L'Éducation De Papillon - Episode 15

Nus autour de la table, le serment de Piriac déclaré (voir épisode précédent), les
amis décident d’aller se coucher sans aller plus loin. Les séances en couples les ont
fatigués, ils veulent profiter les uns de autres en pleine forme.
- «Nous avons encore 15 jours ensemble, rien ne presse « dit Papillon
- « Tu as raison » dit Anne, « d‘autant que pour avoir goûté au membre de ton
homme, je l’apprécierai bien dur »
- « Et moi, je veux pouvoir honorer Papillon aussi comme hier, Là je suis un
peu flagada » acquiesce Louis.
- « Moussaillons, tous au plumard, et demain, je vous veux prêts à repartir de
bonne heure, la marée ne nous attendra pas »
Ils s’enlacent tous ensemble, dans une ronde intime, s’embrassant tous sur la bouche
gentiment.
Le lendemain, ils reprennent la mer pour rentrer sur Pornic. Ils ne reviennent pas sur
leur discussion de la veille, mais tous ont en tête des idées pour la suite.
Ils arrivent dans l’après-midi du vendredi, rendent le bateau et rentrent chez Anne et
Louis. Quelques frôlements inter-couples échauffent un peu les esprits, mais ils
pensent tous qu’ils seront plus au calme en soirée pour se lâcher.
Vers 14h30, Anne se souvient tout à coup qu’elle a donné rendez-vous au supermarché à
ses amants multiples (voir un des épisodes précédent). Elle déclare qu’elle doit
aller faire quelques courses.
Papillon et Jean se regardent, et leurs yeux disent la même chose : « cette cochonne
d’Anne ne peut pas attendre ce soir pour se faire mettre ».
- « Veux-tu que je t’accompagne, pour que tu sois moins seule » lui demande
Papillon ?
- « Non, reste tranquille, je me débrouillerai bien, je connais le magasin par
cœur » et elle s’en va.
Papillon se tourne vers Louis : « Je suis contente de notre conversation d’hier soir.
Tu vois, ta femme aime le sexe plus que tu ne le pensais ! J’espère que cela te ravit
qu’elle puisse envisager la pluralité dans ce domaine »
- « En effet, je ne la pensais pas si ouverte, si j’ose dire ! Et je suis
impatient de la voir être prise par une autre queue que la mienne, celle de Jean en
l’occurrence.


- Et si c’était celle d’autres hommes, tu apprécierais aussi ?
- Je pense que oui. A partir du moment où nous avons décidé de nous lâcher, il
n’y a pas de raison de nous mettre de limites !
- Et si je te propose d’aller faire un tour maintenant, tu nous suis ? »
intervient Jean ?
- Vous avez l’air bien mystérieux tous les deux, vous me cachez quelque chose ?
- Va savoir… En tout cas, je te promets une surprise qui j’espère te ravira !
Et le trio s’en va, parcourant tranquillement le chemin jusqu’au supermarché.
- « Mais on va rejoindre Anne, dit Louis, vous avez prévu quelque chose ?
- Nous non, mais si nous ne nous trompons pas, Anne oui » répond Papillon, et
elle l’embrasse langoureusement tout en lui mettant la main sur le pantalon « Allez
viens, tu vas voir »
Arrivés dans le magasin, Jean aperçoit Anne qui franchit la porte du fond pour se
rendre dans les bureaux administratifs. Il fait patienter Louis, qui n’y comprend
rien, en se promenant entre les rayons.
Au bout de 10 minutes, il l’emmène, suivi de Papillon, et pénètre dans le couloir.
- « A partir de maintenant, attendez-moi là et silence total» chuchote-t-il.
Il s’avance dans le couloir jusqu’au bureau du manager, où il sait qu’il va trouver
Anne. Celle-ci est là, déjà allongée sur le dos, nue, en train de sucer la queue du
black qui pend au-dessus d’elle pendant que le boss lui lèche la moule. Le troisième
homme, à genoux, se caresse en lui touchant les seins.
Jean fait signe à ses comparses d’avancer lentement et prévient Louis : « ce que tu
vas voir va te donner envie de crier ! Je t’en supplie, retiens-toi pour que nous
profitions tous de la suite, tu le promets, quoi que ce soit, tu mets la main sur ta
bouche et tu restes calme ?
- D’accord » dit Louis, prêt à tout pour savoir pourquoi ses amis l’ont amené
là, et commençant à se douter que sa femme n’est pas pour rien dans ce mystère.

