Notre Première Fois

Que faire quand on s’ennuie à 17 ans ? Je lis, tout simplement. A dire vrai j’ai pris
un livre dans l’enfer de la bibliothèque familiale, l’endroit où sont toujours cachés
des livres qu’on m’interdit de lire. J’ai eu raison de prendre le bouquin que j’ai
entre les mains. Le Kamasoutra illustré de très nombreuses images très érotiques. J’en
ai le bas ventre mouillée. Je ne lis pas à vrai dire : je regarde attentivement les
couples dans des positions impossibles baiser. Je suis obligée de faire tomber et mon
jean et mon slip.
J’écarte les cuisses pour que ma main droite puisse venir caresser ma chatte. J’aime
bien me branler quand je suis seule. Je trouve même le moyen de le faire avec Martine,
une copine. C’est très agréable quand ses doigts me caressent la moule. Je le lui
rends bien. Je suis certaine qu’elle ne dirait pas non à aller plus loin aujourd’hui,
même si ce sont des couples mixtes.
J’aimerais bien faire ça avec un garçon. Les seuls que je connaisse sont d’une paresse
extraordinaire devant les filles, ou alors il faut que j’aille chercher dans des cafés
réputés pour la drague. Je suis parait-il trop jeune pour y aller.
Ma famille est des plus rétrogrades, je suis élevée dans un cadre strict. Si jamais
mes parentes savaient que je me fais du bien le soir dans mon lit, ils m’en voudraient
terriblement : une fille qui se masturbe : impossible et en plus une fille qui partage
ses plaisirs avec une autre fille de bonne famille !!!
En attendant je me donne un plaisir extraordinaire en regardant et me masturbant. Je
suis même obligée d’arrêter de lire pour finir de me branler, juste avant l’explosion
finale dans le ventre. Que c’est bon de se faire ce genre de plaisir.
L’heure tourne, je pose le livre en le remettant soigneusement en place. D’ailleurs
comment se fait-il que cet ouvrage soit dans la bibliothèque familiale ? Mes parents
cachent leurs divertissements ? Sans doute.


Ce soir je reprends ma caresse. Comme toujours je me mets nue sur le lit. Je me sens
libre, je peux faire ce que je veux. Ce que je veux le soir c’est jouir, même si je
l’ai fait dans l’après midi. Je commence par me caresser les deux seins. J’aime voir
mes tétons jaillir de ma poitrine. D’une main je caresse mon ventre en entier. Ensuite
je caresse ma fourrure pour la mettre en ordre, comme si les poils gênaient. Ma main
gauche prend le haut de mes lèvres pour les tirer vers le haut : je dégage le petit
clitoris qui n’attend que ma main droite. J’ai pris l’habitude de caresser mon bouton
avec deux doigts. Je les mouille avec ma salive. Je caresse très lentement pour que le
début du plaisir arrive, ensuite je vais bien plus vite jusqu’au moment de ma
jouissance. Ce soir j’avais encore en tête les couples du Kamasoutra. J’avis à peine
joui qu’il a fallut que je recommence. Cette fois j’ai pris des libertés : pour la
première fois j’ai essayé de mettre un doigt dans l’anus. A cet endroit je ne mets
normalement qu’un thermomètre quand je suis malade. Mais mon doigt a une faculté : il
me donne un autre plaisir. J’en suis même surprise de voir avec quelle rapidité je
tire un autre orgasme.
Je pense que mon futur mari n’aura pas à se plaindre de moi.
J’ai une envie de plus en plus pressente d’avoir une queue dans mon puits. Martine est
comme moi, elle se donnera au premier venu pour perdre sa virginité. Vendredi nous
étions seules dans ma chambre comme d’habitude nous nous sommes caressées. Nous avons
joui presque ensemble. Une fois de plus nous avions besoin de quelque chose dans nos
cons. La décision est prise : nous irons ensemble dans un café samedi soir en
prétextant une séance de cinéma.
C’est-ce que nous faisons. Le bar en rempli de jeunes filles ou garçons mélangés.
Certains s’embrassent sur la bouche, comme nous le faisons avec Martine.
