La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1446)

Lope Olivier au Château – (suite de l'épisode N°1444)-

- Non, je n'étais pas vierge du cul, mentit Olivier…

Les ouvriers rigolèrent, ils avaient bien vu que ce cul était bien trop serré pour ne pas être vierge. D'ailleurs pour eux, ce n'était pas un problème car un cul, homme ou femme était un trou pour y mettre sa queue et en jouir. Lope Olivier était d'ailleurs maculé de sperme, le bas du dos, les jambes, chaque partie de son corps avait été marqués. Et c'est l'ouvrier le plus pervers qui enfonça le dernier clou.

- Petite lope, tu ne vas pas revenir au Château maculé de sperme…

Alors c’est la queue demi-molle en main, qu’il s'approcha d'Olivier, le premier jet d'urine sur le visage d'Olivier, puis les autres jets sur ses épaules et torse.

- Petite pute, ma pisse va te nettoyer, regarde comme elle est bien chaude, lope.

Les deux autres ouvriers comprirent ce qu'ils leur restaient à faire, et en même temps, ils s'appliquaient à uriner consciencieusement sur le corps de Lope Olivier. Ce dernier ne bougea pas, il sentait l'urine odorante des trois hommes couler sur son corps soumis. La chaleur de la miction lui fit du bien, et c'est après avoir été bien souillé et possédé par la bouche et le cul, bien pris par ces deux orifices qu'il put revenir au Château, tout puant d’urine…. Le soir, le Majordome fit son rapport au Noble :

- Le jeune stagiaire n'a pas bronché et il a tout supporté en silence, je pense que ce soir on peut lui enlever la cage de chasteté et on va pouvoir observer ce qu'il fait, comment il réagit, la nouille libérée…

Monsieur le Marquis acquiesça, c'est lui qui avait créé ce programme de ‘soumission express’. Ce soir il allait pouvoir observer par l'intermédiaire du réseau des caméras ce qu'Olivier allait faire une fois au lit et libéré de toute entrave. Des esclaves nus, au service de Marie, servirent comme d'habitude le repas des stagiaires soumis vers 20H.

Les stagiaires afin de limiter les contacts prenaient leur repas dans leur cellule. Vers 21h, Walter entra sans frapper à la porte d'Olivier, et dit :

- Monsieur le Marquis a décidé de te récompenser après cette journée. Et donc je suis chargé de t'enlever ta cage, tu pourras dormir cette nuit, la nouille libre.

Le Majordome s'approcha et exigea du soumis, de se mettre debout, le dos collé au mur et les mains sur la tête baissée et les jambes très écartées. Puis à l'aide de la clé, il enleva la cage, tout en lui pinçant les deux petits tétons de sa petite poitrine de mâle. Olivier regarda son sexe, il était tout petit, difforme. N’osant pas bouger, alors il attendit le départ de Walter pour le masser légèrement. Puis doucement le massage se fit plus vigoureux, le sang afflua et Olivier se mit à bander. Etre nu et se remémorant cette journée, cela l’excitait… Le Châtelain était dans son bureau, une télécommande lui permettait de passer d'un écran à l'autre, chaque moniteur correspondait à une caméra de surveillance. Pour l'instant il observait ce que faisait Olivier qui se touchait sa nouille, bandait, et se masturbait. Le Noble comprit que le stagiaire avait apparemment apprécié son traitement et que cela l’excitait encore. Olivier se masturbait maintenant en ayant hâte de jouir en repensant à cette folle journée. Et c'est ce qui se produisit Olivier éjacula en moins d'une vingtaine de va-et-vient, trop excité d’avoir été utilisé par ses trous de lope. Ce qui confirmait ce que Monsieur le Marquis avait déjà compris, que ce jeune stagiaire avait un certain potentiel prédestiné à la soumission, car au lieu d'avoir un comportement de rébellion après une telle journée, il ne pensait qu'à se masturber, et soulager ainsi une excitation produite purement par ses pulsions de soumission. C'était assurément le comportement d'un bon chien soumis. Il ne restait plus maintenant qu'à en faire un chien aguerri à l’obéissance…

