Arrêt Pipi

Voiture de tourisme, voiture petite pour 6 personnes. Nous sommes un peu serrés les trois couples. Je me trouve à l’arrière, presque assise sur les genoux du voisin. La conductrice arrête de conduire dans un petit bois : elle a envie de faire pipi. Bonne excuse pour se délasser. Nous descendons tous, les filles d’un cotés, les hommes de l’autre. Dans un bel ensemble, nous nous déculottons, nous baissons en nous accroupissant. Un beau relâchement des sphincters et hop, l’urine sort.
Je ne sais plus laquelle d’entre nous lance le défit de masturber les hommes, comme ça pour notre plaisir de voir des bites. Nos culottes sont presque jetées pour nous lever, les jupes ou robes restent en l’air.
Ces pauvres malheureux hommes nous regardent un peu excités. Nous leur disons quelles sont nos intentions. Et, plus courageux, le mien, vient vers nous, la queue encore dehors. Il est assez bien monté, il me plait quand il bande, qu’il est sur le point de me la mettre. Bien sur il vient vers moi en particulier. Je ne vais pas céder à la facilité en le pompant devant les autres. Avant qu’il se donne à moi, il lui faut passer sur le corps de la voisine, si je peux dire.
Elle prend la bite avant qu’il soit trop proche. Lui s’arrête un peu surpris. Elle le fait vite bander. Deux coups de main de bas en haut font qu’il bande comme un cerf. Voir cette queue que normalement je cajole dans la main d’une autre me fait bien mouiller. La bouche s’ouvre pour engloutir la bandaison. Lui, heureux comme un pape tend son bas ventre en avant. Les lèvres remplacent la main qui est descendue sur les couilles. Le pantalon tombe sur les chevilles, le caleçon suit le même chemin.
Je regarde la fellation : j’ai envie de me toucher comme la voisine. Nous sommes deux à nous masturber comme ça, rien quand voyant une pine sucée. La suceuse, elle excitée aussi commence à se branler. C’est quand même rare de voir ainsi un couple illégitime se livrer à de tels comportements.


Les deux autres hommes enfin arrivent, les deux bandants. Ils espèrent une suite favorable. J’ai le choix entre deux monuments : une queue « normale » et l’autre circoncise. Celle là me parait plus nue que nature. Je ne connais pas les effets dans la bouche d’un tel manche. Je la veux. Je tends la main pour qu’elle vienne.
Je l’ai juste sur le bout des lèvres. Une petite goute d’urine est encore sur le gland.
J’ai trop envie, je ne l’enlève pas. J’ai raison, elle a bon gout un peu salé. Mes lèvres l’entourent comme un bienfait rare. Pour ne pas qu’il parte, je tiens les fesses. J’aime ce mouvement des lèvres qui s’ouvrent lentement pour suivre la courbure du gland, qui se referment un peu avant de rester dans la même position pendant que la queue baise ma bouche, qu’elle glisse en moi. J’en ai oublié de continuer ma masturbation.
Je remets une main sur la chatte. Je suis trempée. Je suis toujours accroupie comme quand je faisais pipi. Bonne position pour ma main. J’arrive mieux à me caresser le clitoris. J’entre deux doigts dans le con, je passe le pouce sur le bouton. Le pubis tendu je me laisse aller dans l’orgasme, comme la queue qui jette son sperme dans le fond de la bouche. Je suis comblée.
Les autres hommes jouissent aussi. Nous nous relevons, un peu confuses d’avoir fait ce que nous venons de faire. Sans nous consulter nous nous appuyons à la voiture. Je me mets debout devant les autres. Sans rien dire je recommence à me masturber. Les autres regardent tranquillement. J’oublie ma chatte pour aller vers une autre. La fille se laisse faire. Je la branle comme une chose naturelle. Elle masturbe l’autre qui l’en fait autant.
Ainsi une simple envie de faire pipi se transforme en mini partouze. Celle que je branle a envie d’un baiser. Elle me le donne, pendant que l’autre aussi m’embrasse. Drôle de baiser à trois où seules les langues participent. Nous ne nous doutons pas de la suite : les hommes récupèrent vite. Ils sont sur nous.

Sans nous contraindre, ils nous mettent contre les voitures, le dos à eux. Pour les autres je pense que c’est comme pour moi. Je sens une queue contre la raie. Je suis certaine que c’est celle de mon mec. Mes fesses ne me disent pas le contraire. Elle glisse dans la raie. Elle se caresse dans la raie. Elle s’attarde dans la raie. Elle quitte la raie avant d’y revenir cette fois en s’y incrustant. Il m’encule. Sa main passe devant ne cherche pas dans cet endroit familier, elle caresse immédiatement le clitoris. C’est bon, bon, bon. !!!!
Le paradis des amants s’ouvre devant moi, je vois la vie en rose. Il m’encule. Il coulisse dans mes boyaux. Je sens son jus jaillir au fond de mon cul. Il ma fait jouir.
En repartant nous ne disons pas un mot, chacun digère son plaisir. Je le remercie en massant sa queue, sa belle et bonne queue, même s’il bande un peu.

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