Ils se positionnent alors à un coin de fenêtre, d’où ils peuvent apercevoir la scène
sans être repérés.
Louis manque de s’ en voyant Anne offerte ainsi à trois hommes, une queue
mahousse s’enfonçant dans son gosier, le manager accroupi, le cul en l’air, en train
de fouiller la chatte de sa langue.
Les trois amis se regardent, l’air entendu. « On va les laisser s’échauffer un peu
plus, dit Papillon, et on verra ensuite.
Les trois hommes du magasin soulèvent maintenant Anne et vienne la poser, toujours sur
le dos, sur la table qui sert habituellement aux réunions commerciales.
Le black cède sa place et pelote les seins d’Anne pendant qu’une de ses mains descend
vers le clitoris pour le titiller. Le boss a positionné sa queue à bonne hauteur et
lentement, il s’insinue dans la moule trempée.
Le troisième a inséré sa bite dans la bouche d’Anne et, lui maintenant la tête, la
baise, enfonçant bien au fond son membre dur.
Les amis entendent Anne gémir, et les paroles des autres.
- « Alors belle salope, tu n’as pas oublié ton rendez-vous pour te faire casser
le cul, dis donc !
- Mmm, elle aime ça cette chienne, elle ne raterait pas ses séances de baise.
- Et elle suce toujours aussi bien, je suis de plus en plus raide !
- Salopards, vous savez que j’aime vos queues partout, que j’aime me sentir
enfilée par tous les trous. Oohh, le boss, tu m’empales bien aujourd’hui, je te sens
bien.
- Et regardez son clito qui gonfle de plaisir, ne dirait-on pas un petit
cornichon ?
- Il ne manque plus que de lui mettre un peu de jus dessus pour faire la
mayonnaise », rigole le boss.
- « Oui, vous me mettrez tous votre jus sur la chatte, mais avant je veux être
défoncée comme une pute.
- A vos ordres patronne ! »
Et ils continuent leur besogne, faisant aller mains, bouches, queues, sur tous les
orifices.

Dans le couloir, les trois compères sont bien excités par la scène. Jean et Louis ont
sorti leurs bites raidies et se caressent doucement, tandis que Papillon a mis la main
dans sa culotte et se dégourdit le minou bien humide.
Anne, soudain, demande au manager de laisser sa place « Je veux une grosse queue dans
mon cul ». Le black s’avance, crache sur l’anus déjà entrouvert par le passage de
quelques doigts, puis s’enfonce dans le conduit obscur millimètre par millimètre
- « Salaud, vas à fond, gémit Anne, je veux te sentir en entier.
- Pas si vite, salope, je veux sentir ma queue entrer et écarter ton cul.
- Mmm, aahh, ooouuui, là, tu y arrives, comme tu es gros. »
Et il se met à l’enculer en prenant son temps. Il aime voir son gland entrer et sortir
de ce cul magnifique.
- « Je sens que je vais avoir besoin d’une deuxième queue en moi, les gars, je
vais me mettre à 4 pattes, toi qui m’encules tu vas prendre ma chatte et le troisième
m’enculera pendant que je sucerai le boss.
Elle descend de la table, et se positionne à 4 pattes, le dos à la porte, pendant que
le black passe sous elle.
- Vous savez, les gars, ce qui me manque le plus dans ces moments là, c’est que
mon mari participe. Mais j’ai bon espoir de vous l’amener un jour, car hier soir nous
avons eu une conversation qui ouvre de nouveaux horizons.
- Tu nous l’amène quand tu veux, dit le boss, plus on est de fous, plus on rit,
et on le remerciera de nous prêter sa femme ».
A ces mots, Louis, touché par la déclaration d’Anne, ne se retient plus. Il entre dans
le bureau.
- « Puisque tu me réclames, chérie, me voilà, et je crois que c’est moi qui vais
t’enculer ! »
Et il pousse l’homme qui se préparait, et introduit brutalement sa queue dans l’anus
d’Anne.
- « Mon amour, tu étais là, mais comment as-tu…. Mmmm, aaahhh, tu me défonces
trop….
. ouuummmfff ta queue est si dure… que c’est bon…….. hhhaaannnn.
- Qu’attends tu pour lui mettre ta queue dans la chatte, mon gars, dit Louis au
black qui, abasourdi par l’entrée soudaine de Louis, ne sait plus que faire, tu ne
vois pas qu’elle te veut ?
- Oh, Louis, comme je t’aime, je n’aurais jamais pensé que tu serais aussi
ouvert. Je ne t’ai pas été fidèle avec mon corps, tu l’as compris, mais c’est toujours
toi que j’ai aimé, et je ne t’ai jamais trahi avec mes sentiments.
- Encore heureux, dit Louis, mais tais-toi maintenant, je veux juste te bourrer
comme le faisaient ces salopards tout à l’heure. Au travail messieurs, il me semble
qu’un trou reste inoccupé et que des seins ne demandent qu’à se faire malaxer ! Mais
je sens que vous allez avoir besoin d’aide. Jean, Papillon, à vous !
Stupéfaits, les hommes du magasin voient entrer les deux amis, déjà à moitié à poil,
Jean la bite en avant et Papillon les seins à l’air.
- « Alors les gars, une deuxième garce pour vous soulager, cela vous dit ?
Papillon, lequel, ou lesquels choisis-tu ?
- Je prends le manager et l’autre, je te laisse t’amuser avec ce beau black et
Jean. Allez les mecs, montrez moi un peu ces superbes engins.
Les deux hommes, remis de leur surprise, ne se font pas prier. Ils se jettent sur
Papillon et la déshabillent en un tournemain.
Le manager caresse sa belle poitrine, lèche les aréoles, découvrant la peau douce de
cette femme qui s’offre à lui sans vergogne. Le deuxième monte sur une chaise et lui
présente son gourdin, que Papillon engloutit rapidement.
Jean, pas en reste, est venu mettre son membre dans la bouche d’Anne.
- « Je te dois une explication », lui dit-il pendant que les deux autres lui
laminent chatte et cul et qu’elle ne peut répondre, trop envahie par la queue de Jean
et le plaisir qui la traverse. « Je t’ai suivie l’autre jour, et j’ai pu admirer ton
jeu de jambe avec ces lascars. J’ai compris que tu étais, comme nous, une affamée du
sexe. Il ne restait plus qu’à………. Mmm, oui, lèche moi les couilles aussi, c’est bon
……….circonvenir Louis pour le faire tomber dans les bras de Papillon. Une fois
déniaisé de sa fidélité, …….. ah, je sens bien ta bouche sur mon membre…… et après
notre promenade en mer et notre pacte, je ne m’attendais pas à ce que tu reviennes si
vite ici, mais nous ne pouvions laisser passer l’occasion.
- « Tu as bien fait » répond Anne dans un souffle pendant que Louis lui
travaille l’anus avec conviction et que sa chatte est sur le point d’exploser sous les
coups du black, « oui, vraiment, tu asaaaaaaahhhhhhhhhh » et sa réponse se perd dans
un cri de jouissance, pendant que les trois hommes se répandent en elle en même temps,
dans un feu d’artifice, feu d’artifesse plutôt, leur sperme débordant des trous d’Anne
grands ouverts.

