L'Éducation De Papillon - Episode 16

(Dans cet épisode, nous allons laisser notre quatuor se reposer un peu, et découvrir
les autres membres de la famille d’Anne et Louis, Douglas leur fils de 19 ans et
Camille, leur fille de 16 ans, et ce qu’ils ont fait pendant que leurs parents étaient
partis en bateau)

Douglas,tout d'abord, est un beau jeune homme, et même ses yeux qui louchent un peu
lui donnent un charme supplémentaire. Il a l’habitude de plaire aux filles, et il ne
se prive pas de profiter des occasions qui se présentent à lui.
Quand ses parents sont partis, et Camille lui ayant dit qu’elle passerait la soirée
chez une copine, il a tout de suite pensé que c’était l’occasion d’appeler Jeanne, une
étudiante qui suit les cours de Philosophie avec lui.
C’est une fille timide, aux grands yeux verts cachés par de grandes lunettes, au corps
camouflé dans des vêtements amples qui cachent ses formes, mais que Douglas pressent
adorablement proportionnée. Le type même de l’intellectuelle mais qui, il l’a
ressenti, le regarde souvent en cours avec des yeux intéressés.
Il l’a appelé, lui proposant une petite séance de travail « car je n’ai pas bien
compris le dernier cours et j’aurais besoin de tes lumières pour le devoir à rendre ».
Elle ne s’est pas fait prier, et un rendez-vous a été pris pour 19h.
- « Je nous préparerai un en-cas, si nous avons un petit creux.
- Comme tu veux, mais tu sais, je ne mange pas trop »
Quand elle est arrivée, Douglas l’a bien regardé. Elle semble comme d’habitude, n’a
pas mis de vêtements particuliers, mais il a l’impression qu’elle s’est légèrement
maquillée, ce qui est peu courant.
Ils s’installent côte à côte à la table du salon, Douglas sort son cours, et ils le
lisent ensemble, Douglas posant des questions auxquelles Jeanne répond. Il va
chercher deux verres d’eau, et effleure le bras de Jeanne en les posant devant eux.

