Des Dix Huit Ans Bien Fetés

Pour célébrer les dix huit ans de mon petit fils Franck et de sa copine Lina tous deux
du même âge, afin de recevoir leurs invités j’ai dégagé mon atelier de menuiserie qui
ne me sert plus depuis que j’ai pris ma retraite l’an dernier à soixante cinq ans
après le décès de ma femme
Étant situé a l’entrée de la ville je donne sur les champs ils peuvent faire du bruit
autant qu’ils le voudront, j’ai même prévu une arrière salle remplie de matelas de
fortune pour éviter a ceux qui ne le seront pas capable de reprendre la route, les
parents de Franck sont présents ainsi que les parents de sa copine Lina, les vingt
autres sont des ados gars et filles
Au début de la soirée c’est mon fils qui s’occupe de la sono avec mon ordinateur, mais
les rocks de son temps ne vont pas aux jeunes qui préfèrent de la musique ‘ de
sauvage ‘ a minuit les parents du petit et ceux de Lina déclarent forfait, ils
quittent la soirée les oreilles rabattues
- Papa tu devrais calmer le jeu balance leur des danses du bon vieux temps,
slows tangos, valse !
Mais dés que les parents ont disparut l’atmosphère change, les jus de fruits ne font
plus recette, des bouteilles d’alcool apparaissent, boff on n’a pas tous les jours dix
huit ans ! j’en profite pour sortir un saladier de punch qui fait fureur, dans la
foulée je sélectionne une longue série de slows et éteint la lumière principale de la
salle, des coups de sifflet fusent mais les couples se forment très vite, les mains
baladeuse relèvent des jupes ouvrent les corsages, les voila calmés mes ados ! Et je
profite d’une vue panoramique agréable ! Je reviens à l’époque des surboums
La salle se vide progressivement, certains rentrent chez eux d’autre vont dans
l’arrière salle pas seulement pour dormir je suppose ….bientôt me voila seul a rester
éveillé, j’en profite pour commencer à ranger, ramasser des gobelets qui trainent un
peu partout quand Lina refait surface les cheveux et les yeux ébouriffés, le corsage
boutonné avec un cran de décalage, le soutient gorge a disparu car ses tétons pointent
!
- Vous êtes encore là ? vous tenez plus le coup que les jeunes ma parole, quel
âge avez-vous ?
- Soixante six ma jolie
- Comme mon grand père ! mais il est loin d’être aussi alerte que vous, vous
êtes super en forme !
- Tu ne dors plus ?
- Boff je rage ! Franck a voulut qu’ont aillent se coucher avec une idée
derrière la tête mais a peine mon corsage ouvert qu’il s’est affalé sur moi comme une
masse, il ronfle comme un t g v pour la nuit !
- Ah il a trop bu ce couillon !
- Ben oui, mais un moment après j’étais à moitié dans les vaps j’ai sentis une
main remonter entre mes cuisses, je me suis laissée faire pensant que c’était Franck
mais j’ai réalisé que la main ne venait pas du bon coté c’est son copain Willy qui
essayait de profiter de notre promiscuité
- Il ne s’emmerde pas celui là !
- Ho nous l’avons déjà fait ensemble mais avec la présence de votre petit fils
- Aaaaaahhhhhh ? vingt-dieu ! les mœurs ont bien changées !
- Y’a plus rien à boire ?
- Si, un reste de punch
- je vous sers un godet ?
- Non merci Lina
- Aller trinquez avec moi
La fille verse une louche dans chaque gobelets et m’en tend un
- Il fait chaud ici j’ai vu un banc dehors on y va ?
- C’est une bonne idée on va regarder les étoiles filantes c’est la saison
Lina s’affale sur le banc la robe remontée dévoile ses cuisses mais ça ne la gène pas
- Vous voyez des étoiles vous ? Ça me fait mal au cou à force de lever la
tête.

..je peux ?
Avant que je n’aie eu le temps de répondre la voila allongée la tête sur mes cuisses
- Ah c’est mieux ! j’adorais me mettre comme ça sur les genoux de mon papy …mais
je le fait moins
- Ah ? pourquoi ?
- Ben, depuis toute petite j’aimais lui mettre sa main sur mon cœur je lui
disais : tu le sens battre mon cœur papy ? – oui il bat très bien, il est fort ton
cœur ma linette
- Je grandissais et j’avais toujours cette vielle habitude… il posait sa main
juste sous mon sein ça na m’aurais pas gênée si il l’avait posée dessus mais il
n’osait pas et c’est mon grand père tout de même !! …. Vous voulez le sentir battre
vous ?
- Mais ….
- Aller ! comme grand père juste dessous ….
Elle att mon poignet et pose ma main sur son corsage, pour lui faire plaisir je la
glisse sous son sein
- Vous le sentez battre ?
- ….. non ……
- ha ? bougez pas …..
Le plus naturellement du monde elle dégrafe son corsage et ouvre les pans, une
poitrine ronde brille au clair de lune
- Vous sentirez mieux comme ça, reposez là pour voir ?
Je pose ma main tremblante a même la peau
- Et maintenant vous le sentez ?
- Pas mieux …
- ET LA ?
D’un geste brusque elle fait glisser ma main sur sa demi-sphère ferme et chaude, le
téton coincé entre deux doigts se redresse, j’essaie de me dégager mais elle cramponne
mon poignet
- Laissez vous faire vous n’êtes pas mon grand père y’a pas e !
Vaincu je laisse ma main … malgré moi mes doigts imperceptiblement massent le sein,
Lina ferme les yeux, elle remonte ses talons vers ses fesses ce qui fait glisser sa
jupe sur ses cuisses a la limite du slip
- Dites moi … vous ne portez pas de sou- vêtement ?
- Euh … non il y a longtemps que j’ai abolis le port du slip pourquoi ?
- Je sens votre hum... elle me parle à l’oreille !
- Excuse moi c’est ta proximité qui me retourne
- Y’a pas de mal ! je ne comprends pas ce qu’elle veut me dire …je vais la
sortir
- Tu es folle ? quelqu’un peut venir !
- C’est vrais, attendez moi je reviens
Je ne peux nier que cette gamine me bouleverse ça me ramène a mes dix huit ans, Lina
réapparait une couverture sous le bras
- Venez, allons sur la pelouse derrière votre camion
Je réalise que c’est une pure folie mais je la suis
- Faites comme moi ….

