Pauvre Petite Cathy 3

Pauvre petite Cathy






PARTIE 3
A tous mes lecteurs : je suis désolé de vous faire tant attendre, mais j’ai
peu de temps à consacrer à l’écriture et mon « commanditaire », le mari de Cathy, ne
m’a pas beaucoup aidé… Je vais essayé d’être plus rapide pour la suite.
Sur un banc sur élevé a hauteur de table, étaient fixées des bracelets de
menotte. Il lui ordonna de se mettre à 4 pattes sur le plan et lui attacha les
poignets et les chevilles. Puis, il approcha le monstre. Deux gods fixés sur un
support vertical. Le plus haut était aussi long que l’autre (25cm) mais un peu plus
fin (équivalent au sexe de Serge !) un système complexe articulait les deux substituts
leur donnant une certaine mobilité.
« Pour ta première fois, tu va en prendre durant 5 minutes. Vitesse moyenne ! Chaque
jour, tu auras ta dose en arrivant !!! »
Tranquillement, il introduisit les deux gods dans la chatte et le cul de
Cathy. Elle eut un petit sursaut qui lui valu une claque sur le cul, puis il mit la «
bête » en marche. Cadence moyenne, mais pénétration totale… Cathy se mit rapidement à
gémir et Serge se plaça devant elle pour qu’elle prenne sa bite dans la bouche.
« Pendant que tu me suce, je vais t’apprendre tout ce que tu dois savoir sur Gilles,
Séverine et Bertrand, le mari et maître du jeu. Car ce que tu ne sais pas, c’est que
c’est lui qui dirige. Il a fait embaucher sa femme exprès pour que ton mari la baise
et elle a demandé à Gilles de faire des photos d’eux, pour les montrer à son mari. Il
trouvait ça marrant et pensait humilier Bertrand. Mais, une fois en possession des
photos, Bertrand a fait savoir à Gilles que s’il ne se pliait pas à ses exigences, tu
aurais un jeu de photos dans ton courrier. Ton mari s’est retrouvé piégé et
l’engrenage l’a broyé !!! Tu sais qu’il est régulièrement enculé par Bertrand et
Séverine ? Que le couple l’oblige à participer à des soirées ou il est humilié et
soumis à des invités des 2 sexes ? Crois-moi, ton Gilles est devenu une lopette mais
il a le plaisir de se taper la Belle Séverine autant qu’il le veut au boulot !!! S’il
savait que tu peux lui donner largement autant, il se sentirait bien con… »
Cathy sentait l’orgasme venir dans tout son être ! Les révélations de Serge
l’excitaient follement.

Gilles se faisant enculé et humilié, elle avait du mal à le
croire, mais l’idée la faisait salement mouillée et le chien de Fô, avec sa cadence
parfaite, lui assurait un violent orgasme, qui l’obligea à lâcher la bite de Serge
pour hurler son plaisir.
« Ben ma salope, ça te plait, on dirait ! Fini moi dans ta bouche et avale bien. Je
vais te détacher pour que tu puisses t’appliquer. »
Elle s’agenouilla et suça jusqu’à obtenir une belle dose de foutre qui fut
consciencieusement ingurgité.
« Bien, j’ai, malheureusement, une soirée des plus chiante à honorer de ma présence.
Donc, tu vas aller prendre une douche et ce sera tout pour aujourd’hui. Surtout, tu
n’autorise pas ton cocu à te prendre, mais tu peux le sucer… »
Docile et presque déçue, elle alla faire sa toilette et se rhabilla avant de
prendre congé.
Ce soir là, Gilles était fatigué et ils se couchèrent tôt, après un chaste
baiser. Cathy dormit très paisiblement sans penser à ce qu’elle avait appris sur la
duplicité de son mari.
Le lendemain matin, il était levé et douché avant elle. Elle tarda dans la
salle de bain et décida de mettre une robe noire, courte et ultra serrée, sans rien
d’autre qu’un string. Elle introduisit le deuxième plug de la série et alla prendre
son café.
« Je ne rentrerais pas avant 22h, ma chérie. J’ai un putain de dossier à terminer ! »
« Séverine reste avec toi ? »
« Pas aussi tard, mais sûrement un peu plus que de raison. Son mari m’aime pas qu’elle
fasse du rab ! »
« Au fait, tu te rappelles que je part en séminaire vendredi après le boulot et que je
ne rentre pas avant lundi soir, 19 ou 20 heures ? »
« Ah oui, c’est vrai… Je vais bien me faire chier, moi ! »
« Invite donc Séverine et son mari à diner samedi soir. Ca te fera de la compagnie… »
« Bof, ils ont sûrement mieux à faire ! »
Il l’embrassa et parti.