Papillon, pendant ce temps, s’était mise à côté d’Anne à 4 pattes, le boss lui léchant
la raie pendant qu’elle suçait l’autre homme. Puis sa chatte débordante d’envie a été
prise par la queue du boss, qui, la tenant fermement par les hanches, la pilonne.
- « Mmm, les gars, on a bien fait de venir, vos odeurs de mâles en rut
m’excitent formidablement
- A votre service, Madame, et votre corps est de toute beauté ! répond l’homme
embouché.
Quand Anne et les autres explosent, leurs cris de jouissance vrillent les tripes de
Papillon et de ses amants, et ils ne tardent pas à jouir aussi, l’un sur le visage de
Papillon qui gémit de plaisir, l’autre sur ses fesses rebondies.
- Anne, ma cochonne, viens donc lécher ce jus qui m’inonde les fesses, après
tout, ce sont tes amants !
- Papillon, j’arrive, et je recueille ce foutre dont je connais le goût. C’est
bien la première fois que je lèche les fesses d’une femme, mais tu m’ouvres des envies
!
- Ah ah, je le savais, ma question sur le bateau n’était pas innocente. Tu
verras, nous allons nous découvrir toutes les deux, aussi cochonnes l’une que l’autre.
Une fois tout le monde calmé, chacun se rhabille, un sourire aux lèvres, lâchant
quelques gentillesses sur les corps de ces deux femmes si belles et accueillantes.
- « Bon, il semble que l’on ait des courses à faire, dit Jean, qui s’en occupe ?
- Prenez ce que vous voulez pour ce soir, c’est moi qui offre », dit le manager
du magasin, « je vous dois bien ça pour cette superbe surprise du jour. Nous espérons
vous revoir bientôt dans notre magasin » finit-il dans un sourire.
Et tous de se souhaiter une belle fin de journée, en se promettant de se revoir
bientôt.
En partant, Louis glisse à Jean : « Dis donc enfoiré, tu aurais pu me dire plus tôt
qu’Anne était une belle salope ! Mais je ne t’en veux pas, cette séquence « découverte
» était la meilleure qui soit, et maintenant, au moins, nous savons que notre pacte
est entré en action.
- Oui, mais pour qu’il soit scellé définitivement, nous devons avoir une séance
à nous quatre seulement. Je pense que nous n’attendrons pas longtemps, nos femmes
semblent déjà avoir envie de se découvrir. Et moi, je me demande si je ne goûterais
pas à ta jolie queue.
- Mon dieu, tu es sérieux ? répond Louis ?
- Pourquoi pas ? Penses-y, nous ferons juste ce que nous avons envie de faire,
mais n’as-tu jamais eu l’idée que ce serait bien de sucer une queue ou de se faire
enculer ?
- Mmm, je vais y réfléchir, dit Louis, mais je ne suis sûr de rien pour
l’instant.
- Moi non plus, je n’ai jamais essayé, dit Jean, mais comme on va baiser nos
femmes ensemble, laissons l’idée cheminer…. »
Et ils rentrent à la maison, les bras chargés de victuailles, se promettant une belle
fin de séjour.

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