L'Initiation De Marion - 3

Le lendemain, Raymond accepte la présence de Cyril, à condition qu’il reste spectateur et qu’il n’intervienne à aucun moment, même si sa femme souffre. La voiture décapotable à peine sur la nationale, Raymond donne un ordre à la femme qui est montée à l’avant :

"Enlève ta culotte et jette là dehors"

Marion s’exécute, le sous- vêtement vole dans les airs pour atterrir sur le pare-brise de la voiture suiveuse, le chauffeur déconcerté met son clignotant pour récupérer la chose !

"Laisse ton paréo ouvert, que les passants éventuels voient ton corps. Cyril, tu peux caresser ta femme si tu en a envie, il faut la préparer pour la plage, sa mouille sera absorbée par la serviette"

Une heure plus tard, la voiture emprunte la piste qui mène à la côte, c’est une plage qui se mérite, un chemin défoncé interminable à travers la garrigue. Plusieurs fois, la caisse de la BMW râcle le sol, mais, à l’arrivée, nous découvrons un paradis.

En contrebas, la mer azuréenne, limpide, sans une vague ; cinq voitures sont garées sous les pins parasols.

Ma femme devient fébrile, elle s’accroche à mon bras.

"Laisse ton mari tranquille, tu le retrouveras après tes prouesses, cet après-midi, c’est moi ton maître, je crois que nous tombons sur un bon jour, je vois deux couples et trois hommes seuls, en espérant qu’ils ne soient pas tous homos ! Déshabillons-nous et descendons sur la plage.

Sur la plage de sable fin, un couple se donne en spectacle, la femme se caresse devant les hommes qui se touchent la verge, l’autre couple, dans l’eau jusqu'à la taille, s’adonne à des attouchements érotiques.

"Suis-moi dans l’eau, Marion, tu vas approcher cette femme"

"Vous voulez que je fasse quelque chose avec elle ?"

"Hé oui, regarde-là, elle est jeune et belle ; Cédric, reste sur la plage et observe"

Raymond entraine ma femme prés du couple qui arrête de se caresser ; il tient Marion devant lui face à la femme, et passe sa main entre ses cuisses, la femme sourit et parle à son compagnon.

Elle se détache de lui et avance vers Marion. Raymond lâche ma femme, elles s’observent et tombent dans les bras l’une de l’autre, seins contre seins. Les mains partent à la découverte du corps de l’autre, les bouches se soudent. Ca me fait drôle de voir Marion faire l’amour avec une femme, ma queue approuve et se dresse.

Les trois célibataires ont vu qu’il se passait quelque chose d’intéressant et décident d’approcher ; ils passent prés de moi en commentant :

"T’as vu ? Y-a peut être moyen de participer ? Allons voir ces deux belles nanas, vous ne venez pas ?"

"Non, j’en connais une, c’est ma femme ! Mais vous avez raison, il y a moyen de vous amuser avec elle"

"C’est laquelle ?"

"La blonde... Elle est partante pour se faire prendre par plusieurs à la fois"

"Ouais ! Chouette gonzesse ! Mais qui est le mec qui la suit ?"

"Son initiateur"

Ils me regardent avec de grands yeux et doivent me prendre pour un dingo … Peut-être n’ont-ils pas tort ? Les célibataires font le cercle autour des femmes enlacées, l’autre homme se méfie et rappelle sa femme, laissant Marion décontenancée.

Raymond dit un mot à l’un d’eux, cela suffit à déclencher la ruée sur ma femme qui est ceinturée étroitement. Ses endroits les plus intimes sont triturés par les mains avides, elle rit à gorge déployée, l’eau est tellement claire que je vois ses doigts serrer les queues bandées.

Marion est littéralement soulevée par quatre hommes car Raymond participe, elle est soutenue, allongée sur le dos à fleur d’eau. Un homme présente sa verge devant son visage, elle s’en saisit et l’enfourne sans hésiter, un autre franchit la barrière de ses cuisses la verge dressée.

Je décide de m’approcher pour mieux voir. Celui qui veux la baiser est handicapé car il maintient à hauteur de sa queue les cuisses de la femelle en chaleur. Pour aider, je fais un truc sans réfléchir ! J’att le manche et le dirige vers la fente, l’homme donne des coups de reins désordonnés jusqu’à ce que son bout disparaisse, englouti par le vagin en feu.
Je lâche le membre, c’est parti pour une saillie vigoureuse !

Des vagues se forment sous l’effet de l’acte viril, bientôt, des filets de sperme flottent entre deux eaux.

Les yeux de marions sont retournés par le plaisir, elle a oublié ma présence, un peu frustré, je rejoins le rivage, laissant la meute de chiens baiser ma femme. Le regard dans le vague, je sens une présence derrière moi, des poils pubiens se collent à mes fesses, une main fine saisit ma verge tendue.