Elle termina son café et parti à son tour.
En arrivant au bureau, elle trouva un mot sur son poste de travail, déposé par
Louis, son boss.
« Viens me rejoindre sans tarder. »
Elle pensa que ce salaud allait vouloir encore profiter d’elle. Ça devenait
problématique. Elle frappa et il lui dit d’entrer.
« Ha, Cathy, je suis bien content que tu sois arrivée. J’ai une mission, pour toi.
Comme tu ne l’ignores pas, j’ai un fort penchant pour Marie. Depuis qu’elle nous a
rejoint, j’ai très envie de me la faire. Cette petite gourde me rend dingue ! Comme tu
es très amie avec elle, je veux que tu me la livre !!! Je me fous du comment, mais tu
dois te démerder pour qu’elle soit à moi avant vendredi soir. »
Marie était une jeune femme, mariée, la petite trentaine, brune aux cheveux
courts, jolie, mais plutôt timide, mal habillée et probablement un peu coincée. Cathy
était devenue une sorte de « grande sœur » pour elle. Elles étaient complices, mais de
là à l’amener à baiser avec Louis !!!
« Je la veux pour la semaine prochaine. J’ai programmé un stage pour elle à partir du
Mercredi et jusqu’au Vendredi soir. Un stage de perfectionnement dont je serais le
prof !!! Trois jours dans un lieu charmant où elle sera ma chienne !!! Donc, tu te
démerdes pour qu’elle soit disposée à se laisser enfiler la salope…OK ? »
« Mais, je n’aurais pas le temps ! »
« Serge t’accorde ton jeudi et ton vendredi soirs à venir. Tu es dispensée d’aller
chez lui. Tu invites Marie chez toi pour lui expliquer qu’il est nécessaire qu’elle
accepte les trois jours de stage, pour compléter ses connaissances pro. Bien sûr, tu
ne lui dis pas tout de suite qu’elle devra passer à la casserole ! Mais il faut que
mercredi prochain, après les cours, elle se laisse sauter docilement ! Au fait, sais-
tu si son mec l’encule ? »
Cathy avait eu quelques conversations sur la sexualité avec Marie.
Cette
dernière lui avait paru très nunuche et la sodomie ne semblait pas être dans ses
aptitudes. Mariée jeune, à un homme d’une grande fadeur, elle n’avait connu que deux
ou trois mecs avant son époux et elle paraissait fort mal à l’aise au lit !
« Je ne crois pas qu’elle y ai seulement songé. Elle est assez timide et probablement
prude, vous savez. Mais je vais essayer… »
« Non, tu vas réussir ! Si tu échoues, Serge et moi nous te punirons très durement… Et
crois moi, ce n’est pas dans ton intérêt ! »
Les choses étaient claires. Elle quitta le bureau de Louis en pensant au
problème qui se posait à elle.
A la pause déjeuner, elle décidé de parler à Marie. Elle s’arrangea pour
s’isoler avec elle et elle lui dit :
« J’ai eu une conversation avec Louis. Il veut que tu suives un stage de
perfectionnement pro, à partir de Mercredi prochain. Retour Vendredi soir. Je pense,
comme lui, que tu en as grand besoin. Il a réservé l’hôtel et tout organisé. Crois
moi, ma chérie, c’est, pour toi, le moyen d’assurer ton emploi ! »
Marie semblait surprise. Elle regardait Cathy avec une lueur d’incompréhension
et d’interrogation.
« Faut que je sois franche avec toi, Marie, ton emploi est menacé. Ton manque de
qualifications empêche de te confier des tâches qui me soulageraient et Louis volait
te licencier pour embaucher une autre fille, plus qualifiée. Il a même reçu une espèce
de bimbo sur diplômée, qui était habillée comme une pute. Je lui ai dis qu’elle ne me
plaisait pas et il a pensé te donner une dernière chance… »
Tout était faux, mais Marie sur stupéfaite et y cru sans hésitations. En
larmes, elle dit :
« Ho merci ma Cathy. Sans toi j’aurais perdu mon boulot et en ce moment, avec mon
homme qui n’est sûr de rien, se serait été la cata !!! »
« De rien, mon ange, mais je crois qu’il va te falloir modifier quelques trucs dans
ton comportement et surtout tes tenues…Louis serait plus conciliant si tu te lâchais
un peu ! Soit féminine et un poil garce ! »
« Mais, qu’est ce que tu veux dire ? »
« Ecoute, si tu veux, ce soir je vais chez toi et je te donne des conseils
vestimentaires et je fais de toi une femme fatale ! »
« Tu crois que c’est indispensable ? Je ne suis pas une bimbo ! »
« Ne t’en fait pas, je suis certaine que tu peux faire un max d’effets ! Ton mari
pourra assister à ta métamorphose.
