Vingt Et Un, Fin Du Monde ?

Quelque part en France deux ados jacassent dans la chambre de l’une d’entre elles
- Tu te rends compte Djamila il ne nous reste que trois jours à vivre, nous ne
verrons pas la fin d’année !
- De quoi parles-tu Lili ?
- Eh bien le vingt et un décembre d’après le calandrier Maya c’est la fin du
monde pardi !
- T’y crois à ces sornettes ?
- Tous les médias en parlent ce n’est pas pour rien, c’est moche quand même de
mourir comme ça…..
- Boff faut relativiser, qu’est ce qui t’embête ? de ne pas avoir de cadeaux
pour les fêtes ??
- Y’a pas que ça ….
- De ne pas fêter comme moi tes dix huit ans dans deux mois ?
- Y’a pire que ça ….
- ACCOUCHE !
- Accouche ?? justement t’es dans le même cas que moi, tu va mourir avec ton
pucelage entre les jambes !
- Boff de toute façon je dois rester vierge jusqu’au mariage
- Bah ! c’est des conneries de toute façon le vingt et un tu va mourir, crever,
kaput !
- Dans ces conditions que propose tu ?
- Pourquoi attendre ? perdons le ensemble, ah tenir dans ses mains ce morceau
de chair qui bouge de bas en haut, il parait que la tête ressemble à un gros
champignon de paris, la peau est aussi veloutée, t’a pas envie de sentir une verge
remuer dans ton ventre ?
- Ok alors on va sortir dans la rue et attr le premier venu ou deux gars du
lycée : salut c’est pour un dépucelage on y va ? !
- Bien sur que non, les gars du lycée c’est des boloss ! et aborder un inconnu
dans la rue c’n’est pas évident …
- Alors comment veux-tu faire ?
- J’ai bien une idée …Si tu me suis je te la dit
- Admettons que je sois d’accord, après tout tu à raison ça me démange à moi
aussi et comme tu dis si on doit mourir faisons le avant, explique ton plan ?
- Tu sais que mes parents font construire dans la nouvelle cité ?
- Oui et ?
- Nous somment allés voir les travaux hier soir, mon père emplois deux gars au
black pour faire les cloisons
- Continue ….


- Hé bien si tu les voyais … houa ! c’est deux turcs, le père et le fils, le
père doit avoir la cinquantaine et le fils dans les vint cinq, ils étaient en marcel,
ils sont baraqués comme des lutteurs ma mère bavait devant le père qui se grattait ‘
les machines ‘elle frottait ses cuisses l’une sur l’autre pendant que mon père
caressait amoureusement ses cloisons, je suis sure qu’elle n’hésiterait pas à se le
faire en douce
- Ta mère peut être mais moi je ne me vois pas faire ça avec le vieux !
- Ça ne me déplairait pas à moi, il doit avoir une sacrée expérience et une
sacrée … bitte !….. me sentir prise entre ses grands bras, aaaaahhhh quel bonheur !
alors tu prends le fils qui matait mes seins et moi le père !
- Tu me tente …comment les décider ?
- J’ai mon idée …demain après midi on y va a vélos avec un pack de bière
fraiches pour donner le change, par contre on se change avant, je te prêterais des
vieilles fringues car celles-ci risquent de souffrir
- Quel genre de fringues ?
- Une vieille jupe, un teeshirt sans rien dessous, je vais chourer deux strings
à ma mère pour pimenter le tout
- Y’a quand même un sérieux problème …
- LEQUEL ENCORE !
- Ne te fâche pas …. Je suis maghrébine, ils sont turcs ? S’ils s’en aperçoivent
ils vont m’égorger !
- Tu regarde trop la télé ma pauvre ! tu es brune certes mais pas plus que moi …
euh, tu te rase la chatte ?
- Non pas encore
- Alors ça marche, demain tu t’appelle Léa
- C’est joli Léa !
- Demain Léa son pucelage !
Le lendemain avant de partir nous nous changeons de vêtements le ventre déjà en feu
mais aussi avec une grosse appréhension, sous notre parka nos seins libres tressautent
au moindre cahot, ma chatte pas habituée au mini string mouille déjà, j’en fais pars a
‘ Léa ‘ qui me répond : pareil pour moi ! nous voilà a la maison, le chauffage est en
marche car dehors ça caille, les deux turcs en plein boulot leur peau brille de sueur
- Tien ! la jolie Lili ! bonjour ça va ?
- Bonjour messieurs ça va merci
- Tu as amenée une copine ?
- Oui et aussi de bonnes bières vous êtes en nage
- Ça c’est gentil, tient Mehmet on va faire une pose, vous trinquez avec nous ?
Boire de la bière par ce temps là ne m’enchante pas mais ça fait partie du stratagème
et puis un peu d’alcool ne peu que nous donner du courage
- Oui avec plaisir, enlève ton parka Léa il fait chaud dans la maison ….

