Mick Et Ses Girls Chapitre 2

Chapitre 2
Des années plus tard je rencontrais Mick dans les rues de saint Malo on ne s’était pas
vu depuis un bon moment, le plaisir de se revoir était au rendez-vous, nous bûmes un
verre puis deux etc. Le lendemain nous nous sommes réveillés dans mon appartement avec
une gueule de bois digne de nos retrouvailles, nous nous sommes revu plusieurs fois
avant que Mick me demande de l’héberger pendant la saison, je ne refusai pas une
contribution pour l’équité. Le jour de son arrivée, Mick arriva avec Caroline sa
petite amie du moment, un nouvel accord fit négocier, je leur laissai la chambre je
pris le salon. Caroline n’était pas une jolie fille mais elle avait du chien elle
était sexy et avait de beaux seins, de belles dents, grande, fine, baisables quoi !
Les premiers jours on ne se voyait pas, on travaillait tous les trois et avec nos
horaires c’étaient difficiles, mais nous étions là pour travailler. Caroline perdit
son travaille, au même moment la serveuse du restaurant où je travaillai démissionna,
elle ne supportait plus de me voir après notre brève aventure qui n’avait duré qu’une
nuit, enfin une place se libérait je proposai Caroline et mes patrons acceptèrent de
la rencontrer l’affaire vus entendu rapidement. Ladite demoiselle arriva le premier
soir avec une robe de soirée, avec un décolleté très plongeant et le dos nue jusqu’à
la naissance des fesses, oui Caro était un peu extravagante, ma patronne n’appréciait
pas, au contraire de mon patron mais la leçon était faite la nouvelle serveuse devait
venir au travail avec des tenus plus sombres si elle voulait garder le job. Nous
sommes devenu complices, nous rentrions ensemble le soir ou allions boire un verre
lorsque nous finissions de bonne heure ce qui n’était pas le cas de Mick, il finissait
toujours très tard. Le soir lorsque nous arrivions à l’appart nous prenions une
douche, Caroline me laissait passer le premier, lorsque je finis j’allai dans le salon
avec ma serviette de bain autour de la taille et lui indiquait que la place était
libre, pendant qu’elle prenait sa douche je dépliai le canapé et me couchai en
regardant la télé, quand Caro finassait, elle venait au salon aussi avec sa serviette
autour d’elle mais monter jusqu’à la poitrine bien sûr, me saluait et allait se
coucher.

