Chagrin D'Amour

De cliente assidue dans ce club je suis devenue barmaid, depuis six mois avec mon copain Gilles nous venons souvent ici, j’ai l’habitude de faire mon show sur la piste, court vêtue en haut et en bas pour le plus grand plaisir des clients mâles et du patron.

- Ça te plairait Annette de servir au bar ? Je dois remplacer ma serveuse.
- Si c’est bien payé pourquoi pas je suis au chômage en ce moment.
- Pour la paie, sois sans crainte tu seras récompensée, par contre derrière le bar tu enlèveras ton soutien-gorge, j’ai remarqué que dans la salle ta poitrine attire le client et j’avoue que ça ne me laisse pas de bois mais je te respecte ! Pas de risque que les clients te sautent dessus, Nono veille au grain.

Nono c’est le videur, un immense black, nous sommes devenus amis. Mon copain m’avait dit en plaisantant « celui-là s’il te pointe, il t’ouvre en deux ».

Je suis donc passée derrière le bar, il y a des gros lourdauds qui passent leur soirée à admirer mes seins qui pointent sous mon top très court, ça me fait marrer, ce qui m’a fait moins marrer ce soir c’est quand j’ai vu mon copain sur la piste rouler une pelle magistrale a une grosse pouffiasse, j’ai vu rouge, mon sang n’a fait qu’un tour je me suis déplacée jusqu'à eux et j’ai filé une baffe à m’en faire mal à la main sur la tronche de mon hypocrite de copain.
- T’es baisée ? Qu’est-ce qui te prend ?
- Il me prend que tu peux faire ta valise c’est fini entre nous !
- Ok, tu te démerdes pour rentrer !

Je suis retournée derrière mon bar dépitée, un quart d’heure plus tard je me suis écroulée en larmes près des toilettes.

- Hé bien ma belle Annette, qu’est-ce qui t’arrive ?
- C’est ce connard de Gilles, il me trompe sous mes yeux avec une grosse pute !!
- Tu veux que j’aille lui dire deux mots ?
- Non tu lui ferais mal, laisse-le crever, mais par contre tu peux me rendre un service ?
- Dis-moi, c’est oui d’avance …
- Tu peux me ramener chez moi ?
- Bien sûr je vais voir le patron, tu n’es pas en état de continuer ton service et la soirée est calme ce soir je vais te raccompagner de suite.


- Merci Nono !

Dans la voiture nouvelle crise de larmes qui émeut Nono

- Oh ! Ce n’est pas chez toi que je te ramène sinon tu vas te morfondre, je t’amène à la maison en tout bien tout honneur, sois rassurée.
- Tu es gentil ! J’ai une entière confiance en toi.

J’observe à la dérobée cet homme, jamais je n’avais pris la peine de détailler ses muscles qui roulent sous sa peau au moindre mouvement, il regarde droit devant lui et tapote sa grande main sur ma cuisse largement dénudée et tournée vers lui, il fait ça à la façon d’un grand frère car s’il voulait profiter de la situation il n’a qu’à avancer de dix centimètres pour toucher ma culotte, la réflexion de Gilles me revient à l’esprit « s’il te pointe, il t’ouvre en deux » ……

Évidemment mes yeux descendent vers l’entrejambe, ce n’est pas facile d’estimer « la chose » sous un pantalon, je détaille ses mains … de très gros et longs doigts, je n’ai jamais vus d’ongle de pouce aussi large … même si j’en crois le dicton ça ne prouve rien…
- Nous voici arrivés Annette, tu veux prendre une douche ?
- Je n’ai pas de rechange …
- Ne t’inquiète pas je vais te prêter un de mes tee-shirts ça te fera une robe d’intérieur ! Ah ça fait du bien de te voir sourire !
- Je t’adore Nono ! Merci pour ce que tu fais.

Je prends possession de la salle de bain et enfile le vêtement, effectivement il me vient aux genoux mais c’est en haut que ça cloche, mes seins ne demandent qu’à sortir soit par le décolleté en V soit par les emmanchures ! Bof, s’il ne les a jamais vus distinctement il les a devinés sous mon top au club !
- Ça te va bien ! Si tu veux le garder il est à toi ! Bon j’y vais à mon tour, sers-toi un verre je reviens.

Je me sens à l’aise chez cet homme, même nue sous le vêtement d’emprunt.
Il arrive à son tour habillé d’un chic kimono en soie, je pense qu’il est à poil lui aussi. Assis l’un a côté de l’autre nous sirotons un dernier verre.


