Omettre N'Est Pas Mentir

J’habite une région superbe au bord de l’océan. Nous n’avons que la route et un bout de forêt à traverser pour nous baigner.
Encore au lycée, je suis timide, je n’ose pas aborder les filles. Hé oui, je suis puceau, contrairement à Antoine, mon meilleur copain qui sort avec Juliette, une fille sublime et rayonnante. Ils me tolèrent avec eux continuellement, j’ai quand même la décence de les laisser seuls lorsqu’ils veulent faire l’amour. Qui sait ? Peut-être me toléreraient-ils à les regarder si je restais discret dans mon coin, mais personne n’a encore osé aborder le sujet.
Antoine est un grand gaillard plutôt jaloux, contrairement à Juliette qui aime bien fanfaronner et laisser d’autres garçons l’approcher quand Antoine n’est pas là.
Cet après-midi, je suis allé me balader seul dans la forêt à notre endroit habituel bien caché dans une clairière. Antoine est parti avec ses parents et Juliette doit être chez elle, enfin, elle devrait, car c’est son vélo qui est là planqué parmi les pins. Serait-elle à la clairière ? Et que fait cette voiture garée à l’orée ? Bof, je continue mon chemin.
Presqu’arrivé à la clairière j’entends des cris brefs et perçants, des cris de fille… Je me précipite, mais très vite je stoppe. C’est bien Juliette que j’aperçois entre les branches, mais pas du tout en perdition… Elle est allongée à moitié nue les cuisses ouvertes, un homme imposant plutôt âgé est sur elle, le pantalon baissé. Elle parait minuscule sous lui, ils ne bougent plus, l’homme grogne de plaisir.
- Aaaahhh ça m’a fait du bien ! je dois filer petite on se revoit quand ?
- Je ne sais pas…
Elle s’est tu instantanément lorsqu’en se redressant elle m’a vu, j’ai fait demi-tour mais pas vers la sortie de peur de les rencontrer, une minute plus tard je reviens vers la clairière, tout est silencieux, par curiosité je m’approche du lieu du “délit” : des traces profondes comme si un sanglier avait fouiné le sol surement dues aux pieds ancrés dans le sable pendant le coït, je ne parle pas des flaques suspectes… Et là ??? Mais c’est une petite culotte ! Elle ne peut appartenir qu’a Juliette, le fond est encore humide… je la porte à mon nez… Mmmmuuuuuummmmmmm…
Les yeux fermés j’imagine la scène : Juliette est encore debout l’homme passe sa main dans la culotte pour toucher sa chatte, il a dut enfoncer des doigts pour la faire mouiller comme me l’a déjà expliqué Antoine pour me faire bander et que je file me masturber…c’est ce que je vais faire sur le champ je bande trop, ma queue n’a jamais été aussi grosse, le slip sur les narines je m’astique comme un malade, ma tête explose mon nœud aussi, je suis après gicler dans la petite culotte quand mon portable sonne… MERDE ALORS !
- Allo ? Théo ?
C’est Juliette, elle parle avec une toute petite voix chevrotante
- Oui c’est moi ?
- Je veux te parler tout de suite pour m’expliquer, tu es où ?
- Je suis à notre coin habituel…
- Ne bouge pas j’arrive
Une minute plus tard elle arrive la tête basse je tiens en évidence la culotte dans la main
- C’est à toi ?
- Euuuuhhh oui merci de l’avoir gardée si je rentre sans slip ma mère va me pourrir, donne-la moi, tu as jouis dedans ? C’est dégueulasse !
- Tu n’as rien d’autre à me dire ?
- C’était un oncle a Antoine… Surtout ne lui dit rien
- Ça fait longtemps que ça dure ?
- C’est la seule fois, si tu veux je peux être gentille avec toi si tu gardes le silence… Je sais que tu ne l’as jamais fait avec une fille
- Je ne veux pas trahir la confiance de mon meilleur pote ?
- Des caresses ce n’est pas tromper…
- Je ne sais pas mentir un jour ou l’autre je lâcherais le morceau
- Mentir c’est une chose, omettre c’est autre chose, tu peux lui raconter que tu m’as trouvée en mauvaise posture près de la clairière et si tu n’étais pas intervenu je me serais sûrement fait violer
- A la limite ça peut se faire…
- Vient toucher ma minette
Ma main tremblante passe sous la robe et remonte le long de la cuisse écartée jusqu'à la fourche soyeuse, mes doigts trouvent la toison duveteuse
- Cherche la fente et enfonce tes doigts…
- C’est vachement chaud et humide…HUUUMMM c’est poisseux
- Il reste encore de son sperme, fait bouger tes doigts dedans… Branle-moi…
- Tu veux me branler moi aussi ? Je bande trop !
