explorer mon entrejambe et me mordiller le lobe de
l'oreille. Un jeune minet, probablement très impatient de voir le reste, se précipite
sur moi pour glisser mon jeans tandis qu'un autre s'occupe de désaper celui qui est
derrière moi. Le mec devant moi me mordille les tétons, pétri mes pecs, les lèche et
descend progressivement vers mon sexe bien tendu entre mes jambes, suce mes couilles,
me lèche l'aine avant de prendre ma queue épaisse dans sa bouche et de pomper bien à
fond. Mon gland, engloutit, viens se caler aussitôt au fond de sa gorge tandis que le
mec, derrière moi, écarte mes fesses sans ménagement pour y fourrer sa langue. D'abord
un peu réticent, peu à peu, je me laisse complètement aller. Je me rend aux assauts
répétés de sa langue contre mon anus. Après avoir gentiment mouillé ma rondelle, je
sens le bout de sa langue qui me pénètre doucement. Je me fais bouffer par les deux
bouts. Quels délices ! A mesure que je sens la langue du mec glisser de plus en plus
profondément dans mon pti cul, mon désir de me faire prendre augmente. Je me mes à
tortiller du bassin en poussant des petits gémissements qui ont l'air d'en exciter
plus d'un. Le jeune minet, qui se branle près de moi, s'approche pour m'embrasser et
me présenter sa queue à sucer. Aussitôt, attiré par la taille exceptionnelle de
l'engin, je me plie en deux pour l'atteindre et la prendre en bouche en palpant
vigoureusement ses grosses couilles imberbes. Ce qui a pour résultat d'exposer encore
plus mon fion tandis que le mec, devant moi continue à me pomper avec gourmandise en
variant la profondeur de la pénétration et la vitesse d'exécution des mouvements avec
une dextérité impressionnante.
Inutile de dire que ce spectacle attire autour de nous pas mal de mecs en rut.
Certains commencent à se désaper à moitié, à se sucer ou se branler entre eux pendant
que d'autres feignent de ne rien voir et continuent à danser.
Le jeune garçon que je suis en train de sucer viens à l'aide du mec de derrière en me
tenant les fesses écartées tandis que ce dernier, après s'être lubrifié généreusement
les doigts (ils pensent à tout ces mecs...du lubrifiant en boite de nuit...!!), y
insère l'index sous l'œil attentif de l'assistance et me masse bien les muscles du
sphincter pour les détendre. Puis, il y insère un deuxième, puis un troisième avant de
se retirer. Le minet, tandis que l'autre est en train d'enduire sa belle queue bien
raide de lubrifiant, se précipite derrière moi et continue à me travailler le fion. Je
sens une envie irrésistible de recevoir son poing dans mon intimité avant d'y recevoir
son énorme bite (qui doit bien faire au moins 23cm). Je me détend au max. Mais, ce
travail du fion ne dure que quelques instants. Je suis entrainé vers un podium devant
lequel je suis mis presque de force à quatre pattes, les mains posées sur le podium et
le cul bien cambré vers mon premier chevaucheur.
Celui-ci ne se faire pas prier pour venir m'enculer. Comme je suis en train de me
faire limer la bouche par un mec et que les autres, autour de moi, accapare un peu mon
attention. Je ne me méfie pas, même si, évidemment, je sais très bien ce qui va
arrivé...pour ma plus grande joie. Je suis concentré sur ce que je fais.
Soudain, je sens des mains se poser sur mes fesses et les écarter sans ménagement pour
présenter mon anus à mon chevaucheur. Puis, celui-ci m'écarte les cuisses au max pour
que je ne puisse plus bouger et je sens aussitôt son gros gland violacé me fendre et
pénétrer dans mon cul. Je sens avec bonheur sa verge épaisse s'enfoncer en moi et me
déchirer. Puis, le mec commence à baiser mon cul sans plus attendre. Je suis
littéralement secoué comme un prunier. Son gros gland, à chaque coup de rein, viens
butter au fond de mon cul avec violence. Ce qui m'arrache des cris de plus en plus
forts.
Ainsi, pendant quelques minutes, je suis baiser par les deux extrémités. A chaque coup
de reins un peu violent de mon chevaucheur, la bite du beau mâle que je pompe m'empale
et manque de m'. A tel point qu'il me tient par l'arrière de la tête pour que
je ne me défile pas à ses assauts.
Puis, mon étalon se retire de mon cul. Avec une bite dans la bouche, je ne peux pas
voir ce que les mecs mijotent derrière. Une queue, plus grosse que la première,
s'enfonce alors en moi avec les encouragement du public. Ce qui me fait grimacer de
