Soumission Soft À Mon Amour (Épisode 1)

J’étais jolie sans être une beauté, 1,68 m, la peau pâle, les yeux bleus, les cheveux mi- longs auburn et tous les atouts de la jeunesse : un corps naturellement svelte, une chute de rein rebondie, ferme et cambrée, de jolis seins (90 C) qui pointaient sous mes T-shirts. J’avais 19 ans, lui 34. Avant lui je n’avais jamais été plus loin que le flirt. Il a été mon premier grand amour. Il m’a tout appris. Comme il aimait me le répéter « l’idéal avec une gamine inexpérimentée, c’est qu’on peut la modeler pour correspondre parfaitement à ses fantasmes ». J’étais amoureuse, de cet amour dont on pense que jamais on ne pourra aimer personne aussi fort. J’étais prête à tout pour lui.
Si moi j’étais jeune et inexpérimentée, lui, c’était tout le contraire. Grand, très sportif, beau et avenant, il n’avait jamais eu à lutter pour plaire aux femmes. Il faut reconnaître que, à mon instar, c’était elles qui venaient à lui, jamais le contraire. La liste de ses amantes était longue, toutefois j’ai été sa première vierge mais mon dépucelage n’est pas le sujet de cette histoire…
Nous sortions ensemble depuis un peu plus de deux ans. Deux années pendant lesquelles je n’avais jamais été prise que par lui seul mais je vous garantis qu’il avait bien fait le boulot. Je m’étais soumise à tous ses désirs, le plus souvent de gré mais aussi quelques fois un peu de force (sodomie) parce que je n’aimais que lui, qu’il était très sollicité par les autres femmes et que j’avais peur de le perdre. Une mutation en province pour son travail a précipité notre emménagement commun dans une petite ville à la campagne. J’ai quitté ma fac, rompu tout contact avec ma famille (qui réprouvait notre relation) et mes amis pour le suivre. Je n’avais pas de boulot, peu de chances d’en trouver dans ce coin perdu. Je suis devenue sa petite femme au foyer affectivement soumise et financièrement dépendante.
Il avait deux passions : le sport et le sexe. Moi, je n’en avais qu’une : lui.

