Marie - St Valentin - La Chanson

St Valentin – La chanson

Silencieux
Merveilleux
Dans ce soir mouvant
J'écoute le vent

Héritière
Passagère
De mes jours maudits
Ça je le suis

La St Valentin, c’est leur moment sacré, rien que pour eu deux, comme ils aiment. Marie et Bertrand, serrés dans les bras l’un de l’autre sur ce lit qui en a déjà tellement vu
En boucle, un peu en sourdine, une de leurs chansons préférées, « je te dis tout » de Mylène Farmer
Ils s’embrassent, portés par les mots, Bertrand caresse Marie tendrement, caresse ce corps qu’il connaît, mais qu’il redécouvre avec émotion a chaque fois. Ses mains tremblent comme si c’était la première fois.

Mon amour
Je te dis tout
Tu peuples ma vie
À l'infini

le sort
Frappe à ma porte
Pose une main
Sur mon front
Sur mes seins

Sa bouche, embrasse les seins gonflés, s’attarde sur les mamelons. Marie ferme les yeux , moment divin.
Marie a pris la main de Bertrand, la guide entre ses jambes écartées, la pose sur sa chatte trempée. La bouche rejoint la main. Les doigts et la langue s’insinuent entre les lèvres.

Si d’aventure
Je quittais terre
Tu es mon sang
Mon double Aimant
Mon ADN

Et sur ton pull
Je broderais M
Pour que nos sangs
Se mêlent au vent
Mon ADN

Le piano égrène les notes, la voix de Mylène Farmer est douce, sensuelle, envoûtante. Les yeux dans les yeux, Bertrand pénètre Marie, doucement, elle gémit dans un murmure, Ah ! Bertrand !

Dénudée
Enserrée
Dans ce jeu sanglant
Je dis tout au vent

Aussi calme
Qu'un nuage
Je suis qui pardonne au temps
Aux absents

- Encore Bertrand ! Marie se laisse emporter. La musique, ce membre chaud qui s’enfonce en elle et qui lui donne tant de plaisir !!

Mon amour
Je te dis tout
Tu peuples ma vie
À l'infini
le sort
Frappe à ma porte
Pose une main
Sur mon front
Sur mes seins

Bertrand et Marie s’embrassent, baiser profond, Bertrand se tend et explose en elle.

Un cri ! Marie joui, enfonce ses ongles dans son dos.

Si d’aventure
Je quittais terre
Tu es mon sang
Mon double Aimant
Mon ADN

Et sur ton pull
Je broderais M
Pour que nos sangs
Se mêlent au vent
Mon ADN

Ils se sont caressés encore un long moment, cette fois dans le silence, et ont finis par s’endormir, blottis l’un contre l’autre.