Aide Ménagère

Depuis quelques temps je correspondais avec Jean-Luc et il était de plus en plus
intéressé par ma femme dont je l’avais abreuvé de vidéos.
Habitant non loin de chez moi je lui ai donc proposé de la rencontrer mais je savais
que Sylvie refuserait d’emblée.
Sylvie étant aide à domicile, je suggérais à Jean-Luc de la contacter sous prétexte de
l’embaucher pour quelques heures par semaine.
Jean-Luc sut se montrer patient et les deux premières semaines furent sages et leur
permirent de faire plus ample connaissance et de s’apprécier mutuellement.
Les échos qui me revenaient m’indiquaient que Sylvie trouvait Jean-Luc très
sympathique.
Je m’amusais à demander à ma femme s’il ne lui avait jamais fait des avances.
- Non, et puis tu sais il est gentil mais bedonnant et à 65 ans, je ne crois pas
qu’il soit comme toi attiré par le sexe !
Je la laissais dans son erreur qu’elle constata dès le lundi suivant.
Je retrace la scène telle qu’elle me fut rapportée par Jean-Luc puis par Sylvie.
Quand Sylvie se présenta chez Jean-Luc à 14h00, il lui offrit un café au salon.
- Je n’ai pas beaucoup de temps si je veux finir le ménage.
- Je vous dispense de ménage pour aujourd’hui, j’ai envie de parler…
Pendant un quart d’heure il parlèrent de tout et de rien mais imperceptiblement, Jean-
Luc, sur le canapé, s’était rapproché de ma femme et leurs cuisses se touchaient. Tout
en continuant la discussion il lui posa la main sur le genou sans que Sylvie ne se
méfie : un vieil homme de 65 ans, ce ne pouvait être qu’un geste innocent !
Quand la main remonta entre ses cuisses, il était trop tard pour protester et Jean-Luc
se penchait sur ma femme pour lui voler un baiser.
Sylvie protesta mollement, ses paroles hachées par la bouche de l’homme sur la sienne.
Elle sentait maintenant sa main fermement plaquée entre ses cuisses lui peloter la
chatte à travers le pantalon.


- Nonnn !... se plaignait-elle. Arrêtez, vous êtes fou !
- J’ai envie de toi !
- Je suis mariée…
Jean-Luc ne l’écoute pas et redouble d’ardeur en resserrant son étreinte.
Sylvie, dans un sursaut de fidélité conjugale, parvient à se dégager et s’enfuit de la
maison.
Le soir elle me raconte ce qui s’est passé. Je bande au fur et à mesure qu’elle avance
dans son récit qu’elle conclu en affirmant ne plus remettre les pieds chez cet homme.
Je lui dis que l’on ne peut se passer d’un revenu régulier et qu’elle n’a pas le droit
de laisser tomber un client ainsi et que peut-être serait-il en droit de demander une
indemnité pour rupture de contrat.
- J’y retourne mercredi mais je mettrai les points sur les « i » !
Le mercredi, Sylvie se rend chez Jean-Luc et met les choses au point mais Jean-Luc ne
l’entend pas ainsi.
- Je peux doubler tes gages si tu veux.
- Je ne suis pas une pute !
- Les tripler ?
- N’insistez pas ou je pars sur le champ.
- Allez je te paye 5 fois ton tarif horaire… réfléchis…
Sylvie est prise de court, elle avait imaginé nombre de scénario mais pas qu’il lui
proposerait un tel arrangement et c’est sans conviction qu’elle lui répond :
- Je suis mariée…
Jean-Luc comprend qu’il a gagné. Il la prend dans ses bras et l’embrasse tendrement
sur les lèvres.
- Cinq fois mon salaire ?
- Oui Sylvie.
- Cinq fois…
- Oui.
- Mon mari…
- Il est cocu.
- Cocu ?...
- Cocu.
- Oui… embrasse-moi Jean-Luc…
Frénétique, Jean-Luc pétrit les seins de ma femme, soulève son corsage, dégage les
seins du soutien-gorge, les lèche, les tète, les mord, baisse la braguette du pantalon
de Sylvie et fait sauter le bouton.
Sylvie se retrouve adossée au mur du couloir les seins à moitié à l’air, le pantalon
et le slip sur les genoux avec un homme agenouillé lui broutant la chatte.