Il
lui semble qu’elle frissonne un peu.
Dans le cours de philo qu’ils étudient, la question sous-jacente est la place des
valeurs et des sentiments humains dans l’évolution technologique, leur impact, les
idées qui jaillissent pour inventer des objets au service de l’homme, qui lui
permettent de progresser ou de répondre à des besoins vitaux, et quelle est l’histoire
de ces objets.
Plusieurs thèmes sont abordés dans le cours, dont un sur les pulsions humaines. Ils
doivent trouver des exemples.
Ils définissent d’abord la notion de pulsion, et Douglas sent Jeanne un peu tendue,
n’osant pas trop aller sur le sujet sensible.
- « Il faut que l’on parle aussi des pulsions sexuelles, qu’en penses-tu ? se
lance Douglas
- Bien sûr, mais je ne sais pas trop quoi dire, en fait
- Tu n’as pas de pulsions toi ? sourit-il,
- Bien sûr, j’en ai, mais je n’ai pas l’habitude d’en parler.
- Moi non plus, mais il faut bien que l’on avance sur le sujet.
- Alors, disons que la pulsion sex. euh, amoureuse a permis d’inventer des
objets de séduction
- Oui, oui, tu as raison, répond-il sans relever l’hésitation, par exemple, les
bijoux, les cadeaux…
- Et aussi les vêtements ouvragés, à la fois pour montrer sa richesse et sa
position sociale, mais aussi pour séduire
- Toi par exemple, est-ce que tu mets des vêtements de qualité pour séduire ? la
taquine-t-il
- Oh, tu sais, je m’habille toujours comme ça, je ne suis pas très branchée
fringues.
- J’ai bien vu, mais cela te donne aussi un look qui peut séduire tu sais »
Elle le regarde : « tu crois ? Je pensais plutôt séduire par mon intelligence.
- Elle est aussi très séduisante, sourit-il
- Et toi, tu es plutôt fin comme garçon habituellement, mais là tu me parais un
peu balourd !
- Désolé ! Continuons, quels objets le désir humain de plaire, et le désir de
faire plaisir, ou de se faire plaisir, a-t-il généré ?
- L’évolution de la gastronomie ?
- Les onguents pour adoucir la peau, sentir bon ? dit Douglas.
J’ai mis une eau
de toilette ce matin par exemple, la trouves-tu à ton goût ?
Jeanne se penche vers le cou de son ami : « Oui, ça sent bon, et mon parfum, tu aimes
? «
Douglas se penche à son tour, et dépose un baiser dans le cou de Jeanne qui ne se
dérobe pas.
- « Il exhale ton intelligence dit-il, et plus encore.
- C'est-à-dire ?
Douglas prend le visage de Jeanne entre ses mains, la regarde dans les yeux. Elle
soutient son regard.
- « Ton parfum me donne envie de t’embrasser », et il avance ses lèvres.
- « Je l’ai mis pour ça », répond Jeanne, et elle s’avance à son tour, leurs
bouches entrent en contact, leurs lèvres s’écartent, leurs langues se cherchent.
Rapidement, leurs mains se cherchent aussi, les doigts se mêlent, puis se lâchent.
Douglas enserre Jeanne dans ses bras, enfouit sa tête dans son cou.
- « J’en avais tellement envie, depuis longtemps »
- « Moi aussi »
Ils parcourent leurs corps, ils découvrent l’autre, sont tout à la joie de cette
première fois, quand les mains ne connaissent pas encore les contours, quand on n’ose
pas aller trop vite, trop loin tout de suite, de peur d’effaroucher, de laisser penser
que seul le sexe nous importe, de faire un geste qui pourrait déplaire.
Mais ces deux là voient bien vite qu’ils ont le même désir.
Douglas a posé sa main sur le corsage de Jeanne, et lui pétrit les seins. Comme il
l’avait pensé, ils sont gros, mais pas énormes, lourds et fermes, et malgré le tissus
un peu épais de la robe, il sent les tétons s’ériger.

Jeanne prend les devants, sa timidité à disparu. Son envie d’être avec ce garçon
qu’elle désirait secrètement, son plaisir de voir qu’il répond à son attente. Sa peur
d’être rejetée, elle qui n’est pas aussi belle que toutes ces étudiantes minces et
délurées, s’est enfuie. Elle a envie de lui, elle le veut à elle maintenant, et elle
va lui montrer combien elle est capable de satisfaire un homme.
Elle enlève sa robe,
et se retrouve devant lui en culotte et soutien-gorge.

Douglas est touché, il découvre ce corps longtemps imaginé, et il est aussi beau que
dans ses pensées. Il ressent la confiance qu’elle lui donne, et à son envie de la
posséder se mêle maintenant un vrai sentiment amoureux, un désir d’être à sa hauteur,
de ne pas la considérer comme les autres, comme un coup à tirer, mais de prendre soin
d’elle, de l’adorer.
Il enlève à son tour ses vêtements, et se met nu devant elle. Son sexe pend, mais déjà
un peu développé.
Il s’approche d’elle, se serre contre ce corps, embrasse Jeanne avec passion, et en
caressant son dos, il dégrafe le soutien gorge, Il se recule un peu, écarte les
bonnets, et pleure presque d’émotion en découvrant les larges aréoles brunes autour
des tétons durcis.
- « Comme tu es belle, je t’ai tant rêvée
- Comme tu es doux, je t’ai tant attendu
Il se penche un peu, et att un sein dans sa bouche, caressant l’autre. La saveur
le fait chavirer, et Jeanne soupire d’aise de voir son amant découvrir ses seins si
gentiment.
Elle att le sexe de Douglas, et en peu de temps, il se dresse fièrement. C’est une
queue large, pas très longue, dont le gland un peu rouge se tend vers elle.
Douglas, tout en lui léchant les seins, insinue une main sous la culotte. Il tâtonne
pour découvrir ce sexe. Il écarte les poils, passe un doigt sur la fente qui déjà
suinte de désir, écarte les lèvres pour atteindre le clitoris, sur lequel il passe
délicatement son doigt.
- « J’aime ta caresse, continue » susurre Jeanne à son oreille.
- « Viens, je veux te découvrir et te faire plaisir » et il l’entraîne sur le
canapé du salon.
- « Assieds-toi, j’enlève ta culotte, ouvre moi tes cuisses, laisse moi te
goûter, laisse moi te regarder »
Jeanne s’installe confortablement, un coussin dans le dos, et écarte largement ses
jambes, offrant la vue de son sexe.

