Innocent Bronzage

J’habite une propriété à la campagne, une villa avec pas mal de terrain. En bordure de la propriété, il y a un terrain voisin en friche avec un cabanon abandonné. Un jour pour être tranquille, j’y emmenai un plaid et je m’allongeai pour bronzer à l’abri des regards, du moins c’est ce que je croyais. Je pris l’habitude d’y aller souvent.
Au début, j’enlevais seulement le soutien-gorge et m’allongeais et sur le ventre et sur le dos, seulement à la maison, je voyais dans le miroir que j’étais bien bronzée, mais blanche sous le maillot. Le lendemain, j’enlevai tout, j’étais donc intégralement nue, mes gros seins et ma petite chatte exposée dans ce coin tranquille, devant la porte du cabanon. J’avais pris à lire un recueil d’histoires érotiques, les femmes nous en raffolons.
Au fil de l’histoire je m’excitais et ma main se porta machinalement d’abord sur mes seins, que je caressai doucement, j’en pinçai les pointes durcies, puis ma main descendit sur mon ventre, puis sur ma toison noire un peu en friche je l’avoue. J’écartai les cuisses et mon doigt se promena un instant sur le sillon formé par mes grosses lèvres vaginales, je mouillais abondamment, lisant qu’une femme se faisait prendre par trois hommes, mes doigts s’activaient et mon petit cul était agité de soubresauts, des vagues chaudes parcouraient mon ventre en feu, je râlais, gémissais, trois queues rien que pour moi, c’est ce que je voudrais, je me cambrai pour que mon sexe ouvert, béant, débordant de cyprine puisse être fouillé par mes doigts, je jouis comme une grosse cochonne, bruyamment.
C’est à ce moment-là qu’un gros chien sortit des fourrés, suivit par son maitre, un homme la soixantaine.
- Ne bougez surtout pas ou Brutus vous mord, restez comme ça, cuisses écartées.
J’étais pétrifiée, honteuse, rouge comme une pivoine, cet homme m’avait vue me livrer à mes ébats. J’avais encore la respiration saccadée de la jouissance.
L’homme sortit sa queue de son pantalon et commença à se masturber en fixant ma chatte ouverte, béante, pleine de cyprine.

Puis il s’agenouilla et, sa tête entre mes cuisses, il commença à me brouter le minou, ouvrant ma chatte à deux mains. Sa bouche, sa langue s’activaient, c’est plus fort que moi, j’étais à nouveau à couler comme une fontaine. Je serrai mes cuisses sur sa tête et ne pus me retenir de crier ma jouissance à nouveau. Là, l’homme quitta son pantalon, me replia les cuisses, genoux sur les seins et me pénétra de sa queue épaisse… à fond. L’homme me ramonait comme un possédé.
- J’ai pas baisé depuis un an, dit-il, je vais t’en donner des coups de bite, dis-le que tu aimes salope.
- Oui, j’aime, encore, plus fort, c’est trop bon…
- Mets-toi a quatre patte salope que je te prenne comme une chienne que tu es.
Je le vis enlever le collier du chien qu’il me mit autour du cou et attacha la chaine très court a une racine qui était par là. J’étais nue, à 4 pattes, cul relevé, visage au niveau du sol.
- Comme ça je vais te défoncer les deux trous salope.
Il planta sa bite dans ma chatte dégoulinante alors qu’il crachait plusieurs fois sur mon sillon fessier, mon dos, quel cochon, alors qu’il me ramonait, je sentis son doigt contre mon anus, qu’il força…
Le chien s’était couché tout près de mon visage et me donnait des coups de langue.
Sa grosse queue allait et venait dans mon “con de putain” disait-il, puis il la positionna à l’entrée de mon petit trou et me la mit d’une seule poussée, m’arrachant un cri de bête blessée, il me ramonait sans ménagement, je râlais comme une jeune vierge sous les coups de butoir.
Il éjacula dans mon étroit conduit en râlant de satisfaction et en donnant de grandes claques sur les fesses. Puis il se retira tout rouge, au bord de l’attaque…
- Demain à la même heure me jeta-t-il en partant…
J’étais pleine de sperme, assez contente finalement, demain plus besoin d’un livre érotique pour m’exciter…

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