- T’a envie d’une bière toi ?
Je la fusille du regard, elle comprend qu’il ne faut pas refuser, quand les deux
ouvriers voient nos tops mouler nos seins et nos tétons, ils roulent des yeux énormes,
déjà qu’a notre entrée ils avaient flashés sur nos cuisses plutôt découvertes
- Vous n’avez pas froid comme ça les filles ?
- Ho non au contraire !
Nous buvons péniblement la moitié de la canette, le moment est venu de frapper fort ….
- Léa, j’ai trop chaud pas toi ?
- Si !
- Verse ton reste de bière sous ma gorge je verse le mien sous la tienne
- Chiche ?
Nous prenons ça à la rigolade mais en fait c’est pour appâter nos proies qui n’en
croient pas leurs yeux quand nos seins se dessinent sous les maillots mouillés, je
vois les larges aréoles brunes de ‘Léa ‘ et les tétons qui menacent de crever
l’étoffe, instantanément des bosses significatives se forment dans les pantalons
- Faut pas faire ça devant nous les filles, vous avez beau être des gamines nous
somment des hommes
- Et que font des hommes dans ces cas là ?
- Attention tu as beau être la fille du patron il ne faut pas nous provoquer ….
- Nous pouvons faire sécher nos teeshirts sur les radiateurs ?
Sans attendre de réponse je fais passer par-dessus ma tête le vêtement qui colle a ma
peau Djamila se décide à en faire autant
Les hommes ne se gênent plus pour masser leurs énormes bosses, j’essuie mes seins en
prenant tout mon temps
- Elle est française ta copine ?
- Bien sur pourquoi ?
- Pour rien … elle est vachement bronzée pour la saison, ses nichons sont bien
foncés ….
- C’est normal son père est Espagnol
- Ha bon ça va …Quelqu’un sait que vous êtes là ?
- Non personne ne viendra …
- Ça vous dit qu’on s’amuse un peu ?
- On joue à quoi ? ha, j’ai une idée : a colin-maillard
- Colin-maillard ? c’est quoi ?
- Hé bien nous nous bandons les yeux et nous essayons de vous trouver dans la
maison
- Aaaaaahhhhhh ….
Ça doit être marrant, ont essaient ?
- Attachez solidement ce foulard sur mes yeux, à Léa aussi
Ma copine tremble de tous ses membres, tout à l’heure elle a eu peur qu’ils découvrent
la supercherie, je la réconforte en lui disant que le meilleur est à venir
- Bon, maintenant nous allons vous chercher, attention …..
Les bras tendus en avant j’avance lentement, ils ne sont pas loin j’entends des
respirations puissantes, des mains effleurent nos formes, au bout des quelques minutes
j’att un corps, a mon avis il en avait marre de jouer, vu sa corpulence il s’agit
du père
- Je vous ai eu !
Mais après avoir tâtonné je me rends compte qu’il est entièrement nu au même moment
j’entends Léa dans la pièce d’à coté qui pousse un long cri qui se transforme en
gémissement de plaisir, j’entoure de mes petits bras la taille du géant, une barre qui
me parait énorme appuis sur mon ventre, je relève mon bandeau… sous mes yeux ébahit je
découvre une verge énorme, je note une absence de poils qui rend la chose encore plus
redoutable…
- N’ai pas peur Lili tu va jouer a la poupée, vient on va a coté s’assoir sur le
tas de plaques de placo, Mehmet ? pose la couverture dessus sinon nous allons êtres
tout blancs
- Papa nous somment mariés …
- Et alors ? ta femme n’en sauras rien, ça fait partie de la prime de chantier,
tu ne dois rien refuser au patron et a ses proches si tu veux garder ton boulot
Léa se laisse accaparer par le fils nu lui aussi qui a changé d’avis puisqu’il
l’embrasse a plein bouche, elle a dans sa main quasiment la même trique circoncise que
possède le père, une fois de plus je suis trempée mais cette fois par de la mouille
qui imbibe rapidement mon string
- Vient sur mes genoux petite
Immédiatement la grosse paluche du turc malaxe mes seins avec avidité tandis que
l’autre repousse mes cuisses vers l’extérieur, les doigts tire sur l’entre jambe, je
réalise que s’il me met un doigt s’en est fini de mon pucelage, je parle assez fort
pour que l’autre entende
- S’il vous plaît, n’enfoncez pas de doigts dans nos chounettes vos mains sont
pleines de plâtre
- Tu as raison, tu as entendu fils ?
- Oui papa je vais lui lécher la motte
- Tu as raison, et si tu me caressais toi ? att mon sboug à pleine main
apprivoise le, fait coulisser la peau … bien …en arrière, en avant hhhhuuuuummmmmmmm
Sa queue est raide, monstrueusement bosselée par des veines bleues, le bout cramoisi
semble prêt à exploser, elle me fascine et en même temps je me demande si ma chatte va
avaler ce morceau de chair sans déchirer
- Penche-toi un peu Lili …regarde cette grosse goute, lèche la avant qu’elle ne
tombe
- C’est bon à manger ?