Lina dégrafe jupe et corsage ne gardant sur elle que son mini slip immaculé qui moule
sa vulve renflée, comme un automate je me fous a poil et m’assied sur la couverture
j’essaie tant bien que mal de camoufler ma queue raide entre mes cuisses
- Allongez vous je vais reposer ma tête comme tout a l’heure
- Je ne peux pas Lina …
- Pourquoi ? parce que vous bandez ? quelle histoire ! oust sur le dos !
Je maintiens ma verge plaquée sur mon ventre pensant qu’elle va poser sa tête sur mes
cuisses, mais couchée sur le coté elle pose sa joue sur mon estomac, je sens son
souffle sur mon gland
- Il veut me dire quelque chose …dis moi joli gland que veut tu ? …. Ha oui je
comprends …. Papy ? Je peux m’en servir comme un tube de rouge a lèvres ?
- Si je dis non ?
- Ce serait un non qui veut dire oui, merci !
Lina se barbouille les lèvres avec la grosse goutte de liquide séminal qui suinte au
bout du gland, sa bouche ainsi graissée glisse sur mon nœud, sans crier gare elle
avale ma queue très loin
- Haaaahhh ! tu es folle …..
- Muuuummmm … et si vous occupiez vos mains plutôt que de râler ?
rrruuuumuuuuummmmmm !
Le plat de ma main tourne en cercles sur son dos avant de descendre vers les fesses
rebondies, mes doigts repoussent l’élastique du slip pour passer dessous, la raie est
là …un doigt s’y aventure, Lina relève une jambe pour m’inciter à progresser tandis
que ses doigt pressent mes testicules
Mon bout de doigt tâte son anus, je progresse encore, les lèvres gonflées sont
entrouvertes je les sépare pour découvrir le clitoris, Lina sous l’onde de plaisir
resserre les cuisses puis s’écartèle littéralement
- Caresse moi …plonge tes doigts …FAIT MOI JOUIR ….
- CHUUUUUUTTTTT !
- Caresse ma chatte papy j’ai trop envie…
- Maudite gamine ….
Deux doigts plongent très facilement dans son intimité ruisselante, je masse son point
G en alternant avec son clitoris, Lina se tord mais ne lâche pas ma queue, je deviens
comme fou, j’attire la fille sur moi par ses hanches menues, je pose sa minette sur ma
bouche, son nectar divin au gout de miel coule dans ma gorge, elle râle tout en
continuant à aspirer ma verge, le plaisir me gagne a mon tour je me tortille pour la
désarçonner mais elle se cramponne a la manière d’une cavalière de rodéo
Mon sperme encore généreux pour mon âge fuse dans sa gorge, saoul de bonheur je me
détends me croyant tiré d’affaire mais la futée glisse sur moi en laissant derrière
elle une trainée de limace, se soulève sur un pied, vise sa fente et s’empale sur mon
membre avant qu’il ne se rétracte
Je n’aurais jamais crus ça possible, prise dans cet étau magique ma queue reprend de
la vigueur, ses mains posées sur mes cuisses je vois son petit cul monter et descendre
a un rythme régulier, j’accompagne en donnant des coups de reins son clitoris s’écrase
sur mes testicules
- Va y ma beauté baise, fait toi jouir, j’adore la vue que tu m’offre
- Ooooohhhh tu me fais du bien ta queue remplie mon ventre huuuuuuuuuuuummmmmmmm
- Jouis petite salope jouis ….
.
- Hhhhhhooooooouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiii ! arrose mon vagin ……..
- Aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh voilà ma sauce …. Ooooooooooooohhhhhhhhhhh !
- C’est bon ! c’est merveilleux ! aaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh
C’est les rayons du soleil qui me réveille, roulé dans la couverture Lina a disparu,
je touche ma queue, elle est poisseuse j’ai encore le gout de sa vulve dans la bouche
donc je n’ai pas rêvé ……je m’habille vite fait, dans la salle Franck et Lina sont en
pleine discussion
- Aller avoue, ta moule et pleine de foutre c’est Willy qui t’a baisée ?
- … Je ne sais pas je dormais …
- Tu dors si bien que te ne sens pas une queue dans ta chatte ? dis le que c’est
Willy, ça ne serait pas la première fois !
- Bon ! tu veux savoir ? Ce n’est pas Willy c’est ton grand père qui m’a baisée
!
- Hahahahahahahaha ! je suis mort de rire ! pauvre papy tu n’as pas honte de
l’accuser ? il ne bande même plus ! …….

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