douleur. Je suis devenu la lope de la soirée. Maintenant, je me fais monter par un
beau black à la queue super épaisse quoique pas très longue, en proportion. Je me
détend pour l'accueillir, cambrant bien mon cul vers lui. J'ai le fion en feu. Mais, à
chaque nouvel empalement, à chaque nouvelle queue qui viole mon intimité, c'est une
nouvelle découverte et un plaisir nouveau.
Je passe, ainsi, de main en main, si l'on peut dire pendant de longues minutes au
cours desquelles je prend mon pied comme jamais.
Puis, le minet de tout à l'heure arrive entre mes cuisses et m'ordonne de m'allonger
sur le dos, sur le bord du podium. Il me relève les jambes. Deux autres mecs
s'approchent alors pour me tenir les jambes bien levées et écartées. Il viens entre
mes cuisses et présente son énorme zob devant mon trou. Il caresse ma raie avec son
gland, tapote gentiment avec sa queue sur mes couilles, puis sur mon anus et enfin, me
pénètre jusqu'à la racine, me cale bien sa queue dans le fondement, puis approche son
visage vers moi pour m'emballer. Ses lèvres très douces, caressent voluptueusement mes
lèvres en feu. Je lui mord la lèvre pour l'exciter. Sa langue, doucement, me caresse
la joue, puis le cou...Ce qui me rend fou. Il me claque les fesses pour m'encourager.
Doucement, puis, par coups secs, il m'encule. Je sens ses couilles qui se balancent
joyeusement contre mon périnée. Je me concentre bien pour masser sa queue avec mes
muscles du cul...du moins, ce qu'il en reste car ils sont tellement dilatés... Il ne
faut que quelques minutes pour que je sente la grosse bite de mon chevaucheur se
cabrer à l'intérieur de moi et les jets de foutre se répandre. Aussitôt après avoir
éjaculer, le jeune minet se retire pour laisser la place à un autre qui va me tasser
tout ça au fond de mon trou du cul et en rajouter une dose.
C'est à ce moment-là que je vois Jérôme réapparaître, à poil, poussé violemment par
des mecs en slip dans ma direction. Un des mecs en question lui ordonne aussitôt de
monter sur le podium pour me présenter son cul à léché. Ce qu'il fait avec un petit
sourire désolé en se foutant accroupi au niveau de ma tête. Je m'empare de cet objet
de gourmandise, que je lèche d'abord de bas en haut. Puis, je concentre mes efforts à
soulager sa rondelle dilatée en lui perforant l'anus avec le bout de ma langue. Celui-
ci à un bon goût de sperme. Ce qui me confirme qu'il c'est déjà fait défoncer et qu'on
me l'amène pour le soulager. A chaque assaut de ma langue à travers son trou, il
pousse des gémissements excitants. J'en profite aussi pour lui lécher le périnée, zone
érogène par excellence, et pour jouer avec ses couilles imberbes que je n'hésite pas
une seconde à sucer et à gober avant d'atteindre sa queue et de la bouffer entièrement
pendant que je me fais pénétrer la croupe par le poing d'un petit mec vicelard qui
n'hésite pas à s'enfoncer de plus en plus en moi, presque jusqu'au coude. Je me détend
au max pour le laisser me défoncer les entrailles. Tandis que Jérôme se fait en même
temps sucer par moi et doigter le fion par un autre mec, on m'introduit une deuxième
main qui glisse progressivement en moi. Le mec derrière moi, me travaille le cul avec
des vas-et-viens et des rotations plus ou moins rapides tandis qu'un autre vient me
sucer la queue. Je sens l'orgasme monter de plus en plus.
Soudain, on me libère le cul et on m'ordonne de me relever. Un grand mec, bien foutu
et super bien membré, s'allonge sur le dos à même le sol de la piste de ce qui n'est
plus une boite de nuit, mais un lupanar. Alors, je vois Loïc qui émerge de la foule
compacte autour de nous. Il vient sans doute à notre rescousse.... Il m'ordonne de
m'empaler sur le gros pieu qui m'attend impatiemment sur le sol. Devant, une foule
presque en délire, je m'exécute et viens me mettre à cheval sur le bassin du beau mâle
pour prendre son sexe dans le fondement. Celui-ci commence à me sodomiser
vigoureusement pendant que Jérôme me présente sa queue à sucer.
L'excitation est à son comble lorsque je sens une deuxième queue me pénétrer la croupe
et me déchirer littéralement le cul. A ma grande joie, je constate que c'est Loïc qui
est venu me sodomiser en double et qui maintenant me baise comme un malade, nous
amenant tous les trois vers l'orgasme.