- Tu va en redemander ! secoue bien fort cette poupée elle va recracher sa
bouillie
Un coup d’œil rapide vers ma copine me rassure, elle gobe a plein bouche le gland du
fils, la bouche béante les yeux fermés j’en avale un bout, mon palais est plein, ma
langue glisse aisément dessus et dessous, je fait bouger la peau a toute vitesse ,
l’homme se cambre et pousse de petits cris , ça doit être la preuve que je m’y prend
bien , satisfaite je redouble d’efforts mais un flot épais surgit emplissant ma gorge
ça me ressort par le nez , je recrache mais une bonne partie est descendue directement
dans mon œsophage
- Tu es douée Lili y’a longtemps que tu pratique ?
Je me sens obligée de mentir…
- Euuuuhhh oui assez longtemps
- Bon alors on peut passer a des choses plus sérieuse n’est ce pas ?
- Oui je suis prête et j’en ai envie
- Alors ôte ta jupe et ta culotte, si on peut appeler ça une culotte ça ne cache
même pas ta fente
- Vous irez doucement hein ? j’en ai jamais prise d’aussi grosse
- Le plus doucement possible mais il faut bien que je te mette tout quand même,
je ne veux pas que tu sois déçue !
Djamila est déjà en position les cuisses relevée elle me jette un regard désespéré
avant que Mehmet ne se couche sur elle, elle pousse un long cri de biche blessée mais
ce cri se transforme en oui- oui –oui- oui -oui
Rassurée je m’écarte le plus largement possible, le ‘vieux ‘ reste un long moment à
contempler mon entre jambe avant de se pencher sur moi la queue entre les mains, ma
petite Lili tu va y passer ….
.
- Ta fente est petite ….. Hummmm…
Il crache sur son gland et sur ma vulve il étale le tout avec soin en se servant de
son bout, mes lèvres se séparent pour accueillir le gland, c’est chaud et doux
- J’y vais ma belle …..
- Allez y d’un coup je suis prête
Je ferme les yeux, emplie mes poumons et bloque ma respiration….
- AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHOOOUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!!! OUI ! OUI
! OUI ! OUIIIIIIIIIIIII !!!!!
- T’es bonne ma petite Lili !
Je soulève la tête et m’aperçois avec horreur que tache sa queue, vite je
l’empoigne et l’essuie avant qu’il ne le voit
- Ôte ta main tu m’empêche de te pénétrer
- Allez- y à fond j’aime ça pas toi Djami ……Léa ?
- Tu me parles ?
- Oui ça va pour toi ?
- Ooooh oui je ne regrette pas d’être venue ! il me défonce bien ….
- Remuez un peu du cul les filles au lieu de jacasser
- Parce qu’il faut bouger ?
- T’as déjà baisé ou pas ?
- Ben oui ….
- PAPA !! j’ai sur la queue elle devait être pucelle !
- Mon dieu c’est pas vrai ? … AH ! moi aussi ……Petites garces vous êtes venues
vous faire dépuceler ?
- Le vingt et un c’est la fin du monde nous ne voulions pas mourir vierges
- Quelles conneries ! bon, ce qui est fait est fait, ont continuent ?
- Oh oui ! faites nous jouir !
- Mehmet ne la ménage pas, met lui tout, je vais faire gueuler la mienne
Il se met en mouvements, d’abord courts puis de plus en plus profonds, la vitesse de
pénétrations s’accélère, je me tords sous les coups de reins, ça y est son ventre
touche mon pubis, il est entièrement en moi, mon ventre est gonflé par la présence de
sa queue, une onde déferlante inconnue monte en moi, mon cerveau explose, une source
intarissable gicle hors de mon vagin, à coté Djamila hurle aussi fort que moi, les
deux hommes quasiment simultanément s’enfoncent très loin dans nos ventres et y
restent bloqués jusqu'à ce que leurs couilles se vident dans nos vagins
Un long moment de silence le temps que les respirations redeviennent normales, ils se
retirent, une purée épaisse s’évacue de ma moule difforme, ma copine exprime son
mécontentement ? elle aurait voulus que ça dure encore !
- Rhabillez vous et filez avant que je ne fâche… avec tout ça nous avons pris du
retard, si vous êtes encore en vie le vingt deux revenez nous voir ! je vais demander
à mon cousin de venir nous aider plus on est plus on s’amuse …… au fait ta maman vient
seule visiter le chantier demain je lui dis que je vous aient vues ???????
- Elle vient seule pour ce faire sauter la truie …..surtout ne dites rien pour
nous, promis si la fin du monde ne se produit pas nous reviendrons n’est ce pas
Djamila !
- DJAMILA ???????????????

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