Rencontre Avec Un Black En Disco

Je suis sorti ce samedi soir avec ma copine en discothèque, nous sommes depuis 8 ans
ensemble et en matière de sexe, nous avons déjà pas mal fait de truc ensemble , mais
toujours à deux . Elle portait ce soir là une jolie robe noire courte sous laquelle
elle avait enfilé un mini-string noir à ficelles latérales et un petit triangle noir
au-dessus de fesses.
Je venais de lui offrir le matin même ainsi que des bas noirs à grosses mailles auto
fixant .Elle portait également un soutien-gorge qui recouvrait seulement la partie
basse de sa poitrine, ce qui fait que ses tétons sont collé directement contre le
tissu de la robe. En fait, elle s'était faite super sexy et bien maquillée pour moi,
mais en fait elle aura fait tourner plus d'une tête pendant la soirée et ce ne sera
pas moi qui en profiterai !
Nous avions trouvé juste une place sur les tabourets au comptoir faisant dos au
comptoir, donc tournés vers la salle, la musique était forte et les rythmes effrénés
latinos faisaient tout vibrer. Nous avions commandé deux cocktails alcoolisés .La robe
de Sandrine lui remontait jusqu'à mi-cuisse laissant apparaitre le haut de ses bas.
Tous les hommes qui passaient devant nous ne se gênaient pas pour lui mater les
cuisses, elle croisait les jambes.
Certains repassaient plus ou moins discrètement plusieurs fois pour reluquer ma belle
.Pendant que j'observais le manège des messieurs, un grand black très baraqué vint se
poster au comptoir juste a coté de nous, ou plutôt de Sandrine .Je ne le vis pas de
suite. Quand je m'aperçu de sa présence, il était tourné comme nous, mais debout.
Je voyais alors ses yeux rivés en alternance entre le décolleté de ma bien aimée et
ses cuisses .Je devinais alors une boursoufflure dans son pantalon, le salaud bandait
en matant Sandrine ! Je lui fis remarquer dans le ceux de l'oreille qu'elle arrête de
faire bander les hommes ! Elle fronça les sourcils pour me faire comprendre
"Comment?", je lui fis de la tête en direction du black à côté.

Elle se tourna vers
lui et ses yeux étaient presque à la hauteur du sexe du monsieur, elle me regarda
ensuite en faisant des grands yeux .puis se retourna de nouveau vers lui pour
contrôler si elle avait bien vu et leva la tête vers la sienne, à ce moment je vis le
noir lui sourire, un sourire qu'elle lui rendit aussitôt.
Il reçu sa consommation et il alternait les matages de cuisses-décolletés et les
gorgés de sa boisson, je remarquais qu'il essayait de se faire très discret car il
avait remarqué que j'étais avec elle. Mais je m'aperçu qu'il ne débandait pas. Il
avait l'air d'avoir un très gros sexe, comme apparemment c'est coutume chez les noirs.
Je sais que Sandrine aime les gros sexes et j’observais qu’elle était un peu troublée.
Elle me dit alors effrontée qu’elle mouillait ! A ces mots je senti comme une
excitation dans le bas ventre.
Arriva une série de slows. Le black se tourna vers nous et nous demanda s’il pouvait
danser avec madame, je fus surpris et tétanisé, à tel point que je ne pu répondre et
Sandrine semblait enchantée se jeta pratiquement dans ses bras. Il fût surprit, mais
ca n’eu pas l’air de lui déplaire.
Arrivés sur la piste, le black posa ses grandes mains sur les hanches de Sandrine et
elle posait ses mains sur ses épaules. Le black la tira à lui de fait qu’ils étaient
très collés. Je pu m’apercevoir, malgré l’obscurité relative que le black lui disait
des choses dans le creux de l’oreille pendant les slows et elle rigolait. Par moments
la lumière se faisait plus clair et je pu voir que la main du cavalier de Sandrine
avait légèrement descendu de la taille et se retrouvait à présent au niveau de son coc
xis et il avait l’air de s’y attarder, comme s’il cherchait quelque chose.
Après le troisième slow la deuxième main du noir avait franchi un cap et se retrouvait
tout simplement sur la fesse gauche de ma bien-aimée qui ne protestait pas de moins.

Je sais qu’elle est très sensible dans cette région là (fesses et bas du dos). Ils
terminèrent la série de slow ainsi avant de regagner leurs places respectives. Je
demandais alors à Sandrine si ca allait, elle me répondit que oui et lorsque le noir
sembla regarder dans un autre coin, je lui demandais ce qu’il lui avait dit quand elle
a rigolé. Elle m’avoua qu’il lui avait dit qu’elle était très sexy et qu’avec une
femme comme ca il danserait bien toute la nuit, si elle voyait ce qu’il voulait dire …
Elle me dit dans la foulée qu’il n’avait pas arrêté de jouer avec la ficelle de son
string au travers la robe pendant la danse. Je lui dis que j’avais remarqué quelque
chose. Elle ajouta ensuite discrètement qu’il avait l’air d’être un chaud lapin. Elle
avait aussi senti son énorme attribut qui ne ramollissait pas contre son ventre durant
tous les slows. Je lui demandais alors qu’est ce que ca lui avait fait comme
impression, elle me dit que ca l’avait à la fois flatté et excité.