Une heure plus tard, alors qu’il était couché, Lope Olivier se masturba encore, de nouveau, mais plus doucement au début, car il pris cette fois le temps de retrouver les sensations du contact de sa main sur sa nouille, il explora les contours de celle-ci, il pensa aux différents évènements mais ce qui l'avait le plus marqué psychologiquement, c'était pas la séance avec les ouvriers, mais bien la rencontre avec Monsieur le Marquis, il ne put s'empêcher de fermer les yeux et de penser au moment où la Verge puissante du Noble avait pris possession de sa bouche, l'avait dépucelé, et même plus il avait gouté à la Semence du Châtelain, il avait avalé le nectar, et rien que cette idée le faisait bander, c'est en pensant au Châtelain qu'il commença les mouvements de vas et viens de sa main sur sa verge.
La masturbation se faisait plus active, il écartait les jambes, se cambrait, tout son corps était tendu vers une seule chose faire plaisir et se donner à fond pour Monsieur le Marquis, et c'est à ce moment-là qu'il éjacula au moment ultime ou son esprit lui rappelait le premier contact avec le Maître et aussi la première soumission auprès de celui-ci. Il éjacula, son sperme sortis par deux ou trois giclées, son plaisir était certain et il s'abandonna pour le Noble. Mais le soumis dans sa jouissance ne se rendit pas compte qu'il tachait aussi les draps, une fois satisfait par son plaisir Olivier se laissa aller à son repos, il s'endormit presque aussitôt, la fatigue aidant…

Monsieur le Marquis avait apprécié la scène, sauf quand il se rendit compte que cette petite pute n'était pas très soigneuse. C'était chaque fois pareil, les soumis stagiaires par leur inexpérience ne respectaient rien, même pas les draps propres qu’ils souillaient de foutre, un problème avec cette jeune génération. Lope Olivier avait fait de même, et la réponse du Châtelain était toujours très douloureuse dans ces cas-là, une bonne punition pour recadrer. Le soumis pensait s'être convenablement comporté, il ne pouvait savoir qu'en cette nuit le Maître le surveillait derrière un écran et qu’il commençait à élaborer un programme plus perfectionné pour cette petite lope, il allait en faire un soumis doué et persévérant… Cette nuit-là, lope Olivier eu un sommeil agité, et à plusieurs reprise, il se caressa, il banda plusieurs fois cette nuit et à chaque fois il pensait au Marquis d'Evans, quel homme, quelle stature, quel charisme, quelle Dominance. Olivier avait envie de lui faire plaisir de répondre à toutes Ses Exigences, bref de se comporter comme un bon chien servile, attentif au pied du Maître. L'attitude normal des soumis et il pensait encore à cela quand les premiers rayons du soleil inondèrent sa cellule. Une nouvelle journée commençait, il ne put s'empêcher de bander à nouveau et naturellement il se re masturba, quand tout d'un coup la porte s'ouvrit.
Monsieur le Marquis en personne se tenait devant lui. Il entra dans la pièce et de Sa voix puissante, il dit à Lope Olivier:

- Petite lope, qui t'as autorisé à te branler ? De plus j'espère que tu n'as pas joui ?

Olivier penaud arrêta tout mouvement et même par pudeur inutile, il essaya de cacher sa nouille. Il répondit au Maitre qu’il n’avait pas joui, tout en baissant la tête, rouge de honte. Le Noble éclata de rire en pensant à ‘‘comment ça, il n'a pas joui’’, et au ‘‘que si dans la nuit il a succombé au plaisir solitaire et il en a sali les draps’’. Le Châtelain s'approcha encore plus :

- Petite lope qui essaie de se planquer, rien de ton anatomie ne dois échapper à Mon regard, Aller la pute, montre-moi ta nouille de chien, debout devant moi, mains sur la tête baissée et jambes écartées.