Il m’offrait toute sorte de lingerie : de la dentelle romantique à la jupe en latex, en passant par les guêpières, les porte-jarretelles à l’ancienne et les redresse-seins. Il ne m’autorisait à porter que des strings à l’exception de quelques petites culottes de soie contre lesquelles il aimait se branler sur moi. J’étais sa femme au foyer : au foyer certes - je devais m’adonner aux tâches ménagères pour que mon Amour soit satisfait (il détestait le désordre) - mais je devais surtout être sa femme. Il exigeait que je reste séduisante en toutes circonstances.
Mon Amour avait un job qui lui permettait de s’échapper du bureau en cours de journée. Il affirmait que rien ne valait une petite baise improvisée pour déstresser. Il aimait alors me surprendre en rentrant à toute heure à la maison. Un matin, par exemple, je m’étais vêtue simplement mais joliment pour faire mon ménage : top à fines bretelles rose clair qui, au niveau du décolleté, laissait apercevoir le renflement que mes seins faisaient dans un balconnet un peu trop étroit et, en bas, je portais un string en dentelle de coton sous une petite jupe noire évasée. Il est entré sans bruit et m’a épiée un moment en se caressant alors qu’affairée à passer l’aspirateur et, ignorante que j’étais de sa présence, je me mettais à quatre pattes, suceur de l’aspirateur en main, pour aspirer les miettes sous le canapé. Se glissant sans bruit par derrière, il me bâillonna avec sa main droite tout en me glissant à l’oreille « c’est moi » avant d’arracher la ficelle de mon string et d’enfoncer de la main gauche sa queue gonflée dans ma chatte sans plus de préambule. J’étais sèche et je n’ai pu retenir un gémissement de douleur sous son premier coup de rein. Au vu du soubresaut qu’a fait sa bite en moi à cet instant, je n’ai pu qu’en déduire qu’il appréciait mon étonnement non feint. L’excitation fit vite suite à la surprise et son dard qui imprimait de violents allers retours fût bientôt bien lubrifié de cyprine. Alors que j’étais au bord de l’orgasme, il arrêta soudain de bouger mais resta bien enfoncé en moi.
Prenant soin de ne pas bouger les reins (j’avais trop peur de laisser sa bite s’échapper), je relevais le haut de mon corps pour retirer mon top, pivotant mon torse pour lui faire face la moue boudeuse – après tout il avait interrompu mon orgasme ! Alors que je passais le top au-dessus de ma tête, mes seins - les tétons tout durs et pointés - qui avaient sauté hors des balconnets sous la puissance de ses coups de boutoir rebondirent hors du top. Je gardais mon soutien-gorge ainsi comme un redresse-seins, le regard que mon amour y posait et le soubresaut concomitant de sa bite dans ma fente m’y intimant. Il me dit alors :
- p’tain t’es belle, en me pinçant délicatement les tétons du bout des doigts. Puis il demanda :
- Tu connais le coup du chapeau ? Petite idiote ingénue que j’étais, je répondis innocemment :
- non, c’est quoi ?
- tu vas voir… me maintenant toujours d’une main par les hanches, il appuya l’autre main sur le haut de mon dos pour m’inciter à me pencher de nouveau en avant. Mes seins glissèrent vers le vide et pointèrent en apesanteur vers le sol et c’est alors que je sentis toute la longueur de sa bite glisser hors de ma chatte trempée. Il me maintint fermement vers le sol, pressentant l’amorce d’un mouvement pour me relever et exprimer ma désillusion, je retournais la tête et le vis lubrifier son gland avec sa salive. Je sus en un instant ce qui allait se passer. Il appliqua son gland sur mon anus avant d’en forcer doucement mais fermement l’entrée. Ce n’était pas la première fois qu’il me sodomisait mais je n’y étant pas préparée, les premiers va-et-vient furent douloureux. Finalement mon anus se conforma au diamètre imposant de sa bite en branle. Lui gémit presque instantanément et marmonna, comme se parlant à lui-même, « j’aime tellement ta galette bien étroite » et, après un soupir de plaisir « Aaah! Ma belle, j’aime te défoncer, tu me fais jouir, tu me fais tellement jouir ». Il empoignait maintenant mes fesses dans son va-et-vient.
Je sentais le plaisir croissant qui réchauffait à nouveau tout mon corps. Il y allait par petits coups, lentement, de toute sa longueur pour alterner avec des coups puissants, vifs, rapides tout en gémissant son plaisir plus fort. Je haletais en rythme, au bord de l’orgasme. Tout d’un coup il s’arrêta net ne laissant que son gland enfoui dans mon trou et branlant doucement de la main droite sa tige brillante et me balança :
- ça te fait plaisir de me faire bander comme un dingue, hein ? T’es fière de toi ? Tu aimes que je te prenne le cul ? Oui ? Je n’entends rien, oui ? Alors il va falloir me quémander, demande-le-moi !
- Oui chéri, s’il te plaît, prend-moi dis-je d’une voix gênée n’osant pas même tourner la tête pour le regarder. (Oui j’aimais ça mais devoir le lui avouer tout haut… et puis j’étais sûre qu’il s’en servirait pour me taquiner plus tard. Je l’imaginais déjà me faire rougir en me glissant à l’oreille, au restaurant par exemple, des trucs du genre « ma jolie sodomite qui s’fait défoncer son p’ti cul et en redemande, dire que tu complexais sur ton « gros » cul, je peux t’assurer qu’il est parfait et que tous ces mecs autour de nous te le défonceraient volontiers».)
- Dis-le plus fort ! Crie-le-moi !
Ondulant alors tout doucement des fesses je parvins subrepticement à le faire glisser un peu en moi. Fâché, il recula de nouveau jusqu’à mon seuil et s’amusa à y presser le bout de son gland rutilant, faisant mine d’y pénétrer mais me laissant gémissante, sur ma faim.
- Demande-le, salope. Moi, je ne souhaite rien de mieux que de te fourrer mais je veux que tu me le demandes. À cet instant, j’ai le dos cambré au maximum dans une supplique silencieuse, les seins gonflés de plaisir qui balancent dans le vide, les tétons durcis, je n’en peux plus de désir, besoin de me sentir comblée, besoin de LE sentir, besoin de LA sentir et là, je suis tellement excitée que j’ai du mal à savoir où je suis, je ne sais plus qu’une chose : sa bite continue de me titiller l’anus.
Je hurle soudainement :
- Ouuiiiiïï ! Baise-moi ! Baise-moi ! Baise-moi ! Je n’en peux plus, prend-moi comme une salope, ta salope, ta salope, avec ta grosse bite ! Lui, amusé de me voir ainsi soumise par mon désir, me répond avec un calme olympien :
- On y presque ma chérie mais ce que je veux que tu me demandes c’est de t’enculer. Alors, au bord de la folie, je déblatère :
- Encule-moi, enfonce-la moi dans le cul, défonce-moi ! Prend-moi mon cul. Sodomise-moi ! Oui, je la veux dans mon cul de salope, prend ton pied dans mon cul !
Il s’exécuta sur l’instant, violemment, profondément, me limant comme un malade, ses deux mains à l’intersection du haut de mes cuisses et de mes hanches imprimant le mouvement, tchac, tchac, tchac, tchac : le bruit de mes fesses contre son corps à l’unisson de ses coups de bite. Je jouis bruyamment en un long râle « aahhaahhaann ! »
- Salope, t’es trop bonne. J’ai toujours su que tu étais une salope, tu jouais la p’tite vierge effarouchée mais t’étais faite pour la queue… Ses va-et-vient durèrent encore un petit moment puis, tout d’un coup - au bord de l’éjaculation croyais-je - d’un seul mouvement il sortit de mon cul pour me la rentrer bien profond dans la chatte. Excitée comme je l’étais, un seul frottement sur mon point G me fit jouir à tel point que j’en eus le souffle coupé et tout ce qui sortît de ma bouche fut un « huumm ! » étouffé. Il fit quelques va-et-vient dans ma mouille puis de la même façon qu’il m’avait pris la chatte il me prit à nouveau le cul. Après quels coups de rein, soudain :
- J’vais jouir, j’vais jouir, hurla-t-il et je sentis sa queue sortir de mon séant. J’eus à peine le temps de me retourner et de lui présenter ma bouche ouverte, la langue offerte au bord des lèvres qu’il éjacula en plusieurs jets chauds et salés. Gourmande, j’avalais tout et me léchais les babines puis lui suçais le gland avec douceur et application avant de lécher l’intégralité de sa queue, ce faisant, je levais mes yeux humides de plaisir et plongeais dans son regard satisfait en un silencieux remerciement.
- Alors, tu as aimé le coup du chapeau ? Je restais interdite. Ben oui, je te l’enfonce un coup dans la chatte et un coup dans le pot conclut-t-il avec un sourire de vainqueur.
Il se rhabilla et repartit au travail alors que je retournais toute langoureuse à mon aspirateur.


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