Le black qui s’étant présenté comme étant Désiré me demanda si je n’aimais pas danser,
je lui répondis que non, que j’aimais être dans des endroits comme ici, mais que je ne
dansais pas. Il me dit alors que ca ne devait rien me faire s’il continuait à danser
avec ma partenaire durant la soirée, je lui répondis un peu troublé que non. Sandrine
me dit ensuite qu’elle devait aller aux toilettes, elle s’éloigna alors en passant
devant Désiré qui lui matait le popotin comme s’il n’en avait jamais vu …
Sandrine revint après quelques minutes s’assis à côté de moi et me glissa quelque
chose sous la table dans la main. Je sentais un bout de tissus tout mouillé et
regardais discrètement, c’était son petit string trempé de son excitation. Elle me fit
un clin d’œil en se levant sous une musique antillaise suivi de près par Désiré qui
semblait ravi.
Ils dansaient cette fois avec un peu plus de distance, mais je voyais
Sandrine qui se déhanchait d’une façon très équivoque en se baissant parfois les
fesses tendu vers le sexe de Désiré comme le font souvent les danseuses des caraïbes
et lui posait ses mains sur ses hanches à elle comme pour simuler l’acte de copulation
animal. La scène me troublait.
Après une bonne vingtaine de minutes de ces déhanchements, alors qu’ils semblaient
vouloir regagner leur place, recommença une nouvelle série de slows. Désiré pris alors
directement Sandrine par les fesses, elle était collé contre lui. Il remonta alors une
main qui semblait chercher de nouveau quelque chose et remarqua que ce n’était plus là
… Il regarda alors mon amie droit dans les yeux en fronçant les sourcils prenant l’air
étonné et Sandrine lui sourit, d’un air ravi de l’avoir surprit. Il reposa aussitôt sa
main sur sa fesse et lui glissa un mot à l’oreille. Elle se mordit la lèvre inférieure
et ils continuèrent à danser.
Après quelques instants, il lui dit à nouveau quelque chose à l’oreille, elle le
quitta aussitôt, je pensais qu’elle était vexée ou fâchée, elle me rejoignait, prit
son sac et se dirigea vers les toilettes. Elle revint après quelques deux, trois
minutes me laissa son sac et repris le chemin de la piste de danse vers Désiré. Je
décidais alors de jeter un œil dans son sac et je découvris avec stupeur son soutien-
gorge ! Je jetais un regard vers elle qui s’enlaçait dans les bras de Désiré. Il lui
dit alors quelque chose et elle leva les bras en l’air en souriant. Ma petite amie
était désormais sans sous-vêtement dans les bras d’un grand noir qui la serrait tout
contre lui, avec juste le mince tissu de sa robe qui séparait ces grandes paluches
d’ébène et la peau blanche et tendre de ma chérie et de son 95C.
Je le vis qu’il tenait un sein dans sa main l’autre main s’occupait des fesses de
Sandrine.
Le contact était torride, érotique et langoureux. Cela ne déplût pas à mon
amie qui adore les hommes virils et entreprenants, mais celui-là il y allait sans gêne
!
Après que les slows soient terminés je les vis tous les deux se rapprocher de moi pour
s’assoir et Désiré qui ne pouvait pas cacher son excitation me demanda si nous serions
d’accord pour aller chez lui maintenant, Sandrine me lançait un « oui » du regard, je
répondis alors par l’affirmative pour ne pas la décevoir, de toute façon j’étais de la
partie donc elle ne risquait rien.
Nous arrivions après vingt minutes de route, nous dans notre voiture et lui dans la
sienne, dans un quartier où se trouvaient plusieurs immeubles. Nous montons dans son
appartement dont l’ambiance sentait bon l’air africain. Il nous pria de nous assoir et
alla dans la cuisine, il revint après quelques minutes avec trois cocktails, nous
étions surpris de la qualité visuelle et de la rapidité avec laquelle il les avait
concocté. Il s’assit alors de l’autre côté de Sandrine sur son grand canapé et en
prenant un air très à l’aise trinqua avec nous à une nouvelle amitié. Son cocktail
avait un goût fabuleux, mais après la première gorgée je sentais un coup de fatigue,
je fis ensuite semblant de boire car je supposais qu’il avait mis quelque chose pour
m’endormir dans le verre. Après quelques minutes je fis semblant de m’assoupir et je
gardais un œil légèrement ouvert pour observer la situation.
Sandrine semblait étonnée que je me sois endormi et Désiré lui répondit que je ne
faisais pas la fête, mais que j’étais déjà tout de même fatigué. Il ne perdit alors
pas une seconde et dit à Sandrine qu’elle lui avait fait mal toute la soirée, elle lui
demanda comment cela et il lui dit qu’elle l’avait fait bander et que ca lui avait
fait mal dans le pantalon tellement son sexe était coincé. Il lui dit alors qu’elle
devrait payer cette souffrance et la prit alors par le bras pour la faire se mettre à
genoux devant lui. Je le vis ensuite ouvrir son pantalon et sortir une matraque déjà
au garde-à-vous. Il lui dit alors, maintenant tu va me sucer !