Nous voyons
un couple qui se caresse dans un coin caché. La fille tient la bitue de son ami en
faisant des vas et vient. A un moment elle pose un kleenex sur la queue de son ami,
l’y laisse un moment avant de le cacher dans le fond de son sac. C’est ainsi que nous
voyons comment branler un garçon.
Avec Martine nous sommes déjà mouillées. Heureusement que deux garçons un peu plus
âgés que nous viennent nous tenir compagnie. Il nous paye un verre de coca. Je n’aime
pas trop ce gout, mais je ne vais pas refuser cette consommation. Ils nous parlent et
racontant des balivernes que nous faisons semblant de croire. Nous changeons de place
pour nous trouver en couple. C’est bien un de nos objectifs.
Le premier embrasse Martine sur la bouche, j’attends que l’autre m’en face autant.
L’attente ne dure pas. J’ai des lèvres sur les miennes. Je sens sa langue qui ouvre ma
bouche pour chercher ma mienne que je donne aussitôt. La suite est logique, je sens
des mains venir sur ma poitrine. Ce type triture mes seins comme des outres. Je
supporte la chose avec philosophie. Ca ne dure pas longtemps, il pose une main sur un
genou. J’espère qu’il connait bien la suite. Là il est très doux, presque autant que
Martine. Sa main monte lentement entre mes jambes. J’écarte les cuisses pour lui céder
le passage. Il sait que je suis excitée quand il arrive à ma culotte très humide. Il
passe une main dessous : je le laisse toujours faire. Il cherche un peu avant de
trouver mon bouton. Je sens ma cyprine couler entre mes cuisses. Il commence à me
masturber. Il ne se débrouille pas mal puisque j’arrive à avoir un orgasme.
Sans qu’il me demande je pose ma main sur sa braguette ; je sens qu’il bande. J’essaie
de sortir son sexe, je n’y arrive pas : il faut dire que c’est la première fois que
j’essaie cette manœuvre. Il se débrouille tout seul pour me donner sa bite.
Je la
prends dans ma main. Qu’elle est dure : comment avoir dans son ventre un tel morceau.
La serveuse passe, nous sert et nous regarde en souriant. Elle sait parfaitement ce
que nous faisons.
J’essaie de faire comme la fille de tout à l’heure. Je prends sa bite à pleine main,
je la fait monter et descendre. J’arrête quand il pose à nouveau un doigt sur le
clitoris. Il murmure
- Continue, n’arrête pas pendant que je te branle.
- C’est bon comme ça ?
- Oui, tu te débrouille bien.
- Tu sais c’est ma première fois. Tu ne voudrais pas qu’on aille chez toi pour
continuer ?
- Chez moi, bien sur.
J’entraine avec moi Martine qui en est au même point.
Nous arrivons dans une chambre dans un petit immeuble. Un seul lit est là. Mon copain
me déshabille lentement : je le laisse faire : je ne veux plus être pucelle. L’autre,
le copain de Martine en ait autant. Nous nous retrouvons nues toutes les deux. Martine
va au devant du désir de son ami : elle ouvre la braguette, lui sort la bite pour
l’embrasser. Mon copain lui se déshabille seul. Je peux ainsi voir la proportion de sa
bite plus grosse que l’autre. Il m’embrasse, me tripote mal les seins, avant de venir
ma branler encore. Je jouis dans sa main. Il me fait assoir sur le lit les jambes
ouvertes. Je crois connaitre la suite : il pose sa bouche sur ma chatte. C’est sa
langue qui me caresse maintenant, il la fait aller du clito jusqu’à mon petit trou que
j’ai sensible. Il comprend vite que je veux jouir par là. Sa langue se durcit pour
entrer à peine dans le cul. Je suis en train de vivre un instant privilégié que je
n’oublierais jamais : ma première fois. Il me fait jouir encore. Quand il se relève
j’ai sa bite bien grosse à hauteur de ma bouche. Je vais lui rendre ce qu’il m’a fait.
Je le retiens avec une main : sa queue est très dure. J’ouvre la bouche pour la
prendre.
Je ne savais pas qu’existant un prépuce, j’en suis étonnée. Je le fais
descendre avec mes lèvres. J’ai dans la bouche son gland qui a un drôle de gout. Je
fais coulisser mes lèvres sur sa queue. Il tend sa bite vers moi le plus possible. Je
le sens grossir dans ma bouche quand il en sort :
- Je ne veux par jouir dans ta bouche, je préfère te baiser.