- Bien sûr je vais te la sortir… Ben dis-donc ! Elle est belle, plus que celle d’Antoine ! Et tu ne veux pas en faire profiter les filles ? T’es bête ! Elles aiment ça, les grosses queues.

Moi aussi d’ailleurs, c’est pour ça que je l’ai fait avec l’oncle. Oh ! quel beau gland tu as…
- HUUUUUMMMM tu me fais du bien Juliette, ton jus me coule entre les doigts.
- C’est parce que toi aussi tu me fais du bien, Théo, frotte mon clitoris maintenant.
- Il est où ?
- Sors de mon vagin, c’est juste en haut, la petite boule sous le capuchon… AAAHHH tu l’as trouvé ! Vas-y, fait-le rouler sous tes doigts on va jouir ensemble…
- Dirige ma queue vers l’extérieur je vais t’arroser je vais… JOOOOUUUUUIIIIIIIIIRRRRRRRRRR !
- MOI AUSSSSSSIIIIIIIII !!!
Une fois l’euphorie passée, nous nous mettons d’accord pour raconter une histoire à Antoine le soir même.
- Ben ma vieille heureusement que Théo passait par là sinon t’y passait ! Quelle idée d’aller se balader seule dans la forêt aussi ! Tu l’as remercié, au moins ?
- Bien sûr ! Je lui dis encore merci Théo !
- Y’a pas de quoi Juliette, c’est naturel.
- Je ne parle pas de ce genre de remerciements, moi… Mon meilleur copain est encore puceau… Si on le faisait tous les trois ?
- Tu veux dire… que je baise avec ton copain ? Tu n’es pas jaloux ?
- Si, mais avec lui ce n’est pas pareil, un vrai copain a droit à tout ce que je possède, mais devant moi, sinon je t’éclate la gueule !
- Antoine, ce n’est pas la peine, je n’ai rien fait d’extraordinaire…
- C’est bon ! J’ai décidé qu’on le ferait et on va le faire un point c’est tout ! Ça me fait plaisir, et à toi Juliette ?
- A moi aussi, du moment que t’es d’accord et que ça rend service. J’aime bien Théo !
- Bon alors c’est réglé. Demain à notre coin, j’amènerais une couverture, ça va être le grand jour et le grand jeu pour toi mon vieux. On va bien se marrer !
Le lendemain à la clairière…
- Juliette, Théo n’a jamais vu de femme nue. Si tu nous faisais un striptease ?
- Ok messieurs, installez-vous, la sulfureuse Juliette va vous dévoiler ses charmes !
Je me remémore la sensation de mes doigts dans sa jeune chatte, et je bande immédiatement.

La fille se déhanche sur une musique imaginaire ; elle soupèse ses seins et lève sa jupe, nous bavons comme deux ânes avant même d’avoir vu ses parties intimes
Juliette fouille dans son dos à la recherche de la fermeture de sa jupe, le vêtement glisse sur ses hanches menues et tombe à terre. Le slip, loin de ressembler à un string coquin nous fait un effet bœuf ! Vient le tour du corsage, déboutonné lentement. Elle sépare les pans l’un après l’autre dévoilant un à un les bonnets bien remplis
- Plus vite ! Plus vite ! Chiqué ! Chiqué ! Remboursez !
- Ah ! un peu de patience les garçons ça vient ! Voilà, je vous laisse le soin d’ôter vous-même les sous-vêtements.
- Vient entre nous deux tu ne vas pas être déçue ! Théo apprend toi à dégrafer le sous-tif !
Les mains tremblantes, je cherche le système… Le vêtement se sépare dans un bruit d’élastique qui se détend, les seins apparaissent dans toute leur splendeur, ronds, laiteux, des cernes bruns autour des tétons minuscules en pleine formation.
- Touche-les Théo, j’en raffole, de ses nichons ! On en prend chacun un dans la bouche, aspire fortement elle adore ça !
J’obéis mais je suis impatient de voir la chatte ! Je l’ai caressée, mais pas vue ! Juliette se tord sous nos caresses.
- ASSEZ ! Vous me rendez folle !
- On va t’enlever le calcif, soulève ton cul.
La toison fine que j’avais sous les doigts est noire elle est séparée au milieu ou les poils sont brillants de gouttelettes. Son parfum suave me revient aux narines.
- Va entre ses cuisses Théo, tu verras mieux, écarte sa fourrure tu vas voir son fruit gorgé de jus, suce moi pendant ce temps ma belle
Quelle joie de pouvoir toucher sa chatte en toute impunité ! A genoux, je sépare les lèvres avec mes pouces ; des filaments les relient. J’approche mon nez… ça ne sent pas si fort qu’hier, surement parce qu’aujourd’hui il n’y a pas de sperme à l’intérieur.