Douglas s’agenouille, et observe. Les poils ne sont pas épilés, mais la toison n’est
pas très fournie, et il voit bien les grandes lèvres, un peu grasses, qui cachent
l’entrée du puits d’amour de Jeanne.
Il s’approche, et d’un doigt léger, il écarte les chairs et découvre l’entrée, des
petites lèvres ourlées, mignonnes, qui semblent lui dire « viens ». Il passe un doigt
dessus, très lentement, et il entend la respiration de Jeanne qui s’accélère un peu.
Alors il tend sa bouche, et pose un baiser sur ce sexe, un baiser qu’il sait déjà
n’être que le premier d’une longue liste sans fin, conscient de ce geste initiatique,
offrande à celle qu’il aime déjà totalement, à laquelle il vient, dans l’instant, de
décider de se consacrer.
Sa langue ouvre le sexe, dans un mouvement vertical, lent, où il apprécie la saveur de
cette chatte, où il ressent l’émotion de l’offrande qui lui est faite. Il happe le
clitoris, et l’aspire. Jeanne laisse échapper un gémissement.
- Oh, Doug, c’est bon, c’est doux, continue, j’adore comme tu me lèches
Il a maintenant pris un petit rythme, et va de la fente au clitoris, toujours très
lentement, dégustant tous les sucs qui émanent de Jeanne. Il tend une main et saisit
un sein, dont il pince légèrement le bout. Jeanne soupire.
- « J’aime que tu me caresses les seins, ils sont sensibles tu sais, et peuvent
supporter des caresses appuyées.
Douglas comprend et pince un peu plus le téton. Jeanne se tend, att les cheveux de
Douglas, et pousse sa tête sur sa chatte. Douglas enfonce sa langue dans le fourreau,
le plus loin possible, ressort, repart, lèche le bouton qui est sorti de son capuchon,
redescend sur le sillon et repart dans l’antre mouillé.
- « Je veux sentir en moi un sexe », dit Jeanne.
- « Et moi, je veux te faire jouir mais je ne vais pas te pénétrer, je vais te
donner un exemple qui te sera utile pour le prochain cours de philo, attends-moi en te
caressant »
Il se lève brusquement, pars dans une chambre, reviens aussitôt, un joli godemiché
rose à la main.
- Tu vois, les pulsions humaines ont inventé cet objet pour donner et se donner
du plaisir. Veux-tu expérimenter ?
- J’en ai un aussi à la maison », sais-tu, « je t’ai dit que je n’avais pas
l’habitude de parler de cela, mais cela ne m’empêche pas d’avoir des pulsions. Je veux
sentir mon sexe envahi, et je veux bien patienter un peu en attendant que ce soit le
tien qui me prennes, surtout si tu considères que cela fait partie de la révision de
nos cours…. » et elle rit à l’idée que leur prof n’imagine pas tout ce que font ses
étudiants pour découvrir les joies de la philosophie.
Alors Douglas suce l’objet phallique pour l’humidifier, le dépose sur le sexe de
Jeanne, et la caresse, écartant à nouveau les lèvres, s’attardant sur le clitoris,
puis l’enfonçant profondément dans le con de Jeanne.
- Aaahh, mmm, j’adore, continue, vas, viens, branle moi,
- Tu es une coquine en fait, sous tes airs d’intellectuelle, et moi je vais te
donner tout le plaisir que tu veux.
Tout en godant sa nouvelle amie, Douglas l’admire. Elle a un corps qui le fait
bouillonner : un cou gracieux sous un visage un peu rond, des seins fermes et lourds,
une taille un peu resserrée qui s’élargit sur des hanches solides qui, il l’a vu quand
elle s’est retournée, lui font un joli fessier un peu large, mais pas trop, qui se
continue sur des jambes plutôt fines. Ses genoux sont doux, ses pieds assez larges
pour soutenir une belle personne. Bref, il est amoureux, et tous les détails lui
plaisent, lui donnent envie de s’approcher, de lécher.
Mais il continue son mouvement, un peu plus vite, et il voit Jeanne qui se mordille la
langue, une main caressant ses seins.
- « Je te veux maintenant, prends-moi, je veux te sentir toi, en moi »
Agenouillé, il met Jeanne au bord du canapé, s’avance, la bite tendue, et il déflore
sa belle. Il ressent le plaisir de s’enfoncer dans ce vagin étroit, son gland en
frotte les parois, son sexe large rempli tout l’espace.
- « hhhaaaa,,,,,,, tu es gros en moi, je te sens bien, je ne sais pas si j’ai
déjà eu un si bel objet vivant qui me pénètre. Mmm, aaaah, mmmmm, comme c’est bon, va
doucement, je veux sentir ton membre aller et venir……. Ooouuu, aaaah, oui, oui, comme
ça, aaah c’est bon….
- Tu es serrée autour de moi, je ressens tes contractions…. Oufff, ahhh, mmm, je
vais aller au fond, le plus possible.
- OOuuuuii, vas-y, quel beau membre tu as ! Il me fait tant de bien, cela fait
longtemps tu sais que je n’ai pas fait l’amour, et j’avais tellement envie de toi….
Uuuuu,iii,, tu es si beau, ne t’arrêtes pas. »
- Je voudrais pouvoir mieux te prendre, et à genoux, ce n’est pas le mieux.
Viens, redresse toi, entoure moi de tes bras et jambes, et je t’emmène dans ma
chambre. »