- Tu as l’air pensive Annette, oublie cet imbécile tu mérites mieux !
- Ce n’est pas à lui que je pensais... tu as quelqu’un dans ta vie Nono ?
- Hé non.
- Pourquoi ?
- Oh ce n’est pas facile à expliquer…… Disons que c’est à cause d’incompatibilité morphologique …
- Incompatibilité morphologique ? Quel grand mot !
- Pour simplifier j’ai une très grosse queue, une trop grosse queue…
- Bah ?
- Hé si ! Tu veux la voir ?
- Nono …..
- Tiens regarde ce que ça donne au repos …
- Woooouuuuuaaaaaah !!!
- Je ne te le fais pas dire ! En érection tu vois cette bouteille de coca en plastique ? Hé bien ça représente à peu près ça …
- Trente-sept centilitres ? Mon dieu !
- Tu vois ça fout les chocottes !
- Ben les chocottes peut-être pas, faut voir ….
- Tu veux essayer ? Je vais te péter la charnière ma pauvre fille !
- Essayer je ne sais pas ? Mais si tu es privé de femme je veux bien te soulager comme je le pourrais…
- Tu es gentille, je ne veux pas r.
- Pas question d’r ! C’est que j’ai vachement envie de voir ton membre en état de raideur, tiens, je fais le premier pas…

Je fais passer le tee-shirt par-dessus ma tête sous le regard ébahi de Nono et dans le même temps je tire sur sa ceinture pour ouvrir le kimono.

- ANNETTE !!
- Tais-toi et caresse mes seins pendant que j’apprivoise ta verge.

Le silence se fait, Nono palpe avec douceur ma poitrine, moi je saisis des deux mains, ce n’est pas de trop, cette forme flasque qui grossit entre mes doigts tel un boa.

- Nous serions mieux allongés tête bêche…ça me gênerait moins de regarder de près ton membre grossir dans mes mains et toi de regarder avec ta langue si ma minette mouille !
- Tu as raison vient sur mon lit je vais te bouffer la chatte, avec ça je démarre au quart de tour ! Ne regarde pas le désordre de ma chambre !

Vautrée sur lui mes genoux réglés de façon à ce que mon entrejambe soit accessible à ses lèvres lippues, sa langue et ses doigts, devant moi le tronc sombre se déploie peu à peu, le gland gonfle en premier, sa langue lippue fait son passage entre mes lèvres, il lape le jus qui suinte pendant que ses doigts jouent avec mon clito et mon entrée secrète, la queue s’étend toujours sur le ventre de l’homme, elle dépasse son nombril, je pose ma bouche sur le gland et aspire là où je sais qu’un point sensible existe, Nono arque son corps.


- Suce-moi Annette, avale ce que tu peux mais soulage-moi.
- Je vais faire du mieux que je peux, tu vas décharger mon salaud je te le jure !

A deux mains je tiens le mât à la verticale, la mâchoire ouverte à se décrocher, je gobe l’œuf circoncis, sa liqueur, preuve de plaisir, s’échappe du méat, la peau coulisse sur les énormes veines qui zèbrent la queue la rendant redoutablement efficace pendant un rapport sexuel.

Plus je suce et branle, plus j’ai envie de m’assoir sur ce pieu, d’autant plus qu’il m’assouplit la chatte en tirant l’entrée de mon col vers l’extérieur, quatre doigts sont entrés dans mon vagin qui pisse sa cyprine a volonté, j’ai mal à la mâchoire et recrache le nœud bandé à fond.

- Nono, baise-moi, j’ai envie de sentir ma chatte éventrée par ton zob.
- Je vais te faire mal ma puce…
- Ça c’est à moi d’en juger, essayons, si ça ne marche pas nous allons dormir.
- Je te laisse faire, sers-toi, je reste dans cette position !
- Oui je vais m’empaler seule comme ça je vais gérer la pénétration.
- Vas-y, je veux voir ça !

Je fais glisser ma moule sur son corps laissant une trainée visqueuse telle une limace, en appui sur un pied je me soulève pour mettre ma chatte à hauteur de son membre, je frotte le gland sur mes lèvres qui s’écartent docilement, j’insiste un peu sur mon clitoris déjà bien gros, le diamètre de sa queue semble disproportionné par rapport à ma fente, le trou de ma vulve est là juste en face, je me laisse choir de quelques centimètres, la verge plie, mes grandes lèvres sont entrainées dans mon ventre, mes chairs sont étirées à la limite de la rupture, j’ai peur de me déchirer comme lors d’un accouchement difficile.

