Il Sentait Le Sable Chaud ...

A l’approche des fêtes je décide d’aller faire des achats, il est dix neuf heures il
fait noir le temps est maussade, je me gare au parking en sous-sol car celui proche
des commerces est complet, les magasins sont bondés, loin de l’entrée peu de voitures
s’y garent
Très vite, malgré la cohue je remarque qu’un homme me colle aux baskets, grand,
baraqué le teint mat, crane rasé des tatouages émergent de son col, de quoi faire
peur, évadé de prison ? Baroudeur ? Ou l’homme viril dont rêve les femmes ?
Je n’y prête plus attention jusqu'à ce que j’arrive aux caisses ou je prends une file
d’attente, perdue dans mes pensées je sens quelque chose m’effleurer les fesses, il
est là juste derrière moi, ‘ juste ‘, le mot est faible il me colle carrément pourtant
les autres gens respectent une certaine distance entre eux
La file avance j’en profite pour me dégager et pousse mon panier du pied mais il
revient a la charge, soudain un article tombe de mon panier je me baisse pour le
ramasser, erreur , cette fois je sens nettement son sexe durci a travers les
vêtements, ses bras effleurent mes hanches, j’ai juste le temps de me rattr a une
barre pour éviter de m’affaler et risquer d’être le cul a l’air, une chaleur
incroyable monte en moi, malgré que le magasin soit plein je ne me soustrais plus a la
pression de sa queue qui a pris de l’ampleur, dans un geste insensé je passe
discrètement une main entre nous pour empoigner une queue libre dans le jogging comme
ma main n’en a jamais serrée, je presse le gland mafflu entre mes doigts , ma culotte
en subit le désavantage ….des ricanements et des murmures se font entendre
- Ha si c’n’est pas malheureux faire ça devant tout le monde !
- Bah ils sont jeunes et amoureux !
- Amoureux ? c’est une vraie chienne en chaleur oui !!
J’espère que personne ne me connait sinon ma réputation de fille modèle va en prendre
un coup !
Heureusement et malheureusement c’est à mon tour de passer à la caisse, une fois mes
courses remisent dans mon cabas je me retourne pour lui adresser un sourire et file a
grandes enjambées vers le parking, ma culotte refroidie par l’air de la nuit poisse
sur ma toison, arrivée a ma voiture je constate qu’il ne reste plus que trois autres
véhicules isolés dans cet aire de stationnement, je dépose a la hâte mes courses dans
le coffre pour quitter ce lieu lugubre, au moment ou je vais ouvrir ma portière une
poigne solide me colle a la carrosserie mon visage est écrasé sur la vitre, un souffle
chaud s’approche de mon oreille, je retrouve sur mon cul l’érection qui ma faite
mouiller a la caisse
- Tu m’as bien excité dans le magasin maintenant il faut assumer, ne crie pas et
ne bouge pas sinon tu va avoir mal …
Une main me maintient bloquée sur mon véhicule l’autre se fraie un passage sous ma
jupe il agrippe ma culotte qui craque en glissant a mes genoux, sa puissante poitrine
plaquée sur mon dos il me maintient bloquée, disposant des ses deux mains il cherche
l’entrée de mon vagin et enfonce sans ménagement cette queue que j’imaginais hors
norme, a en juger par la difficulté a pénétrer mon vagin je ne me suis pas trompée
Je geins partagée par l’angoisse et le plaisir, quelle femme ne rêve pas de viol sans
brutalités excessives, l’épaisseur de son membre m’arrache un plaisir indescriptible,
je me surprends à tendre mon cul afin qu’il m’embroche encore plus profondément, il ne
me contraint plus je suis penchée en avant les deux mains sur le capot, agrippés a mes
hanches l’inconnu me pilonne a grands coups de reins sans prononcer un mot a part des
‘ Hans ‘ rageurs
Mes cuisses sont enfondue de cyprine je ne peux retenir un hurlement de jouissance,
qui déclenche chez lui un véritable lavement au sperme, sa queue glisse trop
rapidement de ma vulve inondée, je me retourne pour constater qu’un autre homme l’a
empoigné violement, un vigil black aux larges épaules le maintient en vociférant
- Mais qu’est ce que tu fous salaud ?
- Je vous jure qu’elle est consentante !
- Ce n’est pas ce que j’ai vu sur les écrans enfoiré tu la suivais de prés ! ….