Jeanne s’accroche à lui pendant qu’il se relève et, toujours empalée, se laisse
emporter par son prince charmant.

Il se jette le dos sur le lit, Jeanne au dessus de lui, et une fois calé, il att
ses fesses, écarte les lobes et la baise avec appétit. Puis elle se redresse, et
c’est elle maintenant qui s’accroupissant, fait monter et descendre son cul sur la
tige dressée, pendant qu’il lui att les seins. Cette vision d’une femme sur soi,
un sourire aux lèvres, les seins tressautant en mouvement, laissant, quand elle se
soulève, apparaître la queue frémissante du jus intime, voilà une vision que les
hommes apprécient. Se sentir non pas dominé, mais à la disposition du plaisir de
l’autre, la laisser se masturber sur une belle bite tendue, l’aider à atteindre le
plaisir en lui palpant les seins…… mmm, trop bon, et Douglas ne fait pas exception,
qui lui att les fesses pour soulager ses muscles.

Puis elle roule brusquement sur le côté et c’est son tour de venir sur elle. Il lui
écarte les jambes, admirant cette chatte qu’il continue de pistonner, les seins un peu
aplatis sur le torse mais dressant leurs tétons fièrement, et surtout le visage de
Jeanne, ses cheveux qui collent un peu avec la transpiration, les yeux verts qui le
dévorent, happant eux aussi ces instants fougueux de leur premier ébat, pour les
garder à jamais.

Enfin, ensemble, dans une communion des corps et de leur amour naissant, ils
jouissent, sans pudeur, sans retenue, et leurs soupirs, leurs cris forment l’écrin
pour conserver le souvenir de cette découverte.

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