Un soir où nous avions trainé dans les bars nous rentrâmes plus tard, le
rituel de la salle de bain c’était passer comme d’habitude sauf que Caro avait préféré
passé avant moi, pour moi pas de problème, lorsque je sortis j’allai dans le salon
comme d’habitude, Caroline avait déplié le canapé et s’était allongé sur le lit, je
fis semblé de tousser, rien, je lui toucha le bout des pieds, rien, je montai le long
de sa jambe, rien, pas de réaction, il me vint des pensées peu avouable et je
commençai à bander sous ma serviette, je pris le risque de soulever sa nuisette
improvisée et là je vis une petite chatte de toute beauté. Je repris m’est esprit fit
marche arrière refaisant semblent d’arriver de la salle de bain en sifflotant pour
qu’elle m’entende, elle se levât à mon arrivée et nous avons échangé un regard gêné,
lorsque l’on sait coucher chacun de notre coter Mick arrivât, ouf ! Il me dit bonsoir
en passant et me dit qu’il était crevé qu’il se couchait tout de suite, arrivé dans la
chambre j’entendis les paroles de Caro qui demandait à Mick de lui faire l’amour, il
répondit qu’il était fatigué et qu’il verrat çà demain ah ! Le con, le silence revint
après les objections de Caro mais que nenni, il avait décidé, elle devait s’endormir
avec sa soif de sexe, plus tard dans la nuit, j’eus une envie de pisser en passant
devant la porte de la chambre de mes locataires je remarquai que la veilleuse était
allumée, au retour je ralentis et je voyais Caroline sur les couvertures les mains
entre les jambes qui se caressaient, tout d’abord j’étais gêné mais la curiosité et ma
perversité pris le dessus, je pris une grande inspiration et jeta un œil, la coquine y
allait de bon cœur et me fit monter la pression je commençai à me masturber l’idée
était sympa j’avais envie de lui sauter dessus pour la prendre en flag et en même
temps je jubilai de savoir qu’elle était une petite salope comme moi, elle commençait
à manifester du plaisir tout temps restant silencieuse, elle jouit, je jouis, en
repartant je regardai une nouvelle fois entre le bâillement de la porte, quand
curiosité tu nous tiens, je vis Caro qui fermait les yeux au moment où je passai, et
là, une fraction de seconde elle a su, du moins je pense qu’elle a su, vu la suite de
l’histoire.
Pendant plusieurs jours nous sommes restés courtois l’un envers l’autre,
je ne savais pas si Caroline jouait avec moi ou n’avait rien vu, un autre soir nous
sommes rentrés comme d’habitude, je prie ma douche en premier, je lui laissai la
place, et allai dans le salon où je restai en serviette sur mon lit, Caroline arrivât
à son tour, elle demandât si elle pouvait regarder la télévision avec moi, je répondis
oui, elle était en serviette de bain qui lui servait de mini-jupe, elle s’allongeât à
côté de moi, vu sa tenue je n’ai pas pu me retenir, une érection commençait à se voir,
sous le linge une bosse grossissait à vue d’œil, je ne savais plus quoi faire,
Caroline du coin de son regard contemplait le spectacle. Au moment où je n’en pouvais
plus, où j’allais lui sauter dessus la porte d’entrée s’ouvrit, Mick était de retour,
nous ne savions plus où nous mettre, mais il était tellement fatigué qu’il ne s’est
aperçu de rien, Caroline le rejoignit dans la chambre je restais là comme un con,
j’étais tellement excité qu’une envie de me masturber arriva, je prie ma bite dans la
main, je me suis branlé en pensant à ce que j’aurais pu faire à cette petite
allumeuse. Pendant ce temps, la coquine essayait de se faire baisser par son petit
ami, comme les autres soirs, mon pote était crevé et il refoulât sa petite chaudasse.
Je stoppais mon petit jeu égoïste, je suis allé près de la porte de mes colocataires,
Caroline répétait son petit jeu solitaire, je repris le mien entre les mains et tout
en observant ma partenaire de masturbation je repris ma branlette, Caro s’occupait de
son clito avec cœur, elle se leva, j'eus la trouille qu’elle sorte, mais elle s’était
arrêté dans le milieu de la pièce pour se mettre à quatre pattes, le cul dans ma
direction, j’avais sa croupe et son anus devant moi, elle se caressait la chatte, se
mit un doigt, je ne restai pas en reste, je me suis craché dans la main pour m'enduire
le sexe, je m’imaginai la pénétrer, je jouis dans ma main avant elle, en me retirant
je fis un peu de bruit, je me prépare à me faire surprendre, mais Caroline était
tellement dans son jeu solitaire qu’elle ne s’était aperçu de rien, l’adrénaline était
à son paroxysme.
Le lendemain, au petit déjeuner, je fis la remarque de quelques
bruits dans la nuit, je demandai si quelqu’un avait aussi entendu quelque chose,
Caroline rougis et me lançât un regard interrogateur, je lui souris pour lui confirmer
que je savais. Le soir même nous avions bu quelques verres après notre travail, nous
sommes rentrés bien chaud, la soirée avait été chaude, les regards, les touchers, les
demi-caresses, les intentions l’un envers l’autre, nous avaient encore plus
rapprochées. De retour dans l’appartement, la serviette autour de taille allongée sur
le lit, l’amazone arrivât également avec sa serviette autour de sa poitrine, me
demandant une fois de plus si elle pouvait rester avec moi, une nouvelle fois, sans
pouvoir me contrôler une érection se vit, je sentais le regard de Caroline sur la
bosse, et plus je sentais l’observation, plus je durcissais. L’alcool aidant, j’ai
pris mon courage, ouvrit ma serviette, prit ma bite dans la main et commençait à me
masturber devant elle, l’ingénue fit la surprise et me demanda ce que je faisais, je
lui répondis « là je fais, ce que j’ai fait depuis plusieurs soirs, après t’avoir
reluqué le cul, te voir te masturber, mais là je ne peux plus attendre que tu partes,
où que Mick arrive, si cela te gênes, tu peux partir ». Il eut un moment de silence
lorsque Caroline repris « d’accord, je t’ai vu aussi depuis le premier soir et je me
doutais que tu te masturbais après nos petites soirées où il faisait très chaud, ce
qui provoquait en moi le désir de me caresser. » elle me prit la bite et commença à
l’embrasser par des petits baisers humides ; avant de me sucer, elle ajouta depuis le
temps que je veux me faire baiser, autant que ce soit par toi, de plus tu as une belle
une bite, bien droite de belle taille et assez grosse, dans la bonne moyenne, la
petite salope mit mon sexe dans sa bouche, je sentis le fond de sa gorge au bout de
mon gland, elle continua pour que celui-ci entre dans sa gorge, puis la ressorti de
moitié et recommença plusieurs fois de suite.
Caroline se retourna pour que je lui
lèche la chatte, elle était bien taillée, bonne, fraiche, une bonne odeur de femme, je
débutai par de grands coups de langue pour mouiller le tout, bien que la demoiselle
était déjà prête, je pris son clitoris au bout de mon appendice buccal, la petite
garce remuée du bassin et du cul, nous nous sommes retournées dans le sens tête-à-
tête, ventre contre ventre, sa poitrine contre la mienne, je sentais la grosseur et la
rondeur de ses seins, je lui mis ma vierge dans son fruit défendu, elle écartait bien
les cuisses, je l'ai limé de toute ma bite, de grand aller-retour, à chaque fois elle
gémissait de plaisir, elle fermait les yeux, souriait, ouvrait la bouche pour passer
sa langue sur ses lèvres, me prenait les miennes pour les aspirer, ses ongles se
plantaient dans mes reins et plus elle serrait ses griffes plus je lui mettais
profond. Caroline se dégagea pour se mettre à quatre pattes, elle prit ma bite de sa
main elle la présenta à sa chatte, mais avant de la pénétrer je lui écartai les fesses
pour lui reluquer son anus, de deux doigts je récupérai de la mouille pour lui fourrer
dans son trou du cul, elle me dit à ce moment qu’elle n’avait jamais été sodomisé,
alors ce sera une première ce soir, tout tant levrette je lui mis une phalange dedans,
assoupli l’orifice, elle se tortillait comme une pucelle que l’on chatouille sans la
niquer, quand je la sentis suffisamment souple je présentai mon gland humide, lui
rentra doucement, Caro réagit vivement je lui ressortis aussitôt et lui remit
rapidement, et c’est elle qui boucha son corps d’avant en arrière pour rythmer la
pénétration. Elle aimait ça, ensuite je lui fis le coup du vagin, l’anus ainsi de
suite. Un peu plus tard nous continuâmes dans diverses positions. Nous y allions de
bon cœur et prenions notre pied. Une branlette espagnole, sucette, léchage,
missionnaire, levrette, tout notre répertoire y passa, jusqu’au moment où je jouis sur
son cul, elle se masturbait en même temps et jouit aussi. Nous baissâmes tous les
soirs jusqu’à la fin de la saison, cela fut ma plus belle.

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