Je fus ensuite témoin d’une scène incroyable, voyant la femme que j’aime, qui ne veut
jamais me faire une fellation, parce que c’est dégelasse, comme elle dit, prendre ce
monstre noir en bouche comme si c’était une habitude. Je la vis lui faire une
fellation comme seules sont capable de le faire les actrices pornos dans les films X.
Elle le léchait, le serrait entre ses lèvres et jouais avec sa langue autour du gland
et de la verge, il bandait dur comme du roc, elle devait faire 25cm sur 7 de large,
elle ne pouvait tout prendre en bouche et pourtant il lui percutait la gorge avec son
gland turgescent, ce qui lui fit presque vomir á plusieurs reprises. Sandrine ne
semblait pas gênée et reprenais d’assaut ce braquemart qui lui tendait la bouche au
maximum. Je voyais cette énorme verge luisante qui s’engouffrait dans la bouche de ma
copine, j’étais à la fois sidéré, admiratif et excité, je n’étais même pas jaloux. Je
bandais à mon tour comme un âne.
Désiré se releva, prit Sandrine par la main et l’allongea sur le canapé. Il lui
remonta la robe au-dessus du bassin et découvrit alors une petite chatte qui semblait
très étroite surmontée d’un léger duvet blond. Un petit minou qui luisait de cyprine
tellement ma belle avait été excitée toute au long de la soirée. Son amant lu écarta
les cuisses doucement et commença avec sa langue gigantesque à lui lécher la partie la
plus intime et sensible de son anatomie. Je vis ma belle se tortiller de plaisir et je
l’entendais haleter irrégulièrement, il lui suçait, tirait sur ses lèvres elle
écartait d’elle-même ses cuisses au maximum et commença à pousser des cris de plaisir.
Elle le suppliait de ne pas s’arrêter, elle mouillait comme une folle, mais Désiré lui
fit comprendre que c’était lui le maître et qu’elle n’avait rien à lui ordonner, qu’il
ferait d’elle ce qu’il voudrait, elle lui répondit alors qu’elle lui appartenait et
qu’elle ferait tout ce qu’il veut !
Il l’a prit alors dans ses bras et s’en alla en direction de ce qui semblait être la
chambre, je ne les voyais plus. J’entendis qu’il la jeta sur le lit et qu’il lui
demanda se déshabiller complètement. Je me levais et alla en direction de la chambre
où la porte était resté ouverte et je vis ma Sandrine couchée sur le dos, nue, les
jambes écartées et les genoux remontés et Désiré qui terminait de se dessaper pour ne
plus se retrouver qu’en tenue d’Adam. Il avait un beau corps musclé et j’aperçu son
pénis en érection, tendu et prés à exploser me semblait-il avec un énorme gland
luisant qui prenait le chemin de l’entrée du vagin de ma tendre aimée. Alors que je
pensais qu’il allait la pénétrer d’un seul coup et directement, il joua à frotter son
gland contre son clitoris et ses lèvres et j’entendis Sandrine lui dire tout bas :
-«Prends-moi »Il lui demanda de répéter, elle lui répondit :-« Baises-moi », il lui
dit alors que c’est lui qui décidait si oui ou non il l’a baiserait. Elle l’attrapa
par le cou en avançant son bassin en avant, comme pour provoquer la pénétration Il
lui dit alors que s’il la baise, il voudrait après la baiser tous les jours et même
plusieurs fois par jour, elle le supplia de la pénétrer. Il commença alors á tenir son
pénis en direction de l’entrée du vagin, fit pénétrer le gland en stoppant tout
mouvement, elle lui dit viens en moi et il s’enfonça totalement en elle. Elle poussa
un cri de surprise, de victoire et de douleur mêlée au plaisir. Il se retira aussitôt
complètement d’elle pour la pénétrer à nouveau plus rapidement et avec plus de force.
Il s’en suivit une longue série de va-et-vient où je voyais ses grosses couilles
pleines taper contre les fesses de ma fiancée. Cela dura au moins vingt minutes,
Sandrine eut de multiples orgasmes et lui poussait des cris de bête en rut, je
réalisais alors que cet homme encore pour nous toujours inconnu la besognait sans
préservatif. Je les entendis alors crier leur orgasme et je voyais ce colosse noir-
africain qui se vidait les couilles dans l’intimité de ma blanche chérie pendant plus
d’une minute. Je vis ensuite Désiré se retirer assez rapidement et ma copine qui
gisait littéralement là les jambes écartées, exténuée, avec des flots de sperme épais
qui coulaient de son entrecuisse. Il lui dit alors qu’elle était un bon trou à sperme,
un bon vide couille comme il aimait et que la nuit n’était pas finie…

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