Au moins c’est net, sauf que j’ai failli le faire jouir par accident. Nous allions
nous coucher en oubliant l’autre couple. Ils sont plus avancés que nous puisque
Martine n’est plus vierge depuis un instant : elle a dans son ventre la pine de son
amant : elle ne semble pas s’en plaindre.
Nous nous allongeons tout au bord du lit, contre les autres. Il même ait écarté les
jambes pour venir sur moi. Je sens sa queue palpitante entre mes cuisses et sur
l’entrée de mon puits. Il entre très lentement en s’arrêtant juste sur l’hymen.
- Attention je vais te la mettre, tu vas avoir un peu mal.
Il donne un coup de rein ; en effet je sens une fulgurante douleur qui passe très
vite. Ensuite je ne fais que le sentir aller et venir quand je perçois enfin un drôle
de plaisir très différent. Je ne veux pas qu’il arrête de me baiser. Je jouis bien
avant lui. Mon vagin a des spasmes autour de sa queue. Je me retire, même si lui veut
continuer. Je sais d’après le kamasoutra qu’une bite peut et doit aller se loger
ailleurs.
- Mets-moi ta queue dans le cul.
Il est étonné qu’un semi vierge lui demande cette faveur qu’il aime bien. Martine a la
même demande. Nous nous retrouvons toutes les deux en levrette, un peu trop serrées
sur ce petit lit. Mon amant sait comment faire, son jeune âge m’en faisait douter. Par
précaution il puise de mon jus sur et dans ma chatte pour m’en mettre sur l’anus.
Il entre un puis deux et enfin trois doigts. Il me fait un peu mal. Je sens que ses
doigts coulissent bien dans la gaine. Il se positionne derrière moi, prend mes seins
qu’il maltraite. Je sens le bout de sa bite qui entre doucement dans mon cul. Bien sur
j’ai un peu mal quand il entre comme il fait avec beaucoup de tendresse. Je sens son
pubis contre mes fesses quand il me la mise à fond.
Je jouis rapidement, surtout quand il jouit et que je sens son jet de sperme envahir
mon intérieur. Je pense qu’il peut encore me sodomiser : il débande. A mes cotés
Martine est comme moi, en panne d’amants. Nous avons encore envie de jouir.
Sans pitié nous faisons se lever nos amants d’un soir pour nous allonger commodément.
Nous nous caressons un peu, elle me caresser le seins normalement en me les suçant ce
que je lui rend; Nous sommes en bonne position en descendant un peu pour nous lécher.
Nous trouvons sur nos chatte les gouts habituels de cyprine et celui inconnu de nous
de sperme. Ce n’est pas désagréable. La prochaine fois que je sucerai une bite j’irai
jusqu’au bout pour déguster cette semence. A force de jouir nous recommençons vite
pour nos orgasmes simultanés.
Les garçons nous voyant baiser bandent à nouveau. Celui de Martine vient pour
l’enculer à nouveau. Elle doit aimer ça encore plus que moi. Le mien voudra me baiser
encore. Je viens juste de jouir, je peux attendre, alors je prends sa bite dans la
bouche. Il me laisse faire, il se souvient du plaisir que je lui aie donné. Je me
méfis quand je sens qu’il va jouir, je le retiens dans la bouche et je reçois un drôle
de jet dans le fond de la bouche. Il m’a donné beaucoup de jus. Je garde le tout dans
la bouche longtemps : c’est trop bon pour le gaspiller rapidement. C’est à toutes
petites gorgées que je le déguste.
Finalement j’ai eu sa semence dans le sexe, le cul est la bouche. Pour une première
fois c’est complet et j’en ai jouis à chaque fois.
Nous nous rhabillons, avec Martine pour entrer à la maison. Quand je laisse Martine
entrer chez elle, c’est plus fort que moi, je l’embrasse sur la bouche. En me couchant
je reste nue pour une dernière caresse sur le clitoris qui commence à être douloureux.
Je suis heureuse je peux donner du plaisir à une fille et le plus important à un
homme, sans parler de mon corps que je satisfais


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