- Lèche-lui la moule avant de la baiser !
- Tu crois ?
- Allez, soit courageux, les femmes adorent ça, c’est normal : elles nous sucent, nous leur bouffons la mogette !!
La langue sortie au maximum, le nez sur le clitoris, je passe une fois, deux fois, puis je me mets à laper aussi vite et profondément que je peux.
J’ai du mal à tenir Juliette en place, Juliette qui ronronne, la bouche pleine de queue.
- T’a l’air doué ! Regarde comme elle gigote ! Bouffe lui le con, doigte-la en même temps, elle va jouir.
Un torrent de liquide arrose mon palais. J’avale avec gourmandise ce nectar, je suis heureux de faire jouir ma première fille ! Un hurlement brise le silence : c’est Antoine qui se soulage dans la gorge de sa copine. Je m’essuie le visage et m’assied à ses pieds
- On dirait que tu as pris la douche ! C’est bon, hein, une bonne chatte ! Tu veux qu’elle te suce la bitte ?
- Bof, merci, une autre fois, j’ai peur de ne plus bander après
- Tant pis pour toi, alors prépare-toi à perdre ton pucelage. Juliette, remonte tes genoux que je puisse voir ton con avaler sa queue. Au fait, comment est-elle ? Enlève ton futal pour voir ?
Je suis gêné parce que j’ai aperçu sa verge, c’est vrai que la mienne est plus imposante, comment vat il le prendre ?
- Ben mon salaud ! Quel engin ! Tu vas régaler ma copine, cette salope me parle toujours de grosses pines, tu ne vas pas te tirer avec Théo hein ?
- Mais non voyons chéri tu me suffis !
- Ouais on dit ça… Bon, allez, mets-lui, qu’on en finisse.
Je le sens un peu frustré, mais il est trop fier pour revenir sur ses promesses. Sous moi, la fille est écartelée, son sexe baille, luisant de substances épaisses. Je lis dans ses yeux un bonheur immense, si nous étions tous les deux elle s’accrocherait à mon cou, j’écraserais mon corps sur le sien, mais elle doit faire semblant de se “sacrifier” uniquement pour me “remercier”.
Ma main tremble lorsque j’approche ma verge de ce puits d’amour.
- Vas-y Théo, embroche là avec ta grosse queue, cette salope ! Fais la couiner !
- Tais-toi imbécile, tu vas tout lui couper !
- Oooohhh, baisez comme vous voulez, je vais faire un tour.
Juliette me regarde amoureusement.
- Enfin seuls ! Fais-moi l’amour Théo, baise la salope que je suis !
- Tu n’es pas une salope c’est lui qui est un con, il ne te mérite pas…
- T’as raison… Oublions-le quelques instants…
Je fixe mon bout qui refoule les chairs, il est emprisonné dans un fourreau dont aucun adjectif n’est à la hauteur, je n’ai jamais ressenti une telle sensation que depuis la première fois ou je me suis décalotté – et là, en plus, je le suis par magie ! Mon membre disparait entièrement.
Une fois au fond, je ne bouge plus pour apprécier cette gaine incroyablement serrée et humide. Les contractions de son vagin me ramènent à la réalité : elle veut que je bouge…
- Baise moi Théo, de plus en plus vite, de plus en plus fort, je veux jouir sous tes coups de reins, n’aie pas peur de me faire mal, une femme aime la virilité, je vais moi aussi aller à ta rencontre… aaaaaaaaaaaahhhhhh ouuuuuuuuuuuuiiiii comme çaaa hoooooooooooooooooooooo, c’est booooooooonnnnnnnnn…
- Je vais déjà jouir MERDE !!
- Ne t’arrête pas continue, CONTINUE !!!!!
- WOOOOUUUUUAAAAAAH je jouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiis !
- Arrêtez de gueuler comme ça on vous entend a deux kilomètres ! Putain, qu’est-ce qu’il te met le salaud !!
Nous ignorons ses réflexions, emprisonnés dans notre bulle, nous faisons l’amour, véritablement l’amour… J’AIME CETTE FILLE…
Les dernières gouttes de spermes à peine évacuées, je recommence mes va-et-vient.
- Oooh !! Ça y est, tu viens de décharger ducon, ça suffit maintenant, elle t’a assez récompensé !
- TA GUEULE ANTOINE BARRE TOI !!!!!!!!!!!!! Je vais lui faire l’amour jusqu'à je tombe d’épuisement !
- Il a raison toi et moi c’est fini ! CASSE-TOI !!!
- Merde ! Tu ne prendras pas de cours de math avec mon oncle alors ?
- Ton oncle est un gros vicieux ! Comme toi…

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