- T'aimes-ça, salope...Je vais te faire déchiré !!! me dit-il. Je m'en doutais que
t'aurais pas pu t'en empêcher.

Je sens la grosse queue du beau garçon allongé devant moi m'enculer lentement mais à
fond tandis que Loïc me défonce à vive allure. Cette sensation de deux pénétrations
simultanées avec des cadences différentes fait un effet incroyable. Le mec devant moi
me fait constater que je mouille comme une chienne. Il me prend par les couilles, les
masse pendant que sa queue continue son travail en moi.

- Putain...je vais jouir !!

A peine l'ai-je dis que Jérôme m'enfonce son gros zob au fond de la gorge pour y
déverser tout son foutre sous les applaudissements. Je deviens tout rouge. J'ai des
palpitations et je pense une seconde me sentir mal. Il me faut de l'air. Je suis
d'autant plus mal, que Loïc a pris ma bite par derrière pour m'astiquer
vigoureusement. Je sens la queue du mec allongé devant moi se cabrer une première fois
au fond de mon cul. Loïc qui a bien sentir qu'il allait jouir stoppe tout mouvement
pour éviter le point de non-retour. Puis, une fois la pression retombée, on reprend de
plus belle. Les coups de reins se fond de plus en plus violent...l'orgasme est proche
pour nous trois. Je demande à Loïc d'arrêter de me branler pour apprécier à fond les
derniers instants de cette baise infernale. Comme j'atteins malgré tout le point de
non-retour, mes chevaucheurs accélèrent le rythme. Et, au moment où je vais enfin
jouir, les deux mecs, en même temps et sans se concerter, me calent leur engin en
profondeur. Je sens alors les deux bites se cabrer, être parcourues de spasmes. Ils se
retiennent...A l'instant même où je crache mon foutre sur le beau torse du mec allongé
sous moi, une bonne dose de sperme épais et bien blanc, que Jérôme vient aussitôt
lécher, les deux mecs, dans un râle terriblement viril, inonde mon intimité de leur
semence brûlante que Loïc prend à malin plaisir à tasser au fond de mon cul pour que
je n'en perde rien tandis que l'autre se retire, exténué. Loïc se relève à son tour
tandis qu'un jeune gourmand se penche entre mes fesses pour goûter le foutre des deux
beaux gosses qui coulent lentement de mon anus défoncé. Le fait de me faire lécher
doucement le cul par une petite salope comme ça apaise rapidement l'irritation du au
traitement de choc que j'ai subit.
Je me relève et reprend lentement mes esprits. Certains mecs me font des compliments
sur mon endurance. D'autres veulent à tout prix me donner leur numéro de portable. La
plupart s'éloignent. Je constate alors que je ne suis pas le seul à prendre. A tous
les coins de la boite, du bar aux banquettes, des banquettes aux toilettes, ce n'est
que sexe. Après être passé aux toilettes justement, je retourne sagement m'assoir à
notre table et la soirée se poursuit. Il n'y a plus que Loïc, moi et Jérôme. Yoan a
entretemps rencontré un mec qui lui a proposé un plan chez lui. Il est donc parti.
Vers 4 heures, les esprits commencent à se calmer et je peux à nouveau danser
tranquillement sur le dancefloor avec Loïc et Jérôme. Désormais, on ne se quitte plus
de la soirée passant notre temps entre le bar et la piste de danse.
Vers 5 heures 30, nous quittons tous les trois la boite et nous nous retrouvons
rapidement chez Loïc à deux pas de là. Celui-ci nous propose gentiment, mais non sans
arrière-pensées, à mon avis, de dormir avec lui dans son grand lit. Ce que nous
acceptons avec joie. Loïc se couche au centre du lit. Jérôme et moi des deux côtes,
nous nous blottissons tendrement contre Loïc. A peine couché, aussitôt endormi, avec
de beaux rêves en perspective.



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