Lope Olivier comprit l'injonction et que Monsieur le Marquis était contrarié. Il se tint debout devant le Maître des lieux et baissa la tête en signe de soumission et se positionna comme exigé. Un mouvement chez lui maintenant bien naturel. Le Châtelain regarda longuement la nouille du chien soumis et petit à petit cette dernière se fit de plus en plus petit, il ne bandait plus, il avait peur de la réaction du Noble. Elle arriva d'un coup:

- Sale pute et surtout sale menteur ! … Tu m’as répondu que tu n’avais pas joui, hein ! Eh bien regarde-moi tes draps, c'est ton foutre de chien que je vois là sur ces auréoles, tâches bien visibles…

Olivier rougit, il savait que dans la nuit, il avait éjaculé en pensant au Seigneur et de se savoir en Sa présence que le Maître remarquait le comportement fautif, en mentant si mal, tout était fait pour le mettre en porte à faux.

- Petite lope, tu as joui comme un puceau, tu pensais à quoi ?, à ces trois ouvriers qui t'ont démonté le cul, c'est ça ? Aller, tourne-toi, montre-moi ton trou du cul. Et surtout baisse-toi en avant et écarte tes fesses avec tes mains.


Lope Olivier obéit silencieux et honteux. Il se pencha en avant et à l'aide de ses deux mains, il permit au Seigneur de voir un trou encore tuméfié par les queues des trois gaillards.

- J'aime le matin prendre le cul d'un de Mes soumis ou soumise. Tu as sali les draps, et pire, tu m’as menti, tu mérites donc deux punitions. Pas que je te prenne maintenant car pour toi, tu vas le vivre comme un bonheur, donc tu seras puni, tout de suite après cette saillie, pour une première punition d’avoir sali les draps...

Le Maître des Lieux se saisit de Sa noble Verge, Olivier allait bientôt comprendre que son cul devenait un trou à sperme à disposition de tous. Le Seigneur des lieux voulait le prendre à cru, il allait démonter cette petite lope… Monsieur le Marquis exigea à Lope Olivier d'écarter les jambes et de présenter son cul, puis de prendre la position en s'allongeant le haut du corps sur le lit, Le Noble dit :

- Petite lope, lève bien ton cul, allez cambre toi bien, prépare toi à recevoir ce qui t’a fait fantasmé cette nuit.

Lope Olivier commença doucement à lever son cul, il savait que dans quelques instant son trou du cul serait investi par le Vit du Maître. Il attendait avec impatience ce moment où le gland épais et large allait s'enfoncer au creux de ses fesses. Et puis il allait sentir la poussée du bassin du Noble et Son phallus turgescent qui allait glisser et trouver la voix naturelle qui conduisait à l'anus d'Olivier. Et enfin d'une poussée supplémentaire le gland violacé allait forcer la place et l’épaisse Verge du Maître allait le prendre mais sans qu’il soit autorisé de jouir de cette saillie, juste subir cette sodomie. Le Châtelain commença donc à prendre ce petit cul, il avait déjà été bien élargi par les ouvriers et le Noble savait qu'il pouvait encore mieux le dilater à Sa convenance…

Monsieur le Marquis positionna Son sexe dans l'axe, il aimait d'un coup de reins prendre possession du cul d'un nouveau soumis. Le mouvement des hanches permettait d'ouvrir le cul d'un coup et d'investir les entrailles de Lope Olivier en une fois via une forte poussée pour le posséder physiquement. Le sentiment d'appartenance avec une pénétration d'un coup puissant était pour le soumis que chacun soit à sa place. Le Vit du Châtelain matérialisait la Domination physique et intellectuelle. Lope olivier recevait enfin la noble Queue, il devait contribuer au plaisir du Seigneur, seul Son plaisir comptait. Le Noble commença les mouvements de va-et-vient, il était centré sur Son plaisir de Dominer ce cul. Il allait lui montrer par la puissance des coups de butoir qui était le Mâle dominant. Olivier sentait la vigueur de la Bite du Maître car chaque va-et-vient élargissait de plus en plus son anus. Lope Olivier était projeté en avant et petit à petit avec la satisfaction de se donner au Noble, il commença à gémir comme une petite chienne en chaleur et il prenait plaisir de donner son cul et de savoir qu'il allait recevoir bientôt la noble Semence. Même si lui, le soumis qu’il était, n’avait reçu aucune autorisation à jouir…

(A suivre …)

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