"Il ne faut pas broyer du noir, je suppose que vous êtes le mari de cette femme qui subit les assauts de ces mâles ? C’est moi qui l’ai caressée tout à l’heure, pourquoi la laisser seule ?"

"Oh ! Vous m’avez fait peur ! Non, elle n’est pas seule, son initiateur est resté avec elle"

"Son initiateur ?"

"Oui, je voulais la dévergonder, mais j’avoue que je suis dépassé"

La femme se love sur moi et passe devant, nos sexes se touchent, je suis pris de l’envie de posséder cette femme, sans me préoccuper de son mari.

"Vous voulez me faire l’amour ? Prenez-moi en levrette..."

Elle se positionne, cambrée sur le sable dur, et dandine son cul pour faire tomber mes dernières hésitations. La vision de cette fente qui apparait au milieu d’une bordure de poils suffit. A genoux derrière elle, sans autres préliminaires, je frotte mon gland sur la foufoune et enfourche d’un coup la femme qui pousse un cri de surprise.

"Hou ! Quelle fougue ! J’aime ça, allez-y, baisez moi..."

Les mains sur ses poignées d’amour, je besogne cette inconnue quand je sens une main passer entre mes fesses et saisir mes couilles.

"Continue à honorer ma femme, si vous êtes là tous les trois pour découvrir des sensations nouvelles, je te propose d’en découvrir une... Je peux toucher ton anus ?"

"Eeeeeuuuh, je ne sais pas..."

"Tu ne l’as jamais fait ? Tu vas voir comme c’est bon...
"

"Aaaaaahhhhhh !"

"Ça te fait mal ?"

"J’avoue que non, c’est la surprise"

Je ne vais quand même pas passer pour une mauviette ! Si une femme supporte une verge à cet endroit, nous sommes faits à l’identique !

"Alors je continue... Voilà, jusqu'à la dernière phalange, qu’en dis-tu ?"

"Que c’est bizarre mais bon !"

"Je vais assouplir ton anneau, ensuite j’y mettrais ma queue enduite de gel"

"Vous voulez me sodomiser pendant que je baise votre femme ?"

"Il suffit de trouver le bon rythme, ça ira tout seul"

"Fais doucement, hein ?"

"Je suis assez fin, l’idéal pour une première sodomie, arrête de besogner ma femme le temps que je te pointe..."

"Ahahahahahahahahaha... Hhhhuuuuummmmmmmm, c’est rentré ?"

"Cinq centimètres, le plus dur est fait, tu peux continuer à baiser, je vais te suivre"

"Je sens que je ne vais pas tenir longtemps..."

"C’est parce que je frotte ta prostate, si tu décharge, n’arrête-pas, tu ne va pas débander"

Ce pieux raide qui bouge dans mon rectum m’excite, le point de non retour est atteint, des contractions annoncent les premiers jets qui fusent dans le con de la femme, qui, par réaction en chaîne, jouit bruyamment. Ca me fait sourire...

Je profite d’un moment de relâchement pour jeter un coup d’œil circulaire, le groupe qui déshonore Marion est remonté sur le rivage. A cheval sur un homme, elle fait du rodéo, maintenue et sûrement pénétrée par un deuxième. Ne cherchez pas le troisième, il est dans sa bouche ! Raymond, stoïque, prend des photos !

L’homme qui est en moi reprend sa course, sa verge coulisse aisément, comme si je mouillais, sans douleur. Il a envie de décharger, je reprends mes coups de reins dans la chatte de sa femme qui me répond énergiquement.

"Pour quelqu’un qui découvre sa bisexualité, tu te défends ! J’apprécie beaucoup ton ardeur, allons-y pour le bouquet final, donne tout ce que tu as, défonce la chatte de mon épouse, je vais te ramoner à outrance"

"Putain, que c’est bon, vide-toi dans mes entrailles, je vais faire déborder le calice de ta femme, ça vient, ça vient ! Ça VIIIIIIEEEEENNNNNNT ! Wooouuuaaaahhh !"

"Moi auuuuuuusssssssiiiiiiiiii !"

"Prends-ça dans ton cuuuuuuuuul !"

En sueur, le souffle court, nous sommes restés collés jusqu'à ce que nos verges mollissantes glissent de leurs trous respectifs.
Je vois Marion étalée, les bras en croix, sur le sable, épuisée, souillée, les yeux fermés, un sourire béat sur les lèvres.

"Ta femme s’est éclatée à tous points de vue, et de partout, mon vieux Cyril, mais j’ai vu qu’elle n’était pas la seule..."

"Je ne savais pas comment occuper mon esprit ! Pas la peine de lui raconter..."

"Il faut rentrer, aide-moi à la remonter à la voiture"

"On ne la lave pas avant ?"

"Nous allons l’allonger à l’arrière, sur le plaid, tu pourras visiter son corps pendant le trajet... Ca vaut le coup d’œil !"

Après cette semaine de rêve, nous somment devenus d’ardents libertins bisexuels...

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