Echangisme À La Piscine Municipale

Piscine municipale. 11h00.
Le jacuzzi était libre.
J'entrais dans l'eau bouillonnante et m'asseyais face à l'entrée.
Oseront-ils venir, ces inconnus d'Internet ?
11h10 : un couple s'approcha lentement. La femme, brune, grande, aux formes généreuses, semblait être poussée par son compagnon.
Ils entrèrent dans l'eau, à bonne distance de moi, qui les regardais avec curiosité et interrogation. La jeune femme gardait les yeux baissés tandis que l'homme lui parlait à l'oreille. Elle me lança un regard furtif puis rebaissa les yeux. L'homme sembla hausser la voix à l'encontre de sa compagne, puis il se leva et vint s'asseoir à courte distance de moi. Il regarda fixement la femme puis soudain se leva, la saisit par le bras et vint la faire s'asseoir tout près de moi. Elle garda les yeux baissés mais je n'eus plus aucun doute sur la raison de leur présence. Aussi risquai-je une main "baladeuse" sur la cuisse de la jeune femme. Plus de culotte pour protéger son intimité. Je glissai donc une main délicate sur sa chatte lisse. Aucun poil n'entravait mon cheminement. Je sentis bientôt le petit bouton de chair dressé de désir, et la belle osa poser la main sur mon sexe bandé. J'abandonnai un instant sa moiteur féminine pour glisser mon slip sur mes chevilles, mais je revins très vite explorer cette vulve consentante. La jeune femme se cambra, s'enfonça dans l'eau jusqu'au cou, puis elle me saisit les couilles à pleine mains et les palpa voluptueusement. Consciente du pouvoir de son massage, elle saisit mon érection tandis que, ayant glissé la main sous ses fesses, je tentais d'introduire un doigt dans son anus. Intéressée par la demande, elle tourna son postérieur vers moi pour faciliter l'introduction en restant toujours cramponnée à ma queue, qu'elle astiquait consciencieusement.
Finalement elle n'appréciait pas trop la caresse puisqu'elle retira ma main pour la guider vers sa poitrine qu'en gentleman je tâtais à tâtons ! Et elle aimait ça, la bougresse ! Elle se mit même à genoux pour me permettre de la peloter à loisir pendant qu'elle me massait les bourses d'une main et me branlait de l'autre.

Je pensais qu'elle allait parvenir rapidement à ses fins lorsque l'homme se leva et sortit du jacuzzi. Ma douce branleuse rajusta son maillot en hâte et rejoignit son compagnon. Je restai coi ! Le sexe droit lâchement abandonné pendant la bataille. Je regardai le couple s'éloigner. Mais que se passait-il donc ? L'homme s'était arrêté et désignait les douches à sa compagne. Elle me sembla hésiter, alors l'homme la saisit par le bras et l'accompagna lentement mais fermement, jusqu'à la porte d'accès aux douches. Il se retourna alors et il me regarda fixement. Que signifiait ce regard appuyé ? S'agissait-il d'une invitation à les suivre ? Que risquais-je ? Je me levai donc et les rejoignis. J'étais à une dizaine de mètres d'eux lorsqu'ils disparurent. Je m'arrêtais. Devais-je entrer ? Devais-je attendre ?
J'attendis. Très peu. Je vis apparaître une main féminine dans l'encoignure de la porte. La main, puis le visage de la douce inconnue qui m'invita à la suivre. Mon œil se posa sur la pancarte "douches femmes". J'hésitai, mais elle me tira par la main. Nous parcourûmes une quinzaine de mètres puis elle me fit signe d'attendre. Encore ! Elle poussa une porte métallique et disparut dans une petite pièce sombre. Qu'est-ce que cela signifiait ? Je n'eus pas le loisir de trouver de réponse à cette question car quelques secondes plus tard la porte s'ouvrait toute seule. Je risquai un regard. La belle était là, au centre de la pièce, totalement nue, sous un faible halo de lumière. Rapidement je cherchai son compagnon qui me sembla dissimulé dans l'ombre. Lorsque mes yeux revinrent sur la belle, elle tenait mon slip à la main. Bon sang je ne m'étais même pas rendu compte qu'elle me l'avait enlevé cette magicienne.
Elle approcha une chaise sous la lumière, y posa un pied et commença à se caresser. J'étais au garde à vous ! Cette petite chatte luisante me paraissait délicieuse, et j'entrepris de l'explorer du bout de la langue. La belle manifestait son contentement par de petits cris aigus.
Brusquement elle repoussa la chaise puis se dirigea dans le coin ou se tenait vraisemblablement son compagnon. Je les entendais murmurer, puis soudain la voix de l'homme claqua obéis-moi, sinon… Puis il repoussa vigoureusement la femme vers moi. Elle me lança un regard que je ne sus interpréter, puis se positionna à quatre pattes devant moi. Je reconnus une ferme invitation pour la levrette. Je me positionnai donc derrière elle et je m'apprêtais à la pénétrer lorsqu'elle saisit ma queue pour la présenter devant l'ouverture de son anus. Je ne me fis pas prier, mais j'allais néanmoins recueillir un peu de sève sur sa chatte pour lubrifier, et je m'enfonçai lentement entre ses fesses, bien à fond. Je marquai une pause, puis je commençai une série de va-et-vient. La belle me sembla préférer les mouvements amples, je simulais donc de fausses sorties et me réintroduisais bien au fond, ce qui déclenchait un petit cri très aigu. Je la sodomisai ainsi de longues minutes, puis je finis par décharger sur ses fesses.
À peine avais-je terminé que ma belle me tendis mon maillot et ouvrit la porte.
Je fus ainsi congédie sans un mot, sans une appréciation. Bah ! Ç'avait été si bon.
Une bien belle journée qui commençait !

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