Jean-Luc aide le pantalon à descendre encore et Sylvie relève une jambe pour mieux lui
permettre de lui lécher la chatte. Elle sent sa langue s’insinuer profondément dans
son vagin et son liquide couler sur cette langue avide. Jean-Luc goute avec
délectation ce nectar divin avant de glisser ses doigts dans le chaud fourreau de ma
femme.
- Hummm, Jean-Luc, c’est trop bon… ouiiii… encore, oui encore !...
Jean-Luc se redresse contre ma femme et ils échangent un baiser fougueux.
Il la soulève dans ses bras et la porte sur lit. Sylvie le regarde se dévêtir et ôte
elle-même le peu de vêtements qui lui reste.
Les deux amants s’enlacent nus sur le lit du pêcher.
Pendant de longues minutes ce ne sont que baisers, caresses, léchage, masturbations
réciproques, fellation, cunnilingus et autres douceurs.
- Viens ! prends-moi chéri !
Jean-Luc ne se le fait pas dire deux fois et enfouit sa queue au plus profond du vagin
de ma femme. Il la besogne longuement, lui arrachant des cris et gémissement de
plaisirs.
- Tu aimes ça salope ?!
- Oui, j’adore… encore, encore…
- Et ton mari ? tu n’y penses plus ?
- Fais-le cocu… fais-le cocu !!!!
- Avec plaisir…
Ils s’embrassent goulument.
Il la retourne, émerveillé par ses fesses rondes et fermes. Ma femme se met à quatre
pattes.
- Sylvie, tu as un cul sublime !
Il lui écarte les fesses et lui lèche avidement la rondelle.
Un doigt… deux doigts…
Sylvie gémit…
Il lui dilate l’anus… le sphincter ne se resserre plus, il est temps de l’enculer…
Jean-Luc place son gland au contact de l’anus de ma femme et s’enfonce lentement. A
fond, il s’arrête et savoure puis commence à limer dans son cul étroit. Sylvie pousse
des cris de bête blessée mais Jean-Luc la pilonne sans pitié. Il lui att les seins
et lui serre les tétons.
Sylvie n’en peut plus :
- Jean-Luc, je t’en prie reprends-moi par devant.

Il lui obéit et le voilà couché sur ma femme à lui pétrir les fesses, lui caresser les
seins, à la besogner, à l’embrasser sur la bouche.
- Hummm, oui Jean-Luc, je t’aime… encore… ouiiiiii !!!!!
Jean-Luc sent la sève monter en lui. Sylvie les yeux fermés savoure en gémissant le
pilonnage de son amant et les ouvre d’un coup en sentant le chaud liquide lui inonder
le vagin.
- Jean-Luc !?... mon amour, tu m’as inondée !...
Il sort de son vagin et présente sa queue gluante à ma femme. Elle la prend
délicatement et commence à la lécher sur toutes ses faces avant de la gober et de
pomper les dernières goutes de sperme tout en lui caressant les couilles.
La queue est nickel. Jean-Luc rend la politesse à ma femme et lui lèche le sperme
coulant de sa chatte.
Jean-Luc se couche sur le dos et ma femme se blottit dans ses bras. Ils échangent un
tendre baiser.
- C’était divin Jean-Luc… tu l’as bien fais cocu…
- Salope !... tu caches bien ton jeu !
- Tu n’oublieras pas mon cadeau…
- Tu prends les chèques emploi service ?
- Je n’accepte que ça mon chéri…
Sylvie lui donne un baiser et se lève. Jean-Luc la retient.
- Non mon chéri, je dois y aller, tu n’es pas mon seul client.
- Pardon ?
- Tu es le seul à me faire l’amour chéri…
Il la laisse partir à regret.
Un dernier baiser et Jean-Luc admire ma femme nue se diriger vers la salle de bain.
Ma femme partie, Jean-Luc me téléphone et me narre leur après-midi. Tandis qu’il
détaille leurs rapports je me masturbe en les imaginant…
- Jean-Luc ? as-tu pensé à filmer ?
- Tu viens quand tu veux. Je te ferais une copie…

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