Le Jeune Hétéro 2

Voici donc la suite de mon histoire avec le jeune hétéro J.
Quelque jours après notre première nuit, il est revenu me voir chez moi. Nous avons
beaucoup discuté, mais il voulait s’assurer que ce que nous avons fait ensemble reste
entre nous.
C’est à cette occasion que j’en ai appris un peu plus sur lui. Il se dit hétéro, mais
il a eu des relations avec des mecs, même en tant que passif, sa plus longue liaison a
durée quatre mois. Il m’explique qu’il aime beaucoup le sexe et que ça ne le dérange
pas de baiser avec des mecs, mais qu’il préfère une chatte comme il le dit. Il me dit
aussi que peu avant de me rencontrer, il avait un amant qui ne faisait que le sucer
jusqu’à éjaculation et qu’il veux bien retrouver un amant régulier. Je lui dis un peu
vexé :
- et je suis celui là ?
- pourquoi pas.
Je lui explique que moi je reste libre, je ne veux pas d’un mec qui souhaite disposer
de moi quand il le veut et se faire sucer jusqu’à que j’avale son sperme, je n’aime
pas ça. Il me dit :
- pas de problème, on fait à ta manière, mais je ne suis qu’actif car je ne suis plus
passif depuis longtemps et je ne veux plus me faire prendre.
Là, je suis un peu déçu, il a un si joli petit cul.
Donc, c’est ok, quand l’envie sera de la partit nous « baiserons » ensemble.
Quelques jours suivants, il revient me voir et dans ces paroles je comprends qu’il a
envie de s’amuser un peu. De plus, il n’arrête pas de me répéter que la dernière fois,
moi j’ai jouis, mais pas lui.
Pour un plan cul, moi je suis presque toujours partant. Il me chauffe en disant qu’il
a envie de sexe et de se branler. Ce jour là, il fait chaud, je suis juste vêtu d’un
petit slip et d’un caleçon léger et large. Je me lève, lui tourne le dos, baisse mon
caleçon et mon slip et lui dit :
- soit un peu plus direct, c’est ça que tu veux.


A ce moment, il se jette sur moi, il me force à me mettre à quatre pattes et fait
mine de me sodomiser assez durement d’ailleurs ( il est toujours vêtu de son jean).
Puis il me demande de m’allonger sur le clic-clac puis, avec rudesse, il me retire
mon calaçon et mon slip et siffle d’admiration :
- Humm, t’a une belle bite, je ne l’avais pas bien vu la dernière fois.
Il se place entre mes jambes et d’un coup sec, me gobe la queue pour m’infliger une
très bonne fellation. Ce petit con suce sacrément bien, je me laisse aller à cette
douce cajolerie. Mais bien vite il arrête et en sortant son sexe de son jean, il me
dit d’un ton grave :
- à ton tour, suce moi !
Ha, le macho! Mais je m’exécute. Il a sa belle queue bandée à mort.. Je vais le faire
crier de plaisir, en mettant tout mon savoir faire et ma dextérité dans cette
fellation.
Quand, au bout de quelques minutes, je stoppe, il me prends par les chevilles et se
place derrière moi et presse sa bite entre mes fesses, puis la fait coulisser sur mon
anus. L’ambiance devient torride.
Mais on sonne à ma porte.
Moi - purée ! Je réponds pas!
Mais ça sonne à nouveau deux fois, je me résous à répondre. C’est un couple de filles
qui viennent me rendre visite. C’est vrai qu’on doit manger ensemble ce soir. J’avais
oublié et j’avais pas vu le temps passer. On s’est très vite rhabillé et j’ai reçu mes
copines. Elles se sont tellement bien entendu avec lui, qu’il a été invité à manger
avec nous. En fin de soirée, tout le monde est rentré chez soi, J et moi un peu
frustrés.
Puis, un soir, il vient me voir à nouveau. Je lui offre a boire. Et de verres en
verres, de paroles en paroles, on finit tous les deux a être ivres. Incapable de
rentrer chez lui il peut passer la nuit chez moi. Bien évidemment, il ne vas pas
arrêter de me toucher durant la nuit, juste pour avoir un contact, comme s’il ne veut
pas se sentir seul.

Au matin, vers 8h, je me réveille doucement. Il dort encore, je le caresse tendrement
pour le réveiller, car je dois me lever ce matin, mon père vient me chercher vers 10h,
pour aller au mariage de ma demi-sœur. Je descend irrésistiblement vers son ventre, il
est si doux. Ma main est vicieuse et va à la rencontre de son sexe. Surprise, sa bite
est raide et bien dure. De suite, je décide de le réveiller en délicatesse en suçant
ce beau sucre d’orge. Il est en forme, la hampe est très veinée et le gland bien
décalotté (il n’est pas circoncis) d’un rouge vif proche du violet. Humm je commence
par lécher de quelques coups de langue rapides le tour et la base du gland. Puis,
d’une langue baveuse, je lèche ce gland comme une boule de glace, saveur mâle. Elle
commence à réagir en se raidissant et durcissant encore plus. Elle est maintenant très
grosse et dure comme du bois. Elle ne me semblait pas si grosse la dernière fois.
Enfin ,en ouvrant ma bouche au maximum, je gobe cette belle queue offerte à mes
envies. Petit à petit, il se réveille et automatiquement, son bassin commence a bouger
de haut en bas pour me baiser la bouche et pour que j’avale encore plus cette bite.
Elle cogne contre le fond de ma bouche, je manque de m’ à chaque invasion de
ce membre dans ma cavité buccale. J’avoue que j’aime bien son coté hétéro macho et un
peu brutal. Je vais bien le sucer pendant une demi heure, je ne me reconnais pas.
D’habitude je ne suce pas aussi longtemps, mais son membre est si beau en total
érection que je ne gâche pas mon plaisir. Je le pompe en alternant les allées et
venues de mes lèvres sur son chibre doucement puis vivement. De mes mains, je lui
caresses les testicules et parfois je serre sa bite bien fort en accompagnant mes
mouvements de succions. L’atmosphère devient brûlante, je n’en peux plus, je me couche
sur lui en plaçant sa queue entre mes cuisses et j’ondule nerveusement mon cul.
J’ai
envie qu’il me pénètre, je le laisse seul un court instant pour aller chercher gel et
préservatif et en profiter pour appeler mon père pour lui dire de prendre son temps.
J’appelle mon père, je lui demande où il est, il me réponds :
-je suis derrière ta porte.
Il a toujours tendance a plaisanter mais j’entends frapper. Il est vraiment là, il est
très, trop en avance. Il m’explique qu’il a des choses à faire avant le mariage. Je
vais devoir lui dire que je ne suis pas seul et de me laisser un peu histoire que J
puisse partir. Décidément, on nous dérange toujours au mauvais moment.
Très vite J, la bite encore raide, va se rhabiller et partir. Mon père avec son humour
fera bien rire toute ma famille en disant :
- j’ai sortit la souris du lit. !
Encore une fois je reste frustré.
A suivre.

Seithan.



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