- D’où je suis-je vois tout, tu vois bien que ta chatte est trop petite, n’insiste pas tu vas me casser la bite !
- Je veux qu’elle rentre et elle va rentrer sinon je ne suis pas une femelle !
Je respire un grand coup, ferme les yeux pour ignorer la douleur et je me laisse tomber …
- WOOOOUUUUUUWOOOOOUUUUUUUH CA Y EST !!!!!!!!!
- Tu m’arraches le nœud, putain ça fait mal ! Tu es sure que ça ne saigne pas ?
- Tu me fais peur ? Attends je vais me retirer ……NON, ouf ! Par contre je suis prête à imploser.

- Ma queue est dans un étau, tu vas me la rendre amaigrie ! Essaie de tout rentrer maintenant que le mal est fait.
- Ça fait bizarre cette trique noire entre mes cuisses laiteuses ! Tu sais quoi ? D’habitude quand je baise, ma mouille suinte entre la verge et mes lèvres mais là ça fait joint ! Je garde tout dans mon ventre !
- Tu vas voir autre chose quand je vais éjaculer ! Quand je dis éjaculer je devrais dire lâcher des litres de foutre !
- Tu vas me péter la gaine vaginale ?
- Tant pis pour toi ! Tu contiens un demi-verre et tu veux absorber un litre !
- Je ne crois pas ton baratin, aller baise-moi, aide-moi à me faire hara-kiri
- Maintenant que tu es bien plantée je vais te basculer en avant, maintenant que tu m’a bien excité c’est moi qui gère, je vais te défoncer comme tu le mérites.
- Je suis dilatée Nono vas-y !
- Tu verrais ton petit trou ça le fait ressortir comme si tu avais des hémorroïdes !
- Ne cherche surtout pas à me le mettre ici !
- Non, ce serait l’hosto assuré !.... tu la sens bien ma queue ?
- Comment pourrais-je l’oublier ! Je suis tellement écartée que je ne peux même plus contracter mes muscles vaginaux !

Dès qu’il bouge, ses veines labourent mes muqueuses m’arrachant des cris rauques, arque- boutée je résiste à ses assauts sinon je tomberais du lit, la tête repliée sous moi je vois ses testicules assorties au membre danser en cadence

- Tu es bonne Annette, y’a longtemps que je n’avais pas baisé une femme avec autant de plaisir, ma queue est bientôt complètement disparue dans ton ventre.
- Il me semble qu’elle va ressortir par ma bouche …..Nono, je vais jouir …. JE JOUUUUUIIIIIIS ! JE JOUUUUUUUIIIIIIIIIIIIS OOOOOOOUUUUUUUUUHHHHHHH !!!!!!
- OOOOOOOHHHH C’EST BOOOOONNNNNNNNNNNNNNNN MOI AUSSIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!
A demi inconsciente, je sens comme si une lance à incendie nettoyait ma gaine vaginale qui gonfle a n’en plus finir, son gland baigne dans son liquide, pas une goutte ne fait surface à l’extérieur, nous restons collés comme deux animaux, la queue ne désenfle pas d’un millimètre, elle se soulève à intervalles réguliers.
- Annette… j’ai encore envie…
- Je crois que je vais mourir mais moi aussi, baise-moi encore Nono, c’est trop bon !!

Le manche se met de nouveau en branle, cette fois des bruits de fuites extérieures se manifestent quand la queue atteint le fond, des giclées épaisses fusent de mes lèvres, ça double le plaisir et en plus ça lubrifie à merveille, cette fois l’homme se déchaine dans ma chatte en furie, ses cuisses énormes claquent sur mon cul cambré, ses bourses écrasent mon clito, je mords le drap, les doigts crispés, je laisse passer la tempête qui dure et qui dure encore…

Je suis à moitié dans les vaps quand j’entends son cri de guerre en même temps qu’il me remplit a nouveau généreusement de sa sève, compressée sur lui le temps qu’il se vidange dans mon ventre, il me lâche enfin, je m’aplatis sur le lit comme une masse, ma moule se vidange dans un bruit horrible d’évier qui se débouche, j’ai le gout du sperme dans la bouche……

- Ça va Annette ? Satisfaite ?
- Tu m’as tuée … j’ai peur de regarder l’état de ma chatte…
- Fais voir ? Houlà ! Elle fait une drôle de tronche ! Ca fait des bulles mais elle va s’en remettre, t’en fais pas !
- Fais voir ta queue ? ….OOOOHHH ! Elle est toute visqueuse ! Approche je vais te la nettoyer …..
- Je te préviens si tu me fais rebander tu repasses à la casserole !
- Hhhhuuuuummmmmmmm ………….

Ma chatte s’est faite depuis au gabarit du membre noir et je vis chez son propriétaire…

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