Un Bon Décrassage

Tous les samedis matin j’ai l’habitude de faire un footing loin de la ville et de sa pollution où tous les joggeurs rivalisent de tenues sophistiquées, je vais en plein marais où je sais trouver un cabanon en forme d’hexagone vitré où l’on peut observer la nature et des oiseaux maritimes de toutes sortes.
Je suis assis sur une barrière où je reprends mon souffle quand passe à petites foulées une jeune femme, je la laisse prendre de l’avance, une minute plus tard j’arrive au cabanon pour m’y reposer et apprécier la vue … la vue de la femme qui est là le nez collé à la vitre, les mains en appuis sur le banc de bois qui ceinture la cabane. De ce fait son arrière train pointe vers moi , je reste muet et apprécie ses rondeurs , elle ne bouge pas, pourtant mes pas sur le plancher et ma respiration haletante ont dut l’alerter de ma présence, je tousse , aucune réaction ….
Du coup je continue à admirer sa chute de reins, les deux lobes séparés par la couture du jogging ne laissent apparaitre aucune trace de slip, la voilà qui plie un genou puis l’autre. Entre les fesses un losange boursouflé apparait, j’imagine sa vulve coincée dans cet entre jambe et je bande ! Bercé par ces mouvements le cul se dandine devant mes yeux connaisseurs.
Je n’avais pas remarqué les écouteurs fichés dans ses oreilles. Qu’elle ne bouge pas si elle ne m’a pas entendu ok, mais dans le reflet de la vitre son regard est fixé sur moi, mon jogging est tendu en flèche par mon érection, j’avance à un mètre derrière elle, une envie de poser mes mains sur ce mont de chair ferme m’obsède, après tout qu’est ce que je risque ? une paire de baffes ? ….. Aller Georges fait-le !
Mon moi intérieur me pousse ….J’avance une main je la pose sur sa hanche droite … la femme cesse tout mouvement mais ne se relève pas, bien au contraire, elle se cambre faisant ressortir davantage sa croupe, comme un encouragement à continuer, je pose l’autre sur la hanche gauche, l’érection qui me devance n’est qu’à cinq centimètres de son entre jambes !
Mon cœur fait des bonds dans ma poitrine, j’imagine que c’est la même chose chez elle, je caresse le débardeur soyeux du bas de son dos jusqu’à ses épaules et de ce fait ma position penchée me fait entrer en contact avec son postérieur, toujours aucune réaction négative, je reviens à la base de ses reins et cette fois j’introduis mes mains à même sa peau.

Elle est moite de sueur, les doigts sur ses flancs, mes pouces massent sa colonne vertébrale en remontant, je réussi à lui arracher un gémissement , je finis par buter sur le soutien-gorge spécial sport , sans hésiter je cherche la fermeture à tâtons, le sous-vêtement claque en libérant les seins. Lentement mes mains contournent le torse, les mamelons sont là , fermes, les tétons dressés , j’enveloppe les deux pommes d’amour de mes mains .
Elle réagit enfin en pressant son derrière sur moi, je mime l’acte en frottant fortement mon membre vers le haut, elle répond en dandinant à nouveau son cul, je ne vais tout de même pas décharger dans mon jogging ?
Je lâche les seins et agrippe le pantalon de jogging de chaque coté pour le tirer jusqu’aux genoux, une paire de fesses laiteuses apparait, les pieds se séparent autant que l’entrave du jogging le permet.
Je me mets à genoux pour les embrasser et les mordiller, mon nez pénètre dans la vallée odorante de sueur mélangée à sa féminité, une odeur qui m’excite, mes narines pincées par les lobe je "travaille" en apnée ! La langue sortie au maximum... Je trouve l’œillet brun qui palpite puis le sillon des lèvres poilues, la vulve est humide et s’ouvre facilement, la femme gémit d’impatience.
Je me relève en baissant mon pantalon, ma queue érigée pointe vers sa cible, j’enduis mon gland de salive même si ce n’est pas nécessaire étant donné le degré d’humidité qui règne dans cette zone, et le frotte entre les cuisses séparées au maximum. Je glisse sur la vulve sans résultats quelques fois avant de m’embourber d’une traite dans son ventre, nous poussons en même temps un soupir de bien-être, la femme donne le tempo en bougeant son cul, les mains soudées à ses flancs je pilonne la chatte à grands coups de queue. Plus je suis vigoureux et plus elle rugit, je ne cherche pas à fignoler, elle et moi c’est baiser pour baiser !
Mes coups de reins sont ponctués par elle de : ‘ OUI –OUI- OUI- OUIIIIIII ‘ et moi par des ‘ HAN– HAN – HAN ! à faire trembler la cabane.

Hélas la situation est tellement physique que mon plaisir monte, monte, j’ai beau essayer de penser à autre chose, ma queue n’en fait qu’à sa tête et je finis par exploser bloqué au fond de sa moule, sa main pour la première fois enveloppe mon membre encore fiché en elle comme pour empêcher mon retrait, elle murmure :
- Encore, encore .....ooooooohhhhh Ouiiiiiiiiiiiii…..je jouuuuuiiiiiiiiis baise moi encore….
Je me sens d’attaque à lui donner encore du plaisir, aussi, sans débander je réinvestis à nouveau vigoureusement sa moule.
La femme se retire mais pour appuyer mon gland sur son anus :
- Enfonce-toi ici…
- Tu es sûre ?
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii …
- Alors voilà …. Huuuuummmmm c’est serré.
- Ooooooouuuuuuuuuuhhhhhh …..aie, attend un peu …..
Elle me saisie les testicules pour m’empêcher de bouger avant de me donner le feu vert en reculant ses fesses sur moi.
- Vas-y …
Je me retire légèrement pour m’enfoncer plus lentement et plus loin, cette fois ma queue entre presque totalement dans ce conduit sans fond.
- Ne bouge plus c’est moi qui vais faire …
La femme rythme elle-même la vitesse et la pénétration, je reste bien campé sur mes jambes pour contenir les assauts de la femme qui couine à chaque fois que mes couilles frappent lourdement son clitoris, des paquets de semence tombent de sa chatte sur son jogging entravé entre ses cuisses.
Ses feulements reprennent de plus belle, cette fille à un tempérament de feu, elle jouit même par le cul ! À nouveau sa moule évacue une pluie de mouille, j’ai peur de l’état dans lequel elle va récupérer son pantalon …une onde monte en moi pour éclater sous la forme d’une deuxième décharge au plus profond de son être...
Appuyée sur ses avants bras, elle récupère lentement, je m’essuie le nœud et remonte mon pantalon avant de quitter la cabane et revenir à ma voiture ……. Je n’ai jamais vus son visage ……

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!