Après vous êtes sortis du champ surveillé, dommage, je suis sûr qu’elle n’était pas
d’accord n’est ce pas mademoiselle ?
Je ne peu nier que j’ai pris énormément de plaisir je ne vais tout de même pas envoyer
ce type en prison …
- Euuuuhhh non monsieur ! vous vous trompez, nous aimons pratiquer l’amour
vache dans des lieux public
- Vous voyez ? !!! nous sommes hors caméras dites-vous ? vous feriez mieux de
participer c’est une vraie salope ! elle ne demande qu’à être baissée par plusieurs
bittes !
- Ouais, je ne suis pas convaincu …..
- Je vous jure, regardez la elle n’attend que ça !
Le vigile plus âgé me dévisage, je dois être pitoyable le slip craqué et maculé de
sperme tombé a mes chevilles, la jupe coincée a la taille, la chatte encore béante les
poils imprégnés de la formidable fornication, une flaque sur le sol prouve combien de
jus s’est épanché, hésitant il vient vers moi en se débraguettant, il ramène a la
lumière blafarde une verge marron décalottée plus courte que celle de mon agresseur
mais plus large
Il me palpe les seins tout en enfouissant des doigts dans mon con gluant
- Putain il ta mis la dose ! ça tombe bien j’aime patauger dans la purée,
accroche toi a mon cou ….tes jambes autour de moi … voilà … laisse toi glisser …..
- OUAAAAAHHHH
- NE GUEULE PAS !! Chuuuuuut
Une fois bien empalée il se laisse glisser au sol, je me retrouve au dessus de lui le
ventre remplit de son rouleau de chair, il m’empêche de bouger
- Je la tiens, qu’attends-tu pour l’enculer ?
- J’arrive !
Le premier loubard trouve le bon angle pour positionner son gland à mon petit trou
lubrifié par la coulée épaisse de ma chatte
- Y’a pas beaucoup de place …
- Force !
- AIIIIIIEEEEEEE !
Je reçois des claques énormes sur le cul
- Tait toi bordel ! c’est bon t’es rentré ? allons- y en cadence … tu entre je
sors …
- Aaaaaaahhhhhh ouuuuuuuiiiiii baisez moi
- Tu vois ! accélère elle aime ça
Les mouvements deviennent rapides ils n’ont rien à foutre de mon plaisir, j’ai droit a
des insultes, plus rien autour n’existe, des gens nous regardent peut être ? Les
couilles de mon sodomiseur butent sur le membre introduit dans mon vagin, le souffle
me manque, je suis ballotée entre eux deux comme une poupée gonflable, ivre de plaisir
je râle comme le disait une cliente : comme une chienne en chaleur, c’est ce que je
suis dans l’instant présent, un trou qui ne demande qu’a être comblé aussi bien
mentalement que physiquement
- Pincez moi les tétons ! je vais défaillir tellement c’est bon, je
jouiiiiiiiiiiiiiiiiis je JOUIIIIIIIIIIIIIS !!!!!
- Salope tu me fais partiiiiiiiiiiiiiir ouuuaaaaah !
- Moi aussiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Je ressens les contractions des queues dans mon ventre et les jets brulant qui les
accompagnent, presqu’aussitôt celui qui me sodomisait se retire, l’autre me bascule
sans ménagement sur le coté, je gis recroquevillée dans un jus immonde sur le béton
glacé, combien de temps suis-je restée ainsi ? C’est une voix féminine qui me tire de
ma léthargie
- Mademoiselle ? mademoiselle ? MADEMOISELLE ! ah enfin ! que vous est il
arrivée ? voulez vous que j’appelle les secours ? vous êtes dans un état !
- Mon dieu j’ai honte !
- On vous a violée ? excusez moi mais a en juger par vos dessous et votre ….
.vos
…
- Ma chatte et mon cul ?? fous moi la paix je viens tout simplement de m’envoyer
en l’air avec deux mecs ! satisfaite ? ça ne t’arrivera jamais à toi connasse !
- Ne le prenez pas comme ça, je vous avoue que se faire prendre comme ça c’est
mon grand fantasme
- C’est vrai ?? il fallait le dire plus tôt ! aide moi à me relever je vais te
donner mon 06 tu viendras a la maison nous en parlerons ….comment t’appelle tu ? moi
c’est Léa
- Enchantée ! Rébecca, a bientôt !
a suivre........

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