»
« Julien est absent. Il ne rentre que Samedi matin et en plus, il repart Dimanche soir
pour toute la semaine. Il est obligé de faire des déplacements car sa boîte est en
mauvaise santé. Tu sais, il n’est pas certain de pouvoir garder sa place… »
« Alors, tant pis pour lui. Et ça sera plus facile pour la semaine prochaine ! »
« C’est vrai. Mais tu crois que ça suffira ? »
« Je m’en occupe ma belle ! Fais-moi confiance, je suis déterminée à te faire garder
ton boulot et à faire de toi mon assistante. »
Les filles quittèrent la cantine ensembles. Cathy laissa Marie devant la porte
de son bureau et elle fila jusqu’à celui de Louis. Elle frappa et il lui dit d’entrer.
« J’aurais besoin d’un petit service. Je vais chez Marie ce soir et je compte bien
commencer son éducation sexuelle. Serait-il possible que vous me procureriez un god à
ceinture pas trop énorme ? »
Affichant un grand sourire, Louis lui répondit qu’elle l’aurait à 16h30, livré
sur son bureau dans un joli coffret !
« Tu es bien plus maligne que tu ne le laisse paraitre ma petite Cathy ! Je pense même
que cela t’excite de dévergonder Marie. Amuse-toi bien avec elle… »
Cathy retourna à son boulot et à l’heure dite, une des réceptionnistes lui
déposa le paquet que Louis lui avait promis. Elle le mit dans son sac à main. A 17h,
elle alla aux toilettes et elle sortit l’engin de sa boîte. Très beau god, d’une
taille bien suffisante, noir et luisant. Elle sourit en pensant que Marie serait la
première « victime » de l’engin !
Les deux femmes partirent chacune avec sa voiture. Cathy laissa un message sur
le portable de Gilles, lui indiquant qu’elle passerait la nuit chez Marie, qui était
seule et un peu malade. Elle savait que Gilles risquait d’en profiter, mais cela ne la
dérangeait pas.
Arrivées chez Marie, elle lui demanda de lui montrer sa garde robe. Elle fut
consternée par la globale fadeur des vêtements et affligée par les dessous type coton
informes… Elle demanda à Marie de bien vouloir ôter ses vêtements du jour (un jean mal
foutu et un chemisier jaunâtre en nylon à deux balles). Timidement, Marie s’exécuta.
Elle portait une culotte noire défraichie et un soutif du même acabit !
« Ma petite Marie, tu me sidère. Une fille aussi jolie et bien faite que toi, ne peut
pas porter de telles horreurs ! Tu as conscience du crime à la féminité que tu
représentes ??? »
Marie semblait très mal à l’aise et pourtant, elle ne protestait pas. Mieux,
lorsque Cathy lui demanda d’ôter ses sous-vêtements, elle obéit immédiatement. Très
beaux seins, fermes et ornés de tétons foncé et assez gros. Une chatte dont le «
ticket de métro » était peu fournit pour une brune ! Très beau cul, ferme et surement
peu utilisé. Cathy s’approcha d’elle et lui pinça le téton droit. Marie fit une petite
grimace, mais ne protesta pas.
« Va falloir raser cette chatte. Et te trouver des dessous plus conformes à ton
nouveau statut ! »
« Quel statut ? »
« A partir de ce soir, tu es mon élève et ma protégée. Je vais me charger de te faire
découvrir comment une belle femelle comme toi se doit d’utiliser son corps. Dès
mercredi prochain, tu auras l’occasion de mettre mes leçons en application. Louis a
très envie de faire de toi une de ses proies et tu vas accepter, parce que je le veux
! »
Cathy avait senti que Marie était, finalement, toute disposée à la soumission.
Le regarde de la jeune femme en était la preuve.
« Allonge-toi sur ton lit que je goute ton jus !!! »
Sans bien savoir où cela la mènerait, Cathy était décidée à jouir du corps de
Marie et à lui donner du plaisir…





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